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Web - Page 11

  • On s'occupe comme on peut...

    INSOLITE - Il en faut peu à certains pour s'occuper pendant l'été... Donnez une photo de carotte insolite à des fous de détournements photo et observez le résultat.

    Quand la photo de carotte ci-dessous a fait son apparition sur Reddit ce mardi 12 août, sa ressemblance avec les poses des artistes de hip hop a frappé plus d'un internaute

    Certains n'ont pas résisté et ont donc ouvert leur logiciel de montage... Cette carotte ne finira pas râpée mais rappeuse, ont-ils décidé.

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  • Pour ceux et celles qui refusent de se faire manipuler par les journaleux français...

    ce blog, que j'ose appeler "LUMIERE DE LA VRAIE FRANCE"

     

    ... un français honnête qui trouve toutes les manip' frauduleuses et plus que SCANDALEUSE de nos médiacrétins qui nous font la leçon chaque jour, et lui, nous explique tout par le menu!

     

    jugez par vous-même

     

    http://www.les-crises.fr/mh17-4-enormes-manipulations-colportees-par-nos-medias-et-jamais-corrigees/

     

     

  • Météo 2014

    Ras le bol de la pluie et du froid? ça fait la une de toutes les chaînes news... et moi, je rigole car...

    Qui l'a dit en premier? moi de moi-même, encore une fois.... :-)

    Voila la preuve:

    http://insoliteetdejante.hautetfort.com/archive/2013/12/26/meteo-2014-5255609.html

     

    Et oui, et l'an prochain, rebelotte!

    comme quoi, les proverbes ont souvent raison!

  • Pour ceux qui ont plus de 2 neurones, là-haut!

    et qui, en arrivant à la fin de la note, auront compris ce qu'elle raconte :-)

    Bien évidemment, j'ai mis en exergue ce qui m'a plut dans l'article!

     

    Médias, propagande et aliénation de l’esprit critique

    Nos médias sont à la masse et ce phénomène s’amplifie à mesure que, la crise aidant, le modèle qu’ils tentent de nous imposer depuis les années Mitterrand prend l’eau de toute part.

    Par Marc Suivre

    Le mercredi 10 septembre prochain, Sophie de Menthon et le mouvement Ethic organisent un colloque sur le thème : « Les médias sont-ils devenus fous ? » À cette occasion, l’Institut Turgot a demandé à Marc Suivre si ce sujet, particulièrement adapté à son humour caustique et à son franc parler, lui inspirait quelque réflexion. Voici sa réponse.

     « Les médias sont-ils devenus fous ? » En creusant le sujet, et notre cervelle par la même occasion, on commence par se demander, avec insistance : pourquoi « devenus » ? Les journalistes, à bien y regarder, ne comptent pas au nombre des personnes les plus saines d’esprit de ce pays. Leurs réflexes sont pavloviens. Ils sont toujours prompts à dénoncer chez les autres ce qui est la règle chez eux : recrutement opaque, copinage, promotion canapé, promiscuité incestueuse avec les politiques, passion pour la stigmatisation… J’en passe et des meilleures.

    Alors oui, nos médias sont à la masse et ce phénomène s’amplifie à mesure que, la crise aidant, le modèle qu’elles tentent de nous imposer depuis les années Mitterrand prend l’eau de toute part.

     De l’ombre à la lumière

    Pour mieux comprendre la folie des journalistes, il faut comprendre deux choses. La première c’est qu’ils sont beaucoup plus à gauche que la population qu’ils sont supposés informer. La seconde qui découle – oh surprise ! –  de la première, c’est l’obsession du politiquement correct qui sert de boussole à tout ce petit monde endogame.

    Tout commence en 1981 avec l’arrivée de « Tonton ». Avant, nous vivions dans l’ombre de la dictature Giscardo-Gaullienne (c’est bien connu) et l’odieuse censure empêchait nos braves Rouletabille de laisser libre cours à leurs penchants progressistes. Tous ceux qui ont vécu cette période savent ce que ce « storytelling » a d’inepte. Une légende (traduction française de l’insert anglo-saxon précédent) a beau être idiote, plus elle est répétée, plus elle prend corps. Surtout, à mesure que disparaissent les témoins susceptibles de l’infirmer, elle tend à devenir une vérité. Le baratin autour de la libération qu’a représenté le 10 mai 1981 n’existe, en réalité, que pour masquer la chasse aux sorcières éhontée entreprise, dans la profession, par les socialistes et leurs affidés dans les années qui ont suivi « le passage de l’ombre à la lumière ». Mais chut ! C’est le secret le mieux gardé de la France soviétique.

    Les journalistes de droite, traités comme de vulgaires collabos, ont été pourchassés jusqu’au fond des toilettes de leurs rédactions respectives (pour reprendre une image russe qui a fait florès). Une dictature de la bien-pensance s’est alors installée, parallèlement à la montée du Front national. Tout ce qui ne pensait pas comme il fallait était accusé de complaisance avec les zheures-les-plus-sombres-de-notre-histoire et, partant, décrété infréquentable, raciste. Aux Zélotes la fortune et la gloire télévisuelle (Canal + est le temple des fidèles), aux mécréants la déchéance, l’opprobre et la ruine (Cinq you la Cinq).

    Car il n’y a pas qu’en matière politique que le conformisme journalistique agit. La relation qu’entretiennent nos médias à l’économie de marché est aussi réaliste que celle qui unit Chavez au progrès social et elle explique très bien pourquoi la droite n’a jamais dépassé son horizon étatiste, malgré l’échec patent de notre « modèle social ».

    Le marché est, en France pour les journalistes, un instrument démoniaque d’aliénation là où, partout ailleurs sur la planète, il est un simple lieu de rencontre entre l’offre et la demande. Chez nous, le présenter ainsi est un péché contre l’esprit des lumières, une preuve de votre affiliation aux puissances de l’argent bref, une pensée déviante. Vous aurez certainement remarqué que, dans nos journaux, les libéraux et le libéralisme n’apparaissent que nantis du préfixe « ultra ». Bien peu nombreux sont, du reste, les lecteurs qui saisissent l’allusion à la Restauration (la période de l’histoire de France, pas le complément à l’hôtellerie) et à la Chambre introuvable (là encore rien à voir avec le guide Michelin). Peu importe la culture, seul compte le résultat et les « ultras » sont plus communément assimilés à l’outrance. Si les trains déraillent ou se rentrent dedans en Grande Bretagne c’est la faute à l’ultralibéralisme alors que chez nous… C’est la faute à pas assez de service public ! Attentifs comme vous l’êtes, vous aurez sûrement remarqué que ce terme d’ultra ne s’applique jamais à l’islamisme qui n’est qu’une version un tout petit peu excessive d’une Religion fondée, par ailleurs, sur la paix et la tolérance… Comme le constatent quotidiennement les Chrétiens d’Orient.

    Si les journalistes ultracisent à qui mieux mieux tout ce qu’ils se sont donnés pour mission de détester et de faire détester, c’est qu’en France, depuis les Jacobins : il n’y a pas de liberté pour les ennemis de la liberté. Appliqué à l’économie politique ça donne le discours du Bourget délivré par Pépère, lors de sa campagne présidentielle. Ce tissu d’âneries n’a pas eu d’autre raison d’être que celle de brosser dans le sens du poil tous les résistants en peau de lapin que compte notre classe jactante. La presse française se voit, en effet, pêle-mêle comme héritière et garante :

    ◾de la Révolution

    ◾des Droits de l’Homme

    ◾des acquis sociaux

    ◾du Service Public

    Le tout se résumant dans l’indépassable droit d’en foutre un minimum pour un profit maximum et son corollaire : le droit légitime de l’État à pomper toutes les ressources disponibles afin de garantir que ce bordel ne cesse jamais. Dans ces conditions, il n’y a rien d’étonnant à ce que tout ce que ce milieu compte de buses se soit mis à idolâtrer l’andouille de Tulle quand ce dernier déclara que son ennemi c’était la finance et à ce qu’ils aient applaudi, comme le premier crétin des Alpes venu, devant le projet – forcément génial – de taxer à 75% tous ceux qui touchent plus d’un million par an.

    Internet voilà l’ennemi

    Pareil aveuglement partisan conduit généralement à un réveil brutal car on ne peut pas impunément diverger sans arrêt du quotidien de ses contemporains. Pourtant, comme il est plus doux de rêver, nos médias refusent obstinément de se réveiller et avalent force Temesta pour y parvenir. Sous nos latitudes, ce médicament est prescrit par l’État sous le nom générique d’aides à la presse.

    Les lecteurs d’une presse à sens quasi unique désertent les journaux à mesure que grandit le fossé entre ce qu’ils voient et ce qu’ils lisent. Nous réussissons ce tour de force inouïe d’avoir une presse d’autant plus subventionnée par l’État qu’elle perd des lecteurs par wagons entiers. Au nom de la « liberté d’informer de désinformer », l’État paye grassement des journalistes, avec nos sous, pour nous écrire la légende d’un pays qui n’existe plus.

    Il en va de même sur les radios et à la télévision. À défaut de pluralisme, vous ingurgitez la même soupe faite de bons sentiments, très dans l’air du temps. L’audiovisuel ne vous informe plus qu’à la marge, mais en revanche vous rééduque vigoureusement. Aux spots de pubs de tous les ministères inutiles qui vous somment de manger 5 fruits et légumes par jour, s’ajoutent les campagnes destinées à vous faire accepter votre condition de délinquant de la route en puissance ou votre statut d’exploiteur des rares ressources de la planète. Toutes ces campagnes onéreuses sont autant de subventions publiques glissées dans les poches profondes des « entrepreneurs » du spectacle de l’information et destinées à compenser les pertes dues à l’érosion continue de l’audience, consécutive à la montée en puissance d’Internet.

    Car nos propagandistes ne s’y sont pas trompés. La vraie menace sur leur rente de situation ne vient pas du grand soir hypothétique d’une droite dotée des attributs de virilité nécessaires au nettoyage des écuries d’Augias. Non, de ce côté-là, il n’y a rien à craindre des eunuques du sérail ! Le grand danger vient de cette nébuleuse incontrôlable qu’est l’internet. Pensez, tout un chacun peut prendre la plume et rapporter les faits sans les précautions d’usages œillères réglementaires dont sont dotés les journalistes « professionnels ». Les Français se passionnent pour ces nouveaux médias, moins prompts à leur cacher ces vérités qui ne sont jamais bonnes à dire. Il convient donc, dans la logique liberticide qui préside à la préservation de tout monopole national, de « réguler » Internet. Les plus allants de nos « combattants de la liberté » par le stylo bille vont même jusqu’à louer le gouvernement chinois pour ses aptitudes libérales en matière de contrôle du web.

    C’est ainsi que nous en arrivons à des aberrations qui font qu’une candidate éphémère du Front national, primo délinquante, se voit condamnée à 9 mois de prison fermes pour injure raciale sur internet, pendant que l’on relaxe quantité de dealers, voleurs et violeurs en tous genres. Le tout sous les applaudissements, presque unanimes, des plumitifs qui tiennent enfin leur « bête immonde ».

    Dans la même semaine, les jeunes victimes du racisme intrinsèque de la société française attaquent des synagogues et mettent nos quartiers à feu et à sang aux cris de « mort aux Juifs » (slogan ô combien humaniste et original, on en convient), au nom d’une guerre qui se déroule à plus de 4 000 kilomètres. Pour nos journalistes, la cause est entendue : c’est la faute à Internet.

    Pas un d’entre eux pour s’interroger sur le fait qu’il y a à peine un an, on emprisonnait préventivement des pères de famille qui avaient le mauvais goût d’arborer un pull siglé d’une famille stylisée se tenant par la main. Pas un pour se demander pourquoi le ministre de l’Intérieur de l’époque mobilisait des effectifs démesurés pour encadrer des manifestations pacifistes et pourquoi, le même, devenu Premier ministre s’est montré incapable d’empêcher le déroulement de manifestations propalestiniennes qu’il avait pourtant interdites ?

    Nos journalistes sombrent dans la schizophrénie la plus avancée, à force de ne voir le monde qu’avec le côté gauche de leur cerveau. On ne compte plus les jours sans que nos médias ne nous enfument avec des histoires à dormir debout afin d’être sûr de ne pas parler des sujets qui préoccupent les Français. Il est d’ailleurs cocasse que journaliste soit la profession la plus mal considérée par nos compatriotes, juste après celle de politicien. Dans ces conditions, il n’est plus besoin de s’interroger bien longtemps. Oui nos médias sont fous et ça ne va pas en s’arrangeant.

     

  • Il pleut, il pleut bergère....

    Vous êtes-vous déjà imaginés à quoi ressemblerait votre rue ou votre ville en cas de forte élévation du niveau de la mer ? En exploitant les données de Google Street View, le site worldunderwater.org vous propose de faire l'expérience. Créé par la société américaine Carbon Story, une société de collecte de fonds pour financer des projets écologiques, worldunderwater a pour but de sensibiliser le grand public aux conséquences du changement climatique.

    Bien entendu, cette modélisation ne tient pas compte de l'altitude de votre logement. Elle a simplement un but pédagogique : montrer à quel point les zones côtières pourraient, elles, être réellement affectées dans le monde entier par une élévation du niveau de la mer.

    Entrez votre adresse ou le quartier que vous souhaitez, et découvrez le résultat ... saississant comme ici à Paris, Rome et New York.

  • Dans la série des insolites de Google Street View

    Sur la première photo trouvée sur Google Street View, nous voyons une piste de skate, un skatepark en forme de pénis aux Etats-Unis.

    Sur la deuxième photo de Google Maps, vous pouvez voir un homme coincé entre deux voitures.

    Et enfin, sur la 3ème photo insolite de Google Street View, vous pouvez voir un chat à l’allure très humaine

     

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  • À l’occasion de la journée mondiale sans portable: le grotesque vous est conté

    Le Figaro Etudiant dresse la liste des journées mondiales les plus grotesques.

    Vos pouces vous démangent, les textos vous manquent et vous n’avez plus aucune nouvelle de votre mère pendant 24h. Nous sommes jeudi 6 février et c’est la journée mondiale sans portable. Si celle-ci s’apparente à un supplice pour tout nomophobe qui se respecte -la rédaction du Figaro Etudiant s’y plie aussi -, de nombreuses autres journées mondiales rythment notre année.

    Elles visent souvent à sensibiliser le public à des causes et problèmes actuels, mais aussi parfois à rendre hommage à des institutions. Et entre les journées dédiées à la maladie de Parkinson ou à l’action pour la santé des femmes, se plantent la journée mondiale du Nutella ou celle du coloriage, sans qu’on sache comment est arrivé ce jour où elles ont gagné un soupçon de légitimité, poussées par des forces lobbyistes obscures. Le Figaro Etudiant  s’est plongé à la recherche des journées mondiales les plus insignifiantes et étranges. Panorama.

    • 13 janvier: Journée mondiale sans pantalon

    Certes, les filles ont une alternative. Les garçons eux, n’ont qu’à enfiler une bonne polaire et sauter dans leurs plus belles chaussettes de Noël. Au mois de janvier, quoi de plus agréable? Les New-Yorkais s’en fichent et s’y collent avec joie.

    • 24 mars: Journée de la glace artisanale

    A première vue, une glace au mois de mars semble hors sujet. Mais cela n’a pas refroidi le Parlement européen d’instaurer cette journée afin de «promouvoir le développement de la tradition gastronomique de cette branche», comme il l’explique dans un courrier officiel .A quand la journée du boudin blanc des Ardennes ou du gratin dauphinois?

    • 4 mai: Journée Star Wars

    N’hésitez pas à débarquer en Princesse Leia ou Choubaka ce jour-là à la fac. Car vous ne rêvez pas: le 4 mai est bien la journée Star Wars, célébrant la saga de George Lucas et ses personnages.

    • 7 mai: Journée mondiale de sensibilisation aux passages à niveau

    Très très important, les passages à niveau. Espérons que les dos d’âne, démarrages en côte et créneaux trouveront également grâce auprès du calendrier suprême des journées mondiales.

    • 24 mai: Journée mondiale du rangement de bureaux

    Soit le plus beau jour de la vie de votre mère.

    • 25 mai: Journée mondiale de la serviette

    Encore une journée d’hommage indispensable que nous offre le mois de mai. Elle est supposée rendre hommage au livre de Douglas Adams «le guide du voyageur intergalactique», lequel conseille de se munir de cet objet très utile en permanence.

    • 24 août: Nuit de la chauve-souris

    La seule nuit de célébration du calendrier, qui vise à attendrir le public au sujet de cette petite bête laide mais pourtant inoffensive.

    • 19 septembre: Journée mondiale du Langage Pirate

    Créée en 1995, la journée du parler pirate est l’occasion d’user d’un vocabulaire familier en toute impunité.

    • 15 octobre: Journée mondiale du lavage de mains

    Sortez vos savons, ça va sentir la mousse dans les couloirs.

    •26 octobre: Journée mondiale des pâtes

    Les étudiants fauchés apprécieront, les cuisiniers se reposeront.

    Alors que vous notez précieusement les dates de ces moments de réflexion intensive, n’oubliez pas la date du 28 février prochain. C’est la journée sans Facebook, soit une épreuve de force pour 77% des jeunes .

  • Stats janvier 2014

    Merci pour votre fidélité et bienvenue à tous les nouveaux!

    ça progresse beaucoup ce mois-ci!

     

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    autrefois, en France, tout finissait par des chansons...

    désormais, cela commence, continue et finit avec le cul!

     

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