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  • Manque pas d'estomac!

    Douze pépites de 33 grammes ont été sorties de l'estomac du patient.

    Les chirurgiens ont beau être habitués aux découvertes insolites, il leur arrive encore de rester scotchés par ce qu'ils trouvent parfois dans le corps de leurs patients. A New Delhi, des médecins étaient en train d'opérer un homme souffrant de maux de ventre lorsqu'ils sont tombés sur... des pépites d'or, tapissant ses intestins. Ils ont ainsi dû extraire douze pépites de 33 grammes chacune, raconte The Guardian.

    "C'est la première fois que je vois ça. Je me souviens avoir enlevé d'une vessie une pierre d'un kilo, une fois, mais trouver de l'or dans l'estomac d'un patient, c'est tout simplement incroyable", a commenté le Docteur Ramachandran, chirurgien en chef à l'hôpital Sir Ganga Ham, où l'opération a eu lieu le 9 avril.

    11.500 euros de marchandise

     Sommé de s'expliquer, le patient a dit qu'il avait ingéré ces pépites dix jours plus tôt, à Singapour, pour ne pas payer de droits de douane en rentrant en Inde. Il a ensuite bu beaucoup d'eau et pris des laxatifs, mais rien n'y a fait. Constipé, il n'a pu expulser les pépites et a commencé à être pris de vomissements. Il a fini par se rendre à l'hôpital, où il a déclaré que ses problèmes étaient sûrement dus à une capsule en métal, avalée "dans un moment de colère".

    Les chirurgiens se sont vite rendu compte que cet homme d'affaires, originaire du district de Chandni Chowk, ne leur avait pas tout dit. Au total, il en avait pour 11.500 euros de marchandise dans le corps. "Je traite ce patient depuis 1989. C'est un homme sain, dont les affaires marchent bien. Je suis très surpris et choqué qu'il ait pu faire quelque chose comme ça", a ajouté le chirurgien en chef. Alertée par l'hôpital, la police a entendu le curieux patient, mais aucune charge n'a été retenue. Bien évidemment, elle a toutefois confisqué les pépites d'or.

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  • Un insolite perso: la télé qui s'allume toute seule

    Ce dimanche matin de Pâques 2014, il est 8 h 18 pendant que j'écris cette note et j'en suis encore abasourdie: il vient à peine de m'arriver un phénomène paranormal très flagrant…. je dis flagrant parce que, d'habitude, quand il m'arrive des choses bizarres, j'en ris et n'y fais même pas attention, trouvant toujours une explication rationnelle. Mais, là…. j'attends de savoir qu'elle information m'a été donnée… si tant est qu'il y avait quelque chose à savoir ou comprendre.

    Dans le minuscule pavillon que nous occupons depuis fin août 2012, la cuisine est vraiment ridicule: à l'origine, elle n'a que 5,25 M2 de surface… on se croirait au camping!

    Moi qui suis habituée à faire mes repas en entier et sans passer jamais par la case Findus où il suffit de faire chauffer une barquette d'aluminium contenant un brouet insipide fabriqué par je ne sais qui et de la passer au micro-onde, vous pouvez imaginer ma colère à chaque instant où je prépare le repas bi-quotidien: j'ai l'impression d'être un grillon dans sa cage.

    J'ai fais de mon mieux pour piquer de l'espace sur ma salle à manger qui, elle-même est aussi grande qu'un grand mouchoir paysan: j'ai un peu agrandi l'espace en n'installant pas de machine à faire la vaisselle… je pense que cet instrument n'est acceptable que lorsque le ménage est au minimum de trois personnes à chaque repas.

    Et donc, ce matin, vers 8 h, je me suis mise à faire ma vaisselle de la veille…. d'une vieille tradition familiale, je ne fais la vaisselle que le matin; il y a une vraie explication pour cela mais, là, n'est pas le propos.

    J'étais donc, tranquillement occupée à nettoyer un petit plat en céramique lorsque que, tout à coup, ma télé s'allume. Et ne s'arrête pas. Je prends un torchon pour sécher mes mains pleines de savon et je vais 3 mètres plus loin me saisir de le télécommande pour l'éteindre… Comme indiqué plus haut, j'ai souvent des phénomènes mais, bon, là, j'ai trouvé un peu “fort“ tellement celui-ci est vraiment flagrant.

    J'éteins le téléviseur et je m'exclame en riant: et, c'est le loto gagnant qu'il me faut… pas des surprises idiotes qui ne servent à rien. Et, je reviens en cuisine pour terminer mon travail.

    J'ai à peine repris le lavage de vaisselle quand, une minute et demie plus tard, vlam, le téléviseur se rallume pour la seconde fois. Je reviens dans la salle à manger, plutôt étonnée et je constate qu'il s'est rallumé sur les chaînes TNT et pas sur les chaînes satellites qui auraient dû être ouvertes puisque je regardais les infos sur le “satellite“ une dizaine de minutes plus tôt: d'ailleurs, sur toutes les chaînes infos, il n'est question que du retour des 4 journalistes qui avaient été enlevés en Syrie et qui, eux aussi, par miracle de Pâques ont été libérés, comme cela, tout à trac. Vous connaissez la nouvelle, elle va passer en boucle toute la sainte journée comme on dit à Toulouse… et d'ailleurs, gagné, un jour de Pâques, c'est une sainte journée pour les cathos.

    J'étais à nouveau le téléviseur et une fois de plus, je m'exclame: les bons numéros du loto… ça me changera bien la vie! En revenant à la cuisine espérant terminer ma vaisselle sans être, encore, interrompue, je me dis: encore et toujours des trucs pour rien… et puis, une idée me passe par la tête: j'espère que je ne vais pas apprendre une très mauvaise nouvelle!

    Car, moi, je vous le dis: j'en ai assez comme cela des emmer. dans la vie… et, parti comme c'est parti, j'ai bien peur que cela ne s'arrête que quand je serais dans la caisse en bois…. et encore, avec la chance que j'ai, je pourrais encore avoir des surprises après ma mort.

    En fait, cela m'était arrivé il y a quelque temps déjà... mais, franchement, je n'y avais pas pris garde.... il y a trois mois environ... j'éteins la télé, il était pas loin d'une heure.... et le sommeil est là.... je vais me coucher... dans ma chambre, pendant que je me déshabille, j'entends parler... et comme je ne suis pas schizo et que je n'entends plus les pensées des autres car j'ai réussi depuis longtemps à bloquer ma téléphathie... je reviens dans la salle à manger et là, je constate que la télé fonctionne.... je l'éteinds donc et je me couche au bord du sommeil en me demandant si elle va rester éteinte ou si je vais devoir me relever... la brave bête! elle est restée tranquille.

    Et ce matin, j'étais bien éveillée: les esprits sont un peu casse-pieds! surtout, que je n'y crois pas un instant.... je mets cela sur le compte de télépsychie ou poltergeïst si vous voulez faire bien et montrer vos savoirs.... rien à voir avec les morts... et d'ailleurs, ce pavillon est neuf, construit entre fin 2011 et début 2012; dans ma villa précédente, d'autres phénomènes que je gardais pour moi et villa construite en 2006, nous étions les premières habitantes.

    Comme disait de moi Sciences et Vie en 1984: je suis la voyante qui ne croit pas aux esprits! ils n'en revenaient pas les bougres!

    Il y a eu une émission samedi sur la 6 et le public comme des moutons à l'ESB spongiforme a applaudit le "rubriqueur" qui disait que la voyance, astrologie et autres c'est du pipeau!

    Valérie Damidoff à dit: j'y crois... Elle a bien raison! tandis que le "rubriqueur" négationniste, dites-lui de venir lire cette note et puisqu'il est si malin, qu'il me donne une explication rationnelle ... je ne demande que cela!

  • Je vous parle d'un temps que les moins de 40 ans, ne peuvent pas connaître....

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  • y'a plus d'enfants, han, han... (2 fois).... y'a plus d'enfants, maintenant!

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    Au fait: le titre de la note est le titre d'une chanson des années 60 chantée par Colette DEREAL!

     

     

     

  • Le bon temps, c'est quand? quand on a le temps seulement.....

     

     

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    Autrefois, en France, tout finissait par des chansons

    Maintenant, tout finit par des impôts

     

    Chanté par Bourvil et Henri Genès

    Au temps, au bon temps
    Des rois fainéants,
    Ti qui tic qui tic!
    Les jours et les nuits
    Se passaient au lit
    Ti qui tic qui tic!

    Traînés par des bœufs
    Dans un char moelleux,
    On faisait Paris-Orléans
    En trois ans, tout en taquinant
    Les belles pucell´s en passant...

    Au temps, au bon temps
    Des rois fainéants,
    Ti qui tic qui tic!
    D´un´main on mangeait
    De l´autre on buvait
    Ti qui tic qui tic!

    L´amour se chantait
    Sur des fluviaux d´or
    Et les belles offraient les trésors
    De leurs corps
    Aux rois fainéants.

    Les baladins jouaint du bilboquet
    Et les menestrels grattaient leurs viell´s
    Et tous les bouffons dansaient en rond :
    C´était toujours la fête!

    Tous les manants,badauds criaient
    "Bravo!"
    Et parfois, pour un privilégié,
    Le bon roi disait à son bourreau :
    "Oh! Coupez-lui la tête!
    Ça lui fera les pieds!
    Foutez-moi la paix!"

    Au temps, au bon temps
    Des rois fainéants
    Ti qui tic qui tic!
    T´aurais eu ma reine
    Un beau diadème
    Ti qui tic qui tic!

    Parmi les oiseaux,
    Au bord des ruisseaux,
    Je te vois, quenouillant le lin.
    Enfin bref, comm´dirait Pépin,
    Chacun doit mériter son pain!

    Au temps, au bon temps
    Des rois fainéants
    Ti qui tic qui tic!
    T´aurais pas aimé
    Me voir travailler
    Ti qui tic qui tic!

    Alors, mon amour,
    Ne crie pas toujours.
    Laisse-moi dormir
    Et sourire.

    Au bon temps
    Des rois fainéants
    Ti qui tic qui tic!
    Des rois fainéants
    Ti qui tic qui tic!
    Des rois fainéants!

    Ha! Je suis fatigué moi!

     

     

     

     

  • Journalistes: comment ils vous manipulent

    " Comment les médias nous parlent (mal) " de Mariette Darrigrand

    Publié dans Lecture, Médias

    Dans une Société devenue hyper-médiatique, une sémiologue de renom s’intéresse aux effets destructeurs du langage journalistique sur le moral des Français et surtout au caractère stérile des mots utilisés, qui n’ont pour effet que de paralyser la seule chose qui compte véritablement : l’action. Une sorte de nivellement par le bas, en somme.

    Par Johan Rivalland.

    Comment les médias nous parlent mal

    Je ne connaissais pas Mariette Darrigrand. Elle est sémiologue, un métier connu à travers les analyses que l’on peut lire, ici ou là, depuis longtemps en Sciences politiques, communication, ou Marketing, notamment.

    Sa spécialité, quant à elle, est l’analyse du discours médiatique.

    Elle intervient, semble-t-il, dans divers médias, en particulier France Culture, où elle anime une chronique dans une émission intitulée "Le secret des sources", que j’écouterai volontiers un de ces jours…

    L’hypertrophie de la Doxa

    Le présent essai Comment les médias nous parlent (mal), s’intéresse au caractère néfaste de l’usage excessif de certains mots dans les médias, qui reviennent de manière redondante, selon une certaine forme de panurgisme aux effets qu’elle juge dévastateurs, et selon les modes du moment.

    Un thème, donc, parfaitement intéressant et reflet de notre Société. Un révélateur de l’esprit devenu dominant de la Doxa (parole vide, selon le vocabulaire de nos philosophes antiques) face au Logos (parole pleine).

    Le principal reproche émis à l’encontre des médias est l’usage fait du vocabulaire et le pessimisme ambiant dans lequel il nous plonge collectivement.

    Non pas que nous n’ayons pas de bonnes raisons d’éprouver certaines formes de pessimisme (par exemple face à la relative léthargie de nos politiques dans leur action), mais parce que ce vocabulaire, loin d’être au service de l’action ou de la réaction, se limite à déplorer, se lamenter, s’auto-flageller de manière stérile, sans véritable souci de comprendre, d’analyser, de construire.

    Et le problème est que, dans cette société hyper-médiatisée, nous baignons, du matin dès le réveil et jusqu’au soir, dans ce contexte de pessimisme ambiant et répété, qui finit par jouer sur notre moral ou fausser notre perception.

    Facteur d’angoisse, nous sommes alors en partie atteints de maux purement occidentaux que l’on peut nommer, selon Mariette Darrigrand, "mélancolie, nombrilisme, anti mondialisme", surtout lorsque l’information tourne en boucle à longueur de journée et qu’on est "médiavore".

    Un vocabulaire plaintif à la recherche de l’audience

    C’est ainsi qu’un certain nombre de mots prennent une importance exagérée, selon des effets de mode correspondant à une volonté, consciente ou inconsciente, de coller à "l’opinion majoritaire " du moment.

    Au service d’un certain moralisme ou d’une volonté de refléter les ressentis présumés des Français, ces mots sont repris à qui-mieux-mieux sans précaution, plus dans un souci de recherche du sensationnalisme et de l’audience que de vraiment analyser et susciter la réflexion.

    Mariette Darrigrand, en bonne observatrice des médias, s’intéresse aux mots les plus marquants de 2013 (parfois depuis plus longtemps), à l’instar du mot "fragile", par exemple, mis à toutes les sauces et appliqué à tous les domaines de la vie, des plus quotidiens aux plus emblématiques (personnalités politiques ou autres, situation économique, …), faisant fi de ses origines latines pour en faire un instrument associé à la crise et au désir de s’en remettre à plus grand, à savoir celui qui pourra nous en sortir (l’Etat ?).

    Vocable associé aussi à " la tempête " et tout ce qui succède à "l’impuissance" qui prévalait auparavant, à la recherche de celui qui sera " capable de garder le cap dans la tempête "ou face à" l’imaginaire de la pluie et du beau temps", source devenue classique du catastrophisme ambiant, parfois au risque d’en faire trop.

    Particulièrement symptomatique est le mot "colère", qui a notoirement marqué 2013 selon Mariette Darrigrand.

    Le problème, explique-t-elle, est que ce vocable devient un "fait de société", là où il n’est en réalité qu’un sentiment, une pulsion, " et non une pensée articulée ", contrairement au sens positif qu’elle revêtait chez les philosophes grecs, pour qui elle devait être tournée vers l’action.

    Elle devient donc, du fait des journalistes, quelque chose de "fictionnel" davantage "de l’ordre de l’idéologie régressive imaginaire" et du "sentiment d’injustice" que de quelque chose qui puisse être véritablement utile et constructif.

    De l’indignation stérile au misérabilisme ambiant, ces qualificatifs n’ont pour effet que de jouer sur les émotions et rien d’autre, avec toutes les conséquences négatives que cela peut induire et les fantasmes de la "table rase".

    Du diagnostic à l’action

    Tous ces qualificatifs ont pour point commun de faire perdurer l’usage de l’indémodable mot "crise", derrière lequel politiques et journalistes aiment à se réfugier constamment, comme s’il s’agissait d’une fatalité, là où pour les grecs anciens, loin de constituer la maladie, il consistait en un diagnostic ("penser la situation pour agir").

    C’est le dernier mot que l’auteur explore, pour ensuite en appeler, en conclusion, les médias à changer d’état d’esprit et jouer le véritable rôle de contre-pouvoir qui leur est en principe dévolu, loin de tout sensibilisme ou toute complaisance, voire de "mythologie", nous permettant ainsi de "récupérer un peu de liberté", en privilégiant au contraire le pluralisme, l’analyse, la réflexion, ce qui n’exclut pas une part de Doxa, mais qui vise à être rééquilibrée, ne laissant pas aux "faiseurs d’opinion" le soin d’imprimer dans les esprits des idées artificielles et malheureusement qui deviennent dominantes, à l’encontre de ce devrait être la véritable démocratie.

    Un petit livre en forme de mise en garde, donc, et qui sonne juste, mais qui m’a semblé très court et assez peu approfondi, malgré les qualités de l’auteur et l’intérêt du thème. Un côté trop instantané, rapide, anecdotique et probablement " vitrine ", destiné peut-être à séduire le public qui connait déjà la chroniqueuse et peut avoir plaisir à la retrouver à travers un écrit, ou à élargir la sphère de ceux qui s’intéresseront à ses émissions. A moins que cela ne s’inscrive dans une tendance très actuelle à faire court, pourquoi pas d’ailleurs; certainement un peu des deux.

    Cela dit, l’ensemble demeure néanmoins sympathique, vivant et intéressant en soi, même s’il ne s’agit pas d’un grand ouvrage. Gageons que l’auteur saura nous proposer, à l’avenir, quelque chose de plus travaillé, sur ce même thème ou un autre voisin. Elle dispose a priori de toute la ressource pour œuvrer en ce sens.

    Mariette Darrigrand, Comment les médias nous parlent (mal), Editions François Bourin, janvier 2014, 77 pages.

     

  • Pour vous récompenser de votre patience, quelques belles images

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  • Merci. Comme quoi, le foot, la voyance, ça vous intéresse!

    Grâce à ma prédiction ??!! sur le gagnant de la coupe du monde du Brésil

     

    j'ai fais un peu plus de visites que d'habitudes et, tant que les visiteurs étaient là, ont suscité la vue de 1212 pages...

     

    Merci. Il y encore d'autres notes et photos à voir!!!

     

    (oui, je sais, je suis insatiable!)

    Remarquez, si les hommes des cavernes n'avaient pas été insatiables à découvrir la terre, nous serions toujours dans des cavernes!!!