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Des militants gays font la chasse aux logos proches de celui de la Manif pour tous.
Té, qu'est-ce que tu dis de ça, trou..c?
Comment va-t-on pouvoir représenter la famille désormais? Un papa, une maman et deux enfants, voilà une image que certaines entreprises hésitent aujourd'hui à mettre en avant. Après les opticiens Lissac et la Société générale, le ministère de la Justice lui-même s'est vu reprocher l'utilisation, sur sa page Internet consacrée aux disparitions et enlèvements d'enfants, d'une ribambelle familiale en papier, un logo très proche de celui de la Manif pour tous. L'Inter-LGBT (Interassociative lesbienne, gay, bi et trans), pour laquelle cette image "est estampillée homophobe", demande à la Chancellerie et aux différentes marques de "ne plus l'utiliser".
Cette famille en origami est pourtant un classique. On retrouve des visuels similaires, libres de droits, sur les différentes banques d'images. C'est d'ailleurs là que la Manif pour tous a déniché son logo. "C'est une image extrêmement stéréotypée, critique Marjorie Monni, porte-parole de l'Inter-LGBT en charge des questions familiales. Toutes les petites filles n'ont pas des couettes, toutes les femmes n'ont pas des jupes… Il faut ouvrir les yeux sur la famille telle qu'elle est maintenant." En charge de la lutte contre les discriminations à l'Inter-LGBT, Sylvie Fondacci renchérit: "Ce modèle ne représente pas la famille française d'aujourd'hui ; je fais confiance aux agences de communication et aux entreprises pour être inventives!"
Chez Lissac, "le visuel est utilisé depuis 2010 sur un panneau en magasin présentant la carte Familissac", explique la responsable de la communication. "La ressemblance avec le logo de la Manif pour tous est fortuite et ne signifie pas une prise de position de l'enseigne, poursuit-elle. Nous allons travailler sur une nouvelle campagne de communication en 2014 et le remplacerons à ce moment."
"Il va falloir qu'on la supprime partout!"
Alertée il y a quelques jours sur Twitter, la Société générale avait répondu faire "des recherches sur la provenance de ce visuel, de toute façon contraire à nos engagements". "Ce que cette personne a voulu dire, peut-être un peu maladroitement, c'est que nous avons une politique de diversité extrêmement rigoureuse, précise la banque. On ne prend pas position sur ces sujets-là." L'affiche incriminée était "l'initiative d'une agence de province pour une promotion terminée depuis mars, elle a été retirée".
La Chancellerie va-t-elle également supprimer ce visuel de son site Internet? Sollicitée à plusieurs reprises, elle n'a pas souhaité réagir. Mais entre-temps, d'autres entreprises, s'apercevant qu'elles utilisent une image semblable, s'alarment: "Il va falloir que l'on fasse des recherches et qu'on la supprime partout!", s'inquiète un responsable qui tient à l'anonymat. "On va devoir faire attention, car on est dans un monde où la moindre image peut être mal interprétée, confie une cadre d'une autre société. Jusqu'à présent, on prenait garde à ne pas montrer une France blanche, car ce n'est pas la réalité. Maintenant que la loi sur le mariage homosexuel est passée, cela fera partie des sujets de 2014. J'avoue que l'on va un peu regarder ce que feront les autres…"
Même problématique pour la Mutuelle familiale, les notaires, les publicitaires, etc.
À la Mutuelle familiale, "on a plutôt un débat autour de notre appellation, confie l'attachée de presse. Elle peut faire repoussoir pour ceux qui ne vivent pas selon le schéma classique…" Dans son dernier spot télévisé, ce sont les salariés de la mutuelle qui ont été filmés. "Pour montrer qu'on est une grande famille, précise-t-on. Pas pour nous prémunir de quoi que ce soit!" Les notaires, eux, en ont "discuté" entre eux. Le logo de leur prochain congrès, en juin 2014, veut "refléter l'égalité des sexes". Mais dans ces "silhouettes d'adultes asexuées" encadrant deux enfants, beaucoup ont vu deux hommes… "Nous sommes des gens de compromis, répond Benoît Renaud, ancien président du Conseil supérieur du notariat. Le but était d'être dans la symbolique, nous ne sommes pas encore pervertis par ce que pourraient penser certains."
À la Manif pour tous, on promet de "se battre pour que l'on ne puisse pas dénaturer la réalité de l'humanité". "J'y vois une évolution culturelle très préoccupante, indique Ludovine de la Rochère, sa présidente. On se laisse intimider et, sous prétexte de neutralité, on accepte le terrorisme intellectuel. Quand on vous parlait de destruction de la famille… Finalement, cela va très vite!"
"Il faut explorer une représentation métaphorique des vertus du foyer"
Clarisse Lacarrau de l'agence BETC
Comment les publicitaires réagissent-ils à cette évolution de la société? "Une vie au cœur d'un foyer avec un père et une mère, ça va devenir de plus en plus rare!, s'exclame Clarisse Lacarrau, directrice associée du planning stratégique de l'agence BETC. Aujourd'hui, il faut sortir de la représentation littérale de la famille pour explorer une représentation métaphorique des vertus du foyer. Comme dans notre dernière campagne pour Aigle, par exemple, on peut présenter une photo de famille élargie. Ainsi, on peut laisser les gens projeter dans ce mot “famille” ce qu'ils ont envie d'y voir."
C'est du travail qu'il faut à la société française et de l'égalité pour tous (cf. le statut de planqué des fonctionnaires!) pas de ces conneries du bout du monde qui font ch...r tout le monde, compliquent la vie des gens pour rien...
tout ça pour 40 000 trous de balle de la gauchiasse française, ces empêchés du calcif et de l'intelligence...
quand on a rien dans le citron, on se masturbe avec son sexe et ses croyances de merde, pour éviter le vide sidéral qui existe entre les deux oreilles.... et on a des exigences communautaristes pour faire chier le max de gens normaux!
HONTE A TOUS CEUX QUI SE PRETENT AU JEU DE CES MALADES MENTAUX!
Contre la théorie du genre
En 1966, le petit Bruce Reimer a seulement neuf mois quand il doit subir une circoncision médicale pour lui permettre d’uriner correctement. Malheureusement, par accident, le chirurgien brûle complètement et irrémédiablement le pénis du petit garçon. Durant de longs mois, ses parents vont consulter en vain de nombreux médecins.
Désespérés, ils finissent pa
r se tourner vers le Pr. John Money. Ce psychologue et sexologue néo-zélandais prétendait être capable de changer le sexe des enfants. Selon lui, l’identité sexuelle des enfants, garçons ou filles, est suffisamment flexible durant les premières années de la vie pour permettre de leur réassigner un nouveau genre (masculin ou féminin) grâce à un suivi médical (traitement hormonal et chirurgical), psychologique (thérapie) et culturel (attitude des parents et influence de l’éducation).
Le Pr. Money a réussi à convaincre les parents du petit Bruce que leur garçon serait plus heureux s’il devenait une petite fille. Il lui a fait subir dès l’âge de deux ans, une thérapie, un traitement hormonal lourd et une castration chirurgicale. C’est suite à ce calvaire que Bruce est devenu Brenda.
Après l’opération, Money suivit en thérapie la " nouvelle " petite fille durant plusieurs années pour la convaincre de sa nouvelle identité, mais aussi pour l’étudier.
Il souhaitait, grâce à cette expérience, apporter la preuve de la validité de ses thèses sur la " flexibilité de la division sexe/genre ". Il publia dès 1972 un livre pour vanter le soi-disant succès de son expérience.
En réalité, tout cela a tourné au drame.
Brenda ne s’est jamais sentie fille. Malgré les hormones et la thérapie, elle a continué à éprouver un profond malaise. À treize ans, elle manifesta des tendances suicidaires. Face à la douleur de leur enfant, ses parents ont été obligés de lui révéler qu’en réalité, elle était un garçon. Brenda a refusé immédiatement de poursuivre sa thérapie et son traitement hormonal. Elle a même demandé à ses parents de l’appeler David.
Neuf ans plus tard, David a pu entreprendre une nouvelle opération chirurgicale pour redevenir un homme.
David/Brenda/Bruce gardera de profondes séquelles de cette expérience. Il ne s’en remettra jamais et, à 44 ans, il finira par se suicider.
Mais, avant de se suicider, David Reimer décida de rendre public son histoire. Il publia, en 1997, un livre dans lequel il témoigna des conséquences néfastes de ces thérapies afin d’éviter que d’autres enfants subissent les mêmes traitements.
Malheureusement, cela n’a pas empêché ceux qui voyaient en lui un simple cobaye au service de leur " théorie " de continuer à se référer à cette expérience comme si elle avait été une réussite.
La mort tragique de David Reimer aurait dû leur servir de leçon ; ils ont préféré cacher cette triste fin pour ne pas discréditer leur théorie.
C’est pourquoi, c’est à nous de faire connaître au plus grand nombre cette tragique histoire, comme l’a souhaité David Reimer, lui-même.
Le virus H1N1 responsable de l'épidémie de 2009 devrait être actif cet hiver en métropole. A la Réunion, où il a sévi entre les mois de mai et août derniers, les hospitalisations ont été plus graves.
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Pendant cette période, les hospitalisations pour cause de grippe ont été plus élevées qu’en 2012. Et surtout, les situations étaient plus graves : malgré les soins intensifs, il y a eu 46 % de mortalité, soit près d’un malade sur deux.
Ce lourd bilan a poussé les équipes d’un service de réanimation du CHU de Saint Denis de la Réunion à analyser les dossiers de plus près. « Nous avons constaté que plus de la moitié des malades étaient infectés par le virus influenza A H1N1, le reste par d’autres souches A comme le H3N2 et quatre cas par la souche B , a indiqué le Dr David Vandroux, responsable du service de rénimation de l’hôpital Félix Guyon à Saint-Denis. Deuxième constat, la grande majorité des personnes hospitalisées pour cause de grippe avaient d’autres pathologies comme le diabète, l’insuffisance rénale, ou des maladies respiratoires.
le Dr David Vandroux chef du service de réanimation de l’hôpital Félix Guyon au CHU Saint-Denis de la Réunion: « Nous avons eu une mortalité supérieure aux années précédentes ».
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Autre enseignement, le virus influenza A H1N1 n’a pas eu les mêmes caractéristiques qu’en 2009. « Etonnament, il s’est comporté comme les autres souches virales, a précisé le réanimateur.
Par exemple, il a moins touché les jeunes générations puisque la moyenne d’âge des personnes hospitalisées est passé de 39 ans en 2009 à 55 ans en 2013. Ensuite, les comorbidités des personnes hospitalisées ne variaient pas entre les différentes souches de virus, et les durées d’hospitalisation étaient à peu près identiques.
le Dr David Vandroux. :« Les deux principaux enseignements que nous avons tiré de cette étude, c’est d’une part la ré-émergence du virus A H1NI et d’autre part le fait qu’il ait un comportement plus proche d’une épidémie saisonnière classique. »