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politique - Page 10

  • Encore des idiotes au gouvernement! je me tue à vous le dire!

    Les Italiens en ont avalé leur tartine de travers. En déclarant, lundi soir sur le plateau du Petit Journal, "[qu’] il faut arrêter de manger du Nutella "parce qu’il contient de l’huile de palme" qui a remplacé les arbres, et donc c’est des dégâts considérables", Ségolène Royal devait se douter que ses propos ne manqueraient pas de traverser les Alpes…

    Parce qu’en Italie, où se trouve le siège de Ferrero, l’entreprise qui a créé la célèbre pâte à tartiner, on ne plaisante pas avec le Nutella, véritable fierté nationale.

    "Ferrero utilise de l’huile de palme respectant le développement durable pour ses produits confectionnés à Villers-Ecalles [Haute-Normandie]", a réagi Ferrero, cité par La Stampa. La référence au site de production français est aussi un moyen de rappeler que l’entreprise joue un rôle dans l’économie de l’Hexagone.

    Pour le ministre italien de l’Environnement, ce sera "pain et Nutella" au dîner

    Sur Twitter, Michele Anzaldi, député Parti démocrate et membre de la commission Agriculture, a quant à lui exigé des excuses de la ministre française de l’Ecologie pour le "grave et vilain dérapage de la France sur l’excellence italienne".

    Il y a quelques pays qui n'ont que pour économie l'huile de palme. Si on ne leur achète plus de leur huile, ils mourront de faim et vont débarquer en France; mais, ce n'est pas grave… la gauchiasse à tout nos impôts qu'il lui faut!

    Voici l'article que j'avais lu quand tout le monde criait haro sur l'huile de palme et Nutella, il y a quelques mois. Je possède seulement le certificat d'études primaires et suis loin d'avoir fait l'ENA comme cette crétine décervelée par le dogme gauchiasse... moi, avant d'écrire n'importe quoi sur mes sites ou blogs, je fais des recherches!

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    Culture de l’huile de palme et économies locales: les enjeux

    Différents systèmes de culture existent pour l’huile de palme, de la grande exploitation de milliers d’hectares aux petits planteurs. Avec la généralisation de l’huile de palme durable, l’objectif de l’Alliance Française pour une Huile de Palme Durable est de favoriser le développement et la stabilité économique des petits producteurs.

    Des millions de personnes concernées

    Parce qu’elle n’est pas mécanisée au stade de la cueillette des fruits, la culture du palmier à huile fait vivre directement ou indirectement des millions de personnes dans les pays où elle est implantée : 590 000 personnes en Malaisie, 3 à 7 millions de personnes en Indonésie.

    Une source de revenus réguliers et stables

    Pour les petits planteurs, le bond de revenus engendré par le passage de cultures traditionnelles et celle du palmier à huile est spectaculaire. A Sumatra (Indonésie) par exemple, le revenu moyen annuel à l’hectare sur le cycle complet d’une plantation s’élève à 2 100 € pour le palmier à huile, soit dix fois plus que pour une rizière (200 € par hectare). Un homme gagne ainsi 36 € par jour pour le palmier à huile et seulement 1,7 € par jour pour le riz irrigué.

    L’émergence d’une classe moyenne rurale

    Parce qu’elle est une source de revenus très importante, la culture du palmier à huile a permis aux populations locales de sortir de la pauvreté  en l’espace d’une génération, leur donnant accès à des infrastructures modernes : réseaux routiers, réseaux sanitaires, écoles ou encore hôpitaux. En outre, la part des petits planteurs indépendants est très forte et en constante augmentation : 40% en Malaisie et en Indonésie, près de 80% en Thaïlande… On comprend mieux comment cette culture  a permis, partout où elle est présente, l’émergence d’une classe moyenne rurale qui transforme elle-même, progressivement, l’économie des pays concernés.

    http://www.huiledepalmedurable.org/limpact-de-lhuile-de-palme

  • Adieu mon cassoulet Toulousain!

    Déjà que les cuisiniers toulousains sont totalement nazes pour faire le bon vrai cassoulet de Toulouse, voilà t-y pas que nous allons, bientôt, pour faire plaisir aux Chinois, le transformer pour faire un goulbi-boulga chine-toque!

    Comme vous le savez, mes chers amis toulousains, le gouvernement d'incompétents fantoches qui se prélassent comme des bestiasses ignorantes et indécentes dans les ors de Notre Palais de l'Elysée, ont vendu notre aéroport Toulouse-Blagnac aux Chinois il y a peu.

    Selon l'ex-ministre de la droite aussi molle et tremblante que de la gelée à la menthe des toqués rosbif d'outre-Mer du Nord, A.-Marie Idrac, cette politique obscure qui n'a pas laissé un grand souvenir dans les mémoires des gens de droite, a été nommée, entre-autres mandats dont on finit par perdre le compte, dans lesquels vous vous en doutez, elle se sucre abondamment, a donc, été nommée à la présidence de notre aéroport toulousain; elle va bêlant et jacassant et se vante de cela dans des “rencontres“ au Palais-Garnier parisien, que les Chinois vont faire une entrée phénoménale sur notre magnifique ville Rose. Le Rose et le Jaune, ça fait quelle couleur… caca de canard?

    Cela va commencer le 1er et 2 juillet avec une réunion à Toulouse de 200 personnalités d'influence qui accompagneront Li Keqjang, premier ministre chinois. Nous entrons dans l'ère des chinoiseries et notre gastronomie locale va le payer cher!

    Dans le même numéro de Challenge où j'ai lu cette information, n° 2015 du 11 juin 2015, on y lit également que plus de 8500 étudiants chinois ont été éjectés des universités américaines pour tricheries diverses. On sait déjà que certains avaient acheté des diplômes à Montpellier:

    Merci à la gauchiasse française qui, s'en nullement se reposer, nous pond chaque jour des décisions qui coulent, jour après jour, et même minute après minute, tous les fondements sociétaux de notre belle France.

    Au fait, avez-vous remarqué que la chanson de Trenet, “Douce France“ n'est jamais plus citée ou passée dans les médias audio-visuels ou écrits? ha ben, non, mon pauvre, faut pas discriminer! On ne peut plus rien dire en France (cf. Valeurs Actuelles de la semaine passée).

    Repose en paix, ma Douce France!

     

    Requiem  pour le passé: voici un avenir de ténèbres qui s'allonge devant nous, de plus en plus!

  • Bi-centenaire Waterloo

    Victor HUGO   (1802-1885)

    L'expiation

    Il neigeait. On était vaincu par sa conquête.

    Pour la première fois l'aigle baissait la tête.

    Sombres jours! l'empereur revenait lentement,

    Laissant derrière lui brûler Moscou fumant.

    Il neigeait. L'âpre hiver fondait en avalanche.

    Après la plaine blanche une autre plaine blanche.

    On ne connaissait plus les chefs ni le drapeau.

    Hier la grande armée, et maintenant troupeau.

    On ne distinguait plus les ailes ni le centre.

    Il neigeait. Les blessés s'abritaient dans le ventre

    Des chevaux morts ; au seuil des bivouacs désolés

    On voyait des clairons à leur poste gelés,

    Restés debout, en selle et muets, blancs de givre,

    Collant leur bouche en pierre aux trompettes de cuivre.

    Boulets, mitraille, obus, mêlés aux flocons blancs,

    Pleuvaient ; les grenadiers, surpris d'être tremblants,

    Marchaient pensifs, la glace à leur moustache grise.

    Il neigeait, il neigeait toujours! La froide bise

    Sifflait ; sur le verglas, dans des lieux inconnus,

    On n'avait pas de pain et l'on allait pieds nus.

    Ce n'étaient plus des cœurs vivants, des gens de guerre :

    C'était un rêve errant dans la brume, un mystère,

    Une procession d'ombres sous le ciel noir.

    La solitude vaste, épouvantable à voir,

    Partout apparaissait, muette vengeresse.

    Le ciel faisait sans bruit avec la neige épaisse

    Pour cette immense armée un immense linceul.

    Et chacun se sentant mourir, on était seul.

    - Sortira-t-on jamais de ce funeste empire ?

    Deux ennemis! le czar, le nord. Le nord est pire.

    On jetait les canons pour brûler les affûts.

    Qui se couchait, mourait. Groupe morne et confus,

    Ils fuyaient ; le désert dévorait le cortège.

    On pouvait, à des plis qui soulevaient la neige,

    Voir que des régiments s'étaient endormis là.

    Ô chutes d'Annibal! lendemains d'Attila!

    Fuyards, blessés, mourants, caissons, brancards, civières,

    On s'écrasait aux ponts pour passer les rivières,

    On s'endormait dix mille, on se réveillait cent.

    Ney, que suivait naguère une armée, à présent

    S'évadait, disputant sa montre à trois cosaques.

    Toutes les nuits, qui vive! alerte, assauts! attaques!

    Ces fantômes prenaient leur fusil, et sur eux

    Ils voyaient se ruer, effrayants, ténébreux,

    Avec des cris pareils aux voix des vautours chauves,

    D'horribles escadrons, tourbillons d'hommes fauves.

    Toute une armée ainsi dans la nuit se perdait.

    L'empereur était là, debout, qui regardait.

     

    Coupure de la rédactrice

    Du début à ce point, la récitation que nous avons préparé-es en 1964 au certificat d'études primaires. Je l'ai eu bien sûr... mon orgueil de fille ouvrière qui, dès le mois suivant, entrait ouvrière dans une usine à confection, pour 54 centimes de Franc de l'heure et 44 heures par semaine!

    3 semaines de vacances seulement, tous les ponts récupérés, pas de chèques vacances, ciné, pose pipi, et frais de transport; tu arrive 5 mn en retard, on retiens 1/2 heure sur la paye, car, bien sûr, nous n'étions payée qu'à l'heure et n'avions pas de 13e mois ni autres avantages que VOUS avez aujourd'hui;

    Burn out, comme vous glaviotez? non, tu travailles, t'est payé, (vive la pointeuse) tu marche ou tu crève! Et vous vous plaignez?

    mais, au moins, quand on en avait marre d'une entreprise, on se barrait vite et on trouvait TOUT AUSSITÔT DU TRAVAIL....

    en fait, il valait mieux parce que les indemnités chômage vous permettait juste de danser devant le buffet vide, le ventre vide.

    y' avait -il des chômeurs en France: oui, moins de 400 000... qui sont les 1,6 millions d'aujourd'hui?

    Les avantages sociaux et les statuts indéboulonnables vous ont mis au chômage et il n'est pas près de cesser..... depuis toujours, le trop et le peu gâtent le jeu!

     

    Suite du poème

    Il était comme un arbre en proie à la cognée.

    Sur ce géant, grandeur jusqu'alors épargnée,

    Le malheur, bûcheron sinistre, était monté ;

    Et lui, chêne vivant, par la hache insulté,

    Tressaillant sous le spectre aux lugubres revanches,

    Il regardait tomber autour de lui ses branches.

    Chefs, soldats, tous mouraient. Chacun avait son tour.

    Tandis qu'environnant sa tente avec amour,

    Voyant son ombre aller et venir sur la toile,

    Ceux qui restaient, croyant toujours à son étoile,

    Accusaient le destin de lèse-majesté,

    Lui se sentit soudain dans l'âme épouvanté.

    Stupéfait du désastre et ne sachant que croire,

    L'empereur se tourna vers Dieu ; l'homme de gloire

    Trembla ; Napoléon comprit qu'il expiait

    Quelque chose peut-être, et, livide, inquiet,

    Devant ses légions sur la neige semées:

    "Est-ce le châtiment, dit-il. Dieu des armées "

    Alors il s'entendit appeler par son nom

    Et quelqu'un qui parlait dans l'ombre lui dit : Non.

    Waterloo! Waterloo! Waterloo! morne plaine!

    Comme une onde qui bout dans une urne trop pleine,

    Dans ton cirque de bois, de coteaux, de vallons,

    La pâle mort mêlait les sombres bataillons.

    D'un côté c'est l'Europe et de l'autre la France.

    Choc sanglant! des héros Dieu trompait l'espérance ;

    Tu désertais, victoire, et le sort était las.

    O Waterloo! je pleure et je m'arrête, hélas!

    Car ces derniers soldats de la dernière guerre

    Furent grands ; ils avaient vaincu toute la terre,

    Chassé vingt rois, passé les Alpes et le Rhin,

    Et leur âme chantait dans les clairons d'airain!

    Le soir tombait ; la lutte était ardente et noire.

    Il avait l'offensive et presque la victoire ;

    Il tenait Wellington acculé sur un bois.

    Sa lunette à la main, il observait parfois

    Le centre du combat, point obscur où tressaille

    La mêlée, effroyable et vivante broussaille,

    Et parfois l'horizon, sombre comme la mer.

    Soudain, joyeux, il dit: Grouchy! - C'était Blücher.

    L'espoir changea de camp, le combat changea d'âme,

    La mêlée en hurlant grandit comme une flamme.

    La batterie anglaise écrasa nos carrés.

    La plaine, où frissonnaient les drapeaux déchirés,

    Ne fut plus, dans les cris des mourants qu'on égorge,

    Qu'un gouffre flamboyant, rouge comme une forge ;

    Gouffre où les régiments comme des pans de murs

    Tombaient, où se couchaient comme des épis mûrs

    Les hauts tambours-majors aux panaches énormes,

    Où l'on entrevoyait des blessures difformes!

    Carnage affreux! moment fatal! L'homme inquiet

    Sentit que la bataille entre ses mains pliait.

    Derrière un mamelon la garde était massée.

    La garde, espoir suprême et suprême pensée!

    "Allons! faites donner la garde!" cria-t-il.

    Et, lanciers, grenadiers aux guêtres de coutil,

    Dragons que Rome eût pris pour des légionnaires,

    Cuirassiers, canonniers qui traînaient des tonnerres,

    Portant le noir colback ou le casque poli,

    Tous, ceux de Friedland et ceux de Rivoli,

    Comprenant qu'ils allaient mourir dans cette fête,

    Saluèrent leur dieu, debout dans la tempête.

    Leur bouche, d'un seul cri, dit : vive l'empereur!

    Puis, à pas lents, musique en tête, sans fureur,

    Tranquille, souriant à la mitraille anglaise,

    La garde impériale entra dans la fournaise.

    Hélas! Napoléon, sur sa garde penché,

    Regardait, et, sitôt qu'ils avaient débouché

    Sous les sombres canons crachant des jets de soufre,

    Voyait, l'un après l'autre, en cet horrible gouffre,

    Fondre ces régiments de granit et d'acier

    Comme fond une cire au souffle d'un brasier.

    Ils allaient, l'arme au bras, front haut, graves, stoïques.

    Pas un ne recula. Dormez, morts héroïques!

    Le reste de l'armée hésitait sur leurs corps

    Et regardait mourir la garde. - C'est alors

    Qu'élevant tout à coup sa voix désespérée,

    La Déroute, géante à la face effarée

    Qui, pâle, épouvantant les plus fiers bataillons,

    Changeant subitement les drapeaux en haillons,

    A de certains moments, spectre fait de fumées,

    Se lève grandissante au milieu des armées,

    La Déroute apparut au soldat qui s'émeut,

    Et, se tordant les bras, cria : Sauve qui peut!

    Sauve qui peut! - affront! horreur! - toutes les bouches

    Criaient ; à travers champs, fous, éperdus, farouches,

    Comme si quelque souffle avait passé sur eux.

    Parmi les lourds caissons et les fourgons poudreux,

    Roulant dans les fossés, se cachant dans les seigles,

    Jetant shakos, manteaux, fusils, jetant les aigles,

    Sous les sabres prussiens, ces vétérans, ô deuil!

    Tremblaient, hurlaient, pleuraient, couraient! - En un clin d'œil,

    Comme s'envole au vent une paille enflammée,

    S'évanouit ce bruit qui fut la grande armée,

    Et cette plaine, hélas, où l'on rêve aujourd'hui,

    Vit fuir ceux devant qui l'univers avait fui!

    Quarante ans sont passés, et ce coin de la terre,

    Waterloo, ce plateau funèbre et solitaire,

    Ce champ sinistre où Dieu mêla tant de néants,

    Tremble encor d'avoir vu la fuite des géants!

    Napoléon les vit s'écouler comme un fleuve ;

    Hommes, chevaux, tambours, drapeaux ; - et dans l'épreuve

    Sentant confusément revenir son remords,

    Levant les mains au ciel, il dit: "Mes soldats morts,

    Moi vaincu! mon empire est brisé comme verre.

    Est-ce le châtiment cette fois, Dieu sévère?"

    Alors parmi les cris, les rumeurs, le canon,

    Il entendit la voix qui lui répondait: Non!

  • HALTE, HALTE aux foux!!!!

    Zemmour est accusé d’avoir dit un mot qu’il n’a pas prononcé et ensuite de ne pas avoir contredit un mot qui n’a pas été prononcé. (facilement vérifiable )

    Sommes nous encore au pays de Descartes, celui de la logique pure et dure  ou chez les fous ?
    vive la presse française, libre, fière, indépendante, intelligente, factuelle et impartialeau pays des droits de l'homme et de la liberté d'expression..
    vive la liberté de la presse donc...


    http://blog.lefigaro.fr/rioufol/


    Cette fois, c’est Eric Zemmour qui est la cible de Cazeneuve. Dans un communiqué diffusé hier, le ministre "affirme son soutien aux musulmans de France odieusement attaqués (ndla : par Zemmour) et appelle tous les républicains à réagir et à manifester leur solidarité". Dans la foulée, le président du groupe socialiste, Bruno Le Roux, déclare : "Il est temps que les plateaux télé et les colonnes des journaux cessent d’abriter de tels propos". Les Jeunes socialistes demandent pour leur part que l’auteur du best-seller, Le Suicide français, "cesse d’être présenté dans les médias comme un chroniqueur neutre quand il passe son temps à défendre les thèses de l’extrême droite en toute partialité".
    SOS Racisme promet une plainte pour incitation à la haine raciale. Aux yeux de la gauche, qui cumule ses ronds de serviette dans les médias audiovisuels, rien ne doit troubler trop longtemps son confort intellectuel. Les quelques porte-voix des Oubliés ne sont pas les bienvenus chez les épurateurs "éthiques".

    ???? puisque les propos supposés n'ont pas été prononcés, comment justifier ces phrases et attaques ?
    Voici ce qu'en pense un honnête homme, très mesuré en général.
    (voir aussi l'article de Jean francois Kahn en lien en bas )


    http://maximetandonnet.wordpress.com/2014/12/20/la-deferlante-de-cretinerie/


    Chaque jour nous apporte son nouveau lot d’immondice. Nous apprenons ce matin le renvoi d’Eric Zemmour de son émission de télévision sur itv. Cette décision a été prise à la suite d’une polémique sans fondement, d’une manipulation dans la mesure où il est absolument prouvé qu’il n’a jamais utilisé le mot de « déportation » à l’origine du drame.
    La France médiatique s’est volontairement construite, de toute pièce, de A à Z, un bouc émissaire, un parfait coupable idéologique, en lui assurant une gigantesque exposition, une présence hallucinante sur tous les plateaux de télévisions et de radio pendant plusieurs mois. Elle est désormais entrée dans la phase deux: celle du lynchage, de la mise à mort de la « bête infâme » qu’elle s’est donnée. Une nouvelle crise d’hystérie secoue la France. Associations anti-racistes, réseaux droits-de-l’hommistes, inquisiteurs socialistes, gourous, grands prêtres et bourreaux de la pensée unique, en appellent aujourd’hui à cette mise à mort.
    Et le phénomène monopolise l’actualité française depuis trois jours. Faut-il que notre pays soit malade dans sa tête…

    Pour des mots qu’il n’a jamais dits. Une vague de haine vengeresse, de crétinerie absolue, de médiocrité affligeante, d’intolérance aux idées d’autrui et goût de la censure déferle sur la France. La classe dirigeante, médusée, terrorisée s’enferme dans le silence de la lâcheté, en dehors de ses proches du Figaro, de quelques réactions bienvenues, d’horizons les plus inattendus (JF. Kahn, N. Domenach) et hélas des charognards extrémistes qui tentent de le récupérer mais dont il se passerait bien volontiers. Parodiant un livre célèbre, je dirais volontiers aux dirigeants des partis républicains: « Merci pour votre lâcheté ».


     Comment une telle perfidie dans le jeu de la mise à mort, cette grande corrida médiatique, et un tel niveau de stupidité, sont ils concevables dans la France du XXIème siècle? Il faut voir, je pense, dans ce torrent de crétinerie, une fois de plus, le résultat de plusieurs décennies d’effondrement du système scolaire, de la lecture, et de recul de l’intelligence se traduisant par l’effacement de tous les repères, de l’esprit critique, du bon sens commun et aussi, du courage intellectuel. A lire:

    http://www.lefigaro.fr/vox/medias/2014/12/20/31008-20141220ARTFIG00144-jean-francois-kahn-eric-zemmour-est-victime-d-une-fatwa-mediatique.php

    Maxime TANDONNET

     

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     ça suffit: on en peux plus de vos conneries, la gauchiasse,

    cassez-vous avant que le peuple souverain vous étête vite fait!

     

     

  • Electeur de gauche: Souviens-toi du vase de Soissons

    Le dictionnaire de la novlangue a une nouvelle entrée. Après les "sans domicile fixe", les "sans-papiers", les "sans-emploi", les édentés ne s'appellent plus que les "sans-dents". À en croire Valérie Trierweiler, nous devons cette formule à son compagnon d'alors. C'est un trait, précise-t-elle. Nous ne saurons jamais si ce mot est réel (et si oui, dans quel contexte il a été prononcé) ou s'il est né de l'imagination vengeresse d'une femme blessée. Cela n'importe plus. La passion des petites blagues de François Hollande lui a été fatale et l'expression s'est imposée comme une évidence en quelques minutes.

    Les réseaux sociaux, sorte de café du commerce sans comptoir et sans café, ont consacré la formule. Ségolène Royal peut s'époumoner, les communicants de l'Élysée promettre que c'est une calomnie: le mal est fait. Des comités de "sans-dents" existent, une manif est prévue, les bons mots - "sans dents, on peut manger un Flanby" - fleurissent comme les mazarinades sous la fronde.

    À croire qu'Internet, Twitter et l'information continue ne changent rien à la psychologie des peuples. Ils renforcent même cette passion pour la réduction des hommes publics à un trait de caractère, une phrase, un mot.

    Marie-Antoinette fut une des plus célèbres victimes de cette injustice. "S'ils n'ont pas de pain, qu'ils mangent de la brioche", lui fait-on dire au moment des journées de septembre. L'épouse de Louis XVI n'a sûrement pas prononcé ces mots en 1789. Ils sont un résumé d'une formule de Jean- Jacques Rousseau, mort onze ans plus tôt: "Je me rappelai le pis-aller d'une grande princesse à qui l'on disait que les paysans n'avaient pas de pain et qui répondit: “qu'ils mangent de la brioche”" (Confessions, livre VI). Deux cent vingt-cinq ans plus tard, Marie-Antoinette reste pourtant, dans l'imaginaire collectif, l'auteur de cette provocation. Formule qui résume à elle seule la morgue et l'aveuglement de la monarchie des derniers jours.

    " Sans-dents " : il aura suffi d'une expression pour que l'image de François Hollande change. L'opinion publique le croyait simplement bonasse, elle le voit désormais affreusement cynique.

    De "bruits et odeurs" en "pain au chocolat" et de "je vous demande de vous arrêter" en "vieilli, usé, fatigué", l'histoire politique récente appose aussi ses mots sur ceux qui les prononcent. Ceux-ci, bien réels, passent au magma médiatique pour cristalliser un sentiment diffus et créer une vérité qu'il faut des années pour faire disparaître. Nicolas Sarkozy en sait quelque chose. Le 23 février 2008, au Salon de l'agriculture, une personne refuse la poignée de main du président de la République en lâchant: "Ah non, touche-moi pas! Tu me salis." "Casse-toi, pauvre con!" lui répond Nicolas Sarkozy. La France entière découvre la vidéo de cet épisode. Cette réplique d'automobiliste devint le concentré du Fouquet's, du yacht, de l'arrivée en jogging à l'Élysée, de Pétra et d'Eurodisney. De cérémonie militaire en discours solennel, Nicolas Sarkozy mettra des années à faire disparaître ces gros mots.

    Le paradoxe, dans le cas des "sans-dents", est que ce mot n'a pas été filmé lors d'une conversation privée ou prononcé par erreur dans ce que la langue médiatique appelle un dérapage. Non, c'est une formule rapportée dans un livre de règlement de comptes.

    Il pourrait faire naître l'incrédulité, mais il arrive après les simagrées de Leonarda, les visites secrètes en scooter rue du Cirque, les communiqués de rupture envoyés à l'AFP. Les propos contradictoires sur la finance, les impôts, les "la reprise, elle est là". Après les mots qu'un livre récent prête à Arnaud Montebourg: "Hollande ment tout le temps, c'est pour cela qu'il est à 20 %." Un Hollande dissimulateur, en perpétuel double jeu, trompant son monde et s'emmêlant dans ses mensonges, s'est esquissé dans les esprits. "Sans-dents": il aura suffi d'une expression pour que l'image de François Hollande change. L'opinion publique le croyait simplement bonasse, elle le voit désormais affreusement cynique.

    Vincent Trémolet de Villers est rédacteur en chef des pages Débats/opinions du Figaro et de Figarovox.

     

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  • Celle qui déguise les filles en garçons et les garçons en filles

    Y'a pas plus intégriste que les nouveaux convertis... tout le monde sait cela...

    ... et la gauchiasse commence salement à nous les briser menu, menu en choisissant cette non-gonzesse...

    parce que, pour croire à la théorie en question, faut pas avoir des règles, une vulve, un utérus et de magnifiques seins...

    peut-être que sa mère, s'en faire exprès, lui a coincé la tête dans une porte quand elle avait 8 jours? ça prouverait son cerveau rétréci...hélas, il ne lui reste qu'QI de betterave... et, comme dit l'autre, au conseil des sinistres: qui s'assemble, se ressemble!

    et si certain-es se sentent fier-es qu'une gonzesse de leur campagne et arrivée en haut de l'échelle... sachez que quelle que soit la hauteur où l'on monte, on ne s’assied jamais que sur son cul! (Montaigne).

     

    Mais, si le titre de la note vous interpelle.... prenez le temps de voir la vidéo en son entier.

     

    http://www.theoriedugenre.fr

     

     

     

     

     

  • On nous cache tout.... mais, cela finit par se savoir!

    http://www.lepoint.fr/societe/exclusif-bretigny-sur-orge-des-scenes-de-vol-et-de-caillassage-ont-bien-eu-lieu-18-07-2013-1706136_23.php

    Le Point.fr - Publié le18/07/2013 à 16:19- Modifié le18/07/2013 à 16:22

    Le Point.fr s'est procuré un document confidentiel de la direction centrale des CRS qui fait état de jets de projectiles et de vols sur les victimes du déraillement du train

    A-t-on voulu cacher une réalité trop dérangeante ? Contrairement à la version officielle véhiculée par les autorités politiques, policières et sanitaires, il y a bel et bien eu des scènes de vol et de caillassage après le déraillement du train Paris-Limoges à Brétigny-sur-Orge. Le Point s'est procuré le rapport de synthèse des affaires marquantes du 10 au 16 juillet de la Direction centrale des compagnies républicaines de sécurité (DCCRS) dans lequel une page est consacrée à l'opération de sécurisation mise en place après la catastrophe ferroviaire par deux sections de la CRS 37-Strasbourg venues du cantonnement de Meaux.

    Or le compte rendu des forces de l'ordre est sans ambiguïté. "À leur arrivée, les effectifs de la CRS 37 devaient repousser des individus, venus des quartiers voisins, qui gênaient la progression des véhicules de secours en leur jetant des projectiles", note la synthèse de la DCCRS. Un constat fort différent de celui dressé par les responsables de la Croix-Rouge et du Samu qui affirmaient n'avoir constaté "aucune agression et avoir travaillé de façon tout-à-fait normale" en gare de Brétigny. Pourtant le rapport de synthèse de la DCCRS va plus loin : "Certains de ces fauteurs de troubles avaient réussi à s'emparer d'effets personnels éparpillés sur le sol ou sur les victimes." Et la note d'enfoncer le clou : "Les fonctionnaires protégeaient ensuite les lieux de l'accident pour favoriser le travail des enquêteurs et des techniciens et sécuriser la visite des nombreuses autorités (président de la République, Premier ministre, ministre de l'Intérieur, ministre des Transports, ministre de la Santé...).

    Démentis officiels

    À la lecture de la synthèse, on apprend qu'un dispositif de sécurité très important a été déployé alors sur place. Ainsi pour assurer des escortes d'ambulances, un équipage motocycliste de la CRS autoroutière Sud-Ile-de-France était également réquisitionné. Par ailleurs, deux autres sections de la compagnie 37, employées sur le département de la Seine-et-Marne ainsi que les fonctionnaires de la CRS 51-Orléans, utilisées sur le département de la Seine-Saint-Denis étaient appelées en renfort.

    Pourtant, ministres et sous-préfet présents sur place ont démenti à l'unisson tout caillassage sur les forces de secours et vol sur les victimes. Ainsi, sur i>Télé, le ministre des Transports Frédéric Cuvillier déclarait ne pas avoir eu connaissance "de victimes dépouillées", faisant simplement état "d'actes isolés" et "de pompiers qui par petits groupes ont été accueillis de façon un peu rude". Le sous-préfet d'Estampes, Ghyslain Chatel, démentait pour sa part que les secours aient fait l'objet de jets de projectiles, à l'exception "d'un camion de pompiers, qui pourrait avoir été visé mais pas touché".

    Enquêtes

    Contacté jeudi par Le Point.fr, Luc-Didier Mazoyer, le directeur départemental de la sécurité publique de l'Essonne, persiste et signe : "J'étais sur place, il y a certes eu des tensions pour repousser des individus, mais je n'ai vu ni scène de pillages ni violences urbaines. J'ai déclenché une enquête pour en avoir le coeur net." Le parquet d'Évry a ouvert une enquête préliminaire pour vol en réunion avec violences, à la suite des incidents qui se sont déroulés en marge de la catastrophe. Les autorités avaient seulement reconnu qu'un urgentiste du Samu s'était fait voler son portable. Dans le cadre de cette affaire, cinq personnes ont été placées en garde à vue puis relâchées, les perquisitions à leurs domiciles n'ayant rien donné. Eux-mêmes ont nié toute participation à ces vols. L'un d'eux a néanmoins été désigné comme l'auteur du vol du téléphone par sa victime. Selon le parquet d'Évry, aucune plainte pour d'autres vols n'aurait été à ce jour déposée.

    Nos révélations ne vont pas manquer de relancer la polémique. En effet, dès le vendredi, le syndicat de police Alliance avait fait état de scènes de pillage avec un groupe de jeunes qui "aurait dépouillé les victimes et notamment les premiers cadavres". Des déclarations démenties avec virulence par de nombreux responsables socialistes ou ministres du gouvernement. Le syndicat avait alors quelque peu fait machine arrière. Aujourd'hui, la synthèse de la DCCRS, même si elle ne mentionne pas le terme de cadavre, ni celui de pillage, semble bel et bien donner raison au syndicat.

     

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