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Saint Valentin
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Humour en caleçon...
Blague très vraie envoyée par mon amie de Perpignan; elle m'envoie ceci
Nous sommes allés chez nos voisins manger des “calçots“.
Le voisin, fils d'émigré espagnol, plus français que français, ayant épousé une fille du ch"nord, et parlant avec l'accent du nord..
Nous dit qu'à la boulangerie, il demande un pain spécial
La boulangère lui dit "ah vous allez manger espagnol?"
Il réponds "oui, et nous allons manger des calçots" (prononcer calçot's, c'est un plat de catalogne espagnole qui gagne en France)
La jeune femme, délurée, dit alors dans la boulangerie pleine à craquer...
“oui, je sais ce que c'est, une grand-mère m'a expliqué comment manger ca: "tu lui pinces le cul, tu tires la queue et tu suces".
Le voisin coquin... qu'est ce qu'elle vous a dit?
Elle répète et la boulangerie entière morte de rire
Le voisin "mais vous n'êtes pas obligée de manger des calçots pour faire tout ca"
Ambiance assurée
Le calçot: sorte d' oignon qui n'a que du vert (pousse spéciale en butée); cuit au feu de sarment.
C'est tout "noir"
Donc on pince effectivement le cul, pour sortir le "vert"
On trempe dans une bonne sauce, et on mange; on a les doigts tous noirs et c'est rigolo, on met un "tablier" à calçots, dés fois qu'on se rate..
On les cuits avec la terre autour, pas besoin de les éplucher, puisque l'on retire les premières feuilles d'emblée.
Bref, c'est surtout très amusant
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Mr le Polemploi, je vous fait une lettre... que vous lirez peut-être
Madame,Je me permets de contester votre décision de me radier de la liste des demandeurs d'emploi. Certes et je le concède, j’ai refusé le dernier poste que vous m’avez proposé, mais mon parcours professionnel me donne toutes les excuses : Longtemps, j'ai travaillé à Limoges... puis j'ai été limogé. Vous m’avez vanté la mobilité, j'ai donc accepté un emploi à Vire... et j'ai été viré. Comme par miracle, vous m’avez trouvé un emploi à Lourdes.... malheureusement, j'ai été lourdé." Dans ces conditions, j’espère que vous comprendrez pourquoi je refuse catégoriquement le poste que vous me proposez à Castres...”
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Messieurs, repectez votre épouse, sinon, le divorce vous pend au nez...
" Ça a l'air tellement excessif quand on le dit comme ça: ma femme m'a quitté parce que je laissais parfois la vaisselle sale en plan".Voici comment le blogueur américain Matthew Fray, débute ses confidences. Posté à l'origine sur son blog Must Be This Tall To Ride, son texte a été repris par l'édition américaine du Huffington Post, puis par l'édition française. Depuis son divorce, qui a mis fin à neuf ans de mariage, l'homme s'épanche régulièrement avec humour et honnêteté sur les thèmes du mariage, des relations et du divorce.
Un geste banal qui mène au divorce
Quand il s'interroge sur la fin de son propre mariage, la réponse est donc toute trouvée: la vaisselle. Des tasses ou des assiettes sales qu'il posait délicatement dans l'évier plutôt que de les ranger dans le lave-vaisselle. Une habitude banale et sans conséquence qui au bout de neuf ans de mariage a mené le couple à la rupture: "Ce n'est pas très important pour moi, ça ne l'était pas quand j'étais marié, mais pour elle ça comptait beaucoup. Chaque fois qu'elle voyait un verre sale dans l'évier en entrant dans la cuisine, elle faisait un pas de plus vers le divorce. Je ne me suis douté de rien", reconnaît Mattew Fray.
Pendant presque dix ans, l'ex-femme du blogueur lui a régulièrement glissé qu'elle en avait assez de lui répéter sans cesse les mêmes choses sans qu'il n'y ait le moindre changement. Elle souhaitait être la partenaire d'un homme qui prend des initiatives, un homme sur lequel pouvoir se reposer pour s'occuper de la maison. À ces velléités, Mattew Fray répond aujourd'hui: "j'aimerais vraiment comprendre pourquoi je trouvais ça absurde à l'époque".
Verre laissé dans l'évier = manque de respect
Pourquoi a-t-il laissé ce verre dans l'évier? Pour apporter des réponses à son ex-épouse, le blogueur livre ses explications: pour commencer, peut-être qu'il s'en resservira. Ensuite, mettre le verre dans l'évier plutôt que dans le lave-vaisselle ne le dérange pas et ne le dérangera jamais". La seule raison qui pourrait m'empêcher de laisser mon verre dans l'évier, je l'ai apprise trop tard: c'est parce que j'aime et que je respecte ma compagne, et que c'est vraiment important pour elle", ajoute-t-il. Parce que ne pas le ranger, c'est un peu comme lui dire: "Hé, je n'ai aucun respect pour toi, je me fous de ce que tu dis et de ce que tu penses. Je préfère ne pas prendre deux secondes de plus pour mettre mon verre dans le lave-vaisselle que de te faire plaisir", écrit-il.
Un manque de respect à l'origine de la décision radicale de son ex-épouse. Parce que ce n'est pas bien sûr le verre sale dans l'évier qui a entraîné le divorce, mais ce qu'il signifie. Mattew Fray l'explique: "Le jour où quelqu'un réussira à faire comprendre aux hommes que l'engueulade autour de ce verre sale (qui l'affecte ou non) blesse profondément sa femme et lui donne l'impression d'être seule, mal aimée, abandonnée, méprisée, apeurée, etc. Le jour où les hommes se mettront bien ça dans la tête et l'accepteront, même s'ils ne comprennent pas pourquoi. Ce jour-là, tout changera".
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PARLONS PEU, PARLONS BIEN: Réforme de l'orthographe: l'Académie française réagit enfin
L'institution vient de mettre en ligne sur son site un communiqué de mise au point suite aux polémiques sur la réforme de l'orthographe applicable à partir de la prochaine rentrée scolaire.
Dans un communiqué, l'institution tient à mettre les choses au point concernant la réforme tant décriée qui doit être appliquée à la prochaine rentrée scolaire. Elle insiste notamment sur le fait qu'elle n'est pas à l'origine de ce changement.
L'Académie française passe à l'offensive. L'institution vient de mettre en ligne sur son site un communiqué de mise au point suite aux polémiques sur la réforme de l'orthographe applicable à partir de la prochaine rentrée scolaire. Une réforme décidée il y a plus de vingt-six ans! Plusieurs points sont soulevés après que le ministère de l'Éducation nationale a publié son propre communiqué soulignant que l'Académie avait accepté toutes les "rectifications" en 1990. En premier lieu, la vénérable institution a tenu à souligner qu'elle n'est pas à l'origine de la réforme de l'orthographe. Ensuite, pour elle, il s'agissait surtout de débattre. Enfin, le communiqué dit bien que la Compagnie est opposée à toute simplification de l'orthographe. Voici les principaux points.
- Pas à l'origine de la réforme
"L'Académie française tient tout d'abord à rappeler qu'elle n'est pas à l'origine de ce qui est désigné sous le nom de “réforme de l'orthographe”, dont la presse se fait l'écho depuis quelques jours, et qui devrait être appliquée dans les programmes scolaires à compter de la prochaine rentrée".
- Une invitation à la mesure et à la prudence
"Le texte auquel il est fait allusion émane du Conseil supérieur de la langue française: il a été publié dans les “Documents administratifs” du Journal officiel le 6 décembre 1990. Étant donné la mission de défense et d'illustration de la langue française assignée à l'Académie par son fondateur, il était naturel que Maurice Druon, Secrétaire perpétuel à cette date, fût étroitement associé à la préparation de ce rapport. Alors qu'elle ne disposait pas encore du texte du rapport, l'Académie, dans sa séance du 3 mai 1990, a été informée des idées directrices du projet, dont elle a approuvé l'inspiration et le principe. Dès que le document leur a été communiqué, les membres de l'Académie se sont attachés, dans la séance du 10 janvier 1991, à étudier les dispositions prévues par le Conseil et ont ouvert un large débat sur cette question, où s'est exprimée une grande diversité d'opinion. Au terme de cet échange de vues, l'Académie a assorti son approbation d'une invitation à la mesure et à la prudence dans la mise en œuvre des mesures préconisées, mettant en garde contre toute imposition impérative des recommandations".
- Opposition à toute simplification de l'orthographe
"La Compagnie a rappelé à cette occasion son attachement au principe selon lequel doivent être exclues toute réforme et même toute simplification de l'orthographe. Ce principe est conforme à sa position constante: hostile à toute réforme visant à modifier autoritairement l'usage, l'Académie n'a jamais été pour autant fermée à des ajustements appelés par les évolutions de la langue, et que les différentes éditions de son Dictionnaire se sont attachées à refléter".
- 2000 mots sur 59.000 entrées
"C'est bien improprement que le terme de “réforme” est employé pour désigner les “rectifications” orthographiques proposées par le Conseil supérieur, qui ont été approuvées par l'Académie, et qu'elle a choisi de mentionner dans la neuvième édition de son Dictionnaire, en tenant compte pour chaque cas des évolutions réelles de l'usage. Il convient d'observer que ces ajustements ne concernent que quelque 2000 mots (soit 3 à 4% du lexique français) - la neuvième édition du Dictionnaire de l'Académie, en cours de publication, comptera environ 59.000 entrées".
- L'usage ne saurait être modifié par décret
"L'Académie a constaté que ces ajustements étaient conformes, dans leurs principes et dans leur effet, à ceux qu'elle a elle-même pratiqués à plusieurs reprises dans la troisième édition du Dictionnaire (1740), la sixième (1835), la septième (1878) et la huitième (1935). En effet, les rectifications proposées ne consistent en aucune manière à simplifier des graphies résultant d'une évolution étymologique ou phonétique, mais visent à mettre fin à une anomalie, à une incohérence, ou, simplement, à une hésitation, et ainsi à permettre l'application sans exceptions inutiles d'une règle simple, à souligner une tendance phonétique ou graphique constatée dans l'usage, ou encore à faciliter la création de mots nouveaux, notamment dans les domaines scientifique et technique, et, de manière générale, à rendre plus aisés l'apprentissage de l'orthographe et sa maîtrise.
Certaine que l'usage ne saurait être modifié par décret, l'Académie, opposée à toute prescription de caractère obligatoire en matière d'orthographe, a préféré, pour présenter ces modifications limitées et mesurées, suivre la voie de la recommandation: elle a approuvé la résolution selon laquelle, dans tous les cas, les deux graphies - la graphie actuelle et la graphie proposée par le Conseil supérieur - devront être admises. L'Académie a donné son aval à ces recommandations, mais en demandant qu'elles soient soumises à l'épreuve du temps. Concernant la plupart des cas, elle s'en tient, dans la neuvième édition de son Dictionnaire, à présenter la graphie traditionnelle à l'entrée principale, tout en mentionnant la possibilité d'une graphie rectifiée.
Elle s'est proposée, selon une procédure qu'elle a déjà suivie à plusieurs reprises, de juger à terme des graphies que l'usage, législateur suprême, aura retenues et de confirmer ou infirmer les modifications recommandées".
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Une histoire fantastique à Toulouse
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2 blagues: c'est bien parce que c'est vous!
Comme quoi il faut toujours regarder "le bon coin" quand on cherche une occasion !
Un célibataire a publié une petite annonce dans le journal la semaine passée, question de mettre fin à son célibat!
> > > Comme il n'est pas très difficile, il a écrit juste une phrase:
"Je cherche une femme"
> > >
> > > Le lendemain de la publication de son annonce, il a reçu 1203 réponses !!
> > >
> > > Toutes disaient la même chose : "Viens chercher la mienne"
> > > Comme quoi les gens ont bon cœur !!!
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Quand je dis que je suis fauchée, je SUIS fauchée!
> Un beau matin une petite vieille dame répond lorsqu'on frappe à sa porte. Elle y découvre un jeune homme, bien habillé avec un aspirateur à la main.
> "Bonjour madame, dit le jeune homme. Si vous avez une minute je vais vous montrer ce nouvel aspirateur, haute technologie, qui aspire sans comparaison"!
> Allez-vous en, lui dit-elle, je suis fauchée. Et elle tente de refermer la porte.
> Aussi rapide qu'un éclair, le jeune homme met son pied pour coincer la porte ouverte.
Il rouvre la porte et s'exclame: "pas si rapidement, madame, pas avant que je vous ai fait ma démonstration".
> Sur ce, il vide un sac plein de fumier de cheval sur le tapis.
"Maintenant, madame, si mon aspirateur ne nettoie pas la totalité de ce tas de fumier, je m'engage à manger ce qui en restera!"
> La vieille dame recule et lui dit: " Je vais vous chercher une fourchette, monsieur. Ils ont coupé mon électricité ce matin parce que je n'ai pas payé ma facture".
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Un peu de culture ne vous fera pas de mal
"Une nation peut survivre à ses fous, et même à ses ambitieux. Mais elle ne peut pas survivre à la trahison de l’intérieur. Un ennemi aux portes est moins redoutable, car il est connu et il porte sa bannière ouvertement. Mais le traître se déplace librement parmi ceux qui sont à l’intérieur des murailles, ses murmures pervers bruissent à travers les ruelles, et on les entend dans les allées même du pouvoir. Un traître ne ressemble pas à un traître ; il parle avec une voix familière à ses victimes, et il porte leur visage et leurs arguments ; il en appelle à la bassesse qui se trouve ancrée dans le cœur des hommes. Il pourrit l’âme d’une nation, travaillant en secret, inconnu dans la nuit, sapant les piliers de la ville. Il contamine le corps politique qui ne peut plus résister. Un assassin est moins à craindre. Le traître c’est la peste".
Marcus Tullius Cicéron – 1er siècle avant notre ère.