Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Enfants - Page 22

  • Cervelles polluées par la connerie religieuse... nous sommes entrés dans un monde de ténèbres

    La Réunion: Séance d’exorcisme musulman devant le collège pour conjurer " les esprits "

    Le corps agité de tremblements, les yeux révulsés, incapables de se tenir debout, 25 élèves d’un collège de Saint-Louis (sud de La Réunion) se disent depuis quelques jours victimes "d’esprits". Des parents ont demandé à faire exorciser le collège, mais le principal de l’établissement souligne que les pompiers n’ont rien trouvé de "tangible" chez les élèves.

    Ibnahmad Al-Maori, qui se présente comme un prêcheur musulman et un raquy, un exorciste, a procédé à une séance de "captage des esprits", ce matin devant le collège du Gol.

    Une cellule de soutien a cependant été mise en place au collège, composée d’une psychologue, d’une infirmière et d’une assistante sociale. Les "esprits" se seraient manifestés pour la première fois le 10 février, mais les faits n’ont été révélés que mardi par Le Journal de l’île de La Réunion. [...]

    Les "crises", qui n’ont concerné que des jeunes filles, quasiment toutes originaires de Mayotte, île voisine de La Réunion, ont toujours eu lieu en public, généralement dans la cour de l’établissement. [...]

    Mardi, un couple se présentant comme des exorcistes musulmans a tenté d’entrer au collège pour le bénir. Le couple s’est finalement livré à une séance à l’extérieur de l’établissement. Le mari expliquant qu’il pouvait, par l’intermédiaire de son épouse, communiquer avec les djinns qui se manifesteraient à travers les collégiennes. [...] À La Réunion, carrefour d’ethnies, de religions et de cultures, les esprits, revenants et autres fantômes sont très présents dans l’imaginaire collectif.

    http://www.fdesouche.com/701095-la-reunion-seance-dexorcisme-musulman-devant-le-college-pour-conjurer-les-esprits

  • Une histoire fantastique à Toulouse

    LA DAME EN BLANC

    HISTOIRE FANTASTIQUE PAR JOSYANE JOYCE ©

     

     Une nuit orageuse d'été dans la nuit toulousaine

     La soirée entre amis est terminée, il est temps de rentrer chez soi. Jean-Pierre et Maryse raccompagnent Danièle et ses deux filles à leur voiture. Il n'est pas loin de minuit et la chaleur de la nuit est accablante. Au loin, on entend l'orage venir; des roulements de tambour puissants dérangent le calme de la nuit chaude et poisseuse.

    Dans l'épaisseur de la nuit d'été, un petit vent lourd et grave commence à ronfler dans les cimes des arbres qui entourent la propriété des amis hôtes de la soirée. Tout le monde a passé une bonne soirée, Danièle à été comblée de cadeaux pour son anniversaire, toute la petite troupe est heureuse de ce grand moment de partage et de convivialité… l'heure a tourné sans que personne ne s'aperçoive de la fuite du temps et, pourtant, maintenant, il est l'heure de regagner la petite résidence des Pierremartin.

    Maryse embrasse chaleureusement Danièle a son habitude et lui dit: “rentre bien, fille, avant que l'orage n'éclate! et surtout soit bien prudente!".

    Danièle rit et redit en rendant deux bises sonores sur les joues roses et un peu ridées de sa meilleure amie: “merci pour cette bonne soirée, comme d'habitude tu nous as gâtées“!

    “Mais non, mais non, nous sommes toujours très heureux de vous avoir à souper“! Elle frotte les bras de haut en bas, de son amie en signe de réconfort. C'est son geste habituel, celui que Danièle aime et n'oubliera jamais…. Le geste de l'amitié éternelle, la douceur chaude des relations entre deux amies qui se comprennent si bien.

     La suite est ici:

     

     

  • L'Education Nationale aujourd'hui …

    Au lycée, en cours d'’histoire, le professeur pose une question qui va se révéler lourde de conséquences:

    > > – Qui a cassé le vase de Soissons?

    > > – C’est pas… moi, m’sieur!

    > > – C’est pas moi non plus!

    > > – Ni moi!

    > > Et toute la classe nie avoir cassé le vase, ce qui finit d’'anéantir le pauvre prof.

    Le soir même, après les cours, il va raconter au directeur ce qui c'est passé dans sa classe.

    Le directeur dit:

    > > – C’est trop grave, il faut prévenir l’'Inspecteur d’Académie!

    L'’inspecteur vient le lendemain et après s'’être fait relater les faits, dit:

    > > – Ça va trop loin, il faut en aviser le Ministère!

    Et les voilà, tous les trois, le lendemain à Paris au Ministère de l’Éducation Nationale.

    Ils racontent ce qui s’est passé à la ministre de l'’éducation, qui les écoute avec attention.

    Après un moment de réflexion, la ministre va fouiller dans son sac à main et en sort deux billets de 50 euros qu’elle tend au professeur en lui disant:

    > > – Prenez cet argent, vous rachetez un autre vase, vous le mettez à la place de l’autre, vous ne dites rien à personne

    > et on étouffe l’affaire !!!

    > > Pas de scandale en période électorale, surtout pas !

     

  • Ils viennent jusque dans nos bras, égorger nos fils et nos compagnes!

     Où sont les hommes européens?

     

    À Cologne, en particulier la nuit de la Saint-Sylvestre, on ne boit pas que de l’eau. Parmi les milliers de personnes qui s’étaient rassemblées devant la gare centrale de la ville, à deux pas de l’antique cathédrale, pour " faire la fête ", en cette soirée du Nouvel An, un certain nombre, autochtones ou allogènes, étaient probablement dans l’état second que crée, paraît-il, l’absorption de diverses substances, par exemple à base de raisin, de houblon, d’orge, de cannabis ou de coca.

    Que s’est-il exactement passé? Après que des plaisantins ou des provocateurs ont tiré de gros pétards d’artifice dans la foule, une partie des badauds venus en famille, pris de panique, ont évacué les lieux sous la protection des forces de l’ordre. C’est alors que quelques bandes, composées, d’après le chef de la police municipale, de jeunes gens " de dix-huit à trente-cinq ans, apparemment d’origine arabe ou nord-africaine ", s’en sont systématiquement prises aux femmes isolées restées sur place, leur arrachant téléphones portables, sacs à main, et profitant de la bousculade et de la nuit pour les caresser, pour les " tripoter " et, au moins dans un cas, pour aller plus loin.

    Quatre-vingt-dix plaintes ont été en tout cas déposées à la suite de ces actes de banditisme. Les voyous qui se sont rendus coupables de ces vols, de ces agressions et de ce viol venaient-ils des " quartiers ", puisqu’on apprend à cette occasion que l’Allemagne, comme la France ou la Grande-Bretagne, connaît elle aussi quelques problèmes avec ses cités? S’agissait-il d’arrivants récents, issus du flot torrentiel des 900.000 " migrants " qui ont déferlé l’année dernière sur le pays avec la bénédiction de Mme Merkel? L’enquête devrait permettre de l’établir.

    Gardons le sens des proportions. Les incidents de ce 31 décembre n’ont, évidemment, pas l’ampleur et la gravité du carnage parisien du 13 novembre. Leur dimension n’en dépasse pas moins celle d’un simple fait divers et ce n’est pas créer ou entretenir un climat " nauséabond ", pour reprendre le terme utilisé hier matin par la présentatrice du journal de France Inter, que de s’interroger sur leur signification, leurs conséquences et peut-être avant tout sur les réactions qu’ils ont suscitées.

    Délinquants d’habitude ou délinquants d’occasion, immigrés de longue ou de fraîche date, qu’ils aient prémédité ou non leurs débordements, leurs auteurs ne savent pas où et quand ils vivent. Pour eux, une femme seule, non voilée, éventuellement court vêtue, qui se trouve dans la rue passé minuit est une femme de mauvaise vie, un jouet sexuel, une proie offerte aux convoitises et aux outrages des mâles. Ils ne se sont pas autrement conduits avec les Allemandes qui étaient à leur merci que les révolutionnaires égyptiens du printemps arabe, sur la place Tahrir, avec les journalistes occidentales et autres émancipées qui passaient à portée de leurs mains baladeuses.

    Angela Merkel, dont la politique d’ouverture des frontières – applaudie dans un premier temps, aujourd’hui de plus en plus discutée ou désapprouvée – risque de subir le contre-coup des incidents de Cologne, a condamné dans les termes les plus durs " des actes insupportables ". Il est désormais de sa responsabilité de subordonner l’accueil et le maintien sur le sol allemand des migrants, demandeurs d’asile et autres réfugiés à leur acceptation et à leur respect des mœurs et des lois en vigueur en Europe.

    C’est d’ailleurs le sens du message que la chancelière a adressé au maire de Cologne, Mme Henriette Reker, accessoirement élue de la CDU. Or, celle-ci l’a semble-t-il entendu d’une autre oreille.

    Passe encore que Mme Reker se soit moins souciée, dans un premier temps, de la poursuite et de la punition des agresseurs que de la réputation de sa ville et du succès du prochain carnaval local (un million de visiteurs attendus). Mais l’édile rhénane n’a pas craint de se tourner vers les potentielles victimes du machisme islamique pour leur recommander de bien vouloir adopter, dans les meilleurs délais, un comportement plus sage et moins provocant que celui qui a déclenché les incidents de la semaine dernière. C’est tout juste si elle ne leur a pas indiqué la contexture et l’épaisseur de la burqa qu’elles devraient revêtir. Dame, il faut vivre avec son temps !

    Autant dire à la horde sauvage du 31 décembre: "Chez nous, vous êtes chez vous. Ne vous essuyez pas les pieds avant d’entrer dans la maison. Installez-vous sur le canapé pour regarder la chaîne de votre choix. Videz le réfrigérateur. Et si le maître de maison n’est pas d’accord, fichez-le donc dehors et prenez sa place dans le lit de votre hôtesse…

    Où l’on voit que Soumission n’est pas un roman d’anticipation.

     

  • Trouvé sur un site de nutrition

    Méchant Père Noël!

    Je frôle l’obésité, je me gave de chocolat, je suis perpétuellement enrhumé, je fume une petite pipe de temps en temps et il m’arrive même de conduire bourré, qui suis-je? Petit indice pour ceux qui n’auraient pas deviné: des millions de petits enfants m’adorent. Je suis: le Père Noël, bingo!

    L’idole des jeunes, le seul personnage qui détrône Ronald Mac Donald dans le cœur des enfants, serait-il un délinquant de la santé?

    Il est en surpoids

    Normal, il mange du chocolat et de la bûche de Noël à la crème pâtissière. Ils sont où les 5 fruits et légumes par jour? En plus il ne fait pas de sport, il prend son traîneau pour le moindre trajet d’une cheminée à l’autre et ce sont les rennes qui font tout le boulot. Manger-bouger on vous a dit. Pour le docteur Nathan Gills, ce ventre rebondi qui est une des sympathiques caractéristiques du Père Noël est tout simplement politiquement incorrect à l’heure où tous les médecins du monde nous serinent de surveiller notre tour de taille.

    Il fume

    Bon, en réalité, il a considérablement réduit sa consommation de tabac depuis que cette mauvaise habitude est déconseillée pour la santé publique. N’empêche, souligne le chercheur, qu’on trouve toujours ça et là des représentations du Père Noël qui fume une pipe ou un petit cigare. Bel exemple pour la jeunesse.

    Il boit du coca

    C'est Coca-Cola qui a contribué à populariser l'image d'un Père Noël rondouillard et jovial, grâce au talent de l'illustrateur Haddon Sundblom. Evidemment avec une bouteille de soda à la main. Ce qui a probablement valu au Père Noël un ou deux pontages!

    Il conduit complètement bourré!

    La tradition américaine veut que le Père Noël se voit offrir un petit Brandy à chaque maison visitée pour se donner le courage de retourner affronter le froid sur son traîneau. Résultat des courses: il finit sa tournée avec plusieurs grammes d’alcool dans le sang, vive la sécurité routière!

    Il rend les enfants malades!

    Vous voyez bien ce gros nez rouge qu’il affiche sur la plupart des images, ça c’est le signe d’une rhinite carabinée. Ou pire: d’une bonne grippe! Pour le chercheur, le Père Noël est un véritable vecteur de maladie, il suffit qu’il tousse sur les petits enfants installés sur ses genoux pour la photo au supermarché et il aura infecté des centaines de chérubins en une seule journée. Pour Noël, une petite grippe A ça vous dit?

    Et l'an prochain? Au boulot, le Père Noël!

    Pour l’an prochain, le Père Noël devra avoir subi un sacré régime. Et il devra abandonner son traîneau et confier ses amis les rennes à la SPA pour aller distribuer les cadeaux en vélo ou au pas de course. Comme un sportif accompli.

    Note de la rédaction: Après cet article, que la journaliste ne s’étonne pas si le Père Noël, un brin revanchard, oublie sa cheminée pour sa prochaine tournée en petite foulée.

  • U ber, U ber, ça me rappelle quelque chose...

    Elle appelle son fils Uber après avoir accouché dans un VTC

    Par valeursactuelles.com  

    Insolite. Alors qu’elle se dirigeait vers l’hôpital en véhicule de tourisme avec chauffeur (VTC), une femme a accouché dans le véhicule, et décidé de donner à son fils le nom de la compagnie.

    Le Times of India rapporte cette semaine une histoire insolite qui devrait réjouir les publicitaires d’Uber. Après avoir essayé d’obtenir une ambulance en vain, une jeune indienne sur le point d’accoucher a commandé un véhicule à la compagnie de VTC pour la conduire à l’hôpital.

    N’ayant pas eu le temps d’atteindre l’établissement à temps, le chauffeur s’est improvisé médecin et a aidé la jeune femme à mettre au monde son fils. Cette dernière a donc choisi de remercier le chauffeur et la compagnie de VTC en nommant son fils… Uber