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femme - Page 260

  • Après l'ouragan, il trouve un ticket gagnant d'un million

     

    Un jeune jardinier qui avait trouvé un ticket de loterie en novembre 2012, après l'ouragan Sandy, vient de récupérer 1 millions de dollar de gain.

    "Qui ne tente rien, n'a rien". Marvin Rosales-Martinez est en train de faire mentir le proverbe. Lui n'a pas eu à jouer pour empocher le million de dollars de la loterie.

    Ce jardinier new yorkais est au travail, après le passage de l'ouragan Sandy, en train de ramasser les feuilles mortes. Il tombe alors sur un ticket de loterie à gratter. " Mon collègue était en train de souffler les feuilles tandis que je les ramassais lorsque j’ai vu un ticket apparaître entre les feuilles humides. Je ne sais toujours pas pourquoi je l’ai ramassé ", raconte-t-il au New York Post.

    C'est un ticket complètement mouillé qu'il décide de ramener chez lui. Une fois séché, il gratte le ticket et découvre qu'il est l'heureux gagnant d'un million de dollars.

    Enquête de plus d'un an

    Face à son récit, la loterie, dubitative, a vérifié la version du jeune homme. Après un an d'enquête, il s'est enfin vu attribuer les gains par l'institution, soit 779 106 dollars après le paiement des taxes.

    Lui et sa femme, qui habitent toujours avec sa mère une maison de Hicksville, ravagée par l'ouragan, vont pouvoir investir dans un nouveau toit. Il aidera également sa mère à enfin réparer son lieu de vie.

    Attention, pas question de flamber pour Marvin, qui entend "continuer à travailler six jours sur sept", peut-être en "changeant de job et en devenant conducteur de camion". En tout cas, il tient à "garder une vie normale".

  • Elle tombe enceinte après une fellation

     

    L'histoire est parue pour la première fois dans le British Journal of Obstetrics and Gynaecology. La revue Sciences et Avenir remet ce fait étonnant en lumière: une jeune femme sans vagin âgée de 15 ans est tombée enceinte après une fellation.

    L'histoire, qui se déroule en 1988, se passe en Afrique. La jeune femme, impliquée dans une rixe entre son ex-petit ami et son actuel, a été blessée à la partie supérieure de l'abdomen. Les coups de couteau reçus lui ont troué l'estomac. Elle est opérée rapidement.

    Neuf mois plus tard, cette jeune femme souffrant d'aplasie vaginale distale, soit d'une absence quasi-totale de vagin, celui-ci ne s'étant pas développé, se représente à l'hôpital. Elle souffre de fortes douleurs abdominales et accouche, à la surprise générale, d'un petit garçon de 2,8 kilos dans les heures suivantes.

    Après étude approfondie de la question, il s'avère que la jeune femme avait fait une fellation à son petit ami le jour de la bagarre. C'est justement ça qui l'avait provoquée. Le sperme contenu dans l'estomac est passé dans la cavité abdominale suite aux blessures et a gagné un des deux ovaires. La revue Sciences et Avenir précise: "Les spermatozoïdes ne peuvent survivre dans un environnement à faible pH, mais la salive a un pH élevé et l'estomac, vide, de la patiente n'avait pas un pH acide. Tout ceci a pu contribuer à la survie des gamètes mâles."

    Le médecin qui rapportait cette histoire en 1988 indiquait alors, deux ans et demi après la naissance du bébé que sa ressemblance avec le père excluait une conception "encore plus miraculeuse".

  • Stats décembre 2013

    Résumé

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    Bonne année 2014 quand même!


    Faites ce que vous pouvez étant donné les circonstances :-)

     

     

  • L'avenir est là

    Alain Gachet, le Français (eh oui), auteur d'un système à l’origine de la recherche de l'eau, explique en effet qu’on va pouvoir, grâce à son expertise et sa technologie, trouver de l’eau partout dans le monde. Pour beaucoup de pays, cela représente une véritable révolution capable de sortir leurs populations de la misère dans laquelle le manque d’eau les contraint à vivre. On peut s’étonner de la modeste médiatisation d’une telle découverte; l’actualité est trop encombrée de quenelles, semble-t-il.

    Quant à l’énergie, voyez les développements actuels dans la filière du Thorium (en Chine, au Canada, en Allemagne, en Inde, en Israël, au Japon, en Norvège, aux États-Unis ou en Grande-Bretagne), ce qui permet de continuer à rester extrêmement confiant devant les alarmistes du peak oil qui n’en finit pas de ne pas arriver. Mais de façon générale, la recherche d’autres méthodes efficaces de stockage d’énergie continue de plus belle.

    Ainsi, pour la production de pétrole à partir d’algues, véritable serpent de mer écolo/économique, des avancées notoires ont été rapportées dans les derniers mois de 2013 qui permettent un optimisme raisonnable; pour le moment en effet, l’équation économique renvoyait cette technique particulière dans le domaine des lubies non rentables: pour obtenir la précieuse huile, il fallait jusqu’à présent séparer l’eau contenue dans les algues (par séchage) ce qui coûtait en temps et en énergie. Le procédé développé au PNNL, Pacific Northwest National Laboratory, par l’équipe de Doug Elliott, permet à présent de passer directement des algues humides au pétrole sans ce séchage préalable. Bien évidement, là encore, il y a fort loin de la recherche à l’étape industrielle, mais le simple fait qu’il existe maintenant une telle technologie permet d’atténuer les pessimismes.

    3D - Du côté des batteries électriques, les récentes recherches et l’utilisation ingénieuse de l’impression 3D ont permis de produire des batteries minuscules avec un très bon rendement. Sans présager d’une industrialisation massive qui sera, on s’en doute, assez complexe, des solutions se dessinent donc nettement de ce côté.

    Et puisqu’on parle d’impression 3D, notons l’usage de plus en plus poussé de cette technique. Très clairement, là où l’impression 2D a connu son heure de gloire lorsque la couleur est devenue abordable pour le plus grand nombre, et que, de nos jours, n’importe qui peut disposer d’une imprimante pour moins de 100€, l’impression 3D est encore loin d’arriver au même résultat. Et si l’on peut trouver pratique d’imprimer chez soi son billet de train ou ses photos de vacances, le besoin courant d’impression d’objets reste anecdotique.

    En revanche, la technique est très prometteuse puisqu’elle abaisse considérablement le coût des objets uniques. Or, la médecine constitue le domaine roi de l’objet unique, qui, s’il n’est adapté qu’à un seul individu, n’en demeure pas moins très rentable voir vital. C’est le cas, bien sûr, des prothèses à façon; l’année 2013 a vu se multiplier les vidéos expliquant comment tel amputé, en recourant à l’impression 3D, a pu obtenir un usage satisfaisant d’une prothèse trop coûteuse si elle avait été réalisée autrement. Et ce qui marche pour des prothèses semble fonctionner pour des cellules organiques; dans un avenir possiblement proche, tissus et organes seront littéralement imprimés pour vous.

    Et comment parler d’avenir sans parler déplacements? Le développement des voitures autonomes: certains constructeurs ont déjà mis une date sur l’apparition dans le commerce de tels engins. Et 2020 n’est pas très loin (6 ans).

    Autre technologie, elle aussi en pleine expansion: celle des drones.

    Si ces derniers sont évidemment porteurs de menaces très nettes en matière de libertés civiles, d’atteinte à la vie privée, en ce qu’ils permettent (par exemple) un flicage précis et omniprésent, ou représentent un bond en avant inquiétant en terme d’armes volantes, il faudrait cependant pas voir exclusivement le verre à moitié vide. Les drones sont aussi les vecteurs potentiels de changements majeurs de paradigmes.

    Récemment, ils ont été évoqués comme moyen de distribution pour Amazon; deux minutes d’analyse permettent bien sûr de refroidir tout enthousiasme à ce sujet. Cependant, derrière les annonces médiatiques d’un Jeff Bezos malin, on peut aussi trouver des projets bien plus sérieux. Celui d’Andreas Raptopoulos est, par exemple, porteur d’immenses promesses d’ores et déjà réalisables avec les techniques modernes. Si l’idée de distribution d’Amazon souffre de problèmes légaux (le survol de zone densément peuplées par des engins trimballant des kilos de charge pose de gros problèmes de sécurité) et économiques (la rentabilité face à un coursier en scooter est catastrophique), celui de Raptopoulos s’en affranchit fort bien.

    Les quelques éléments de cet article -parce qu’ils ont chacun le pouvoir de changer profondément les vies de millions d’individus sur la planète et montrent de façon éclatante que si l’avenir est rempli d’incertitudes, si l’on peut certainement y voir les germes de désordres ou de problèmes- on peut aussi y découvrir d’immenses espoirs de révolutions douces, de bénéfices partagés et de progrès concrets. Le tropisme naturel des médias les force à s’attarder sur les trains en retard; ceux qui arrivent à l’heure n’ont que rarement droit de cité. Et ceux qui arrivent en avance et amènent avec eux ce qu’on attendait le plus sont oubliés au milieu du flot banal des turpitudes humaines.

    L’Humanité s’est engagé dans un combat plusieurs fois millénaire pour l’amélioration de ses conditions d’existence. Et depuis peu, elle est en train de le gagner. Pour peu que l'on sache où regarder.

    En attendant, ici, en France, le sentiment général des Français sur l'amélioration de leurs conditions ne se fera qu'à partir du début Mai 2015. (qui le dit? c'est moi… je l'ai “vu“; comme j'avais annoncé plus de 3 mois à l'avance la crise financière de 2008 en éditant sur mon bloc de pro une phrase terrible: la France vient d'entrer dans un monde de ténèbres….) D'ici le mois de Mai 2015, il faudra encore subir et souffrir au niveau matériel. Quand au niveau sociétal… ce n'est même pas la peine d'en parler: la catastrophe est en marche.