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En Chine, on lave plus jaune que tout!
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cé françé bocou
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La belle et saine jeunesse française!
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cé françé bocou
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Un essaim d'abeilles s'installe sur une moto (Toulouse)
Un essaim d'abeilles s'est installé sur le top case d'une moto, sur les allées Jean-Jaurès, à Toulouse, mardi 24 mai. Les pompiers ont été alertés et l'image est impressionnante.
Les Toulousains ont pu assister à une scène qui sort de l’ordinaire, mardi 24 mai 2016, en début d’après-midi. Et pour cause: un énorme essaim d’abeilles a élu domicile sur le top case d’une moto, garée à proximité de l’une des sorties du métro Jean-Jaurès, en plein centre-ville de Toulouse.
De quoi éveiller la curiosité des passants et d’en inquiéter quelques-uns. Devant cette découverte pour le moins inhabituelle dans les rues de la Ville rose, les pompiers ont été alertés pour déloger les abeilles et des rubalises ont été mis en place autour du deux-roues.
Rencontres insolites
Ce n’est pas la première rencontre insolite qu’ont pu faire les Toulousains et les forces de l’ordre dans la Ville rose. Le 20 mars dernier, un jeune homme avait été interpellé place Wilson alors qu’il exhibait un boa. Le reptile, une espèce protégée, avait alors été remis aux services vétérinaires.
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SEPIANS: importante info
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Je suis Danielle!
"Des squatteurs m'ont pris ma maison"
"Je ne ressens même plus de la colère, j'ai de la peine et du chagrin!", assure Danielle Galy, cette retraitée de 69 ans qui ne peut plus rentrer dans sa maison, au 64 route de Blagnac, à Toulouse, car des squatteurs s'y sont introduits illégalement depuis le 6 avril dernier. Hier après-midi, cette propriétaire et retraitée active qui vit dans l'Ariège a mobilisé une vingtaine de riverains ainsi que ses proches pour dénoncer "l'occupation illégale" de cette maison de famille et une situation ubuesque où les nouveaux occupants la menacent aujourd'hui d'appeler la police si ses intrusions intempestives se multiplient.
"Vous vous rendez compte, il faut que je manifeste devant ma maison pour demander à récupérer mon bien!", s'offusque-t-elle. Visiblement bien organisés, les squatteurs auraient pris possession des lieux le 6 avril en changeant les serrures de cette demeure et en cadenassant le portail d'entrée, rendant plus complexe le constat d'infraction. Dès lors, les recours judiciaires peuvent être très longs et surtout coûteux.
Cette bâtisse était occupée durant de longues années par l'épouse du père de Danielle Galy qui en avait la jouissance jusqu'à son décès survenu en 2014. Depuis deux ans, la sœur de Danielle passait régulièrement relever le courrier. Jusqu'à ce qu'un riverain l'informe de l'intrusion de squatteurs.
L'occupation a bien été constatée par un huissier mais c'est désormais par la justice administrative, comme le prévoit la loi, que cette affaire doit se régler. Une audience devant le tribunal d'instance est prévue le 27 mai pour la procédure d'expulsion. "C'est mieux de dormir ici que d'être dans la rue.
Surtout que les logements sociaux et les hébergements d'urgences sont plein", estime l'un des squatteurs, un jeune allemand de 27 ans, rencontré derrière le portail de la maison.