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Le mec et la bête
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La belle et la bête (revisité)
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Un p'ti' coup de langue?
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Poème
Une lumière luit… à l’horizon :
Par une nuit noire, un certain François Hollande, fût ébloui par une étoile lumineuse sur le chemin de Damas, et un miracle faillit se produire : comment retrouver le doux Jésus… Après une formation technocratique au Colbertisme, une carrière dans la pénombre rue de Solférino à consolider une partition à jouer mais avec des musiciens non mélomanes et plutôt chahuteurs, indisciplinés, arrivé presque par hasard au trône suprême par un élan amoureux sanctionné de son leader, et, après vingt mois de béatitude au sommet de l’État, voici qu’un éclair soudain, l’oriente dans une direction opposée…
Oui mais, en fin normand mâtiné de corrézien, à ses dires, il ne faut pas se fier outre-mesure, car au langage des sots, comme maitre Corbeau sut si bien en profiter, il ne lâchera pas le fromage tout en laissant croire monts et merveilles, le déni de réalité étant si ancré en lui, et son désir de ne point lasser ses fervents supporters, il déclare tout benoîtement que le chariot de l’État est bien trop lourd et pesant. Croyez-vous qu’il proposa une solution pour donner de l’air à ce moyen de transport embourbé, nenni, tout un chacun eusse crû qu’une part du fardeau fusse enlevé des épaules de cet Hercule, encore non, rappelez-vous, il fait nuit noire, à chacun de trouver ses petits, ses espoirs, ses illusions…
Nous voici donc en fâcheuse posture avec un maître d’attelage vociférant, agitant un fouet à l’intention des entreprises qui ne sont pas ( à son goût) assez flatteuses et productrices pour nourrir les cohortes technocratiques… ces élites voraces…
Comment, ces gens que l’on a taxé, subtilisé les bénéfices avant même qu’ils ne soient produits, qui s’évertuent dans un maquis administratif peuplé de chausses-trappes et poursuivis par des questeurs féroces, donc ces gens ont des hésitations à lécher les chausses du maître…
Qu’il soit dit qu’on leur fera rendre gorge, foi de Cégétistes en pneumatiques assurés… Voyez-vous mes amis, les fables ont toujours une morale, bien que cette dernière soit bannie dans le royaume de ce maitre d’attelage, Ah cher La fontaine et Ésope, que vos écrits ont été déformés à des vils fins….
……………***par Cagouille.Le 9.1.2014- blog : »Saintongeais.wordpress.com »’…
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Hé??? qu'est-tu dis????
Il avait un cafard de 2 cm à l’origine de son terrible mal d’oreille
Un Australien vient de vivre une drôle de mésaventure… qui se termine bien pour lui. Réveillé par une forte douleur dans une de ses oreilles, il a aussitôt compris qu’une petite bête s’y était faufilée mais qu’elle n’était plus encline à en sortir. Après plusieurs tentatives, l’insecte a finalement été tué : il s’agissait d’un cafard de 2 cm.
Hendrik Helmer se rappellera sûrement longtemps de cette expérience qui en dégoûteraient plus d’un.
Comme le confie ABC, cet Australien habitant la banlieue de Darwin a été réveillé mercredi vers 2 h 30 du matin à cause d’une douleur dans l’oreille droite. Aussitôt, il comprend qu’une petite bête s’est installée dans son conduit auditif.
Bien que supportable dans un premier temps, la situation a commencé à empirer. L’homme, inquiet et effrayé à l’idée d’avoir une araignée mortelle qui pourrait le piquer, a tenté de déloger l’intrus par ses propres moyens, d’abord avec un aspirateur, puis en mettant de l’eau dans son oreille. Mauvaise idée : ces initiatives ont mis en colère l’hôte indésirable.
Hendrik Helmer décide alors d’aller à l’hôpital local. Les médecins le prennent aussitôt en charge et lui versent de l’huile d’olive dans le conduit auditif. La petite bête s’enfonce alors plus profondément encore. Mais au bout de 10 minutes, son activité se réduit fortement, et elle finit par mourir. Alors, l’intrus est retiré à l’aide d’une pince.
À la surprise générale, il s’agissait d’un cafard… long de 2 cm. Une taille bien plus imposante que ce que le personnel médical envisageait, car jamais il n’avait eu affaire à un insecte aussi gros.
La douloureuse expérience n’a cependant pas l’air de pousser le malheureux Australien à revoir ses habitudes. L’homme n’a pas prévu d’entreprendre une éradication des cafards, ne se sentant pas envahi. Il a déclaré ne pas prendre de précautions particulières à l’avenir pour se prémunir d’une récidive d’un autre blatoptère un peu trop aventureux.
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Si ma tante en avait...
Programme ABCD de l’égalité : la porte ouverte sur la théorie du genre à l’école
C’est LA grande mesure de la rentrée pour Najat Vallaud-Belkacem, Ministre des droits des femmes. Le programme « ABCD » de l’égalité sera mené à titre expérimental dans les établissements scolaires de dix académies volontaires : « Bordeaux, Clermont-Ferrand, Créteil, Corse, Guadeloupe, Lyon, Montpellier, Nancy-Metz, Rouen, Toulouse. Une généralisation est prévue en septembre 2014, après évaluation des premiers résultats" [1]
Mené conjointement par le ministère de l’Education nationale, le ministère des Droits des femmes et le Centre National de Documentation Pédagogique (CNDP), ce dispositif a pour objectif « d’agir dès l’école primaire pour lutter contre la formation de ces inégalités [de traitement, de réussite scolaire, d’orientation et de carrière professionnelle entre filles et garçons] dès le plus jeune âge, en agissant sur les représentations des élèves et les pratiques des acteurs de l’éducation » [2]
D’ores et déjà, on peut noter que ce programme tend à se baser sur des hypothèses datées. A titre d’exemple, le guide pédagogique « Clichés en tous genres » adressé aux équipes pédagogiques de l’Académie de Clermont-Ferrand, part du postulat que « si les jeunes filles réussissent davantage à l’école, elles se dirigent souvent vers les filières les moins porteuses d’emploi » [3]. Pourtant, selon l’INSEE, 61,2% des étudiants inscrits en médecine à l’université sont des femmes, et elles représentent 64.7% des effectifs de la filière droit et sciences politiques [4]. Comme le montre l’enquête du Ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, ces filières sont parmi les plus porteuses puisque le taux d’insertion après un master juridique est de 92% et de 95% après des études de médecine [5]. L’idée selon laquelle les femmes seraient sous-représentées dans ces filières était donc sans doute vraie il y a encore quelques années mais n’est plus une hypothèse valide aujourd’hui.
"Ma mère est une femme à barbe", ce que vos enfants vont devoir lire à l’école
Par ailleurs, le programme ABCD de l’égalité semble viser des objectifs de lutte contre des stéréotypes en réalité fantasmés. Ainsi, dans les outils pédagogiques proposés sur le site du programme trouve-t-on notamment le document « les ptits égaux » [6]qui propose aux enseignants différentes activités pour « Faire expérimenter aux jeunes le plaisir de décorer selon leurs fantaisies, indépendamment des stéréotypes sexués pouvant être associés à la naissance d’un enfant ». Jusqu’ici, rien d’alarmant, quoi que l’on puisse s’interroger sur la nécessité réelle d’un tel exercice. Les enfants sont donc invités à colorier une chambre d’enfant, et l’enseignant à choisir « quelques dessins (de préférence ceux qui comportent des éléments non traditionnels pour décorer une chambre de nouveau-né fille) » et « Expliquez aux enfants que les filles et les garçons peuvent aimer de la même manière les poupées, les voitures ou les jeux de construction et qu’ils ont le droit d’exprimer ces préférences. De même, l’utilisation des couleurs rose et bleu permet aux gens de reconnaître facilement le sexe d’un enfant. C’est comme une entente prise par les gens d’un même groupe. Cela aurait pu être différent (comme jaune pour les garçons et vert pour les filles). Certains parents utilisent cette convention du rose et du bleu, d’autres non (caractère arbitraire et culturel d’une convention sociale)" [7]. Or, il est ridicule de croire et/ou de prétendre qu’aujourd’hui encore un garçon de maternelle se voit interdit de colorier son dessin avec du rose, ou qu’une petite fille soit menacée de punition si elle a le malheur de jouer au camion de pompiers… Y a-t-il réellement besoin de dépenser l’argent du contribuable dans une formation onéreuse pour que les professeurs des écoles puissent « apprendre » à des enfants ce qu’ils font déjà naturellement ? L’entreprise est plus que douteuse.
Et c’est bien là que le bât blesse. Si personne ne conteste la nécessité d’une égalité de traitement entre filles et garçons – que ce soit en termes d’orientation, de salaire ou de carrière – est-ce vraiment la mission prioritaire de l’école que d’apprendre aux élèves « qu’une fille peut être chirurgien et un garçon professeur des écoles » ? Cela est plus que contestable à l’heure où 32% des garçons en fin de troisième ne maîtrisent pas les compétences de base en français (contre 17.7% des filles) [8].On songe effectivement que le premier rôle de l’institution scolaire est l’apprentissage des savoirs fondamentaux que sont la lecture, l’écriture et le calcul. Or, aujourd’hui 10h hebdomadaires consacrées au français en CP-CE1 et seulement 8h en CM1 CM2 [9] (voir notre article sur les priorités à donner à l’école). Les activités prévues par le programme ABCD tendent donc à empiéter sur le renforcement des savoirs fondamentaux, sans doute au détriment des compétences de bases nécessaires aux élèves pour leur réussite scolaire et professionnelle future.
Au-delà d’une erreur en termes de priorité, ce programme ABCD de l’égalité, s’il ne constitue pas en lui-même une application radicale de la théorie du genre, ouvre cependant à cette idéologie une porte au sein de l’école. En effet, nous n’en sommes pas encore ici à une remise en cause radicale de l’identité sexuelle prônant l’autodétermination du genre (on ne naît pas femme ou homme mais on choisit selon son désir ou ses sentiments).Cependant, la bibliographie sur laquelle s’appuie le programme [10] avec des titres comme « Ma mère est une femme à barbe », « Tous à poil ! » ou encore « Le petit garçon qui aimait le rose » montre clairement la volonté du gouvernement de franchir la première étape nécessaire à l’application de la théorie du genre : il s’agit de faire passer l’idée que rien n’est naturel, qu’il n’y a pas de norme, que tout est une question de choix finalement. Quant aux activités prévues pour les élèves mais également dans la formation transmise aux enseignants, l’idée au centre est que la fille est nécessairement « victime du système » - et la lutte des sexes est au fondement de l’idéologie du genre - et qu’il faut nécessairement agir car « l’apprentissage de l’égalité entre les genres dès le plus jeune âge est une nécessité pour que les stéréotypes s’estompent et d’autres modèles de comportement se construisent. » [11]
"Le petit garçon qui aimait le rose", exemple d’un stéréotype fantasmé par le gouvernement
Il s’agit donc pour les parents d’élèves et éducateurs avertis d’être vigilants sur les livres et activités proposés aux enfants.
[1] http://www.cndp.fr/ABCD-de-l-egalite/a-propos.html
[2] http://www.cndp.fr/ABCD-de-l-egalite/a-propos.html
[3] ONISEP, Filles et Garçons, Clichés en tous genres, guide à l’usage de l’équipe éducative, Académie de Clermont-Ferrand, Ministère de l’Education nationale, de la jeunesse et de la vie associative
[4] http://www.insee.fr/fr/themes/document.asp?ref_id=T10F102
[5] http://cache.media.enseignementsup-recherche.gouv.fr/file/enquete_2012_(master_2009)/64/0/Resultats_nationaux2009_232640.pdf
[6] http://www.ac-besancon.fr/IMG/pdf/les_ptits_egaux_repertoire_enseignant-e-s.pdf
[7] Ibid.
[8] http://cache.media.education.gouv.fr/file/etat22/93/2/DEPP-EE-2012-maitrise-competences-base_229932.pdf
[9] Alors même que les dépenses d’éducation ont plus que doublé entre 1985 et 2002, http://www.ibe.unesco.org/International/ICE47/English/Natreps/reports/france.pdf
[10] Qui s’appelle d’ailleurs « Bousculer les stéréotypes »
[11] http://www.cndp.fr/ABCD-de-l-egalite/ressources-documentaires.html
Read more at http://www.theoriedugenre.fr/?Programme-ABCD-de-l-egalite-la#MTJTPmCQD8E3bC3H.99
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Petites histoires extraordinaires
États-Unis : à froid extrême, petites histoires extraordinaires
Pour voir les vidéos, URL en fin de note
VIDÉOS - La vague de froid qui frappe le nord de l'Amérique depuis une semaine n'a pas apporté que des flocons et du verglas. Avec elle, son lot d'histoires insolites.
L'ours polaire de Chicago ne supportait pas le froid
À Chicago, où les grands lacs ont gelé, l'ours blanc du zoo municipal a dû regagner son abri. Anana, l'ours polaire du Lincoln Park Zoo a renoncé à «ses plongées fréquentes dans la piscine extérieure» de son enclos, comme le signalent les responsables du parc, pour rentrer se mettre au chaud. Même ce grand prédateur des régions arctiques reste habitué à des températures plus clémentes. Mardi, sur les rives du lac Michigan, le mercure avoisinait les -37°c. De la glace, sans glace
Un froid extrême peut présenter des avantages inattendus. Mardi, New-York battait un record de température , les thermomètres affichant -15,5°c dans Central Park. Pour trouver un relevé comparable, il faudrait remonter à 1896. Le chef Jansen Chan, enseignant au prestigieux Centre culinaire international (ICC), peut désormais réaliser en quelques minutes, en pleine rue, des glaces au chocolat, sans avoir à se servir d'un réfrigérateur. Une recette inédite, et qui semble du goût des passants.
Un fugitif se rend parce qu'il a trop froid
Le froid a aussi rendu service aux forces de l'ordre du Kentucky. Robert Vick purgeait au centre carcéral de Lexington une peine de onze ans pour vol et recel de contrefaçons, avant de s'évader dimanche. Mais le malfaiteur, âgé de 42 ans, aura jugé qu'une cellule de prison valait mieux que les bourrasques glacées qui balayent l'État. Alors que la température tombait à -20°c, Robert Vick, s'est rendu lundi dans un motel pour contacter la justice et indiquer qu'il se rendait, le froid ayant eu raison de sa cavale, comme le rapporte CBS. Après un examen médical, il a pu regagner sa prison chauffée.
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D'étranges lumières lors des tremblements de terre
D'étranges lumières lors des tremblements de terre
Des chercheurs canadiens et américains ont identifié dans quelles conditions particulières des luminosités atmosphériques pouvaient être produites par des séismes.
Longtemps considérées comme des légendes ou des hallucinations visuelles, les manifestations lumineuses qui accompagnent certains tremblements de terre sont des phénomènes très crédibles, expliquent des géologues canadiens et américains dansSeismological Research Letters. Les chercheurs ont recensé les 65 témoignages les plus sérieux de ces phénomènes rares et se sont aperçus qu'ils se produisaient le plus souvent au-dessus de failles verticales, en plein continent, loin des failles de subduction où une plaque tectonique glisse sous une autre.
Des bandes et colonnes lumineuses sortant du sol
Les lumières peuvent être émises avant, pendant et après les séismes,et elles prennent des formes assez variées. «On identifie 4 grandes familles de luminosités sismiques», raconte Robert Thériault, géologue au Ministère des ressources naturelles du Québec et premier auteur de l'étude. «La première ce sont des sphères lumineuses, qui sont soit statiques soit en mouvement dans le ciel, la deuxième rassemble des luminosités atmosphériques, des flashs rapides et brefs, et aussi des illuminations visibles sur plusieurs kilomètres. La troisième forme ressemble à des sortes de flammes qui sortent de terre, mais ce ne sont pas des combustions car elles n'émettent pas de chaleur. Enfin, en dernier, il existe aussi des bandes ou des colonnes lumineuses qui sortent du sol.»
L‘origine de toutes ces luminosités sismiques est encore loin d'être identifiée, mais l'hypothèse la plus sérieuse semble d'origine électrique. La libération brutale de charges électriques provoquées par des glissements de roches cristallines remontent en surface et ionisent l'air ambiant, un peu à la manière d'une lampe fluorescente. «Ce type de phénomène a été imaginé et vérifié en laboratoire, à une échelle réduite, par l'un des co-auteurs de l'étude, Friedemann Freund, du centre Ames de la Nasa en Californie,» précise Robert Thériault.
Des vies sauvées à l'Aquila en 2009
Le fait que les lumières associées aux séismes se produisent dans 97% des cas au dessus de failles presques verticales dans la croûte continentale s'expliquerait alors par le fait qu'elles offriraient le chemin le plus direct pour permettre aux charges électriques de remonter à la surface. «Les failles de subduction, comme celle au large du Japon, se trouvent pour leur part au large, sous des centaines de mètres d'océan, qui empêcheraient de toute façon les charges électriques d'atteindre la surface,» remarque Robert Thériault.
Le chercheur québecois espère que ce type de phénomène, qui reste rare, et serait associé à moins de 10% des séismes dans le monde, fera à l'avenir l'objet de plus nombreuses recherches scientifiques. La connaissance de ce type de luminosité inhabituelle a en tout cas sauvé la vie d'un Italien habitant de l'Aquila, raconte Robert Thériault. En 2009, en voyant ce type de flamèches jaillir du sol dans les rues de la ville depuis les fenêtres de sa maison, il a tout de suite réagit en sortant et mettant sa famille à l'abri, deux heures avant la secousse majeure qui rasa la presque totalité de l'ancienne cité.
Des boules lumineuses ont été visibles lors d'un séisme près du lac Tagish à la frontière entre le Yukon et l'Alaska au début des années 1970. Elles faisaient environ 1m de diamètre. Les plus éloignées sont indiquées par des flèches. Crédits photo : Jim Conacher