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Un peu tout - Page 2

  • Madame la Ministre: notre École est en péril

    Ces derniers mois une vaste enquête intitulée La Grande Enquête sur l’École. 13 379 répondants, citoyens engagés, parents concernés, enseignants ou simples observateurs, ont livré leur jugement.

    Et ce jugement est sans appel.

        80,3% considèrent que le niveau en lecture, écriture et mathématiques est insuffisant.

        91,7% réclament un retour massif aux savoirs fondamentaux.

        92,9% estiment que les sanctions à l’égard des élèves perturbateurs ne sont pas assez sévères.

        72,1% jugent que les enfants ne sont pas en sécurité à l’école.

        76,5% dénoncent l’insuffisance de la prévention et du traitement du harcèlement scolaire.

        75,7% considèrent que l’école oriente idéologiquement les élèves.

        86,6% souhaitent une orientation possible en voie professionnelle dès la 4e.

        76,5% rejettent la réforme du lycée, notamment la suppression des filières.

        72,7% sont favorables aux classes de niveau au collège.

        Et 91% ne sont pas satisfaits du niveau actuel du baccalauréat, qu’ils jugent dévalorisé.

     

    Madame la Ministre, ces résultats traduisent un désaveu populaire massif, mais aussi un appel au courage. Ce que demandent les Français, ce n’est pas un énième "ajustement" bureaucratique, mais un changement de cap total:

    ■ Le retour de l’autorité dans les classes,

    ■ La restauration de la transmission du savoir,

    ■ L’affirmation d’un cadre national exigeant,

    ■ Et la réhabilitation de notre héritage culturel et de la méritocratie républicaine.

    C'est le même constat sur l’école depuis trente ans.

    AUJOURD’HUI, 75.000 PARENTS, CONFIRMENT LEURS INQUIETUDES.

    Les résultats de l’enquête PISA 2022 l’ont démontré:

    nos élèves régressent, en mathématiques comme en compréhension écrite. La France se retrouve désormais en queue de peloton des pays de l’OCDE, alors même qu’elle consacre chaque année un budget plus important que l’écrasante majorité d’entre eux à son système éducatif.

    Les analyses nationales ne sont pas plus rassurantes. La Cour des comptes, dans son rapport de 2025, dénonce l’inefficacité de notre système et un niveau scolaire "inacceptable".

    Il est des constats que l’on ne peut plus éluder, des chiffres que l’on ne peut plus dissimuler, et des réalités que des millions de familles vivent dans la douleur.

    L’École française, autrefois fierté nationale, s’est effondrée sous nos yeux.

    Vous êtes en poste depuis désormais huit mois, et rien ne change. Vous êtes aujourd’hui responsable d’un ministère dont dépend l’avenir de notre pays.

    Il vous appartient de trancher: persister dans l’aveuglement ou choisir la refondation.

    Madame la Ministre, les Français vous appellent solennellement à entendre leurs voix, à prendre acte de l’état de délabrement de notre École, et à engager sans délai les réformes que la nation attend.

    L’heure n’est plus aux demi-mesures.

    L’avenir de la France passe par la reconquête de son École.

    ARTICLE ECRIT APRES LECTURE DE:

     

    ANNEXE – RÉSULTATS DE" LA GRANDE ENQUÊTE SUR L’ÉCOLE"

    Enquête menée par Reconquête! et le réseau des Parents Vigilants

    13 379 répondants – 2025

    Dans le cadre de ses travaux sur l’avenir de l’école, le mouvement Reconquête a lancé une consultation nationale inédite entre septembre 2024 et mai 2025. L’objectif était clair: redonner la parole aux Français sur l’état de l’Éducation nationale et recueillir leurs attentes concrètes. Les résultats de cette enquête révèlent une inquiétude massive et une volonté partagée de changement radical.

    ⊲ DES SAVOIRS FONDAMENTAUX EN RECUL

    ■ 80,3% des personnes interrogées jugent que le niveau enseigné en mathématiques, lecture et écriture est insuffisant.

    ■ 91,7% souhaitent que davantage de temps soit consacré aux savoirs fondamentaux à l’école primaire.

    ⊲ UN CLIMAT SCOLAIRE PREOCCUPANT

    ■ 72,1% estiment que les enfants ne sont pas en sécurité à l’école.

    ■ 76,5% considèrent que la prévention et le traitement du harcèlement scolaire sont insuffisants.

    ■ 92,9% jugent que les sanctions contre les élèves perturbateurs ne sont pas assez sévères.

    ⊲ UNE ECOLE ACCUSEE DE DERIVES IDEOLOGIQUES

    ■ 75,7% estiment que l’école oriente idéologiquement les élèves, au détriment de la neutralité et de l’objectivité.

    ⊲ UN SYSTEME D’ORIENTATION CRITIQUE

    ■ 86,6% des répondants souhaitent que l’orientation vers les filières professionnelles soit possible dès la classe de 4e.

    ■ 76,5% ne sont pas satisfaits de la réforme du lycée (disparition des filières, système de spécialités).

    ■ 72,7% se déclarent favorables aux classes de niveau au collège.

    ⊲ LE BACCALAUREAT, SYMBOLE D’UN DECLASSEMENT

    ■ 91% des répondants ne sont pas satisfaits du niveau actuel du baccalauréat, jugé dévalorisé et déconnecté des exigences réelles.

    CONCLUSION

    Cette enquête révèle un diagnostic sans appel:

    Les Français sont lucides sur l’effondrement de l’école et réclament un retour à l’exigence, à l’autorité et à la transmission.

  • Extension du domaine du ressentiment

    Tournant leur frustration en haine des femmes, les “incels” s'enferment dans une posture victimaire.

    Récemment, le Figaro, sous la plume de Christophe Cornevin, se penchait sur un phénomène inquiétant: le terrorisme incel.

    Néologisme venu d’Amérique, le mot “incel” désigne des “célibataires involontaires”, généralement de jeunes hommes, dont la frustration sentimentale et sexuelle a dégénéré en un ressentiment, voire une haine, envers le sexe opposé, seul responsable à leurs yeux du rejet dont ils sont l’objet, et coupable de leur témoigner un mépris systématique et injustifié.

    Certains membres de cette mouvance traduisent cette haine en actes. Ces derniers mois, la police française a intercepté à temps divers jeunes gens qui s’apprêtaient, à coups de couteau, à faire payer leur infortune au sexe opposé. Sans surprise, la première tuerie de ce type a eu lieu aux États-Unis, où en 2014 Elliot Rodger, âgé de 22 ans, tua 6 personnes et en blessa 14 autres avant de se suicider, laissant un manifeste exprimant sa détestation des femmes, qui a fait de lui une icône auprès d’une partie de la communauté incel.

    Car contrairement aux célibataires frustrés décrits par Michel Houellebecq dans Extension du domaine de la lutte, les incels forment une véritable communauté, échangeant sur les réseaux sociaux, les forums de discussion et les sites Web qui les fédèrent; ils disposent même de leur propre Wikipedia, Incels Wiki.

    Si tous ne basculent pas dans la violence, cette mouvance prend une ampleur inquiétante, au point que Netflix a produit une série consacrée au phénomène, Adolescence, que les pouvoirs publics anglais et français ont annoncé vouloir utiliser comme outil pédagogique pour contrer le phénomène.

    Si Houellebecq avait magistralement analysé les conséquences de la libération sexuelle, qui ouvrait le champ à une concurrence amoureuse et sexuelle laissant sur le carreau les moins armés ("Le libéralisme sexuel, c’est l’extension du domaine de la lutte, son extension à tous les âges de la vie et à toutes les classes de la société"), les incels ont systématisé l’analyse (notamment à travers la théorie du 80/20: 20% des hommes les plus séduisants monopoliseraient 80% des femmes) et surtout l’ont connectée à l’idéologie victimaire typique de la génération woke .

    De ce point de vue, le phénomène incel n’est qu’une forme extrême de cette “génération ouin-ouin” qui pousse la victimisation jusqu’à la totale déresponsabilisation, une lecture sociale des phénomènes intimes servant de prétexte à ne jamais se remettre en cause, ne jamais se poser la question de savoir ce que l’on pourrait faire pour sortir de l’impasse.

    Et quand bien même il s’avérerait, pour certains, impossible de sortir de l’impasse du célibat involontaire (cela arrive à des gens très bien), la réaction des incels est typique d’une génération qui, n’ayant jamais appris à gérer ses frustrations, les détourne en violence, contre soi-même (la tentation suicidaire est fréquente chez les incels) ou les autres – quand ce n’est pas les deux.

    La faute en revient, là, aux éducateurs qui, par lâcheté, ont abandonné cet apprentissage de la frustration qui est une part essentielle de l’éducation. Tout manque, toute insatisfaction seront donc vécus sur le mode de l’injustice, et de la recherche d’un fautif: ici, les femmes, coupables toutes désignées.

    La rencontre amoureuse étant par définition affaire de relation personnelle, il est évidemment absurde de faire porter la responsabilité de ses échecs à la gent féminine tout entière, en essentialisant au passage les femmes, réduites à des cruches grégaires.

    On doit en revanche incriminer un néo-féminisme radical qui, en prônant la guerre des sexes, a mécaniquement produit en retour son double inversé, un masculinisme caricatural qui, sur les réseaux sociaux, proclame que la femme est pour l’homme un dû, et le succès amoureux inéluctable si l’on applique quelques recettes bien senties, généralement à base de goujaterie brutale.

    Recettes imbéciles qui, lorsqu’elles débouchent sur un fiasco, ne peuvent que nourrir le ressentiment de ceux qui les ont mises en pratique. Le masculinisme et le mouvement incel confortant, en retour, les néoféministes dans l’idée que les hommes sont par essence toxiques.

    Où l’on voit que tout radicalisme produit son contraire, et nourrit ce qu’il prétend combattre.

    Laurent Dandrieu

     

  • Comment trouver son médecin traitant?

    Selon une récente étude, près d’un médecin sur deux n’accepte plus de nouveaux patients en ville. Une décision que les généralistes justifient par le fait qu’ils ont déjà un grand nombre de patients et qu’ils ne pourraient pas les suivre correctement s’ils en acceptaient davantage.

    Les professionnels qui préparent leur départ en retraite limitent également leur patientèle. Une situation qui rend difficile le fait de trouver un médecin traitant quand on n’a pas de médecin de famille, ou suite à un déménagement.

    La surcharge de travail dont ils sont victimes incite des nombreux professionnels de santé à ne plus accepter de nouveaux patients. Un choix qui compromet l’accès à un médecin traitant et à un bon suivi de santé pour les malades.

    UN MEDECIN GENERALISTE A-T-IL LE DROIT DE NE PLUS PRENDRE DE NOUVEAUX PATIENTS?

    Face au refus d’un médecin généraliste de prendre un nouveau patient, même en cas de maladie, on peut se poser la question de la légalité de ce choix. En France, la loi autorise un médecin à refuser d’accepter de nouveaux patients et à refuser d’être le médecin traitant d’un malade.

    Le seul cas où un praticien est obligé de délivrer des soins est celui de l’urgence. Dans un cadre de médecine de ville classique, il est donc tout à fait légitime pour un docteur de ne plus prendre de nouveaux patients.

    CONSEILS POUR TROUVER UN MEDECIN QUI PREND DE NOUVEAUX PATIENTS

    Pour trouver un médecin traitant qui prend de nouveaux patients, il existe plusieurs solutions. La première consiste à faire une recherche sur le site de la caisse d’assurance maladie "ameli". Ce site recense tous les médecins généralistes par secteur.

    La plate-forme Doctolib peut aussi aider à trouver les médecins qui prennent de nouveaux patients. Au moment de lancer une recherche, il suffit de sélectionner ce critère dans les filtres.

    COMMENT FAIRE QUAND ON N’A PAS DE MEDECIN TRAITANT?

    Avoir un médecin traitant permet de bénéficier d’un remboursement des consultations à 70% par l’assurance-maladie. C’est aussi l’assurance d’être mieux soigné pour le patient qui a un interlocuteur de confiance qui connaît bien son dossier de santé. Le médecin traitant est d’autant plus utile en cas d’urgence, ou face à des maladies comme la Covid-19 qui nécessite un suivi soigneux.

    Les patients qui ne parviennent pas à trouver de médecin traitant malgré leurs recherches peuvent saisir le conciliateur de l’assurance-maladie. Ce professionnel a pour rôle d’aider les malades à trouver un médecin traitant généraliste, afin qu’aucun assuré ne reste sans solution pour prendre soin de sa santé.

     

    Le conciliateur ne peut pas forcer un médecin à devenir le médecin traitant d’un patient, mais il peut tenter une médiation pour inciter ceux qui ont refusé de revenir sur leur décision.

    Pour trouver un médecin traitant qui prend de nouveaux patients, la meilleure solution est d’utiliser un site comme Doctolib pour rechercher les généralistes disponibles près de chez soi. En cas de problème, le conciliateur de l’assurance-maladie peut également aider les assurés à trouver un généraliste référent.

  • ATTENTION!

    ATTENTION: pour les personnes de plus de 75 ans!

    TOUS les médecins et spécialistes ont reçu un courrier pour leur demander de ne pas trop "aider" les personnes de plus de 75 ans à se soigner et à faire, pour cela, des examens médicaux: radios, scanner, IRM..

    de leur donner des doliprane et autres rivotril pour les calmer et de résister le plus possible à leurs demandes

    J'en ai la preuve, l'hôpital a refusé de me faire un IRM

    sous un prétexte fallacieux…

    je me suis renseignée auprès de divers soignants qui n'ont pas aimé répondre à cette question!

    Résistez, ne vous laissez pas faire  et parlez-en à ceux de votre âge autour de vous!

  • A mourir de rire!

    Premier-Avril 1950: "Comment ne pas être tué par une bombe atomique"

    L’hebdomadaire français Paris Match, qui a "le plus gros tirage dans les années 1950 avec près de 2 millions d’exemplaires chaque semaine", dont "l ‘impact est considérable" et qui "contribue à structurer les représentation ", propose dans son numéro du 1er avril 1950 une couverture consacrée, comme c’est fréquemment le cas, à l’aristocratie (ici la famille royale de Belgique) mais, dans un unique encadré, bien visible en haut de page, le titre, "Comment ne pas être tué par une bombe atomique", se présente comme un véritable produit d’appel d’autant plus retentissant qu’on sait officiellement, depuis septembre 1949, que l’URSS possède la bombe atomique.

    L’article, qui nous intéresse et qui se déploie sur deux pleines pages, est écrit par Richard Gerstell qu’un encadré présente comme "un officier de la marine américaine", "un savant", "docteur en philosophie", "conseiller à la défense radiologique à l’Office de la défense civile des États-Unis".

    L’auteur est chargé par le ministère de la défense d’étudier les effets de la radioactivité des essais atomiques de Bikini et d’élaborer des "plans pour la protection de la population civile contre une éventuelle attaque atomique".

    L’encadré inséré par la rédaction de Paris Match vise donc à garantir la crédibilité du rédacteur de l’article, un homme de terrain, un scientifique, dont on précise qu’il "a été exposé plusieurs fois aux radiations atomiques et n’en a d’ailleurs pas souffert physiquement (il n’a même pas perdu un cheveu)", qui rend compte de sa frayeur lorsque le compteur Geiger révéla que ses cheveux étaient "plus radioactifs que la limite". Il s’agit donc, du moins est-ce vendu ainsi, du témoignage, de l’analyse d’un témoin de choix; il s’agit d’une information de première main.

    Dans les premiers paragraphes de l’article de Match, Gerstell explique avoir eu, dans les premiers temps, "la conviction que la destruction atomique menaçait inévitablement une grande partie de l’humanité".

    C’est pourquoi il accueillit favorablement la parution de l’ouvrage de David Bradley, No Place to Hide (1948), qui alertait sur les dangers de la radioactivité. Mais il ne s’appuyait alors, confie-t-il, que sur une "impression"; il manquait de recul. En possession désormais des "rapports complets des expériences de Bikini et des rapports préliminaires des nouvelles expériences atomiques d’Eniwetok", il a désormais "franchement changé d’avis".

    L’article publié dans Match vise un objectif: convaincre que la radioactivité, sur laquelle on en sait plus que sur "la poliomyélite ou le rhume", "n’est, au fond, pas plus dangereuse que la fièvre typhoïde ou d’autres maladies qui suivent d’habitude les ravages d’un bombardement".

    Fort de son "expérience “Bikini” ", durant laquelle, dit-il, "aucun des 40 000 hommes" qui y participèrent "ne fut atteint par la radioactivité", Gerstell entend mettre un terme aux "légendes" sur les effets de cette dernière (elle entraînerait la stérilité, rendrait des régions "inhabitables à jamais").

     "Tout cela est faux", clame-t-il; la radioactivité est "une menace beaucoup moins grande que la majorité des gens le croient".

    Un certain nombre de précautions, de conseils à suivre pour se protéger de la radioactivité en cas d’explosion nucléaire sont livrés aux lecteurs de Paris Match: fermer portes et fenêtres, baisser les persiennes, tirer les rideaux; ôter ses souliers, ses vêtements avant de rentrer chez soi, les laver et frotter; prendre des douches "copieuses" pour se débarrasser des matières radioactives; éviter les flaques d’eau, marcher contre le vent; s’abriter dans une cave, "protection la plus adéquate contre les radiations"…

    ON LAISSE LE LECTEUR APPRECIER L’EFFICACITE DE CES MESURES…

    Pour se protéger de la bombe elle-même dont "la plupart des dégâts sont causés par les effets indirects de l’explosion",

    se coucher à plat ventre, yeux fermés;

    pour éviter les brûlures, trouver une barrière efficace (mur, égout, fossé);

    porter des "vêtements en coton clair", des pantalons longs, des blouses larges, "un chapeau aux bords rabattus"…

    Ainsi, ce témoin, ce "savant", qui étudia l’impact de la radioactivité, rassure-t-il le lectorat français de Match: on peut se protéger de la bombe atomique, des radiations; il suffit d’être précautionneux.

    Foin des légendes! Ce regard éclairé, scientifiquement éclairé, s’appuie sur l’expérience, sur Bikini, sur Hiroshima et Nagasaki pour minorer (et c’est peu dire) le danger des radiations, car, c’est bien connu, "les nuages radioactifs à caractère persistant sont vite dissipés dans le ciel";

    "la poussière radio-active persistante qui se dépose sur la peau ne paraît pas dangereuse";

    "au voisinage immédiat du point d’explosion, une pleine sécurité peut être assurée par 30 centimètres d’acier, 1 mètre de béton ou 1 m 60 de terre. À un kilomètre et demi, la protection nécessaire tombe à moins d’un centimètre d’acier et quelques centimètres de béton".

    En avril 1950, l’Américain Richard Gerstell, dont les propos sont relayés en France par l’hebdomadaire Paris Match, niait encore l’impact de la radioactivité.

    Auteur - Anne Wattel - Professeur agrégée, Université de Lille

  • Ils restaurent le Saint-Sépulcre, un phénomène inexplicable arrive

    En pleine restauration du tombeau du Christ, les engins ultra-modernes d'un groupe de scientifiques sont tombés en panne simultanément. Ils n'en revenaient pas tant la situation était  "inexplicable".

    Par valeursactuelles.com

    La restauration du Saint-Sépulcre doit être un moment privilégié dans la carrière d’un scientifique. Imaginez alors ce qu’ont vécu la professeure Antonia Maro et son équipe, après avoir assisté à un phénomène "que l’on ne peut expliquer".

    PANNE GENERALE

    La scène a été relatée dans l’émission 13h15 le dimanche, diffusée sur France 2, le dimanche 26 mars. L’été dernier, plusieurs scientifiques ont restauré le tombeau de Jésus-Christ, situé à l’intérieur de l’église du Saint-Sépulcre, à Jérusalem.

    Le 26 octobre 2016, l’entreprise de restauration prend une tournure encore plus historique: le tombeau est ouvert pour la première fois depuis 200 ans.

    Antonia Maro, ingénieure-chimiste, est présente. Son équipe est en plein travail. Inexplicablement.

    D’un coup, leurs engins, ultra sophistiqués, qui servent à renforcer la structure en mauvais état, tombent en panne. Subitement. Les scientifiques n’en reviennent pas.

    "Je ne peux vous en dire plus, confie la scientifique. Il y a parfois des phénomènes qu’on ne peut expliquer. (…) C’est une tombe vivante, la tombe du Christ. Je crois que tout le monde peut comprendre qu’il y a des choses naturelles qui peuvent perturber les champs électromagnétiques. Il faut simplement admettre que la force avec laquelle l’on croit ou l’on pense, en fait partie", explique-t-elle.

    Après plusieurs mois de restauration, le site a été inauguré officiellement le mercredi 22 mars. Les travaux avaient été financés par les trois principales confessions chrétiennes du Saint-Sépulcre (Grecs Orthodoxes, Franciscains, Arméniens) ainsi que par des contributions publiques et privées.

     

  • J'ai une grosse colère!

    N'oubliez pas que ce député de droite était en train de finaliser un livre où était prouvé par A + B que Macron est un escroc et imposteur dans l'affaire Alstom

    Marleix ne s’est pas suicidé par pendaison, mais par noyade!!!

    Tout porte à penser que le député Olivier Marleix, retrouvé sans vie à son domicile le 7 juillet dernier, est mort par noyade et non par pendaison comme on veut le faire croire.

    On ne peut pas se pendre les pieds au sol. Dans ce cas, on n’a pas besoin de corde. Mais, peut-on se pendre sans corde?

    Le parquet de Chartres a une explication: il s’agit d’une "pendaison incomplète". Marleix n’est donc pas complètement mort. Or, il parait qu’il est bien mort. Ce qui fait qu’il est mort d’autre chose que d’une "pendaison incomplète".

    Olivier Marleix serait certainement mort par noyade. Un suicide par noyade qui ne laisse pas de traces.

    Trois choses le prouvent:

        Marleix était en caleçon. S’il rentrait d’une soirée mondaine, il ne lui aurait pas été nécessaire de se mettre en caleçon pour se suicider. Un suicide en smoking est beaucoup plus attrayant, beaucoup plus Fashion.

    Donc s’il était en caleçon, c’est qu’il était dans l’eau et se baignait. Si la chambre est d’une hauteur de 2,80 mètres et qu’il avait les pieds au sol, c’est qu’il était submergé (en France, on est submergé par n’importe qui et n’importe quoi, dans la rue comme chez soi…).

    Cela suppose que la chambre était remplie à fond. Ce qui n’est pas impossible.

        Marleix avait un téléphone glissé dans l’élastique de son caleçon. Ce téléphone devait lui permettre d’activer l’évacuation de l’eau de la chambre une fois son forfait accompli. En tout cas, ce téléphone devait servir à quelque chose. On ne se suicide par avec un téléphone dans son caleçon.

        La corde attachée à une poutre: ce n’était pas pour se pendre, mais pour qu’il ne soit pas emporté avec l’évacuation de l’eau.

    Tout ceci n’est pas sérieux, chers lecteurs. C’est juste pour dire que le suicide supposé de Marleix paraît grotesque.

    On imagine que la justice va essayer de noyer le poisson.....

    On y est. Une noyade.

    Mais, un olivier ne meurt ni de manque d’eau, ni de froid, ni de chaud. Il ne meurt ni de pendaison, ni de noyade.

    Si l’on veut se débarrasser d’un olivier, pour une raison ou une autre, il n’y a pas d’autre moyen que de l’abattre.

    Messin’Issa

     

  • La Cathédrale de Cordoue, qui vient de subir un incendie, n’est plus une mosquée

    Rendons aux Espagnols ce qui appartient aux Espagnols!!!

    Tous les journaux, successivement, comme des ânes bâtés, viennent répéter les uns après les autres, qu’un incendie s’est produit "dans la Cathédrale-mosquée" de Cordoue. On parle même le plus souvent de "mosquée-cathédrale", ce qui est une hérésie absolue. Un monument religieux ne peut pas être à la fois une mosquée et une Cathédrale, c’est totalement antinomique, quoiqu’en pensent nos instances religieuses décérébrées de l’après Vatican II.

    Au contraire, employer ce terme de "mosquée-cathédrale ", c’est faire le jeu des musulmans et des islamistes, qui revendiquent Cordoue comme leur appartenant, comme ils revendiquent l’Alhambra de Grenade. Ne rentrons pas dans leur jeu. Les mots ont un sens et les islamistes savent parfaitement en user et en abuser.

    Le nom officiel de ce bâtiment religieux et plus que symbolique est la Cathédrale Notre-Dame-de-l’Assomption, or même l’Église dite catholique n’emploie plus ce terme, par syncrétisme des plus ridicules.

    Au départ, comme souvent, sur ce site fut construit un temple romain pour Janus, qui est devenu une Basilique chrétienne au IVe siècle, du temps de la monarchie wisigothe, bien avant l’arrivée des arabo-berbères en Ibérie. Il s’agissait de l’Église Sainte-Marie, devenue Basilique au IVe siècle.

    En 786, alors que les sbires de Tariq avaient envahi l’Espagne en 711, commença la construction, en lieu et place de la Basilique, de la mosquée de Cordoue, par les Omeyyades. Lorsque les chrétiens de la Reconquête sous l’égide de Ferdinand III de Castille, reprirent définitivement Cordoue en 1236, plus de deux siècles avant Grenade, ils firent construire à partir des bâtiments de la moquée, une Cathédrale, puis érigèrent au début du XVIe siècle une chapelle majeure, qui se distinguait des autres chapelles plus anciennes, établies le long des quatre murs d’enceinte de l’édifice, lui donnant un caractère exceptionnel.

    Depuis cette date, c’est la Cathédrale du diocèse de Cordoue, n’en déplaise à tous les tenants d’un prêchi-prêcha des plus abscons.

    D’ailleurs les musulmans n’hésitèrent pas à expulser et à exproprier plus de la moitié des plus grandes Églises de Cordoue à leur arrivée.

    Ensuite, toutes les Églises intra-muros seront détruites. Cette mosquée, qui fut agrandie à trois reprises était immense, près de 23 000 km2, devant la plus grande mosquée du monde après celle de La Mecque.

    AUJOURD’HUI ET DEPUIS PLUS DE HUIT SIÈCLES, C’EST UNE CATHÉDRALE.

    Car les mots ont un sens, ce sont des armes au service des idées et du sens de l’histoire.

     

    Michel Festivi