Hommes - Page 6
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Comme Hergé
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Comme Hergé
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Comme Hergé
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Donald
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Le Premier Noël
C'était pareille nuit, le ciel tout aussi pur
Les étoiles aussi belles, y avait les mêmes fruits
La lune sur le mur et les oiseaux fidèles
L'herbe avait des trésors de rosée sur le corps
Et le vent caressait les ombres qui passaient
Rayonnantes de joie sous les palmes de soie
Les bergers du pays, le bœuf et l'âne gris,
Sur la paille d'or fin, veillaient tous sur le grain
C'était Noël
Un enfant, paraît-il
Un enfant, disaient-ils
Venait tout droit du Ciel
C'était Noël
La nuit parlait de Paix
Et la Terre y croyait
C'était Noël !
Les uns portaient des fleurs, les autres des trésors
Certains donnaient leur cœur, quelques autres leur or
On aurait tout donné pour un jour, pour toujours
Dans la joie, les enfants allumaient de grands feux
Dans la rue, les passants s'embrassaient, très heureux
Sous le ciel d'Orient, brillait la route bleue
Dans l'étable, un enfant, un père un peu tremblant
Une mère perdue, un tout petit Jésus
C'était Noël
Un enfant, paraît-il
Un enfant, disaient-ils
Venait tout droit du Ciel
C'était Noël
Et les alléluia
Pour toujours, ce soir-là
Chantaient Noël !
par LES COMPAGNONS DE LA CHANSON
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Comme Hergé
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Pendant ce temps-là, les smicards...
Macron s’amuse
Le soir, autour de whiskys japonais ou écossais Macron s’amuse au sein de son “boys club”: surnoms comme “petit pédé”, et Matignon rebaptisé “la cage aux folles”
Le "boys club" a installé au palais une atmosphère de chambrée. Avec eux, on est loin du sacré et de la transcendance…
Le soir venu, le président les retrouve pour se distraire après des journées harassantes. " Petit pédé ", "grande tarlouze"…
Voilà comment ils se parlent, par textos ou autour de leurs whiskys japonais ou écossais – le favori du président est le Lagavulin 16 ans d’âge –, entre deux imitations d’acteurs des années 1960 et de citations de Michel Audiard. Du "15 000e degré", explique Jonathan Guémas, embarrassé. Ils ont quelques cibles préférées.
Conseiller de Gabriel Attal quand il était premier ministre, Louis Jublin assure que l’Elysée avait baptisé Matignon " a cage aux folles".
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La vidéo qui tue:
hymnes nationaux chantés par les footeux français et par les Israéliens…
Une horrible vidéo raciste, sioniste et nationaliste circule sur les réseaux sociaux. On y voit, dans la continuité, les internationaux français et israéliens au moment des hymnes.
Première surprise, aucun Blanc, sauf Théo Hernandez, dans l’équipe de France, et que des Blancs dans l’équipe israélienne.
Deuxième surprise, lors des hymnes nationaux, on voit les Bleus bouger à peine les lèvres, et nous faire du play back, à l’exception du capitaine d’un soir, Ngolo Kante. Tandis que les Israéliens, tels des rugbymen français, chantent à gorge déployée leur hymne national.
On cache au mieux d’autre part le fait scandaleux que l’hymne israélien a été sifflé par des pseudo-supporters français, venus pour en découdre avec les supporters israéliens.
Cette différence spectaculaire rappelle un précédent, la finale de la Coupe du monde en 2006, opposant les Français aux Italiens. On n’a jamais entendu une équipe de France de football chanter l’hymne national "Fratelli d’Italia" ainsi. On voit même des supporters italiens lever le bras, pourvu que Thomas Portes et Raphaël Arnault ne tombent pas sur cette vidéo…
Par contre, dans un registre semblable, nos rugbymen n’ont pas grand-chose à envier aux footballeurs italiens, mais la comparaison est accablante pour nos footeux bleus…
Sans parler du match d’hier soir opposant les Français aux All Blacks, et leur fameux haka, avec une belle victoire de nos rugbymen, par 30 points à 29.
Pour revenir au match de football France/Israël, exceptionnel reportage, pour "Frontières", ancien "Livre Noir" du journaliste Jordan Florentin, devant le stade de France. De manière surprenante, il arrive à interviewer des antifas, qui, pour une fois, lui répondent au lieu de chercher à casser son matériel ou de l’agresser. On sent malgré tout le reporter en permanence aux aguets, sur ses gardes.
https://www.youtube.com/watch?v=Mp15wcItwJ0
Mais l’essentiel n’est pas là, ce qui compte, c’est la dialectique des petits nazillons appelés antifas. Ils s’arrogent le droit d’interdire d’exister quiconque est qualifié de "fasciste" et "d’extrême droite" par eux, et paraissent convaincus en agissant ainsi de défendre les libertés.
Ils multiplient les propos ouvertement négationnistes sur le 7 Octobre, et antisémites contre l’État d’Israël, justifiant toutes les attaques contre l’État d’Israël, et les agressions contre les supporters du Macchabi Tel Aviv à Amsterdam. Ils évoquent un génocide pour qualifier Gaza, et jugent qu’Israël pratique l’apartheid.
On sent chez ces jeunes personnes haineuses un formatage et une haine qui les rendraient capables des pires pratiques totalitaires, qui oscillent entre le goulag pour les opposants, voire les camps de concentration pour les sionistes.
Mais bien sûr, la main sur le cœur, ils jurent que les seuls racistes sont d’extrême droite, et que les antifas combattent tous les racismes. Ben voyons!
Paul Le Poulpe