Zemmour est accusé d’avoir dit un mot qu’il n’a pas prononcé et ensuite de ne pas avoir contredit un mot qui n’a pas été prononcé. (facilement vérifiable )
Sommes nous encore au pays de Descartes, celui de la logique pure et dure ou chez les fous ?
vive la presse française, libre, fière, indépendante, intelligente, factuelle et impartialeau pays des droits de l'homme et de la liberté d'expression..
vive la liberté de la presse donc...
http://blog.lefigaro.fr/rioufol/
Cette fois, c’est Eric Zemmour qui est la cible de Cazeneuve. Dans un communiqué diffusé hier, le ministre "affirme son soutien aux musulmans de France odieusement attaqués (ndla : par Zemmour) et appelle tous les républicains à réagir et à manifester leur solidarité". Dans la foulée, le président du groupe socialiste, Bruno Le Roux, déclare : "Il est temps que les plateaux télé et les colonnes des journaux cessent d’abriter de tels propos". Les Jeunes socialistes demandent pour leur part que l’auteur du best-seller, Le Suicide français, "cesse d’être présenté dans les médias comme un chroniqueur neutre quand il passe son temps à défendre les thèses de l’extrême droite en toute partialité".
SOS Racisme promet une plainte pour incitation à la haine raciale. Aux yeux de la gauche, qui cumule ses ronds de serviette dans les médias audiovisuels, rien ne doit troubler trop longtemps son confort intellectuel. Les quelques porte-voix des Oubliés ne sont pas les bienvenus chez les épurateurs "éthiques".
???? puisque les propos supposés n'ont pas été prononcés, comment justifier ces phrases et attaques ?
Voici ce qu'en pense un honnête homme, très mesuré en général.
(voir aussi l'article de Jean francois Kahn en lien en bas )
http://maximetandonnet.wordpress.com/2014/12/20/la-deferlante-de-cretinerie/
Chaque jour nous apporte son nouveau lot d’immondice. Nous apprenons ce matin le renvoi d’Eric Zemmour de son émission de télévision sur itv. Cette décision a été prise à la suite d’une polémique sans fondement, d’une manipulation dans la mesure où il est absolument prouvé qu’il n’a jamais utilisé le mot de « déportation » à l’origine du drame.
La France médiatique s’est volontairement construite, de toute pièce, de A à Z, un bouc émissaire, un parfait coupable idéologique, en lui assurant une gigantesque exposition, une présence hallucinante sur tous les plateaux de télévisions et de radio pendant plusieurs mois. Elle est désormais entrée dans la phase deux: celle du lynchage, de la mise à mort de la « bête infâme » qu’elle s’est donnée. Une nouvelle crise d’hystérie secoue la France. Associations anti-racistes, réseaux droits-de-l’hommistes, inquisiteurs socialistes, gourous, grands prêtres et bourreaux de la pensée unique, en appellent aujourd’hui à cette mise à mort.
Et le phénomène monopolise l’actualité française depuis trois jours. Faut-il que notre pays soit malade dans sa tête…
Pour des mots qu’il n’a jamais dits. Une vague de haine vengeresse, de crétinerie absolue, de médiocrité affligeante, d’intolérance aux idées d’autrui et goût de la censure déferle sur la France. La classe dirigeante, médusée, terrorisée s’enferme dans le silence de la lâcheté, en dehors de ses proches du Figaro, de quelques réactions bienvenues, d’horizons les plus inattendus (JF. Kahn, N. Domenach) et hélas des charognards extrémistes qui tentent de le récupérer mais dont il se passerait bien volontiers. Parodiant un livre célèbre, je dirais volontiers aux dirigeants des partis républicains: « Merci pour votre lâcheté ».
Comment une telle perfidie dans le jeu de la mise à mort, cette grande corrida médiatique, et un tel niveau de stupidité, sont ils concevables dans la France du XXIème siècle? Il faut voir, je pense, dans ce torrent de crétinerie, une fois de plus, le résultat de plusieurs décennies d’effondrement du système scolaire, de la lecture, et de recul de l’intelligence se traduisant par l’effacement de tous les repères, de l’esprit critique, du bon sens commun et aussi, du courage intellectuel. A lire:
Maxime TANDONNET
ça suffit: on en peux plus de vos conneries, la gauchiasse,
cassez-vous avant que le peuple souverain vous étête vite fait!