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Un peu tout - Page 118

  • Le plastique nous a tuer......................

    Les anticonceptionnels : un autre gigantesque scandale sanitaire à l’horizon ?

    La fertilité masculine diminue dramatiquement et les ovules des femmes sont de moins en moins capables de produire un embryon viable. L’effet du Bisphénol A en est la cause.

    Cette fois, le scandale pourrait être d’ampleur planétaire et les malthusiens de tous bords, y compris les écologistes, Greenpeace en tête, vont pouvoir se réjouir ! La fertilité masculine diminue dramatiquement et les ovules des femmes sont tout simplement inutiles car de moins en moins capables de produire un embryon viable. Parallèlement l’ensemble de la population se dégrade au niveau des facultés intellectuelles en raison d’interconnexions neuronales défectueuses, tout pour plaire !

    C’est en étudiant l’effet du bisphénol A (BPA) sur la maturation des gonades au cours de la vie fœtale et leur fonctionnement durant l’âge adulte qu’une équipe du Centre de Biologie Reproductive de l’Université de l’État de Washington à Pullman dirigée par le Docteur Patricia Hunt que l’idée lui est venue de comparer les effets de cet additif universellement utilisé pour la production de matières plastiques et de films à usage alimentaire ainsi que de papier thermosensible avec les effets du 17-alpha-ethynyl-estradiol (EE), l’un des anticonceptionnels les plus utilisés dans le monde.

    Car la situation est devenue plus qu’alarmante. Par exemple au Danemark, plus de 40 % des hommes produisent un sperme qui dévoile qu’ils sont tout simplement stériles. Non seulement les spermatozoïdes sont déficients mais leur nombre est devenu ridiculement faible. Tout ça parce que durant la vie fœtale, c’est-à-dire lors de la formation des testicules, ces derniers ont été exposés à des perturbateurs endocriniens comme le bisphénol A mais pire encore par l’EE résiduel qui se retrouve maintenant partout sur la planète y compris dans les eaux dites minérales conditionnées dans des bouteilles qui, en plus, dégagent du BPA, car ce produit de synthèse, je veux parler de l’EE qui enrichit les laboratoires pharmaceutiques n’est pas dégradé par le traitement des eaux résiduaires.

    Pour comprendre comment cette catastrophe sanitaire planétaire a pu apparaître, il faut faire un petit retour sur le processus de la conception. Les gamètes femelles sont constituées d’ovules qui ne possèdent que la moitié du patrimoine génétique. Ces ovules en nombre limité se forment au cours de la croissance fœtale. Du côté des gamètes mâles, et c’est là où se situe le problème le plus critique, les spermatozoïdes proviennent de cellules germinales diploïdes et un processus appelé méiose réduit de moitié le nombre de chromosomes lors de la maturation des spermatozoïdes. Au moment de la conception chaque moitié des chromosomes s’apparie avec son correspondant pour former un embryon, ce qui est communément appelé un œuf qui aura 2n chromosomes.

    Or les perturbateurs endocriniens genre bisphénol A ou EE perturbent aussi durablement la méiose testiculaire. Il y a tout lieu de penser que le bisphénol S présente la même activité monstrueusement délétère pour l’avenir de l’humanité. Pour les femmes, le mal est déjà fait dès la naissance et avec un peu de chance, au moins un ou deux ovules sont encore en bon état. Mais chez les hommes la situation ne fait que s’aggraver avec le temps : la qualité du sperme diminue de 2 à 3 % chaque année, que ce soit en Europe, au Japon ou aux USA… Tout simplement effrayant.

    Le syndrome s’appelle la dysgenèse testiculaire et il semble maintenant prouvé qu’il soit acquis durant le développement fœtal et qu’il soit irréversible. C’est en tous les cas ce qu’a montré l’étude très détaillée dirigée par le Professeur Hunt parue dans la revue à comité de lecture PlosOne (voir le DOI) en utilisant des souris. Comme certaines lignées de souris utilisées en laboratoire sont apparues insensibles aux perturbateurs endocriniens, des souris « sauvages » ont aussi été utilisées dans cette étude. La différence réside dans le fait que les lignées de souris établies pour les études scientifiques sont le plus souvent des animaux ayant subi durant des successions de générations une endogamie intense. Les souris « sauvages » constituent donc un modèle plus proche de l’homme car l’endogamie chez l’homme est proscrite en raison d’un certain nombre de tabous parfaitement justifiés. L’effet des perturbateurs endocriniens se fait sentir non seulement au cours de la maturation des spermatozoïdes mais il induit l’apparition de nombreux défauts au cours de la recombinaison des gamètes avec des appariements des chromosomes totalement erratiques. Les effets de l’éthynyl-estradiol sont décelables à des doses inférieures au milliardième de gramme, ce n’est pas encore homéopathique mais presque !!!

    Les questions qui se posent à la lecture de cet article de PlosOne, disponible en ligne, sont très dérangeantes. Qu’on interdise les bisphénol A et S ainsi que les phtalates largement utilisés pour les bouteilles en plastique dites polyéthylène-téréphtalates (PET) de qualité supposée alimentaire pourrait remettre en question et très profondément l’ensemble de l’organisation de l’industrie agro-alimentaire.

    Quelques exemples permettent de situer l’ampleur du problème: interdire les canettes métalliques, les emballages de lait, de jus de fruits et de bien d’autres aliments et boissons en carton comportant un liner intérieur contenant du BPA, interdire les pots de yaourt en plastique, interdire les films recouvrant les pizzas congelées et de multitudes autres aliments, le BPA se dissout tout simplement dans les graisses du fromage râpé et du jambon… et la liste est immensément longue, ce jusqu’aux bouteilles de shampooing! Qu’on interdise les anticonceptionnels est une autre histoire qui risque de créer de profonds remous auprès de la gent féminine (et féministe) qui s’est habituée à ce confort promu par des Simone Weil par exemple, mais il peut apparaître urgent d’y songer.

    Dans les deux cas de figure il s’agit quelque part de l’avenir de l’humanité et c’est beaucoup plus préoccupant que le réchauffement climatique global ou les OGMs ou encore l’énergie nucléaire et bien d’autres avancées technologiques, il s’agit tout simplement de la mise en danger de la perpétuation de l’espèce humaine, et pas seulement, car de nombreux animaux dont en particulier les poissons de rivière sont aussi concernés par cette pollution dévastatrice à l’échelle planétaire…

    ◾Source : PLOS Genetics, 2015; 11 (1)

     

  • Si votre santé vous intéresse...

    La suspicion qui entoure les médicaments génériques est alimentée par la décision prise par l'Agence française du médicament (ANSM) de suspendre, à compter du 5 février, les autorisations de mise sur le marché de huit d'entre eux. Motif invoqué: des "manipulations" de données opérées par une société indienne chargée d'en certifier la qualité.

    Le Ropinorol, prescrit pour traiter la maladie de Parkinson et le syndrome des jambes sans repos, ainsi que l'antiviral Aciclovir, rejoignent ainsi une liste de 25 médicaments génériques (dont l'Ibuprofène) déjà temporairement interdits par l'ANSM, en décembre. Tandis qu'au niveau européen, plusieurs dizaines de génériques sont suspendus "à titre de précaution". " Ce qui ne signifie pas qu'ils présentent un risque pour la santé humaine", rassure l'ANSM.

    Au total, jusqu’à près de 700 génériques pourraient être concernés par cette suspension, demandée par le Comité des médicaments à usage humain (CHMP), une instance interne de l’EMA. La suspension ne s’appliquera pas aux génériques qui sont considérés comme " très importants pour les patients " et pour lesquels des médicaments alternatifs ne seraient pas disponibles en nombre suffisant pour répondre à la demande. Ce sera à chacun des pays membres de l’UE d’apprécier ces situations particulières, précise l’EMA.

    L’ANSM a précisé de son côté que " les électrocardiogrammes ne constituent pas une donnée indispensable à la démonstration de la bioéquivalence " pour les médicaments génériques testés.

    Spécialités commercialisées en France dont les AMM sont susceptibles d’être suspendues à compter du 5 février 2015

    Nom des spécialités

    Laboratoires titulaires des AMM

    • Ropirinole Accord 0,25 mg, comprimé pelliculé
    • Ropirinole Accord 0,5 mg, comprimé pelliculé
    • Ropirinole Accord 1 mg, comprimé pelliculé
    • Ropirinole Accord 2 mg, comprimé pelliculé
    • Ropirinole Accord 5 mg, comprimé pelliculé

    ACCORD HEALTHCARE

    • Aciclovir Ranbaxy 200 mg, comprimé
    • Aciclovir Almus 200 mg, comprimé

    RANBAXY

    • Acide alendronique Ranbaxy 70 mg, comprimé

    RANBAXY

     

  • Bravo! Madame

    Michelle Obama n'a pas arboré de voile en arrivant mardi à l'aéroport de Ryad, ni pendant les cérémonies officielles en Arabie saoudite...

    Non voilée en Arabie saoudite, Michelle Obama crée la polémique

    Calcul ou oubli? Message au monde ou faux pas? Les réseaux sociaux bruissaient ce mercredi autour des cheveux découverts de la Première dame américaine. En effet, Michelle Obama a accompagné mardi son mari en visite en Arabie saoudite, où elle a pu saluer le nouveau roi Salmane d’Arabie Saoudite... cheveux aux vents.

    Critiques et félicitations

    L’absence de voile de la femme de Barack Obama a suscité bien des colères ou des encouragements. Tout comme sa tenue: une tunique bleue et un pantalon noir. Une polémique qui a même fait accoucher Twitter d’un nouveau hashtag: #michelle_obama_notveiled.

    Ce geste a choqué, souligne Le Point, dans un pays où les femmes sont obligées de se couvrir les cheveux et de porter de larges robes… et où elles n’ont pas le droit de conduire. L’hebdomadaire précise que la poignée de main au Président américain s’est transformée en simple signe de la tête face à la Première dame non voilée pour plusieurs dirigeants saoudiens.

    Si mardi, les critiques ont fusé sur cette attitude que certains estiment irrespectueuse, les félicitations ont aussi afflué sur les réseaux sociaux ce mercredi.

    Parallèlement, certaines personnalités américaines ont pris part au débat, comme ici Ted Cruz, sénateur républicain texan, qui a tenu a rendre hommage à la première dame «qui défend les droits des femmes en refusant de porter le voile ordonné par la charia en Arabie Saoudite. Bien joué!»

    Un pays actuellement très critiqué

    La Maison-Blanche n'a pas souhaité commenter ces polémiques. La question aura au moins permis de créer l'intérêt autour de cette visite d'Etat et permis, pour certains médias, de recentrer le débat sur la politique saoudienne en matière de droits de l'homme.

    En dépit de timides réformes sous le règne d'Abdallah, l'Arabie saoudite reste un royaume où tout est surveillé et où les conservateurs continuent de jouer un rôle prépondérant. Rappelons qu'il s'agit du seul pays au monde où les femmes n'ont pas le droit de conduire.

    Le cas du blogueur Raef Badaoui, condamné à dix ans de prison pour «insulte à l'islam» et à 1000 coups de fouet à raison de 50 par semaine a été dénoncé à travers le monde. Après la première séance de flagellation, l'exécution de cette sentence a été suspendue à deux reprises pour «raisons médicales».

     

  • Peinture sur bouche der: mais quel empenaillage!

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  • Liberté et démocratie: tous ensembles pour Charlie, même en cuisine!

     

     

    http://www.cuisine-toulousaine.com/archive/2015/01/11/ma-liberte-partout-toujours-5531146.html

     

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