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INSOLITE et DEJANTES - Page 271

  • Journalistes: comment ils vous manipulent

    " Comment les médias nous parlent (mal) " de Mariette Darrigrand

    Publié dans Lecture, Médias

    Dans une Société devenue hyper-médiatique, une sémiologue de renom s’intéresse aux effets destructeurs du langage journalistique sur le moral des Français et surtout au caractère stérile des mots utilisés, qui n’ont pour effet que de paralyser la seule chose qui compte véritablement : l’action. Une sorte de nivellement par le bas, en somme.

    Par Johan Rivalland.

    Comment les médias nous parlent mal

    Je ne connaissais pas Mariette Darrigrand. Elle est sémiologue, un métier connu à travers les analyses que l’on peut lire, ici ou là, depuis longtemps en Sciences politiques, communication, ou Marketing, notamment.

    Sa spécialité, quant à elle, est l’analyse du discours médiatique.

    Elle intervient, semble-t-il, dans divers médias, en particulier France Culture, où elle anime une chronique dans une émission intitulée "Le secret des sources", que j’écouterai volontiers un de ces jours…

    L’hypertrophie de la Doxa

    Le présent essai Comment les médias nous parlent (mal), s’intéresse au caractère néfaste de l’usage excessif de certains mots dans les médias, qui reviennent de manière redondante, selon une certaine forme de panurgisme aux effets qu’elle juge dévastateurs, et selon les modes du moment.

    Un thème, donc, parfaitement intéressant et reflet de notre Société. Un révélateur de l’esprit devenu dominant de la Doxa (parole vide, selon le vocabulaire de nos philosophes antiques) face au Logos (parole pleine).

    Le principal reproche émis à l’encontre des médias est l’usage fait du vocabulaire et le pessimisme ambiant dans lequel il nous plonge collectivement.

    Non pas que nous n’ayons pas de bonnes raisons d’éprouver certaines formes de pessimisme (par exemple face à la relative léthargie de nos politiques dans leur action), mais parce que ce vocabulaire, loin d’être au service de l’action ou de la réaction, se limite à déplorer, se lamenter, s’auto-flageller de manière stérile, sans véritable souci de comprendre, d’analyser, de construire.

    Et le problème est que, dans cette société hyper-médiatisée, nous baignons, du matin dès le réveil et jusqu’au soir, dans ce contexte de pessimisme ambiant et répété, qui finit par jouer sur notre moral ou fausser notre perception.

    Facteur d’angoisse, nous sommes alors en partie atteints de maux purement occidentaux que l’on peut nommer, selon Mariette Darrigrand, "mélancolie, nombrilisme, anti mondialisme", surtout lorsque l’information tourne en boucle à longueur de journée et qu’on est "médiavore".

    Un vocabulaire plaintif à la recherche de l’audience

    C’est ainsi qu’un certain nombre de mots prennent une importance exagérée, selon des effets de mode correspondant à une volonté, consciente ou inconsciente, de coller à "l’opinion majoritaire " du moment.

    Au service d’un certain moralisme ou d’une volonté de refléter les ressentis présumés des Français, ces mots sont repris à qui-mieux-mieux sans précaution, plus dans un souci de recherche du sensationnalisme et de l’audience que de vraiment analyser et susciter la réflexion.

    Mariette Darrigrand, en bonne observatrice des médias, s’intéresse aux mots les plus marquants de 2013 (parfois depuis plus longtemps), à l’instar du mot "fragile", par exemple, mis à toutes les sauces et appliqué à tous les domaines de la vie, des plus quotidiens aux plus emblématiques (personnalités politiques ou autres, situation économique, …), faisant fi de ses origines latines pour en faire un instrument associé à la crise et au désir de s’en remettre à plus grand, à savoir celui qui pourra nous en sortir (l’Etat ?).

    Vocable associé aussi à " la tempête " et tout ce qui succède à "l’impuissance" qui prévalait auparavant, à la recherche de celui qui sera " capable de garder le cap dans la tempête "ou face à" l’imaginaire de la pluie et du beau temps", source devenue classique du catastrophisme ambiant, parfois au risque d’en faire trop.

    Particulièrement symptomatique est le mot "colère", qui a notoirement marqué 2013 selon Mariette Darrigrand.

    Le problème, explique-t-elle, est que ce vocable devient un "fait de société", là où il n’est en réalité qu’un sentiment, une pulsion, " et non une pensée articulée ", contrairement au sens positif qu’elle revêtait chez les philosophes grecs, pour qui elle devait être tournée vers l’action.

    Elle devient donc, du fait des journalistes, quelque chose de "fictionnel" davantage "de l’ordre de l’idéologie régressive imaginaire" et du "sentiment d’injustice" que de quelque chose qui puisse être véritablement utile et constructif.

    De l’indignation stérile au misérabilisme ambiant, ces qualificatifs n’ont pour effet que de jouer sur les émotions et rien d’autre, avec toutes les conséquences négatives que cela peut induire et les fantasmes de la "table rase".

    Du diagnostic à l’action

    Tous ces qualificatifs ont pour point commun de faire perdurer l’usage de l’indémodable mot "crise", derrière lequel politiques et journalistes aiment à se réfugier constamment, comme s’il s’agissait d’une fatalité, là où pour les grecs anciens, loin de constituer la maladie, il consistait en un diagnostic ("penser la situation pour agir").

    C’est le dernier mot que l’auteur explore, pour ensuite en appeler, en conclusion, les médias à changer d’état d’esprit et jouer le véritable rôle de contre-pouvoir qui leur est en principe dévolu, loin de tout sensibilisme ou toute complaisance, voire de "mythologie", nous permettant ainsi de "récupérer un peu de liberté", en privilégiant au contraire le pluralisme, l’analyse, la réflexion, ce qui n’exclut pas une part de Doxa, mais qui vise à être rééquilibrée, ne laissant pas aux "faiseurs d’opinion" le soin d’imprimer dans les esprits des idées artificielles et malheureusement qui deviennent dominantes, à l’encontre de ce devrait être la véritable démocratie.

    Un petit livre en forme de mise en garde, donc, et qui sonne juste, mais qui m’a semblé très court et assez peu approfondi, malgré les qualités de l’auteur et l’intérêt du thème. Un côté trop instantané, rapide, anecdotique et probablement " vitrine ", destiné peut-être à séduire le public qui connait déjà la chroniqueuse et peut avoir plaisir à la retrouver à travers un écrit, ou à élargir la sphère de ceux qui s’intéresseront à ses émissions. A moins que cela ne s’inscrive dans une tendance très actuelle à faire court, pourquoi pas d’ailleurs; certainement un peu des deux.

    Cela dit, l’ensemble demeure néanmoins sympathique, vivant et intéressant en soi, même s’il ne s’agit pas d’un grand ouvrage. Gageons que l’auteur saura nous proposer, à l’avenir, quelque chose de plus travaillé, sur ce même thème ou un autre voisin. Elle dispose a priori de toute la ressource pour œuvrer en ce sens.

    Mariette Darrigrand, Comment les médias nous parlent (mal), Editions François Bourin, janvier 2014, 77 pages.

     

  • Pour vous récompenser de votre patience, quelques belles images

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  • Merci. Comme quoi, le foot, la voyance, ça vous intéresse!

    Grâce à ma prédiction ??!! sur le gagnant de la coupe du monde du Brésil

     

    j'ai fais un peu plus de visites que d'habitudes et, tant que les visiteurs étaient là, ont suscité la vue de 1212 pages...

     

    Merci. Il y encore d'autres notes et photos à voir!!!

     

    (oui, je sais, je suis insatiable!)

    Remarquez, si les hommes des cavernes n'avaient pas été insatiables à découvrir la terre, nous serions toujours dans des cavernes!!!

     

     

  • Ma prédiction sur le gagnant de la Coupe du Monde de Foot au Brésil! faites passer, SVP!

    On connait peut-être déjà le vainqueur de la coupe du monde de football au Brésil en juin 2014, le virus du chikungunya !

    “Il n’y aura peut-être pas que la Coupe du Monde de football en Amérique du Sud en juin 2014 ", une épidémie virale de chikungunya peut aussi être présente. " Source pbs.org.

     Une étude publiée en ligne avant impression lundi dans le Journal of Virology par une équipe de chercheurs brésiliens et français avertit la FIFA organisatrice de la coupe du monde de football de 2014.

    Le risque d'une épidémie " catastrophique " dans les Amériques est stimulée par la Coupe du Monde de la FIFA, qui se tiendra au Brésil en juin prochain, avec des gens venant de près et de loin, dit l'auteur correspondant Ricardo Lourenço-de-Oliveira de l'Instituto Oswaldo Cruz de Rio de Janeiro au Brésil. Le Brésil rapporte chaque année la plus forte incidence de dengue, un virus qui se transmet par Aedes aegypti et Aedes albopictus, les mêmes moustiques qui transmettent le chikungunya, dit-il.

    Les chercheurs affirment que les voyageurs infectés peuvent transporter le virus au Brésil et que les moustiques connus pour héberger le virus ont une capacité élevée de transmission dans les zones autour des villes du nord et du sud des Amériques de Tyson, Missouri à Buenos Aires.

     

    Selon le Centers for Disease Control and Prevention, le chikungunya peut entraîner une forte fièvre, des douleurs articulaires aiguës et des éruptions cutanées sur les personnes infectées, avec des chances de l'invalidité permanente.

     

  • Le passé insolite et émouvant souvent

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    Photo, femme, fille, mec, société

     

     

     

     

     

     

     

  • Copains comme cochon... suivez mon regard!

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  • La nature, c'est quelque chose!

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  • Soi dit, en passant.

    Lu sur Figaro.fr de ce jour

    “Soit 11 milliards à trouver pour aboutir à l'objectif de 50 milliards d'euros d'économies d'ici à 2017. "Le reste viendra d'une plus grande justice, d'une mise en cohérence et d'une meilleure lisibilité de notre système de prestations", a ainsi déclaré Manuel Valls mardi.

    Entrent dans ce "pot-pourri" plusieurs milliards de coupes décidées lors des réformes sociales de 2013. À savoir 1,3 milliard au chapitre de la réforme des retraites et plusieurs centaines de millions à celle de la famille. Sont aussi prises en compte les économies de gestion qui seront exigées auprès des caisses de retraite, de l'Assurance-maladie et des CAF. L'État en attend, de source gouvernementale, pas moins d'un milliard.

    Plus étonnant, l'exécutif entend additionner également les mesures de la réforme des régimes de retraite complémentaires des salariés et cadres Arrco-Agirc, soit 900 millions sur trois ans, décidées en mars 2013 par les partenaires sociaux. Syndicats et patronat, qui ont notamment décidé de sous-indexer les pensions par rapport à l'inflation entre 2013 et 2015 pour limiter les dépenses et les déficits, doivent rouvrir des négociations d'ici à la fin de l'année. Et l'exécutif anticipe déjà qu'ils décideront de nouvelles mesures d'économies pour la période 2015-2017.

    La politique du logement, dans le viseur de Bercy depuis de longs mois, devrait également être ponctionnée. Les dépenses de l'État dans ce domaine s'élèvent à 39,5 milliards d'euros, dont 5 milliards pour les aides personnelles au logement (APL). La Cour des comptes recommande ainsi que les APL ne soient plus versées aux étudiants non boursiers. De quoi rapporter 800 millions à l'État."

    Donc, d'un côté on vous fait royalement bénéficier de 500 euros en plus en supprimant les cotises alloc sur la feuille de salaire

    et de l'autre, on vous reprends encore plus!!!!

    Et vous êtes content-es? non? ha, et pourquoi vous n'allez pas dans la rue comme ces conn…. d'intermittents foutr… le bor….?

    Vous vous dites: on leur met encore une raclée aux européennes!

    et vous croyez que ça va leur faire peur? ils vont continuer les conneries

    N'oubliez pas qu'ils ont refusé de voter la loi pour supprimer les conseils généraux et comme la droite avait la majorité, la loi étant accepté, la première chose qu'à fait le Tartarin de Tulle en arrivant sous les ors du Palais, c'est de faire annuler cette loi….

    que, deux ans plus tard, il doit refaire passer à l'assemblée!

    et on va ainsi, on recule d'un pas, on avance d'un demi puis à nouveau on recule de quatre et on s'aperçoit qu'il faut, encore, passer la première….

    ça s'en va et ça revient…. ça s'en va et ça revient…. ça s'en va et ça revient….

    et comme on ne sait plus quoi faire, comment agir, comment sortir la France de la merde où ils l'ont mise grâce à leurs saint-dika terroristes, leurs journalistes gauchiasse obnubilés par leur “grandes valeurs morales“ car c'est bien connu, "y'a qu'à gauche qya le cœur," les ponctionnaires de tous bords qui sucent la moelle des quelques patrons courageux qui restent chez nous mais qui ne peuvent être que “des patrons pourris, des voyous qui s’empirent la gueu… alors que moi, j'ai donné toute ma vie au patron et il me jette comme un kleenex et je vais pas me gêner pour faire péter des bonbonnes de gaz dans son usine de merde ou alors, je vais le séquester jusqu'à ce qu'il crache et, attention de ne pas porter plainte pour rapt car les juges gauchiasse sont pour nous et tu te retrouvera, vite fait sur le mur des cons…." etc.

    Alors, c'est encore toujours la même rengaine: ils se disent: essayons celui-ci ou celle-là… il ou elle aura peut-être le pouvoir de devenir magique et de nous sortir de l'impasse dans laquelle nous mettons la France; ils ont tout essayé qu'il a dit le sérieux qui se marre!!! donc, place aux quarantième sous-couteaux tels que Désir aux affaires européennes….

    ils vont rire (de nous, les Français) les 26 autres de voir cet incompétent… France, pays des droits de l'homme, France de la Liberté, France de l'Egalité, France de la Fraternité qui commence par soi-même et tant pis si les autres crèvent, y'a plein d'assocs pour leur venir en aide…

    Au PS, il suffit d'être un lycéen gauchiasse qui fout la merde durant de longs mois dans les rues parce que la droite invente le CPE

    ou bien, il faut faire le con dans les rues avec une main jaune sur la poitrine en gueulant: touche pas à mon pote et en allant chercher des valoches de billets chez la Mitte

    pour se retrouver, l'une ou l'autre sénateur, députée et sinistre des affaires européennes!

    C'est une blague épineuse et pas du parfum de rose, qui va nous coûter la peau des fesses encore très, très, très longtemps!

    Bon, faudrait voir à  faire rembourser le parfum puisqu'il y a trop de gens comme moi qui disent des choses ayant des odeurs remontant à Vichy… et, tant qu'on y est, remboursons la vaseline ou le beurre, y'a tant de gens qui on crût que le soleil brillait un peu plus sur la France enténébrée par des relents réac des années 30.

    La France est déconsidérée pour des dizaines d'années. Les ténèbres ne sont pas si tant que cela derrière: elles sont bel et bien devant nous… et pour très, très longtemps.