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mec - Page 54

  • Fête des Catherinettes: faut-il clore le folklore?

    La tradition, que le milieu de la couture et certaines communes, dont Paris, continuent de célébrer le 25 novembre, est accusée d'alimenter une forme de sexisme en stigmatisant les femmes célibataires de 25 ans, alors même que l'âge moyen du mariage n'a jamais été aussi élevé.

    Lucie (1) travaille au Printemps Haussmann depuis quelques mois quand, début novembre, elle s’étonne de découvrir sur son lieu de travail, dans l’espace réservé aux salariés, une affichette sur laquelle apparaît une silhouette mince coiffée d’un chapeau, annonçant la prochaine "fête des Catherinettes". Lucie n’est pas concernée: elle a 24 ans. Comme le veut la coutume, seules les salariées célibataires et sans enfant dans l’année de leurs 25 ans peuvent prétendre au titre de "Catherinette de l’année". L’élection, par les clients, a lieu à l’issue d’un défilé dans le grand magasin parisien.

    "Ça m’a vraiment surprise qu’une entreprise perpétue cette tradition que je trouve sexiste, raconte la jeune femme. Je suis originaire du Grand Ouest et jusqu’à présent, la seule personne que je connaissais qui avait fêté la Sainte-Catherine vivait en Vendée profonde, et a désormais la cinquantaine passée!"

    "Date de péremption"

    Arguant que l’événement "donne l’impression que les femmes ont une date de péremption", la jeune femme tente de protester auprès d’une autre collègue vingtenaire, sans succès. Cette dernière lui répond qu’elle y voit simplement "une occasion de faire la fête". Un argument repris par le magasin, contacté par Libération, qui invoque un "esprit festif" et "une émulation" collective autour de l’événement, auquel devrait participer cette année une quarantaine de jeunes femmes.

    Maquillées et coiffées à leur arrivée sur leur lieu de travail, les salariées participent ensuite à une "distribution de bonbons" dans les rayons du magasin, détaille le service presse du Printemps. Leur journée est banalisée, une pratique en cours dans plusieurs entreprises notamment du milieu de la mode, où la Sainte-Catherine, sainte patronne des célibataires mais aussi des couturières, est particulièrement célébrée. Dans certaines maisons parisiennes comme Dior, les salariées de 25 ans ni mariées ni pacsées reçoivent des cadeaux parfois coûteux, et des soirées fastueuses, en présence des dirigeants, sont organisées. Chez Chanel, tous les salariés ont même droit à un jour de repos le lendemain de la fête des Catherinettes et des Nicolas, leurs équivalents masculins – qui bénéficient d’un sursis de cinq ans, la tradition fixant leur âge à 30 ans.

    Les Catherinettes de la haute couture, et, depuis une quinzaine d’années, leurs homologues masculins, sont même reçus à l’hôtel de ville de Paris depuis 1986. L’objectif est de "souligner la richesse [de leur] savoir-faire", une initiative "complètement décorrélée du côté rétrograde que cela peut avoir ailleurs", assure-t-on à la mairie.

    Rite de passage

    Moins bling-bling, les festivités de la Sainte-Catherine font également office de rite de passage pour les jeunes femmes de Vesoul. Chaque 25 novembre depuis plus de sept cents ans, la commune de Haute-Saône organise une foire agricole qui attire des milliers de personnes. Au programme: démonstrations équestres, exposition de tracteurs, dégustation de cochons en pain d’épice… et concours de Catherinettes. Cette année encore, les conditions sont inchangées: "Les participantes doivent être âgées de 25 ans, célibataires et sans enfants." Et ce alors que l’âge moyen du mariage a augmenté significativement ces dernières années, pour s’établir aujourd’hui à 36 ans pour les femmes, selon l’Insee.

    D’après l’institut de statistiques, environ 4% des femmes nées en 1994 – la génération des Catherinettes 2019 – étaient mariées à l’âge de 24 ans. Le mariage avant 25 ans, encore la norme jusqu’au début des années 1990, est désormais une exception. A Vesoul, la concurrence est d’autant plus rude entre les participantes, invitées à défiler coiffées d’un chapeau "aux couleurs dominantes jaunes et vertes en relation avec leur profession ou à défaut avec leurs loisirs ou activités sportives", précise le règlement du concours. Tout autant que l’originalité de leur couvre-chef, les attributs physiques des jeunes femmes font souvent l’objet de commentaires dans les rangs des spectateurs, se souvient une collègue de Libération, qui a assisté à l’événement plusieurs fois.

    A défaut de susciter des critiques localement, où la tradition est vue comme faisant partie de l’identité de la ville, ce concours quelque peu suranné n’est pas vraiment du goût de certaines militantes féministes. L’association Osez le féminisme, qui y voyait en 2016 "une humiliation pour les femmes", dénonce toujours aujourd’hui une mise en scène "dégradante": "Au nom de la tradition et du folklore, cet événement perpétue des stéréotypes sexistes, et enferme les femmes dans des rôles traditionnels, se marier et enfanter", estime à propos des festivités haut-saônoises et de celles organisées dans plusieurs autres communes la porte-parole de l’association Alyssa Ahrabare, interrogée par Libération.

    Bandes d'abruties décervelées... Plus conn... qu'elles, tu meurs!

    "C’est d’autant plus ironique que la fête tombe le jour de la Journée internationale pour l’élimination de la violence à l’égard des femmes", déplore la militante, pour qui "exposer ces femmes au regard des autres sur des critères physiques" est aussi une forme de violence.

    "Sainte-Catherine de lutte"

    Au cours du XXe siècle, la Sainte-Catherine a pourtant été l’occasion, pour les couturières, de prendre la parole et de s’affirmer dans l’espace public, rappelle Anne Monjaret, ethnologue au CNRS, auteure de plusieurs ouvrages sur cette fête. A travers des déguisements s’affranchissant des normes de genre, les "petites mains" des années 20 profitaient de ce jour pour défier l’autorité patronale et dénoncer la domination masculine de manière plus ou moins implicite, détaille la chercheuse dans un article paru en 2015 dans la revue Modes pratiques (2).

    Paradoxalement, la Sainte-Catherine incarnait aussi une "forme d’autonomie féminine", en mettant à l’honneur "la jeune fille célibataire qui travaille et donc qui n’est pas sous la tutelle de son mari", explique Anne Monjaret.

    Le 25 novembre 1975, les ouvrières syndicalistes de la haute couture, épaulées par le Parti communiste, organisent même une manifestation pour réclamer notamment une amélioration de leurs conditions de travail. A défaut de ressusciter cette "Sainte-Catherine de lutte", Alyssa Ahrabare d’Osez le féminisme suggère de transformer l’événement aujourd’hui totalement dépolitisé en une "journée dédiée à la lutte contre les stéréotypes" dans l’entreprise. Soit, résume la militante, "tout le contraire de ce qu’il est aujourd’hui".

    Mais quelle pouf... cette Alyassa à la c...

    (1) Le prénom a été changé.

    (2) "Jour de fête pour les midinettes. L’envers de la Sainte-Catherine: les normes derrière la dérision festive", d’Anne Monjaret, paru dans la revue Modes pratiques. Revue d’histoire du vêtement et de la mode, en novembre 2015.

    Juliette Deborde

    https://www.liberation.fr

     

    J'ai trouvé cela sur ce site de gauchiasse, pas étonnant qu'on interviewe des pétasses!

    Laissez tranquille nos traditions, pouffiasses! Si vous n'en voulez pas, changez de pays ou fermez les yeux!

    Perso, de 14 à 19 ans, j'ai été mécanicienne en confection dans plusieurs usines à Toulouse. Les filles ne manquaient pas de fêter Ste Catherine. Je pourrais en être une.

    Mais, je n'ai pas fait de chapeau ce jour-là! Je travaillais comme photograveur offset dans une imprimerie toulousaine… j'aurais eu bonne mine d'arriver avec un chapeau bizarroïde.

    Bon, d'accord, pour faire un bon imprimeur, il faut avoir bon caractère… mais, quand même…

    De toutes façons, je suis encore célibataire mais j'ai eu une enfant à 20 ans… donc, c'était râpé d'avance

     

     

  • Vive la Saucisse de Toulouse!

    Royaume-Uni: à la demande d’étudiants vegans l’université de Cambridge fait retirer une peinture du XVIIe prêtée par un musée

    Certains étudiants de l’Université de Cambridge auraient peut-être pu considérer comme un privilège de manger sous une peinture à l’huile du 17ème siècle. Mais pas si les élèves sont végétariens ou vegan, et que l’œuvre met en vedette des animaux destinés à la table du dîner.

    The Fowl Market, de l’artiste flamand du 16ème siècle Frans Snyders, a été retiré de la salle à manger de Hughes Hall à la suite de plaintes selon lesquelles il dégoûtait de leur repas les non-consommateurs de viande.

    Le tableau présente une collection d’animaux morts, dont un cygne, un sanglier, un cerf et divers gibiers à plumes.

    Il avait été prêté à long terme par le Musée Fitzwilliam. […]

    The Telegraph

    Quand on est si désespéré de la vie, au point de martyriser son corps, à quoi bon vivre?

     

  • Un robot ménager islamophobe tue une voilée

    On ne plus faire de gâteau en France ma bonne dame, sans risquer sa vie  quand on est une "bonne" musulmane! Il va falloir envisager d’interdire les robots qui finalement se comportent comme Terminator pour les voilées!

    Quand j’ai entendu cette nouvelle, j’ai été pris d’un doute!  Faisait-il si froid chez cette dame pour justifier un foulard?

    Puis, un peu espiègle, un rien blagueur, je me suis demandé si ce ne serait pas une dame portant un voile islamique? Parce qu’en fait, les médias ne se sont pas éternisés sur la victime! On ignore son nom alors même que, si cela avait une Christine, ou une Paulette, nous aurions su toute de suite qui était cette victime! J’ai pensé à Rosette et à son meurtre! On ne sait même pas la marque du robot!  Il faut croire qu’il doit faire partie des annonceurs! Ah la magie publicitaire!

    En conséquence, mes doutes se sont raffermis!

    Puis j’ai lu un article de Bladi.net, un site marocain qui, lui, annonce dans son titre la mort d’une femme voilée en faisant un gâteau! (Source)

    Elle aurait été "happée" par son robot! J’avais vu ça une fois sur un escalator! Une voilée s’était fait "happer" par une marche en haut de l’escalator à la Défense dans le 92! Cris et hurlements! D’autres diraient "crimes et châtiments"! Bref, on était tous pliés de rire! Ce n'est pas gentil, je sais… La mise à poil n’a pas eu lieu!

    Mais poursuivons: Alors qu’une mère de famille de 58 ans faisait du gâteau avec son fils âgé de 10 ans le dimanche 10 novembre à leur domicile, situé dans le quartier de La Métare à Saint-Étienne, elle meurt étranglée par un robot multi-cuiseur.

    La première question qui m’est venue a été de me demander pourquoi cette femme, étant chez elle, portait un voile assez encombrant pour gêner son activité culinaire!

    La réponse serait que son dieu d’amour, de paix, et de tolérance lui aurait fait une misère dans l’au-delà?

    Enfin, c’est pas sérieux! C’est ce que disent des musulmans au sujet du voile islamique! Pas tous bien sûr, car je sais que toutes les musulmanes ne portent tout simplement pas le voile, d’autres, pas en permanence, pas dans leur cuisine, la salle de bains, ou aux toilettes, ni  dans la chambre… quoique! J

    Je ne sais pas finalement! Quand on voit ces femmes voilées dans la rue, qui acceptent de se transformer en Belphégor, on se dit que la bêtise n’a pas de limite!

    La deuxième question qui m’est venue, c’est pourquoi le gamin a-t-il attendu pour éteindre le robot? La panique nous dit l’article!  Paniqué, son fils a appelé les pompiers et l’équipe du Samu. Il aurait pourtant suffit de débrancher l’appareil!

    On pense à Terminator, lui au moins avait une grosse autonomie! En moins de deux, il aurait flingué tout ce qui bouge, le gamin avec! La voilée serait-elle la génitrice d’un futur résistant,  je n’ose dire patriote? Bon, je délire, ce n’est pas possible!

    Le robot est de 2019, il est multi-cuiseur et pas plus! On peut affirmer sans crainte qu’il n’a pas été formaté pour assassiner les voilées qui l’utilisent…. Cela se saurait, tout de même!

    J’en déduis que le gamin de 10 ans pour Bladi.net, de 15 ans pour les médias français, n’a pas eu la présence d’esprit de débrancher le robot.

    Il est vrai que la présence d’un esprit en musulmanie, c’est plutôt haram. On n’aime pas les esprits, surtout s’il est Saint!  Il a donc préféré téléphoner aux pompiers et au Samu pour savoir ce qu’il devait faire, tout en regardant sa mère se faire étrangler! Le moins que l’on puisse dire, c’est qu’il a manqué sérieusement de réaction! D’autres diront qu’il avait la tête ailleurs, tandis que celle de sa mère était dans le bol du robot!

    À l’heure actuelle, personne ne sait ce qu’est devenue la préparation pour faire le gâteau…?

    Sans doute embarquée avec la dame, en même temps que le robot "tueur"!

    On ne sait pas si l’équipe du Samu a retiré le foulard de la dame?

    Ni même si le gamin simplet, par son manque de réaction, a protesté le soir venu auprès d’Allah, à la prière du soir, de n’avoir pas attendu la fin de la cuisson!  Il n’y a pas que les robots pour tuer, une gazinière peut le faire aussi! Mais là, cela aurait été plus difficile à expliquer!

    Gérard Brazon

    https://ripostelaique.com/un-robot-menager-islamophobe-tue-une-voilee.html

    A savoir que dans ces pays où on emballe les femmes, il y a recrudescence de la maladie sclérose en plaques car, ne pouvant se mettre au soleil, elles manquent de vitamine D, reconnue comme un des plus important vecteur de cette maladie immunitaire...

    A savoir aussi, qu'au Canada où le soleil n'est pas brillant, la Sep est la maladie qui frappe le plus de monde. Le gouvernement de ce pays à rendu obligatoire la prise de vitamine D durant la grossesse et jusqu'à l'âge de 8 ou 10 ans.

    Les emballeurs de gonzesse sont en train de détériorer leur capital de boniche à vitesse grand V.

    On peut être attaqué par la Sep de la naissance au 4e âge... oui, j'ai lu sur un forum qu'une dame âgée de 81 ans a été diagnostiquée sépianne!

    Le manque de soleil n'est pas le seul vecteur; il en existe 4 autres: la faute à pas de chance, le tabac (hélas, j'ai fumé 3 paquets par jour durant 20 ans) une violente émotion et une suspicion génétique (que j'ai aussi, manque de chance!).

    Moralité, ne jouez pas les Belphégor, ça augmentera vos chances!