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politique - Page 10

  • Celle qui déguise les filles en garçons et les garçons en filles

    Y'a pas plus intégriste que les nouveaux convertis... tout le monde sait cela...

    ... et la gauchiasse commence salement à nous les briser menu, menu en choisissant cette non-gonzesse...

    parce que, pour croire à la théorie en question, faut pas avoir des règles, une vulve, un utérus et de magnifiques seins...

    peut-être que sa mère, s'en faire exprès, lui a coincé la tête dans une porte quand elle avait 8 jours? ça prouverait son cerveau rétréci...hélas, il ne lui reste qu'QI de betterave... et, comme dit l'autre, au conseil des sinistres: qui s'assemble, se ressemble!

    et si certain-es se sentent fier-es qu'une gonzesse de leur campagne et arrivée en haut de l'échelle... sachez que quelle que soit la hauteur où l'on monte, on ne s’assied jamais que sur son cul! (Montaigne).

     

    Mais, si le titre de la note vous interpelle.... prenez le temps de voir la vidéo en son entier.

     

    http://www.theoriedugenre.fr

     

     

     

     

     

  • On nous cache tout.... mais, cela finit par se savoir!

    http://www.lepoint.fr/societe/exclusif-bretigny-sur-orge-des-scenes-de-vol-et-de-caillassage-ont-bien-eu-lieu-18-07-2013-1706136_23.php

    Le Point.fr - Publié le18/07/2013 à 16:19- Modifié le18/07/2013 à 16:22

    Le Point.fr s'est procuré un document confidentiel de la direction centrale des CRS qui fait état de jets de projectiles et de vols sur les victimes du déraillement du train

    A-t-on voulu cacher une réalité trop dérangeante ? Contrairement à la version officielle véhiculée par les autorités politiques, policières et sanitaires, il y a bel et bien eu des scènes de vol et de caillassage après le déraillement du train Paris-Limoges à Brétigny-sur-Orge. Le Point s'est procuré le rapport de synthèse des affaires marquantes du 10 au 16 juillet de la Direction centrale des compagnies républicaines de sécurité (DCCRS) dans lequel une page est consacrée à l'opération de sécurisation mise en place après la catastrophe ferroviaire par deux sections de la CRS 37-Strasbourg venues du cantonnement de Meaux.

    Or le compte rendu des forces de l'ordre est sans ambiguïté. "À leur arrivée, les effectifs de la CRS 37 devaient repousser des individus, venus des quartiers voisins, qui gênaient la progression des véhicules de secours en leur jetant des projectiles", note la synthèse de la DCCRS. Un constat fort différent de celui dressé par les responsables de la Croix-Rouge et du Samu qui affirmaient n'avoir constaté "aucune agression et avoir travaillé de façon tout-à-fait normale" en gare de Brétigny. Pourtant le rapport de synthèse de la DCCRS va plus loin : "Certains de ces fauteurs de troubles avaient réussi à s'emparer d'effets personnels éparpillés sur le sol ou sur les victimes." Et la note d'enfoncer le clou : "Les fonctionnaires protégeaient ensuite les lieux de l'accident pour favoriser le travail des enquêteurs et des techniciens et sécuriser la visite des nombreuses autorités (président de la République, Premier ministre, ministre de l'Intérieur, ministre des Transports, ministre de la Santé...).

    Démentis officiels

    À la lecture de la synthèse, on apprend qu'un dispositif de sécurité très important a été déployé alors sur place. Ainsi pour assurer des escortes d'ambulances, un équipage motocycliste de la CRS autoroutière Sud-Ile-de-France était également réquisitionné. Par ailleurs, deux autres sections de la compagnie 37, employées sur le département de la Seine-et-Marne ainsi que les fonctionnaires de la CRS 51-Orléans, utilisées sur le département de la Seine-Saint-Denis étaient appelées en renfort.

    Pourtant, ministres et sous-préfet présents sur place ont démenti à l'unisson tout caillassage sur les forces de secours et vol sur les victimes. Ainsi, sur i>Télé, le ministre des Transports Frédéric Cuvillier déclarait ne pas avoir eu connaissance "de victimes dépouillées", faisant simplement état "d'actes isolés" et "de pompiers qui par petits groupes ont été accueillis de façon un peu rude". Le sous-préfet d'Estampes, Ghyslain Chatel, démentait pour sa part que les secours aient fait l'objet de jets de projectiles, à l'exception "d'un camion de pompiers, qui pourrait avoir été visé mais pas touché".

    Enquêtes

    Contacté jeudi par Le Point.fr, Luc-Didier Mazoyer, le directeur départemental de la sécurité publique de l'Essonne, persiste et signe : "J'étais sur place, il y a certes eu des tensions pour repousser des individus, mais je n'ai vu ni scène de pillages ni violences urbaines. J'ai déclenché une enquête pour en avoir le coeur net." Le parquet d'Évry a ouvert une enquête préliminaire pour vol en réunion avec violences, à la suite des incidents qui se sont déroulés en marge de la catastrophe. Les autorités avaient seulement reconnu qu'un urgentiste du Samu s'était fait voler son portable. Dans le cadre de cette affaire, cinq personnes ont été placées en garde à vue puis relâchées, les perquisitions à leurs domiciles n'ayant rien donné. Eux-mêmes ont nié toute participation à ces vols. L'un d'eux a néanmoins été désigné comme l'auteur du vol du téléphone par sa victime. Selon le parquet d'Évry, aucune plainte pour d'autres vols n'aurait été à ce jour déposée.

    Nos révélations ne vont pas manquer de relancer la polémique. En effet, dès le vendredi, le syndicat de police Alliance avait fait état de scènes de pillage avec un groupe de jeunes qui "aurait dépouillé les victimes et notamment les premiers cadavres". Des déclarations démenties avec virulence par de nombreux responsables socialistes ou ministres du gouvernement. Le syndicat avait alors quelque peu fait machine arrière. Aujourd'hui, la synthèse de la DCCRS, même si elle ne mentionne pas le terme de cadavre, ni celui de pillage, semble bel et bien donner raison au syndicat.

     

    FRANCAIS-ES: LA LIBERTE D'ABORD, LES VACANCES ENSUITE!

     

     

  • De temps en temps, il faut bien se dilater la rate... merci, Mr Lassale

    et, pour ce faire, n'oubliez pas de visiter ma boutique

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  • Même de votre santé, ils s'en tape comme de leur première chemise...

    Viande bovine britannique contaminée par la tuberculose en France : Pour les autorités françaises, pas de danger ?

    Du bœuf britannique aurait été contaminé par la tuberculose et exporté en France. Il y a donc eu une réaction des autorités française.

    Ainsi " Contacté par Europe1.fr, le ministère de l'Agriculture a tenu à désamorcer la polémique : " en matière de tuberculose, il y a une règlementation européenne ", a expliqué Jean-Luc Angot, directeur général adjoint de la direction générale de l'alimentation. " Quand un animal est testé positif, il est soumis à une inspection post-mortem.

    A ce moment-là, il y a trois cas de figure : soit on ne trouve pas de lésions tuberculeuses, et la viande ne présente aucun risque ; soit on trouve quelques lésions localisées, auquel cas on les enlève et le reste de la viande peut être envoyé dans le circuit de consommation sans danger ; soit la tuberculose est généralisée, et l'animal est envoyé à l'équarrissage. " En France, une centaine de bêtes sont ainsi sorties du circuit alimentaire chaque année, explique le ministère. "

    C’est étrange ce type de déclaration car récemment l’EFSA " recommande des améliorations dans l’inspections des viandes " et indique : En cas d’utilisation d’une inspection post-mortem uniquement visuelle, d’autres méthodes doivent être utilisées pour compenser la perte d’informations associée en ce qui concerne la surveillance des conditions de maladie et de bien-être des animaux. Une modification des pratiques vers une inspection post-mortem uniquement visuelle diminuerait la qualité de la surveillance pour certaines maladies animales. Elle aurait notamment un effet négatif sur la surveillance de la tuberculose bovine"

     

     

  • A méditer... en ces temps de cruelle dictature gauchiste

    Citations précédentes et celles-ci, envoyées par mon amie Anne:

     

    « La vérité est si obscurcie en ces temps et le mensonge si établi, qu'à moins d'aimer la vérité, on ne saurait la reconnaître. » (Pascal)

     

    " Il n'y a de plus cruelle tyrannie que celle qu'on exerce à l'ombre des lois avec les couleurs de la justice. " - Montesquieu, l'esprit des lois

     

     Alors-là: chapeau Monsieur de Montesquieu!

     

     

     

     

     

     

  • ... et, pendant que les médias français se tapent le cul par terre devant la gauche merdiatique française ... en Italie...

    Sentinelles de la liberté 

     Les Veilleurs sont toujours là, debout, silencieux, immobiles. Comme les statues des rois sur la façade de Notre-Dame. C’est le silence absolu. De temps à autre, ils chantent. Ils lisent, prient, étudient, de jour comme de nuit, se relayant à tour de rôle, et un ami ou quelque enfant leur apporte quelque chose à manger.

     Ce sont pour la plupart de jeunes étudiants, mais aussi des mères de famille, des hommes d’affaires. Ils sont les sentinelles de la liberté de la France. C’est pour cela qu’ils veulent rester “debout” : a-t-on jamais vu une sentinelle assise ?  Pour cela qu’ils veulent veiller : a-t-on jamais vu une sentinelle endormie ?

     Leur devise est la phrase de Camus: « Plutôt mourir debout que de vivre à genoux ».

     Apparemment, une modalité de protestation inutile, sans pancartes, sans slogan, sans hurlements ni violences. Mais tous les passants se sentent interpellés : tous se demandent ce qui se passe, certains les insultent, d’autres les encouragent à poursuivre, mais aucun ne reste indifférent. C’est la puissance de la présence.

     Et les voici maintenant qui citent également Mark Twain: « Ils ne savaient pas que c’était impossible, alors ils l’ont fait ».

     

    La Strasbourgeoise fait fureur sur le réseau

    Par exemple, un jeune a veillé place Vendôme durant plus de 11 heures d’affilée, seul, devant le ministère, encerclé par les barrières de la police: s’il s’était éloigné, il n’aurait pas pu revenir à sa place. Ces jeunes, sans défense, sont toujours entourés par des gendarmes sur le pied de guerre, parce que ceux-ci veulent les contraindre à se retirer par peur d’être roués de coups ou emprisonnés.

    Sur le réseau fait fureur la vidéo de quelques veilleurs qui, à 5h du matin,  défaits après une nuit debout, entonnent à plusieurs voix « la Strasbourgeoise”, un chant militaire qui exalte le patriotisme français.  Ce chant parle de la guerre franco-prussienne de 1870: une fillette est seule dans le froid et la bise. Elle vient de perdre son père, mort sur les champs de bataille, puis sa mère...Elle refuse l’aumône d’un soldat ennemi ; elle lui dit que son cœur restera pour toujours français: « Vous avez eu l’Alsace et la Lorraine / Mais mon p´tit cœur, vous ne l´aurez jamais/ Mais mon p´tit cœur, lui restera français».

    Jean, jeune dentiste, nous explique: « Il y a (dans ce chant) un parallèle émotionnel avec ce que nous vivons: nous sommes en guerre, mais nous menons un  beau et bon combat  (idéologique, long et difficile). Nous nous sentons si petits face à l’énorme machine gouvernementale et médiatique qui nous méprise, nous ignore, désinforme la France. Nous nous sentons fragiles comme cette fillette. Mais  également puissants, comme elle  par sa résistance totale.

    (Traduit par nos soins. Article original à retrouver en suivant ce lien : http://www.tempi.it/veilleurs-debut-le-giovani-statue-che-protestano-contro-le-nozze-gay-piuttosto-morire-in-piedi-che-vivere-in-ginocchio

     

  • A mes ami-e-s

    Un état qui abaisse ses citoyens afin d'en faire des instruments plus dociles entre ses mains, fut-ce dans leur intérêt, finira par s'apercevoir qu'on ne peut rien faire de grand avec de petits hommes."

    John Stuart Mill

     

    PLATON

    "La perversion de la cité commence par la fraude des mots"