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Enfants - Page 5

  • Lutter contre le foutu coronavirus avec des antibiotiques!

     

    Les traitements qui marchent sont :

        Hydroxychloroquine + Azithromicyne : Didier Raoult (France), Steven Smith (USA)

        Hydroxychloroquine + Azithromicyne + Sulfate de zinc : Zev Zelenko (USA).

        Azithromycine + Singulair + Zinc : Médecins de l’Est, Philippe de Joux.

        Chloroquine + Doxycycline : médecin de Long Island (USA).

        Macrolide + C3G : Sabine Palliard-Franco (France).

        Azithromycine + Effizinc + Singulair + Héparine : trois médecins généralistes (France)

        (L’oxyde nitrique inhiberait le cycle de réplication du coronavirus :

        (L’anti-grippal japonais Avigan aurait de bonnes performances :

  • DOSSIER: coronavirus, ce qu'il faut savoir 1 et 2

    a lire ici, un autre de mes blogs

    http://demaincestaujourdhui.hautetfort.com/archive/2020/03/11/dossier-coronavirus-ce-qu-il-faut-savoir-6219098.html

    Écrit par des médecins

     

    http://demaincestaujourdhui.hautetfort.com/archive/2020/03/11/dossier-coronavirus-ce-qu-il-faut-savoir-2-6219101.html

  • Profs de merde!

    J'ai vu hier soir sur une chaîne infos du satellite des jeunes d'Agen obligés de marcher sur des livres scolaires pour entrer en classe et passer des épreuves du bac, la moitié de l'écran était occupée par une putassière syndiquée qui osait dire: “ce sont des ouvrages périmés qui doivent aller à la benne“ ne se rendant même pas compte que c'est ce que l'on reproche aux gens de daech qui on fait sauter Palmyre et les autres, en Afghanistan, qui ont fait sauter des statues anciennes de plusieurs centaines d'années.

    Tu sais au moins ce que c'est un autodafé? la plus monstrueuse atteinte et insulte à l'intelligence humaine!

    J'ai eu un haut le cœur et les larmes aux yeux, moi, qui allait à l'école, entre 1954 et 1958, à pieds, sur 2,5 km alors âgée de 4 à 8 ans; lorsqu'il arrivait que j'étais fiévreuse, je vous jure sur mon honneur, que je secouais le thermomètre, en cachette, pour faire baisser la température marquée et pouvoir ainsi aller à l'école.

    J'ai vu des documentaires montrant des gosses d'un dizaine d'années faisant une dizaine de km, tous les jours, dans la froidure, le soleil brûlant, grimpant des éboulis au-dessus de précipices ou louvoyant entre des épineux du désert, d'autres faire une soixantaine de km à cheval dans des conditions de météo tout aussi difficiles pour aller à l'école où le prof n'a qu'un livre pour les plus de 40 élèves la classe. Quel courage et quelle ténacité!

    A 14 ans, j'ai dû aller dans une usine à confection, ramener une petite paye à ma mère, veuve avec six enfants. On m'a trouvé un QI de 130 et nul doute que j'aurais pu faire de longues études dans une fac.

    Et quand je vois ces ponctionnaires à la peau du ventre bien tendue, se comporter de cette façon, je me dis que si la sclérose en plaques se transmettait par le sang, j'entaillerais profondément mes mains et j'irais à la ville voisine de Toulouse, leur coller des gifles avec grande joie et bonheur, me foutant totalement de devoir faire un séjour en taule!

    Quand on pense que la majorité des profs sont reçus à leur diplômes avec 3,5 sur 20, je me dis que de nombreux enfants de leur classe sont, sans aucun doute, plus intelligents qu'eux.

    Ce n'est pas du pognon et des prébendes supplémentaires qu'il leur faut car la conscience professionnelle ne s'achète pas!

    C'est un retour à la maternelle pour leur enfoncer dans le crâne l'art d'être un ponctionnaire capable d'empathie avec les enfants qui leurs sont confiés par des parents qui veulent que leurs enfants ne soient des gilets jaunes, comme eux.

    3,5 sur 20!!! pas croyable!!!

    J'assume totalement ce que j'écris et je me tape des émotions perturbées de ces fragiles poulpes qui se prennent pour des intellectuels.

    Mierda à la gauchiasse.

     

  • Noël, Noël, la fête magnifique!

    Quelle est la signification du mot Noël?

    Il existe plusieurs hypothèses sur l’origine du mot Noël, mais notre guide conférencière, Marie-Thérèse Garcin, a une préférence pour l’une d’entre elles. Le mot Noël, apparu au 12 e siècle, vient du latin "natalis" qui signifie relatif à la naissance. Noël est donc la fête qui commémore la naissance de Jésus né, selon le Nouveau Testament, à Bethléem.

    Depuis, Noël a dépassé sa signification religieuse. C’est devenu une fête civile, sociétale, correspondant à un moment de partage. Elle est fêtée par de nombreuses familles, même celles qui n’ont aucune tradition chrétienne.

    Pourquoi a-t-on choisi de fêter la naissance de Jésus le 25 décembre?

    Depuis la nuit des temps, les hommes ont célébré les solstices (hiver et été), c’était pour eux l’occasion de réjouissances. Pour le solstice d’hiver, on offrait du miel, des gâteaux, de l’or. Les maisons étaient décorées de gui, de houx.

    Ces fêtes païennes, antérieures à la tradition chrétienne, permettaient de faire face à la nuit la plus courte de l’année, annonciatrice des jours qui allaient rallonger, avant que la végétation reparte pour un nouveau cycle.

    C’est au IVe siècle que l’Eglise chrétienne a décidé de fêter la naissance de Jésus le 25 décembre, date du solstice d’hiver dans le calendrier julien. Son objectif était de détrôner la fête païenne. Aujourd’hui, après l’introduction du calendrier grégorien, au XVIe siècle, la date a été décalée au 21 décembre.

    Quelle signification a la bûche à Noël?

    Une autre tradition liée au solstice d’hiver est celle de la bûche de Noël. Là aussi, cela remonte à la nuit des temps. Pour faire face à la nuit la plus longue de l’année, rien de tel qu’une bûche pour entretenir le feu et mettre de la lumière dans la maison.

    Dans la tradition chrétienne, on faisait brûler dans l’âtre une très grosse bûche lors de la veillée de Noël. Elle provenait d’un arbre fruitier, censé garantir une bonne récolte pour l’année suivante.

    Dans certaines régions, comme en Bourgogne, la bûche était arrosée de vin afin d’assurer une bonne vendange à venir. Dans d’autres, on utilisait du sel pour se protéger des sorcières. Cette bûche devait se consumer très lentement et la tradition voulait que l’on conserve les tisons pour préserver les maisons de la foudre.

    Aujourd’hui, cette bûche a pris la forme d’un dessert indissociable des fêtes de Noël.

    Pourquoi le sapin est-il associé à la tradition de Noël?

    Le sapin de Noël puise son origine dans la tradition celte. En effet, pour les Celtes le 24 décembre était le jour de la renaissance du soleil. Pour eux, chaque mois (lunaire) était associé à un arbre et décembre l’était à l’épicéa, un arbre qui reste vert même en hiver.

    Cette tradition païenne qui s’était perdue a resurgi dans l’est de la France, notamment en Alsace, au 16e siècle et a été assimilée à la fête chrétienne. Mais c’est surtout la reine Marie Leszczynska, épouse de Louis XV, qui a lancé le rite du sapin à Noël en en installant un à Versailles en 1738.

    Le Père Noël a-t-il toujours été associé à la fête de Noël?

    Le Père Noël doit beaucoup à saint Nicolas célébré dans l’est de la France et dans les pays du nord de l’Europe depuis le 12e siècle.

    Depuis, dans la nuit du 5 au 6 décembre, saint Nicolas, vêtu de son habit d’évêque, voyage à dos d’âne pour passer dans les maisons distribuer des friandises et des cadeaux aux enfants sages.

    C’est un pasteur américain, un certain Moore, qui a donné naissance au Père Noël, dans un conte qu’il a écrit pour ses enfants en 1821. Il le décrit comme un homme dodu, sympathique et jovial habillé de vert qui se déplace dans un traîneau tiré par huit rennes. C’est le caricaturiste Thomas Nast, un autre Américain, qui revêt le Père Noël d’un habit rouge garni de fourrure blanche et le domicilie au pôle Nord.

    En Bourgogne, l’ancêtre du Père Noël était, il n’y a pas si longtemps, encore, le Père Janvier. Il était représenté sous la forme d’un vieillard, habillé d’une robe de bure marron, qui venait distribuer les cadeaux qu’il portait dans sa hotte dans la nuit du 31 décembre au 1er janvier. Lui aussi passait par la cheminée. Cette tradition a perduré jusque dans les années 1930.

    Gastronomie et fêtes de Noël ont-elles toujours été liées?

    Manger des mets raffinés tel que le foie gras, les crustacés, les huîtres… est une tradition récente. Par contre, manger de la volaille, de la dinde ou une oie remonte à plus longtemps. En effet, les volailles (particulièrement les oies) étaient des symboles solaires garantissant protection à ceux qui en mangeaient. Les volailles de Bresse se retrouvent sur de nombreuses tables à Noël.

    Pourquoi utilise t-on le vert, le rouge, le blanc et le doré pour les décorations de Noël?

    Aujourd’hui, les décorations de Noël, comme le reste, ont tendance à suivre les courants de la mode. Malgré cela, le vert, le rouge, le blanc et le doré restent les couleurs traditionnelles qui ont une valeur symbolique :

    – le rouge car c’est la fête, la chaleur.

    – le vert car il rappelle le sapin et le houx: la légende veut que lorsque la Sainte Famille fut contrainte de quitter l’Egypte, elle se dissimula derrière des branches de houx. En guise de reconnaissance, Marie l’aurait béni en annonçant que le houx serait éternellement symbole d’immortalité.

    – le blanc symbolise la neige, la pureté, la naissance de Jésus.

    – le doré représente la couleur de l’étoile, symbole de lumière et d’espérance. […]

    https://france3-regions.francetvinfo.fr/bourgogne-franche-comte/cote-d-or/dijon/sapin-buche-pere-noel-quelles-sont-origines-toutes-ces-traditions-noel-1760363.html