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societé - Page 158

  • Le zika vas vous faire drôlement danser!...

    L'Hexagone n'échappera pas au virus zika

    INFOGRAPHIE - À l'instar de la dengue et du chikungunya, il sera difficile d'empêcher l'arrivée en France métropolitaine de ce virus transmis par le moustique tigre, estime le Haut conseil à la santé publique.

    Transmis par des moustiques du genre Aedes (dont le moustique Aedes albopictus plus connu sous le nom de moustique tigre) qui propagent également la dengue et le chikungunya, le virus zika peut entraîner de la fièvre, des douleurs musculaires et des éruptions cutanées, voire des complications neurologiques. Or les conditions sont réunies pour une arrivée en France métropolitaine de ce nouveau virus, selon un rapport rendu public lundi par le Haut Conseil de la santé publique (HCSP).

    Le virus tire son nom d'une forêt en Ouganda où il a été identifié pour la première fois en 1947. Il a été à l'origine d'une première épidémie dans les îles Yap en Micronésie en 2007, avant de se propager en 2013-2014 en Polynésie française, puis au Brésil depuis le début de cette année. Aucun traitement ni aucun vaccin n'existe à ce jour contre cette infection mal connue et qui peut également passer inaperçue.

    "Risque réel"

    Dans son rapport rédigé à la demande des autorités sanitaires, le HSCP reconnaît que "les conditions pour une transmission autochtone du virus zika sont réunies dans les départements (métropolitains) où le moustique vecteur est présent", c'est-à-dire dans les départements déjà colonisés par le moustique tigre (voir carte). Le risque de transmission du virus dans les départements métropolitains concernés est considéré comme "réel" par le HCSP, notamment en cas de circulation du virus dans les départements français d'Amérique (DFA, Guadeloupe, Martinique et Guyane) où le risque de transmission autochtone du virus est jugé "élevé".

    Pour les auteurs du rapport, le virus zika pourrait se propager de la même manière que le chikungunya, avec des vacanciers partis dans des zones où sévit le virus et qui l'importent à leur retour en France métropolitaine. La propagation se fait ensuite par le moustique tigre.

    Pour réduire le risque, le HCSP recommande de prendre des mesures de lutte antivectorielle, du type de celles prises pour lutter contre le chikungunya aux Antilles. Parmi celles-ci figure l'isolement des cas suspects ou confirmés pendant la période fébrile sous moustiquaire ou dans un local avec fenêtres fermées, pour éviter la contamination de nouveaux moustiques.

    L'épidémie de 2013-2014 en Polynésie française avait touché environ 32.000 personnes, selon des estimations citées par le HCSP. Parmi les personnes infectées, 72 avaient présenté des complications neurologiques graves dont 42 syndromes de Guillain-Barré, un syndrome qui peut se traduire par une paralysie des membres et de la face. Dans les cas les plus graves, ce sont les muscles de la déglutition et de la respiration qui sont atteints.

  • cé francé beaucoup!

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    Toute la musique que j'aime

    elle vient de là, elle vient du blues!

    ...(..) la musique vivra!

    tant que vivra le blues!!!!!!!!!

  • L'enfant et le tétanos

    J'ai trois blogs... mais, cette info est pour moi primordiale...; donc, je l'installe sur mes trois blogs

    Les cas sont rares puisque la vaccination est obligatoire. Depuis plusieurs semaines, un garçonnet est hospitalisé à Tours. Une enquête a été ouverte.

    Plusieurs semaines déjà que ce jeune garçon de huit ans est hospitalisé à l'hôpital de Clocheville, à Tours. Hospitalisé pour s'être blessé après une chute, semble-t-il, l'état de l'enfant ne se serait pas amélioré comme prévu. Sur son carnet de santé figurait la mention d'une vaccination contre le tétanos (en France, la couverture vaccinale obligatoire concerne le DT polio (Diphtérie tétanos poliomyélite). La primo-vaccination des nourrissons comporte deux injections. Puis un rappel. Suivent d'autres rappels chez l'enfant et l'adulte. Ne pas vacciner ses enfants s'apparente à de la maltraitance, passible de 3.750 € d'amende et 6 mois de prison.).

    D'après nos informations, son organisme n'en porterait cependant pas la trace (un vaccin antitétanique fait correctement laisse des traces pendant vingt ans, nous a indiqué un médecin).

    Dès lors, plusieurs hypothèses peuvent être soulevées : une fausse information figure-t-elle sur le carnet de santé? Le pédiatre de l'enfant, aurait-il pu s'être soustrait à la vaccination de l'enfant par choix en accord avec les parents? La vaccination n'aurait-elle pas été faite correctement ? Ou l'organisme de l'enfant n'a-t-il pas été en mesure de fabriquer des anticorps alors qu'il aurait bien été vacciné?

    Autant de questions auxquelles l'enquête ouverte sur deux volets, administratif et judiciaire, devra tenter de répondre, conséquence directe du signalement fait par le service des maladies infectieuses au parquet de Tours. L'Institut médico-légal aurait d'ailleurs été diligenté pour examiner l'enfant. Et sa fratrie aurait été vaccinée en urgence, apprenait-on encore en cette fin de semaine. Le jeune garçon, lui, est toujours hospitalisé en soins intensifs.

    Enquête approfondie

    Un cas grave et rare (la maladie fait l'objet d'une déclaration obligatoire) que les services de l'Agence régionale de santé (ARS) et l'Institut national de veille sanitaire (INVS) suivent de près, nous précisait mercredi le service communication de l'instance régionale sans vouloir aller au-delà, mettant le secret médical en avant. Un argument, légitime, également utilisé par le service communication du CHRU tourangeau : "C'est un enfant malade que l'on soigne, comme on le fait tout le temp ".

    Une enquête approfondie est donc en cours pour tenter d'expliquer ce cas exceptionnel qui s'inscrit dans un contexte toujours partagé sur la question de la vaccination, pourtant fondamentale dans l'éradication de nombreuses maladies. En 2010, 40 % des Français se déclaraient "méfiants" à l'égard des vaccins. Cinq ans plus tôt, ils n'étaient que 10 %.

    Rappelons que le tétanos est une maladie infectieuse grave, non contagieuse, qui attaque le système nerveux. La contraction des muscles respiratoires peut entraver la respiration et provoquer la mort pas asphyxie et arythmie cardiaque.

    Il faut savoir que les spores de bacille tétanique sont n'importe où dans la terre, donc la bactérie ne peut être éradiquée. Elle sécrète dans l'organisme une toxine qui attaque le système nerveux. La seule prévention possible est de vacciner les sujets les plus sensibles, parmi lesquels les chevaux et les humains.

    En traitement, si l'on intervient tôt, des doses massives de pénicilline enrayent la multiplication des bactéries, mais la toxine déjà sécrétée fait son œuvre.

    http://www.lanouvellerepublique.fr/France-Monde/Actualite/Sante/n/Contenus/Articles/2015/07/18/Le-tetanos-frappe-un-enfant-2406520

     

    Voici la photo d'une personne atteinte de tétanos, en fin de vie. Cette photo est vraie, ce n'est pas une blague de scénario hollywoodien!

    Quand la maladie est enclenchée, on ne peut pas la guérir: le corps spasme violemment.... la seule prévention, c'est la vaccination.

    NE PAS FAIRE SES RAPPELS, C'EST CONSTAMMENT DANSER AVEC LE DIABLE!

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  • Les voleurs avaient cadenassé le portail de la gendarmerie

    Le dispositif mis en place par les malfaiteurs à Neuvy-Saint-Sépulcre, dans l'Indre, empêchait toute sortie de véhicule de la caserne. Montant du butin : les 2000 euros qui se trouvaient dans le distributeur automatique de billets.

    Comment agir sans risquer de se faire arrêter ? En enfermant les gendarmes dans leur propre caserne. C'est ce qu'ont fait des malfaiteurs qui voulaient s'emparer d'un distributeur automatique de billets à Neuvy-Saint-Sépulcre, dans l'Indre, dans la nuit de mercredi à jeudi. La Nouvelle République rapporte que le groupe, composé de "sept à huit hommes, cagoulés et gantés" a fait "passer une grosse chaîne entre les barreaux du portail de la gendarmerie", située à environ 300 mètres de l'agence du Crédit agricole qu'il convoitait.

    Impossible alors pour les gendarmes d'intervenir. Les voleurs ont ensuite arraché l'appareil du mur en utilisant un camion volé. Circulant à bord de quatre véhicules, ils sont parvenus à prendre la fuite avec leur maigre butin, d'un montant d'environ 2.000 euros. Le maire de la ville, Guy Gautron, parle d'un "coup manifestement bien préparé par ces casseurs". L'enquête est menée par la section de recherches de la gendarmerie de Bourges.

     

  • Au fait, vous avez fêté ça?

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    Sinon, un petit cocktail pour vous donner des idées?

     

    www.cuisine-toulousaine.com