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Un peu tout - Page 118

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  • Un tailleur anti-corruption supprime les poches des costumes

    Un tailleur réputé d'Asuncion a lancé une ligne de costumes sans poches - ni dans le pantalon, ni dans la veste -, un acte militant visant à dénoncer la corruption au Paraguay.

    "Mettons l'honnêteté à la mode", "design anticorruption innovant", annoncent des affiches dans les neuf boutiques du Grand tailleur Robert, une enseigne prisée de la capitale paraguayenne.

    Le "costume Ibañez" est la dernière nouveauté de la collection printemps-été australe, en référence au député José Maria Ibañez, du Parti Colorado au pouvoir, poursuivi pour corruption après avoir reconnu qu'il faisait rémunérer ses employés de maison par le parlement.

    Les commandes s'accumulent, a assuré à l'AFP le patron-tailleur Roberto Espinosa. Selon lui "des gens invités à des réceptions en présence de fonctionnaires envisagent de porter ce modèle pour affirmer qu'ils sont incorruptibles".

    "Je m'en fiche de perdre certains clients chez les fonctionnaires. Cette maison a été fondée par mon père il y a 70 ans et on n'a jamais manqué de clients", souligne ce tailleur officiel de la sélection de soccer du Paraguay.

    Avant Ibañez, une autre affaire de corruption avait scandalisé l'an dernier le Paraguay, pays pauvre d'Amérique du sud enclavé entre le Brésil et l'Argentine. Le député Victor Bogado, alors président de la chambre des députés, faisait rémunérer 3500 dollars par mois, comme assistante parlementaire, la nounou qui gardait ses enfants.

    Le tailleur s'apprête à lancer aussi une ligne féminine, "Lady Ibañez", l'épouse du parlementaire étant impliquée dans le scandale.

     

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  • Le pire de la photo panorama! raté!

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  • Le virus caché derrière Ebola

     

    Aux USA, profitant de la panique généralisée, les cybercriminels cachent des chevaux de Troie dans des mails alarmistes.

    “Alerte de santé CHOQUANTE : un remède secret pour Ebola ?”

    “ALERTE : 1,4 million de victimes d’EBOLA d’ici au mois de janvier ??”

    “Ebola, la pandémie arrive : L’Agence Fédérale de gestion des urgences stocke 250 000 cercueils en plastique”.

    Attention, un virus peut en cacher un autre. Profitant de la panique engendrée par le virus Ebola, des scammeurs ont créé un courrier électronique censé contenir des consignes de sécurité diffusés par l’Office Mondial de la Santé. Sauf que celui-ci contient en fait un cheval de Troie contrôlable à distance. Il permet à son expéditeur d’avoir accès aux fichiers, à la webcam et à la capture de son de l’ordinateur infecté.

    Faux kits de prévention

    Lancée dans un premier temps aux USA, la vague de spam peut se répandre vite. Le procureur général de Californie et le gouverneur de New York ont tenu hier à prévenir la population, et ont diffusé des recommandations. Ils incitent notamment à beaucoup de prudence concernant les courriers qui annoncent des scoops, proposent de donner à une œuvre de charité ou pour la recherche du vaccin, ainsi que les mails qui présentent des “kits de prévention”. Le conseil principal, évidemment: “n’ouvrez pas les pièces jointes de ces mails”.

    Les autorités de Floride ont mis en place une véritable campagne anti-scam avec un numéro vert et un formulaire sur leur site internet. Eric Schneiderman, le gouverneur de New York, a lui qualifié ces actes “d’exploitation honteuse de l’inquiétude des braves gens” ajoutant que “ces fraudes portent atteinte à la fois au dur labeur des courageux professionnels de santé qui luttent contre cette maladie et à la générosité des new-yorkais“.

        http://www.lesinrocks.com/2014/10/22/actualite/les-spammers-se-servent-debola-11531353/

  • Coït non interrompu

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    Cela ne le parait pas, mais ce sont des poissons pré-historiques

  • Les rats sont entre les murs de Paris! ATTENTION: note sérieuse!

    Rats : attention, danger !

    Les Londoniens, les Parisiens et bien d’autres citadins vivent en étroit contact avec des animaux porteurs de toute une panoplie de virus. Par Jacques Henry.

    On a coutume de dire qu’à Paris, Londres, Bangkok ou New-York… il y a autant de rats que d’habitants et c’est la vérité. Certes les puces des rats ne nous sautent plus dessus pour nous transmettre la peste mais tous ces rats représentent un réel risque sanitaire mal connu du grand public, car les médias s’abstiennent de parler des sujets qui dérangent. Le climat, la transition énergétique ou l’effondrement du prix du pétrole sont plus payants en terme d’audimat ou de lecteurs assidus. Parler des rats, vous n’y pensez pas ! Et pourtant partout où il y a des hommes il y a des rats et dans certains pays le rat est même un mets de choix. Séjournant au Cameroun il y a quelques années, j’ai réussi après un gros effort mental à manger un morceau de viande de rat de brousse à peine plus gros que la dernière phalange de mon petit doigt, un pays où la chair de cet animal est considérée comme excellente. Mais les rats vivant partout dans les grandes villes sont plutôt repoussants. Des biologistes de l’Université Columbia à New-York ont voulu en savoir plus sur les micro-organismes pathogènes que véhiculent les rats de la ville de New-York et ils n’ont pas été déçus, loin de là !

    C’est un véritable cauchemar qu’ont découvert ces limiers de la microbiologie avec les moyens modernes d’investigation au niveau de l’ADN que la police utilise de plus en plus pour retrouver d’horribles violeurs de petites filles des années après leur forfait. Pour ces rats new-yorkais, il y a vraiment de quoi avoir peur parce qu’ils sont tous porteurs de virus vraiment bizarres transmissibles à l’homme et encore inconnus avant cette étude auxquels il a fallu donner des noms parfois poétiques : Flavivirus, Pestivirus, Pegivirus, Salepovirus Parechovirus ou Hepacivirus dont certains sont retrouvés aussi chez les chauve-souris, l’un des principaux vecteurs soupçonnés du virus de la fièvre d’Ebola.

    Pire encore, sur les 133 rats capturés et étudiés, 8 d’entre eux étaient porteurs du redoutable Hantavirus dit de Seoul découvert durant la guerre de Corée et qui provoque une fièvre hémorragique avec une attaque des reins et des poumons le plus souvent fatale. Pas vraiment de quoi être rassuré. Tous ces nouveaux virus sont potentiellement mortels pour l’homme, c’est bien connu, le rat est un commensal de l’homme depuis la nuit des temps et ce n’est pas surprenant puisqu’il est le seul animal avec l’homme à s’entre-tuer sans raison apparente, « qui se ressemble s’assemble » comme on dit dans les chaumières.

    Donc, les Londoniens, les Parisiens et bien d’autres citadins vivent en étroit contact avec des réservoirs indicibles de ces animaux nous côtoyant insidieusement et porteurs de toute une panoplie de virus. Pour les bactéries, le tableau est tout aussi sombre puisque les rats charrient des salmonelles, des Clostridium, y compris la bactérie responsable de la peste, mais oui c’est vrai, et bien d’autres bactéries toutes dangereuses pour l’homme avec des conséquences sur la santé dont aucun promeneur avec son chien n’a la moindre notion. Si vous promenez votre chien dans les rues de Paris, de Berlin, Londres, Singapour, Shanghai, Sydney ou Tokyo vous êtes tout simplement en danger de mort ! En effet, tous les virus et autres bactéries qu’hébergent ces rats peuvent être transmis à l’homme par l’intermédiaire de leur animal de compagnie préféré, leur teckel ou leur cocker chéris qui hument les défécations ou encore mieux l’urine des rats et deviennent la meilleure courroie de transmission de ces maladies pour la plupart encore inconnues. Par exemple, il y a de bonnes raisons de penser que de nombreuses personnes souffrant de l’hépatite non A non B ont contracté le virus par l’intermédiaire de leur animal de compagnie favori, en l’occurrence leur chien, qui aurait reniflé les crottes d’un rat porteur (sain) du virus. Trois pour cent de la population est porteuse du virus de l’hépatite C et un cinquième de ces personnes en mourra dans les 20 années qui suivront leur premier contact avec le virus.

    Le rat new-yorkais a l’air d’affectionner plus particulièrement ce type de virus puisqu’à l’issue de cette étude il est sérieusement envisagé de l’utiliser comme animal de laboratoire pour étudier justement ce dernier agent pathogène pour lequel il n’existe pas d’animal modèle, les résultats avec les chimpanzés comme animaux modèles s’étant avérés décevants. C’est à peu près le seul point positif de cette étude…

    Source : Firth C, Bhat M, Firth MA, Williams SH, Frye MJ, Simmonds P, Conte JM, Ng J, Garcia J, Bhuva NP, Lee B, Che X, Quan P-L, Lipkin WI. 2014, « Detection of zoonotic pathogens and characterization of novel viruses carried by commensal Rattus norvegicus in New York City », mBio 5(5):e01933-14. doi:10.1128/mBio.01933-14.

    Illustration : arbre phylogénétique de quelques virus trouvés chez les rats new-yorkais.

     

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    D'AUTRES RATS

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  • Pas de pays sans paysans! der

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