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société - Page 140

  • C'est la fête à la souris!

    9 décembre 1968.

    La première souris.

    Lors de la conférence des sociétés d’informatique à l’université de Stanford, en Californie, Doug Engelbart et son équipe font la démonstration pour la première fois de leur dernière invention : la souris d’ordinateur.

     

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  • Journeaux, journalistes.... les idiots utiles en France

    Malinformation, Sédentarisme culturel et Obésité intellectuelle

    "La réalité est ce que nous prenons pour être vrai. Ce que nous prenons pour être vrai est ce que nous croyons. Ce que nous croyons est fondé sur nos perceptions. Ce que nous percevons dépend de ce que nous recherchons. Ce que nous recherchons dépend de ce que nous pensons. Ce que nous pensons dépend de ce que nous percevons. Ce que nous percevons détermine ce que nous croyons. Ce que nous croyons détermine ce que nous prenons pour être vrai. Ce que nous prenons pour être vrai est notre réalité". David Bohm, 1977

    Médias et Information/ il est temps de tourner la page.

     

    Lisez bon sang!, vous apprendrez à réfléchir et à ne pas continuer à vivre comme des moutons!

     

     

    Pour les faignants, car l'article est très long….. la conclusion

    Quelle est la gravité de la situation?

    Je vois partout et tous les jours des formes d’indécence s’étaler, des charlatanismes s’exprimer, des horreurs se banaliser.

    Je vois des tas de magazines " sérieux" publier régulièrement une rubrique qui annonce votre avenir selon votre date de naissance. Je connais des ministres condamnés pour propos racistes. Je vis dans un pays qui voue un culte à Napoléon Bonaparte. Je vois les journalistes se montrer révérencieux envers George Bush et Tony Blair. J’entends des gens "cultivés " et "intelligents "prôner des "guerres humanitaires" - et je me demande ce qu’ils penseraient d’un nouveau concept de mon invention, celui de " torture thérapeutique"...

    Voir couler plus d’encre sur une femme portant un voile que sur une bombe larguée sur elle au nom de la société succinctement décrite plus haut me donne envie de vomir.

    L’absurdité de la situation et la pauvreté de notre perception sont telles que des lois sur les médias récemment adoptées en Amérique latine (toujours une longueur d’avance sur nous) visant à élargir les espaces de liberté, à donner de la substance à la liberté d’expression, sont fréquemment qualifiées ici - y compris par des militants de gauche - de lois " liberticides ". Est-il possible d’être plus " à côté de la plaque " que ça?

    Le combat des médias n’est pas un combat annexe/ il est devenu le combat. Certains l’ont bien compris et n’hésitent pas à acheter un journal qui perd des millions d’euros par an. Se pose-t-on assez souvent la question de savoir pourquoi un capitaliste investirait des millions d’euros dans une affaire qui perd de l’argent alors que dans le même temps il n’hésitera pas à fermer une usine qui en gagne, mais pas assez? Par amour de la démocratie et du pluralisme de la presse, peut-être?

    L’information est une forme d’éducation, elle forge notre vision du monde. Mais accepterions-nous que nos enfants à l’école soient éduqués par des enseignants sortis d’on ne sait où, formés dans des " écoles de journalisme " privées et indépendantes de toute tutelle, même mineure, indéboulonnables quel que soit leur degré d’incompétence?

    Est-il normal d’exiger le non-cumul des mandats d’un élu (qui, après tout, est élu) tout en acceptant sans broncher l’ubiquité des journalistes? Est-il normal de limiter le nombre de réélections d’un élu (qui, après tout, est élu) tout en acceptant sans broncher de voir les mêmes têtes partout sur toutes les chaînes et radios pendant vingt ans et plus? Est-il normal que le premier abruti venu muni d’une carte de presse puisse qualifier Chavez de dictateur dans un journal distribué gratuitement à des dizaines de milliers d’exemplaires ou sur un site Internet pseudo-alternatif?

    N’y aurait-il point de nom pour désigner un système où un pouvoir avant tout économique et commercial et non-élu supplanterait celui des représentants du peuple?

    Forts du leurre que constitue une certaine facilité sur Internet, nous avons de facto abandonné avec armes et bagages le champ de bataille des médias. Champ à partir duquel l’adversaire nous bombarde en toute... liberté.

    Alors, si combat pour le pouvoir il doit y avoir, autant viser le véritable pouvoir. Car ce ne sera qu’à partir de ce moment-là, et de ce moment-là seulement, que nous pourrons dire que nous avons enfin tourné la page.

    Viktor Dedaj

    "J’aurais pu faire plus court, c’est vrai"

     

    http://www.legrandsoir.info/medias-et-information-il-est-temps-de-tourner-la-page.html

     

  • Allô? Allô? Allô? Allô? Allô? Allô? Allô? Allô? Allô? Allô? A putain con!

    Il appelle le 17 " au minimum 80 fois ". Des appels qui restent sans réponse…

    " Il est 19h35, vendredi 13 novembre. Christophe est à la terrasse du restaurant Cellar, 9 rue Crussol dans le 11e arrondissement, lorsqu’une Polo noire immatriculée en Belgique se gare devant lui. Le jeune observe ses deux occupants, qui tapotent sur leurs smartphones.

    À 21h40, après avoir appris les attentats au Stade de France, Christophe veut alerter la police sur ces individus qui lui avaient semblé louches. Il appelle le 17 ‘au minimum 80 fois’. Des appels qui restent sans réponse… La salle du Bataclan est à 300 m de là. Moins de 10 minutes plus tard, les hommes de la Polo font irruption dans la salle de spectacle et ouvrent le feu sur la foule, faisant au moins 89 morts". — L’Obs

    " On l’appellera Christophe. À l’autre bout du fil, la voix est lasse, fatiguée. (…) Il y a encore quelques heures, il se trouvait au 36 quai des Orfèvres pour raconter son incroyable histoire. Vendredi soir, donc, Christophe se trouve au restaurant Cellar, au 9 rue Crussol, dans le 11e arrondissement de Paris à seulement 3 minutes du Bataclan. C’est un habitué des lieux.

    Le patron est un de ses amis. À 19h35, alors qu’il boit un verre à l’extérieur du restaurant, Christophe voit arriver une Polo noire immatriculée en Belgique : " Ils se sont garés juste devant moi alors qu’il n’y avait pas beaucoup de place. J’ai trouvé ça bizarre. Le conducteur avait du mal à tourner le volant comme s’il savait à peine conduire. Je suis allé les voir pour leur dire qu’ils étaient mal garés. Ils n’ont pas ouvert la fenêtre et m’ont regardé méchamment. On aurait cru des morts-vivants, comme s’ils étaient drogués".

    Christophe retourne boire son verre mais observe néanmoins les hommes dans la voiture qui a les feux éteints mais le moteur toujours allumé". J’ai bien vu le visage du conducteur et celui du passager car ils ont commencé à tapoter sur leur smartphone, ce qui a fait que cela éclairait leur visage". (…).

    Vers 20h15, Christophe voit passer une voiture de police devant le restaurant qui ne semble pas remarquer la Polo noire mal garée. À 21h30, Christophe quitte le restaurant tandis que les quatre hommes de la Polo sont toujours là.

    Il a appris que des bombes ont explosé au Stade de France. À 21h40, il tente à plusieurs reprises de joindre la police par téléphone ’80 fois au minimum’ mais sans réponse. Quelques minutes plus tard, la nuit cauchemardesque débutait au Bataclan". — Le Figaro

    Des lois liberticides passent comme une lettre à la poste. Des bombes sont larguées à l’étranger. On dépense sans frein et sans compter l’argent du contribuable qui n’en peut plus. Mais il n’y a personne au 17 !

    Cela ne dérange pas nos chers élus et ministres qui s’auto-congratulent facilement. M. Cazeneuve, ministre de l’Intérieur, n’ira pas pointer chez Pôle emploi, rassurez-vous. C’est tout simplement écœurant.

    Ensemble, soyons vigilants ! Mais ne perdez pas de temps à appeler le 17.

     CQFD

  • La vie en Gauchiasserie...

    Un conte de Noël contenant des références à la religion catholique fait polémique dans une maternelle toulousaine

    La pomme de discorde à un nom : la Poule à Colin. Une école maternelle de Toulouse a fait écouter à ses élèves cette chanson (tirée d’un conte de Noël québécois), qui fait partie du recueil de chansons offert par la mairie de Toulouse en cadeau de Noël. Il n’en a pas fallu plus pour que le Snuipp-FSU 31, premier syndicat enseignant du premier degré, dénonce "un choix de cadeau de la mairie de Toulouse […] qui relève d’une légèreté coupable ou d’une entorse sérieuse à la laïcité", rapporte la Dépêche.

    Les paroles concernées (à propos d’un poulet qui finit dans la marmite): "tout le monde de la paroisse sont venus saucer le pain", "Monsieur le curé qui est venu saucer le sien".

    "La mairie aurait été bien inspirée de ne pas faire référence qu’à une seule religion explicite. Elle devrait respecter toutes les religions dans leur neutralité. Nos écoles sont quand même multiculturelles et cette chanson ne va pas de soi", a expliqué au quotidien le secrétaire département du syndicat enseignant.

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     Un agriculteur condamné pour avoir détruit le véhicule de voleurs présent sur son exploitation

    Une justice inversée ? Un agriculteur béarnais, Jean Toulouse-Bergerou, a été condamné à 3 000 euros d’amende avec sursis pour avoir détruit, à l’aide d’une tractopelle, le fourgon de deux cambrioleurs présent sur son exploitation le 31 juillet dernier. Sous prétexte de chercher une batterie pour leur téléphone " qui montrait des signes de fatigue ", les deux brigands ont dérobé une batterie dans un champ ainsi qu’un panneau solaire. Mais l’agriculteur les a surpris. Ce dernier a exprimé ses regrets au tribunal mais a également expliqué que les exploitants de la région sont victimes de vols à répétition. Une quarantaine d’agriculteurs est d’ailleurs venue le soutenir. Les deux voleurs ont quant à eux été condamnés respectivement à soixante-dix heures de travail et à trois mois de prison ferme.

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    L’ÉDITO D’YVES DE KERDREL -

     Ils veulent museler Valeurs. La Cour d’Appel de Paris m’a condamné aujourd’hui à 2 000 euros d’amende pour provocation à la discrimination envers les musulmans, parce qu’il y a deux ans déjà, Valeurs actuelles, à mon initiative, avait voulu dénoncer l’islamisation rampante de la France. Ce que nous avions illustré sur la couverture par une Marianne voilée. Bien sûr j’ai immédiatement décidé de me pourvoir en cassation.

    Mais ce jugement est tombé au moment même où avec un autre journaliste de Valeurs actuelles nous étions auditionnés " en urgence " par la police à la suite de nos révélations, la semaine dernière, sur le fait que le cerveau des attentats était en France depuis deux mois. Derrière toute cette agitation judiciaro-policière, il y a la volonté du pouvoir de museler Valeurs actuelles. Peut-être parce que nous sommes les seuls à gagner chaque semaine des lecteurs.

    Peut-être parce que nous disons tout haut ce que les autres médias taisent. Peut-être aussi parce que nous défendons coûte que coûte des valeurs que le pouvoir a décidé de saper une à une.

     

  • Le chiffre du jour : 27,2

     

    C’est en moyenne le nombre d’années que les Français passent à la retraite, après leur carrière professionnelle, selon une étude de l’OCDE.

    La moyenne pour les autres pays est de 22,3 ans.

  • Nous, les Français

    Nous sommes le peuple le plus courageux, le plus malin au monde!....

    La preuve: c'est bien nous, les Français qui ont eu l'idée de goûter un jour et ainsi prouvé que les grenouilles et les escargots sont comestibles (courage)

    et qui avons su faire entrer au panthéon gastronomique mondial ces deux mets succulents!!

    (malins! car cela fait également partie de la reconnaissance au patrimoine mondial de l'Humanité de notre supériorité gastronomique et culturelle!).

    CQFD ... et faites passer!

     

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  • Ben voyons!

    L'installation du compteur intelligent "Linky", censé aider les consommateurs à réguler leur consommation d'électricité est pointée du doigt par l'association UFC- Que Choisir, pour les coûts qu'il engendre.

    Alors que près de 35 millions de compteurs électriques seront remplacés, d'ici 2020, par "Linky", des boitiers intelligents permettant d'échanger à distance des données sur la consommation d'électricité sans l'intervention d'un technicien, l'installation des nouveaux appareils risquent d'engendrer un surcoût pour les consommateurs estimé à 545 millions d'euros, selon l'association UFC-Que choisir. En cause : l'inadaptation des abonnements pour plus de la moitié des abonnés. Il s'avère qu'aujourd'hui, 18 % des consommateurs ont souscrit un forfait pour une puissance dont ils n'ont pas besoin et, qu'à l'inverse, 37 % des contrats sont sous-tarifés.

     "L'arrivée du compteur Linky, loin de diminuer les coûts risque de faire exploser la facture", indique l'association. Les "sur-consommateurs" devront s'acquitter du prix de l'intervention nécessaire pour modifier la puissance de leur compteur et ceux bénéficiant d'une performance supérieure à celle qu'ils ont souscrite se verront facturer un abonnement plus cher, pour conserver le même volume d'électricité.

    Refusant que les consommateurs soient sanctionnés par la généralisation du compteur Linky, l'UFC-Que Choisir demande notamment que soit instaurée une nouvelle grille tarifaire afin que la facture des abonnés soit plus proche des usages réels des foyers. Elle réitère sa demande de gratuité de la prestation dans les deux ans suivant l'installation.