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actualité - Page 6

  • Retrouver son père par un souvenir d'enfance

    Habère-Lullin (74): Il récupère la montre volée à son père maquisard par les nazis

    Un habitant de Habère-Lullin (Haute-Savoie) a reçu la montre à gousset de son père par la poste. Elle avait été volée par les nazis en 1943. Une Allemande qui avait hérité de l’objet a mené l’enquête pour retrouver les descendants de son propriétaire.

    "Un geste extraordinaire". Jean-Michel Duret n’en revient toujours pas. Il y a quelques semaines, cet agriculteur à Habère-Lullin (Haute-Savoie) a reçu un colis inattendu en provenance d’Allemagne. A l’intérieur, la montre volée par les nazis à son père Jean, résistant durant la Seconde Guerre mondiale, rapporte Le Parisien.

    (…)

    "Dans la nuit du 25 au 26 décembre 1943, les SS ont fait une descente dans un bal qui se déroulait dans le château d’Habère-Lullin. Parmi les jeunes résistants présents, il y avait mon père alors âgé de 18 ans. Vingt-quatre hommes ont été fusillés. Mon père, lui, a été arrêté et les Allemands lui ont pris sa montre",  raconte Jean-Michel Duret au quotidien.

    Jean Duret a alors été envoyé en Service du travail obligatoire (STO), mais il est parvenu à s’échapper pour rejoindre un maquis. Il est mort en 2010.

    (…)

    L’expéditrice explique qu’elle a hérité de la montre à la mort de sa propre tante, sans rien connaître de son histoire. En nettoyant l’objet, elle a découvert deux inscriptions: "Jean Duret" et "Habère-Lullin". Elle a mené l’enquête, retrouvé l’adresse de Jean-Michel Duret et lui a expédié l’objet. "Cette montre a une grande valeur sentimentale pour moi", a confié le fils du résistant.

    www.ouest-france.fr

     

  • À Caen, un mur anti-urine va être expérimenté

    La ville de Caen, dans le Calvados, souhaite mettre le holà sur les incivilités du quotidien, notamment face à ceux qui se "soulagent" contre les murs.

    Qui n’a jamais eu cette envie pressante, en plein milieu d’un trajet, à tel point que l’on ne puisse plus attendre pour s’alléger la vessie, même en pleine rue ? Cette urgence, chaque homme a dû la connaître au moins une fois dans sa vie, notamment après une soirée bien arrosée.

    Seulement voilà, cette incivilité, la mairie de Caen n’en veut plus et a trouvé un subterfuge pour dissuader ces habitants de faire pipi sur les murs de la ville.

    En effet, la municipalité caennaise a décidé, dans certains quartiers tests, de déployer des murs couverts de peinture "anti-pipi". Sur ces murs, un produit hydrofuge appliqué est supposé renvoyer l’urine à son "envoyeur". Ainsi, plutôt de voir l’urine couler tranquillement sur le mur, celle-ci rebondit et éclabousse le pantalon et les chaussures. Autant dire que ce dispositif pourrait en rebuter plus d’un.

    Dans un premier temps, l’essai s’effectuera sur une surface totale de 40 mètres carrés d’ici quelques semaines sous l’œil des caméras de vidéosurveillance, afin de voir directement si cela fonctionne.

    Forcément, ce dispositif aura un coût et non des moindres puisque chaque mètre carré traité coûtera 58 euros. Un tarif qui a notamment refroidi la ville de Bordeaux qui voulait également essayer cette technique.

    Cependant, si Caen sera la première ville en France à essayer les murs anti-urine, d’autres villes ont déjà généralisé ce dispositif avec réussite comme à Hambourg.

     

  • MDR

    Paris: la "maison close" aux poupées sexuelles fait polémique

    Xdolls la première maison close avec poupées sexuelles tenue par Joaquim Lousquy fondateur et gérant des lieux

    Ouvert depuis le 1er février, Xdolls, le premier lieu français avec des poupées silicone, est dans le collimateur du groupe communiste - Front de gauche. Ils demandent la fermeture.

    Un appartement ouvert aux hommes pour des prestations sexuelles payantes sur des poupées grandeur nature en silicone est-il une maison close ? Donc illégal ? C’est la question à laquelle le préfet de police, les sénateurs, le ministère chargé de l’Egalité entre les femmes et les hommes et la maire de Paris sont invités à répondre…

    Nicolas Bonnet Oulaldj - président du groupe communiste - Front de gauche au Conseil de Paris - et les élus de son groupe viennent de déposer un vœu au Conseil de Paris (qui débute ce mardi) demandant l’interdiction de Xdolls, maison close de sex-toys géants "nouvelle génération".

    Les poupées qui ont déclenché la polémique

    Ce vendredi, son jeune patron, Joachim Lousquy, 29 ans, jean et tee-shirt, ancien gérant de boutiques de cigarettes électroniques, "entrepreneur avant-tout", comme il se définit, attendait le client, étonné par la polémique…

    Xdolls a ouvert il y a six semaines, le 1er février dernier dans un appartement "lambda" de 70 m2 du XIVe arrondissement. L’adresse est tenue secrète. "Les voisins ne sont même pas au courant !", sourit-il. Lumière tamisée, musique, trois chambres avec dans chacune une créature en silicone, nue, made in China - "plusieurs milliers d’euros chacune", élude-t-il - de petite taille, 1m45… Comme décor, au mur, un écran avec des vidéos pornos "pour la stimulation". Au fond, une pièce - "vous ne pouvez pas visiter" - où les poupées sont nettoyées "genre au karcher".

    "Le client fixe son rendez-vous et paye par Internet"

    Tarif des prestations? 89 euros l’heure. "Le client fixe son rendez-vous et paye par Internet". Public? "Hommes surtout, détaille Joachim, 30-50 ans, plutôt CSP + propres sur eux, ainsi que quelques couples qui viennent vivre une nouvelle expérience sexuelle".

    Pour Nicolas Bonnet Oulaldj, "Xdolls véhicule une image dégradante de la femme". "Je ne suis ni sociologue, ni philosophe, ni psychologue, réplique Joachim. Je ne suis pas la bonne personne pour répondre à ça".

    De plus, Nicolas Bonnet Oulaldj n’hésite pas considérer "ladite entreprise comme un lieu de prostitution avec un propriétaire pouvant être assimilé à un proxénète".

    La maison close à poupées sexuelles de Paris face à la polémique

    Par ailleurs les communistes fulminent: "Xdolls a été déclaré au registre de commerce en tant que maison de jeux comme si c’était une salle avec des baby-foot ou des flippers".

    Pierre Laurent, le patron du parti communiste, s’est invité dans la polémique. Le secrétaire national du PC déposera jeudi prochain une question écrite au Sénat. Il y dénonce des poupées "robots sexuels" dont "certaines peuvent faire penser à des enfants". Et déplore la "banalisation de la prostitution" et "un moyen détourné pour amener l’acceptation par l’opinion du retour des maisons closes". Sur le Web, des internautes ont regretté cette "pudibonderie", "ce manque de liberté" et cette "moralisation à outrance".

    Lorraine Questiaux, avocate et porte-parole du "Nid" à Paris - l’incontournable association féministe qui accompagne les victimes d’exploitation sexuelle - ne trouve pas ça drôle et rappelle "qu’en France, chaque année, ce sont 86 000 femmes violées". Pour elle, " Xdolls n’est pas un sex-shop. C’est un endroit qui génère de l’argent et où on simule le viol d’une femme ". La puissante association va elle aussi "interpeller le préfet".

    http://www.leparisien.fr/paris-75/paris-la-maison-close-aux-poupees-gonflables-irrite-les-communistes-16-03-2018-7612830.php

  • Ha, ha, ha: ma malédiction a frappé!

    Lorsque j'ai appris que T. Ramadan avait "violé" une femme handicapée, ma colère n'a fait qu'un tour: je lui ai souhaité d'avoir le même problème de santé... mais, comme je ne savais pas le problème de la dame, je lui ai "envoyé" ma sclérose en plaques!

    BINGO!

    Ben, oui, quoi!

    Ce n'est pas chrétien....

    Le truc, c'est que je ne crois ni en dieu, ni en diable...

    donc, je n'ai pas à être charitable....

    ... et de toutes les façons, pourquoi moi j'ai cette malchance alors que je n'ai jamais violé ni agressé personne....

    HEIN?

    Comme disait le ressuscité: que celui qui n'a jamais péché lui jette la première pierre....

    MDR

  • 10 vaches vont aux prés?

    Des vaches ont des clarines ? Plaintes contre les agriculteurs…

    Chroniques judiciaires d’une France qui devient folle

    De dangereuses délinquantes empêchent l’honnête citoyen de se mouvoir à sa guise en Vallée verte (Haute-Savoie).

    “L’agriculteur de Vailly (Haute-Savoie) est l’objet d’une plainte pour "obstruction de la voie publique" car ses dix vaches empruntent la voie communale pour aller aux prés, nous informe France Bleu.

    Extrait de sa page Facebook :

    Cette histoire risible fait suite à une autre plainte concernant le bruit des cloches de vaches du Chablais cette fois-ci, toujours en Haute-Savoie:

    "Excédés par le bruit de tintement, douze propriétaires de résidences secondaires, presque tous britanniques, avaient lancé début septembre une pétition contre les clarines des bovins de la commune"  rapporte encore France Bleu Pays de Savoie.

    Et si les Français se plaignaient contre le tapage nocturne pendant le ramadan, le rap à tout-va, les rodéos sauvages, les moto-cross et les quads des cités? Chiche?

    L’étendue de la connerie humaine est vraiment infinie on peut l’affirmer sans crainte de se tromper, cette histoire n’est malheureusement pas un cas isolé.

    Trop souvent des citadins vont habiter a la campagne (du moins ce qu’il en reste) et veulent la façonner tout comme l’était la ville d’où ils viennent, béton goudron centre commercial et parking, lotissements bien ordonnés.

    Le boucan des sirènes de pompiers, voitures de police embouteillages et défilés de ponctionnaires ne les dérange pas, ils sont conditionnés pour ça; par contre le coq du paysan qui chante, les cloches des vaches, la transhumance des moutons, les chasseurs ou même les cloches de l’église ça ils ne supportent pas!

    Certains se plaignent du  "vacarme " provoqué par le chant des cigales!

    J’ai connu un personnage qui a eu la chance et surtout les moyens de se payer une belle maison entourée d’arbres sur un beau terrain plat. Un arbre ça perd ses feuilles et il faut les ramasser c’est comme ça depuis la nuit des temps… c’est la nature… et puis les enfants entrent dans la maison avec de la terre sous les godasses… et oui les arbres poussent dans la terre!

    Ce gros problème pour ces gens nés et élevés en ville fut vite résolu; les arbres furent abattus (la plus grande partie) et le terrain goudronné: plus de terre dans la maison et plus de feuilles a ramasser.

    Ils avaient reproduit l’environnement d’où ils venaient! Alors pourquoi venir habiter a la campagne?

     

     GO HOME LES ROSBIFS!

  • La première Miss Monde en fauteuil roulant a été élue

    Ce samedi 7 octobre, Varsovie accueillait le premier concours de Miss Monde en fauteuil roulant de l’histoire.

    24 jeunes femmes issues de 19 pays différents étaient donc présentes dans la capitale polonaise pour être potentiellement la toute première Miss Monde en fauteuil roulant. Mais au-delà de la consécration, c’est bien évidemment la tenue de ce concours en lui-même qui représente un bel accomplissement pour ces femmes-là comme le confie la candidate chilienne Maria Diaz, 28 ans, joueuse professionnelle de tennis en fauteuil roulant:

     " Nous sommes toutes gagnantes: nous nous sommes fait de nouveaux amis, nous avons vécu ensemble de nouvelles expériences, connues toute cette ambiance ensemble. C’est la première occasion du genre pour montrer au monde que nous sommes capables de faire vraiment ce que nous voulons“.

    Handicapée à la suite d’un accident il y a 10 ans, elle a été récompensée des titres Miss Activité et Miss Lifestyle Designers lors de ce concours. La gagnante suprême s’appelle Alexandra Chichikova, 23 ans, une Bélarusse étudiante en psychologie et pédagogie sociale. Elle fut couronnée devant ses deux dauphines, la Sud-Africaine Lebohang Monyatsi et la Polonaise Adrianna Zawadzinska. De son côté, la joueuse de football et mannequin française Nadjet Meskine a été élue Miss sourire.

    Les 24 candidates ont défilé devant un millier de spectateurs en trois tenues différentes: costume national, tenue de cocktail et tenue de soirée. La fondation polonaise, Jedyna Taka, à l’origine de ce concours, souhaitait avant tout " changer l’image des femmes en fauteuil roulant, pour qu’elles ne soient pas définies à travers cet attribut, mais aussi d’insister sur le fait que, dans certaines parties du monde, le fauteuil roulant reste un luxe.

    Ainsi, lors de ce concours, la beauté n’était pas forcément le critère premier comme l’explique Katarzyna Wojtaszek-Ginalska, co-fondatrice du projet et co-présidente du jury: "Ce n’est pas le physique qui compte le plus. Certes, avoir un beau visage est important mais on se penche énormément sur la personnalité des filles, leur activité quotidienne, leur engagement, leur vie sociale, leurs projets".

     

  • Adieu ma cabine!

    Le 31 décembre, Orange aura démonté les derniers Publiphones où se pressaient les Français il y a vingt ans, avant l'ère du mobile.

    Le cadran a tourné. Le 31 décembre, après un siècle de bons et loyaux services, les dernières cabines téléphoniques publiques vont disparaître, balayées par le succès du mobile. Si la France en a compté jusqu'à 300 000 dans les années 1990, en cette rentrée 2017 elles ne sont plus que 5 450, selon Orange, qui a donc programmé leur disparition pour la fin de l'année.

    A Paris, où le premier téléphone public est apparu en 1884, on ne voit déjà plus une seule cabine. La dernière, située rue Ordener (XVIIIe arrondissement), a été démontée en juin dans l'indifférence générale. Mais dans certaines communes rurales, la tonalité est tout autre (lire ci-dessous). " Le trafic des cabines n'est plus aujourd'hui que de 0,6 % de ce qu'il était en 2000 ", explique Laurentino Lavezzi, directeur des affaires publiques d'Orange. De 516 M€ de chiffre d'affaires en 2000, ce service génère dorénavant des pertes supérieures à 10 M€ par an.

    Un service cher et boudé par le public

    “La durée moyenne d'appel par cabine est tombée à 10 secondes par jour. Sur les 10 000 cabines encore en service au premier trimestre 2017, la moitié n'ont pas décroché une seule fois", insiste Laurentino Lavezzi. Le mouvement de désinstallation a commencé en douceur à la fin des années 1990, en même temps que le mobile creusait son sillon. Le coup de grâce est venu en 2015, lorsque le Parlement a voté la loi Macron. L'une des mesures concernait la suppression du service universel d'Orange, à savoir l'obligation pour l'opérateur de maintenir les 46 000 cabines devant garantir sur tout le territoire le maintien d'un accès au téléphone. Les parlementaires ont admis qu'il était devenu aberrant de dépenser chaque année plus de 14 millions d'euros pour maintenir en état des Publiphones boudés par un public équipé massivement de mobiles.

    "Nous comprenons certaines réactions, qui posent plus largement la question de l'aménagement du territoire et de la disparition progressive des services publics, mais nous préférons investir dans le développement des réseaux mobiles que dans l'entretien de cabines inutilisées", se défend le directeur des affaires publiques d'Orange.

    Les nostalgiques se consoleront en apercevant de-ci, de-là, des cabines recyclées en bibliothèques par des mairies pragmatiques. Ils pourront aussi se raccrocher aux musées des Télécoms pour en voir. C'est là qu'est désormais leur place. Comme à Soisy-sous-Montmorency (Val-d'Oise) qui abrite la collection historique d'Orange, ou à la Cité des télécoms de Pleumeur-Bodou (Côtes-d'Armor).

    Mais que deviennent-elles?

    - A Rueil-Malmaison (Hauts-de-Seine), les huit cabines téléphoniques ont été transformées en bibliothèques de rue. LP/Adeline Daboval

    Où vont les milliers de cabines téléphoniques démontées par France-Télécom, devenu Orange? Une petite partie connaît une seconde vie, parfois inattendue. Les plus grands sauveurs de cabines sont les mairies. De plus en plus, elles demandent à Orange de leur céder gracieusement une de ces reliques du siècle passé pour en faire des "boîtes à livres", une mini-bibliothèque installée sur la voie publique, toujours ouverte, où l'on peut en général enlever mais aussi déposer à volonté toutes sortes de livres dans un but de partage. Rueil-Malmaison, dans les Hauts-de-Seine, a ainsi installé le plus grand nombre de cabines: 8. En Ile-de-France, on en trouve aujourd'hui 40, tandis que l'ensemble du territoire en compte pas moins de 1 257 !

    Cette disparition annoncée des Publiphones a aussi eu pour effet de leur redonner de la valeur sur un marché parallèle, celui des collectionneurs. Sur eBay, on peut trouver aux enchères une cabine récente en aluminium mise à prix à 299 euros !

    Une touche artistique

     

     

     

    Seconde vie plus originale encore: le détournement artistique. Les plus célèbres sont ceux du plasticien lyonnais Benedetto Bufalino, qui a présenté en juillet une cabine France Télécom à roulettes, circulant sur la voie publique, et dans laquelle on voit l'artiste téléphoner. Son nom? "Le Téléphone mobile"... Sa vidéo a été vue 1,5 million de fois déjà sur sa page Facebook. Benedetto avait déjà créé un aquarium à poissons à partir d'une cabine.

    Et les autres Publiphones? Un accord national a été passé avec Veolia. Le groupe expert en valorisation des déchets est chargé d'enlever les cabines déconnectées et de récupérer le verre et l'aluminium pour les recycler.

  • PRATIQUEZ LA MAGIE SEXUELLE

    Je suis sûre que vous n'avez pas pensé un seul instant que vos pratiques sexuelles avec le partenaire de votre vie pouvaient apporter des “points“ bénéfiques ou chanceux dans votre quotidien!

    La suite est dans le blog de mon site:

    http://www.josyanejoyce.com/blog/index.html

     

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