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Hommes - Page 43

  • La sclérose en plaques

    Quelles sont les causes de la Sclérose en Plaques? 

    L’origine de la SEP est multifactorielle, elle résulte de l’interaction entre gènes et environnement.  Si on ne connaît pas la cause précise qui provoque une SEP, on sait que certains gènes impliqués dans l’immunité pourraient représenter un facteur prédisposant à la maladie.

    On parle de maladie polygénique car plusieurs gènes doivent être réunis pour acquérir une prédisposition.

    Des facteurs environnementaux interviennent également  sans qu'il soit possible d'identifier l'un d'entre eux comme pouvant à lui seul déclencher la maladie: faible exposition au soleil qui entraîne une baisse de synthèse de la vitamine D (plus de cas de Sclérose en Plaques dans les pays occidentaux du nord, diminution très nette des cas de SEP lorsque l’on se rapproche de l’équateur) le tabagisme, infection à certains virus (EBV notamment). La pollution pourrait également augmenter le risque de SEP.

    Quels sont les 1ers symptômes de la SEP?  

    Les symptômes apparaissant au début de la maladie ou lors de son évolution sont variables d’un individu à l’autre. Certaines manifestations sont fréquentes: troubles de la sensibilité (sensation de fourmillement, d’engourdissement, de piqure, de brulure ou de froid, décharge électrique); troubles visuels, troubles moteurs … mais dans près d’un cas sur deux, le début de la maladie est marqué par l’apparition d’un seul symptôme.

    Dans un premier temps, le neurologue fait le diagnostic en fonction:

    • des symptômes décrits par le patient
    • de leur apparition dans le temps, soit sous forme de poussées différentes, soit de façon continue.

    Certains examens complémentaires peuvent aider à établir le diagnostic:

    • l’IRM, qui permet de visualiser les plaques au sein du système nerveux central et d’étudier leur évolution dans le temps;
    • la ponction lombaire, qui permet de rechercher des signes d’inflammation dans le liquide céphalo-rachidien

    Quel lien entre SEP et vaccins contre l’hépatite B? 

    De nombreuses études ont démontré l'absence de lien de causalité entre la vaccination contre l'hépatite B et la SEP.

    Ce vaccin est par ailleurs recommandé chez tous les enfants, adolescents et adultes susceptibles de contracter l’hépatite B, une infection pouvant être mortelle.  Selon plusieurs études, les vaccins contre l’hépatite B, la grippe, le tétanos, la rougeole et la rubéole n’augmente pas le risque de SEP ou de névrite optique.

    Il n’y a pas encore de données cliniques pour les vaccins suivants: la méningite, la typhoïde, l’hépatite A, la coqueluche et l’encéphalite japonaise. Prenez le temps de discuter de ces vaccins avec votre médecin de famille et votre neurologue.

    La Sclérose en Plaques a t-elle un impact sur l’espérance de vie? 

    Au cours des 40 dernières années, l’amélioration de la longévité de la population en règle générale, ainsi que les améliorations des soins pour lutter contre la SEP, ont contribué à l’augmentation de la survie des personnes atteintes de cette maladie. Par ailleurs, il est reconnu que la réduction de la longévité des personnes atteintes de la SEP est généralement liée à des handicaps avancés et aux complications liées à celle-ci.

    Aujourd’hui, on peut dire que l’espérance de vie des personnes atteintes de SEP serait de 5 à 7 ans inférieurs à la moyenne, et le fossé se réduit avec les avancées de la Recherche et le fait que la maladie soit traitée de plus en plus tôt.

    Peut-on mourir de la Sclérose en Plaques? 

    La Sclérose en Plaques est une maladie chronique, qui accompagne la personne touchée toute la vie puisqu’il n’existe pas de traitement pour la guérir aujourd’hui. Cependant, la Sclérose en Plaques est une maladie qui ne fait pas mourir. Chaque patient a une forme différente de maladie. Il existe quelques formes (la minorité des scléroses en plaques) extrêmement sévères et qui évoluent très rapidement. Ces patients peuvent avoir une espérance de vie réduite mais cela reste des cas isolés et rares.

    http://www.ligue-sclerose.fr

     

     

  • Parce que cela concerne énormément de gens....

    Cerveau: du venin de scorpion pour améliorer l'efficacité de certains médicaments ?

    Des chercheurs espagnols ont réussi à synthétiser une protéine à partir du venin de scorpion : celle-ci pourrait améliorer l'efficacité de certains traitements neurologiques.

    Avez-vous déjà entendu parler de Leiurus quinquestriatus ? Ce petit scorpion (qui mesure entre 8 et 10 centimètres et que l'on trouve principalement au Moyen-Orient et en Afrique) est aussi appelé " rôdeur mortel ". Et pour cause: sa piqûre, extrêmement douloureuse, injecte un venin neurotoxique capable de tuer un enfant, une personne âgée ou encore une personne souffrant de troubles cardiaques.

    Bonne nouvelle : des chercheurs du Institute for Research in Biomedicine (en Espagne) ont peut-être trouvé une utilité à ce puissant venin. En isolant le principal composé neurotoxique du venin (la chlorotoxine), les scientifiques sont parvenus à synthétiser une protéine, baptisée MiniCTX3. Celle-ci aurait la capacité de traverser la barrière hémato-encéphalique.

    La barrière hémato-encéphalique est une membrane qui sépare la circulation sanguine et le liquide céphalo-rachidien, la substance dans laquelle se trouvent le cerveau et la moelle épinière. Cette membrane permet de protéger le système nerveux central contre les substances toxiques - bactéries, toxines...

    "Environ 98% des molécules qui pourraient être utilisées aujourd'hui pour traiter certains troubles neurologiques sont inefficaces car arrêtées par la barrière hémato-encéphalique" précisent les chercheurs, qui ont publié leurs travaux dans la revue spécialisée Chemical Communications. La protéine MiniCTX3 (qui présente une "grande efficacité" selon les scientifiques) pourrait donc ouvrir la voie à de nouveaux traitements.

     

  • Hélas! cela arrive à n'importe qui, croyez-moi sur parole!

     

    des nourrissons en passant par la retraite et même le très grand âge...

    même moi... sep pp depuis 2005

     

     

     

  • Hommage à Stan Lee

     

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  • Hommage à Stan Lee

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  • Devoir de Mémoire

    Mon grand’oncle Léon Mellard, frère de ma grand’mère Rosa, a laissé un journal de campagne, commencé le 28 août 1914, date de son départ de chez ses parents à Lievin (Pas de Calais) et terminé le 03 mars 1916. Il est décédé trois jours plus tard.

    Ce journal a été rendu à sa famille; dans ce journal sont évoqués à maintes reprises, sa mère Élisabeth,  ses sœurs Élise, Marie, Rosa, son frère Pierre (décédé lui aussi, en juillet 1915, il l’apprend par sa mère à cette date), la femme de Pierre, Suzanne.

    De sa position il montre un souci constant pour sa famille, mais surtout pour sa fiancée Hélène dont il ne reçut, pendant ces 19 mois,  qu’une unique lettre le 08 octobre 1914, datée du 24 septembre,  Le questionnement est de plus en plus pressant, angoissé la concernant, au fur et à mesure que le temps passe ; il sait que le nord a été envahi par les allemands, il apprend les évacuations, les retours de populations, etc., les vrais et faux bruits qui ne le rassurent pas ; « vite, vite que Liévin soit délivré et que j’ai des nouvelles d’Hélène, Vite, Vite, Vite » il n’a pour lui que le recours à la religion, il est très croyant et pratiquant ; messes, vêpres et salut font partie de son quotidien; il communie; il invoque la protection de Dieu et de la vierge Marie.

    Ce récit va de la narration de ses déplacements, essentiellement en train, parfois en ambulance, à ses activités liées à sa condition de soldat (Caporal) sur le terrain c’est-à-dire les corvées, les manœuvres et les marches, le front en première ou deuxième ligne, le repos, les permissions –il en aura deux-, le quotidien sans confort, couchage, nourriture. Il se plaint très rarement; le ton  semble parfois monotone, mais plus souvent coloré, et des expressions reviennent: quelle misère, quelle guigne, je m’ennuie, je m’ennuie, vivement la paix.

    Il apprend la manière de transmettre la pensée avec les cartes qu’il recopie (une page et demi), la veille de son départ pour les tranchées,  il apprécie certains paysages, quand la nourriture s’améliore, le confort d’un lit d’hôpital. Reviennent aussi souvent ses démarches auprès de la sous-préfecture pour savoir où est sa famille, les listes d’évacués, auprès de l’autorité militaire pour savoir où sont affectés ses amis.

    Son dernier écrit, c’est une courte lettre datée  du 03 mars 1916; il l’a écrite assis sur mon sac dans la tranchée sous une toile de tente car il n’y a pas d’abri, et il pleut, quelle misère; le canon gronde bien fort et il y a fusillade au bois où était Pierre...... C'est bombardé chaque jour...... Priez bien je compte sur vous...

    Martine D. - Octobre 2018

    https://mellard1916.blogspot.com/

     

  • La preuve que les Toulousains....

     

    SONT LES PLUS INTELLIGENTS DE FRANCE!

     

    HO PUTAIN CON (G)  et …. PUTARAGNE!

     

    Selon la science, les gens qui jurent beaucoup auraient un meilleur vocabulaire que ceux qui ne jurent jamais

    Si vous avez déjà été accusé d’être moins intelligent car vous jurez trop, rassurez-vous, la science est de votre côté. Une étude de 2015 a révélé que les personnes possédant un vaste répertoire de jurons, sont également plus susceptibles d’avoir un vocabulaire plus riche.

    Cela remet en question le vieux stéréotype disant que les gens jurent car ils ne peuvent pas trouver de mots plus intelligents avec lesquels s’exprimer. Comme l’a dit un jour Stephen Fry, " le genre de personne qui pense que jurer est en quelque sorte le signe d’un manque d’éducation ou d’un manque d’intérêt verbal, est un pu**** de lunatique ".

    Les psychologues Kristin Jay et Timothy Jay du Marist College et du Massachusetts College of Liberal Arts ont émis l’hypothèse que les gens qui connaissent de nombreux jurons variés, sont également plus susceptibles d’avoir une plus grande fluidité dans leur manière de s’exprimer en général.

    Pour la première expérience, ils ont réuni 43 participants (dont 30 femmes) âgés de 18 à 22 ans, et leur ont d’abord demandé de prononcer autant de jurons que possible en 60 secondes. Ensuite, ils ont dû réciter autant de noms d’animaux qu’ils le pouvaient, également en 60 secondes. Les chercheurs ont utilisé les noms d’animaux comme une indication du vocabulaire général d’une personne et de son intérêt pour la langue.

    Comme tout mot ou expression étaient permis, les participants ont réussi à générer un total de 533 mots tabous et jurons. Les participants ont également été soumis à des tests standardisés de fluence verbale.

    Lors d’une deuxième expérience, 49 autres participants (dont 34 femmes) âgés de 18 à 22 ans ont été invités à effectuer une tâche similaire : cette fois, les participants ont été invités à écrire autant de jurons et de noms d’animaux possibles, commençant par la lettre " a ". Ils ont également complété divers tests de fluence verbale, afin d’évaluer leur aisance générale dans la langue.

    Les chercheurs ont également constaté que les jurons étaient générés à des taux plus élevés que les simples insultes, et qu’il y avait peu de différence entre ce que les participants féminins et masculins pouvaient proposer. " En accord avec les résultats qui ne montrent pas de différence entre les sexes quant à la taille du lexique de jurons, aucune autre différence de sexe n’a été obtenue ", expliquent les chercheurs.

    Ils ont également constaté que la capacité de générer de nombreux jurons n’était pas un indice de la pauvreté linguistique globale: en fait, ils ont constaté que la fluidité des jurons était positivement corrélée avec d’autres mesures de fluidité verbale.

    "Autrement dit, un vocabulaire volumineux comprenant de nombreux jurons peut être considéré comme un indicateur de capacités verbales saines, plutôt que comme une couverture de leurs déficiences", expliquent les chercheurs. "Les locuteurs qui utilisent des mots tabous comprennent leur contenu expressif général ainsi que les distinctions nuancées qui doivent être utilisées pour employer les insultes de manière appropriée. La capacité à faire des distinctions nuancées entre les jurons et les insultes par exemple, indique la présence de plus de connaissances linguistiques plutôt qu’une pauvreté de vocabulaire", ajoutent-ils.

    Bien entendu, il s’agit d’une étude menée sur un petit échantillon d’individus, il faudrait qu'une plus grande cohorte puisse être analysée.

     CQFD -  Macarel et macaniche!