Choses - Page 18
-
Décoration
-
Fiesta?
Se déguiser? Cliquez sur l'image
-
Baguette... notre identité... fière de l'être!
-
Pub!
-
L’électromagnétisme pourrait-il améliorer le cerveau humain?
Par le biais d’un simple casque occasionnant de petites impulsions électromagnétiques, il serait possible de stimuler le potentiel du cerveau. Selon les fabricants, les effets seraient multiples: fonctions cognitives améliorées, tout comme les cinq sens ainsi que les aptitudes physiques et le sens moral.
L’humain est imparfait et il est souvent fait mention de recherches portant sur l’amélioration de l’Homme, à savoir, le transhumanisme. Il s’agit d’utiliser des moyens technologiques pour sélectionner ou modifier les caractéristiques et les capacités humaines. Dans ce sens, évoquons les implants sous-cutanés, les nootropes, ou encore les exosquelettes.
Cependant, plutôt que de devenir un cyborg (ou un drogué) et subir des mutations physiques et/ou physiologiques, le salut ne pourrait-il pas passer par l’électromagnétisme? Il s’agit ici d’une technique nommée stimulation magnétique transcrânienne (TMS) entrant déjà dans le diagnostic et dans le traitement de certaines affections psychiatriques et neurologiques.
Depuis peu, il est question de rendre cette technologie accessible au grand public. En effet, des sociétés comme Halo Neroscience croient au potentiel de la TMS pour améliorer nos facultés intellectuelles, physiques et morales. La science le sait, le cerveau a un potentiel finalement peu exploité et la TMS pourrait éventuellement « débloquer » ce même potentiel.
La TMS consiste à envoyer dans des endroits très précis du cerveau, durant quelques minutes, un courant électrique (ou un champ magnétique). Par ce biais, il serait possible de modifier l’activité des neurones et, par conséquent, toutes les fonctions qui en découlent. Le processus semble pouvoir s’installer sur le long terme et ne nécessite aucune modification corporelle puisque la TMS requiert seulement l’utilisation d’un casque ou d’électrodes.
Comme ceux de Halo Neroscience, bien que d’autres sociétés existent, les casques proposés pour quelques centaines d’euros pourraient aider les sportifs dans leurs entraînements, les musiciens dans leurs répétitions, la mémoire des étudiants, et même permettre aux férus de jeux vidéos d’améliorer leurs scores.
-
Le chauffeur a refusé de conduire les camions qui contenaient charcuterie ou alcool…
Un sexiste!
Sans doute que pour Obono, refuser de conduire un camion qui contient du porc ou de l’alcool, c’est sexiste.
Mon témoignage pour cette hypocrite de Danielle Obono: je plante le décor: une plate forme logistique alimentaire travaillant pour une enseigne parisienne bien connue, un chauffeur intérimaire arrive en début d’après midi pour remplacement. Il aura deux livraisons à faire avec deux véhicules différents, un premier tour pour livrer du frais, le deuxième pour livrer du sec (conserves, alimentation ne nécessitant pas d’être maintenue sous température dirigée).
Nous le voyons arriver, il a le look "islamiste" avec la grande barbe…l’exploitant gérant l’activité et les chauffeur loués au service de cette plate forme, lui même maghrébin le désigne immédiatement comme étant "islamiste".
On le salue, il va avec l’exploitant se faire expliquer ce qu’il aura à faire dans l’après midi.
Je le vois une vingtaine de minutes plus tard repartir vers le parking voiture. Je rencontre un autre collègue chauffeur dans la journée et m’étonne qu’il ait été affecté à une livraison qu’il ne devait pas faire. Il me dit lorsque je le questionne: il y a un intérimaire qui à fait défaut, et un autre n’a pas voulu faire le travail et est rentré chez lui. Je comprends que c’est le barbu que j’avais vu retourner au parking voiture.
Je vais voir l’exploitant pour lui demander pourquoi l’intérimaire n’a pas voulu faire les livraisons. L’exploitant me répond: le gars a demandé si dans le chargement de produits frais il y avait de la charcuterie? la réponse a été oui! Puis il a voulu savoir si dans le deuxième tour de "sec", il y avait des bouteilles d’alcool? La réponse a été de nouveau affirmative.
Le gars n’a pas voulu toucher au camion pour effectuer les livraisons pour cause de charcuterie et alcool dans le chargement. Pourtant la marchandise était sur palettes, et la manipulation n’impliquait pas la consommation ni même d’être en contact directe avec les produits. Le camion n’avait pas été conduit par une femme, elles sont relativement peu nombreuses dans le transport en zone courte.
Sans doute que pour Danielle Obono, ne pas vouloir conduire un camion parce qu’il y a de la charcuterie et de l’alcool dans le chargement, c’est sexiste!
Être hypocrite à ce point relève de l’imbécillité caractérisée!
-
Adieu ma cabine!
Le 31 décembre, Orange aura démonté les derniers Publiphones où se pressaient les Français il y a vingt ans, avant l'ère du mobile.
Le cadran a tourné. Le 31 décembre, après un siècle de bons et loyaux services, les dernières cabines téléphoniques publiques vont disparaître, balayées par le succès du mobile. Si la France en a compté jusqu'à 300 000 dans les années 1990, en cette rentrée 2017 elles ne sont plus que 5 450, selon Orange, qui a donc programmé leur disparition pour la fin de l'année.
A Paris, où le premier téléphone public est apparu en 1884, on ne voit déjà plus une seule cabine. La dernière, située rue Ordener (XVIIIe arrondissement), a été démontée en juin dans l'indifférence générale. Mais dans certaines communes rurales, la tonalité est tout autre (lire ci-dessous). " Le trafic des cabines n'est plus aujourd'hui que de 0,6 % de ce qu'il était en 2000 ", explique Laurentino Lavezzi, directeur des affaires publiques d'Orange. De 516 M€ de chiffre d'affaires en 2000, ce service génère dorénavant des pertes supérieures à 10 M€ par an.
Un service cher et boudé par le public
“La durée moyenne d'appel par cabine est tombée à 10 secondes par jour. Sur les 10 000 cabines encore en service au premier trimestre 2017, la moitié n'ont pas décroché une seule fois", insiste Laurentino Lavezzi. Le mouvement de désinstallation a commencé en douceur à la fin des années 1990, en même temps que le mobile creusait son sillon. Le coup de grâce est venu en 2015, lorsque le Parlement a voté la loi Macron. L'une des mesures concernait la suppression du service universel d'Orange, à savoir l'obligation pour l'opérateur de maintenir les 46 000 cabines devant garantir sur tout le territoire le maintien d'un accès au téléphone. Les parlementaires ont admis qu'il était devenu aberrant de dépenser chaque année plus de 14 millions d'euros pour maintenir en état des Publiphones boudés par un public équipé massivement de mobiles.
"Nous comprenons certaines réactions, qui posent plus largement la question de l'aménagement du territoire et de la disparition progressive des services publics, mais nous préférons investir dans le développement des réseaux mobiles que dans l'entretien de cabines inutilisées", se défend le directeur des affaires publiques d'Orange.
Les nostalgiques se consoleront en apercevant de-ci, de-là, des cabines recyclées en bibliothèques par des mairies pragmatiques. Ils pourront aussi se raccrocher aux musées des Télécoms pour en voir. C'est là qu'est désormais leur place. Comme à Soisy-sous-Montmorency (Val-d'Oise) qui abrite la collection historique d'Orange, ou à la Cité des télécoms de Pleumeur-Bodou (Côtes-d'Armor).
Mais que deviennent-elles?
- A Rueil-Malmaison (Hauts-de-Seine), les huit cabines téléphoniques ont été transformées en bibliothèques de rue. LP/Adeline Daboval
Où vont les milliers de cabines téléphoniques démontées par France-Télécom, devenu Orange? Une petite partie connaît une seconde vie, parfois inattendue. Les plus grands sauveurs de cabines sont les mairies. De plus en plus, elles demandent à Orange de leur céder gracieusement une de ces reliques du siècle passé pour en faire des "boîtes à livres", une mini-bibliothèque installée sur la voie publique, toujours ouverte, où l'on peut en général enlever mais aussi déposer à volonté toutes sortes de livres dans un but de partage. Rueil-Malmaison, dans les Hauts-de-Seine, a ainsi installé le plus grand nombre de cabines: 8. En Ile-de-France, on en trouve aujourd'hui 40, tandis que l'ensemble du territoire en compte pas moins de 1 257 !
Cette disparition annoncée des Publiphones a aussi eu pour effet de leur redonner de la valeur sur un marché parallèle, celui des collectionneurs. Sur eBay, on peut trouver aux enchères une cabine récente en aluminium mise à prix à 299 euros !
Une touche artistique
Seconde vie plus originale encore: le détournement artistique. Les plus célèbres sont ceux du plasticien lyonnais Benedetto Bufalino, qui a présenté en juillet une cabine France Télécom à roulettes, circulant sur la voie publique, et dans laquelle on voit l'artiste téléphoner. Son nom? "Le Téléphone mobile"... Sa vidéo a été vue 1,5 million de fois déjà sur sa page Facebook. Benedetto avait déjà créé un aquarium à poissons à partir d'une cabine.
Et les autres Publiphones? Un accord national a été passé avec Veolia. Le groupe expert en valorisation des déchets est chargé d'enlever les cabines déconnectées et de récupérer le verre et l'aluminium pour les recycler.
-
Je suis mon cassoulet!