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femme - Page 272

  • Les Chinois viennent chez Ikea pour faire la sieste

     

    Dans ses magasins chinois, le géant suédois voit débarquer chaque jour des milliers de visiteurs qui dorment sur les matelas et font des pique-niques au rayon meuble. Soucieuse de ne pas froisser ces potentiels clients, la direction ferme les yeux.

    S'adapter aux habitudes de la clientèle chinoise est un défi permanent pour les sociétés qui s'installent en Chine. Le géant suédois Ikea en fait l'expérience tous les jours dans ses magasins où la clientèle adopte un comportement qui - d'un point de vue occidental - peut paraître très surprenant.

    Au rayon des meubles et cuisine notamment, il n'est pas rare de voir des pique-niqueurs, assis sur les tables d'exposition avec leur thermos de thé et leurs sandwichs. Parfois, des jeunes couples se font des câlins et se prennent en photo sur les canapés des espaces salons. Mais c'est au rayon des chambres à coucher que les visiteurs se sentent le plus comme chez eux: jeunes et moins jeunes n'hésitent pas à se déchausser, puis se glisser sous les draps des lits d'exposition pour piquer un somme. Des familles entières s'allongent parfois sur les matelas pour faire une sieste avant de reprendre leur promenade.

    Dans un article publié le mois dernier, un journaliste du South China Morning Post , décrit, photos à l'appui, cette scène incroyable qui s'est déroulée un samedi de forte affluence dans un magasin de Pékin: "dans un lit king-size, un petit garçon se réveille d'une sieste aux côtés de sa grand-mère (elle aussi endormie). Quand la vieille dame aide l'enfant à uriner dans une bouteille d'eau, inondant copieusement le matelas, personne n'a l'air d'y faire attention"…

    Visiblement très confortable, ce rayon est le plus populaire et le plus visité des établissements Ikea en Chine. Au grand dam des employés de l'enseigne suédoise, forcés de réveiller les personnes assoupies sur les lits pour permettre à ceux qui veulent acheter de faire leur choix. Les draps doivent aussi être changés presque tous les jours, obligeant les employés à faire des heures supplémentaires. "Je pense juste que les habitudes de shopping sont très différentes en Chine", ironise l'un d'entre eux au South China Morning Post. "Les visiteurs d'aujourd'hui pourront très bien devenir les clients de demain"

    Linda Xu, chargé des relations publiques du groupe suédois en Chine.

    Le comble pour Ikea, c'est que ces clients ressortent généralement les mains vides. Les circuits tracés pour traverser le magasin sont bondés, mais pas d'embouteillage en caisse. Face à cette situation, la direction d'Ikea se montre pourtant très patiente: "Nous accueillons toutes les personnes qui veulent venir dans nos magasins. Les visiteurs d'aujourd'hui pourront très bien devenir les clients de demain", souligne Linda Xu, chargé des relations publiques du groupe suédois en Chine.

    Sur le long terme, la stratégie semble payante. Depuis son installation il y a quinze ans, Ikea a fait de la Chine l'un de ses plus importants marchés. Près de 15 millions de visiteurs ont fréquenté ses onze magasins l'an dernier, permettant au groupe de réaliser un chiffre d'affaires dépassant les 6 milliards de yuans (plus de 700 millions d'euros). Loin d'être découragée par l'attitude de ses visiteurs, l'enseigne envisage d'ouvrir d'autres points de vente à Shanghaï, Pékin, Chongqing, ou encore Ningbo. D'ici 2020, Ikea vise même les 40 magasins dans ce pays.

     

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  • Les Chinois viennent chez Ikea pour faire la sieste

     

    Dans ses magasins chinois, le géant suédois voit débarquer chaque jour des milliers de visiteurs qui dorment sur les matelas et font des pique-niques au rayon meuble. Soucieuse de ne pas froisser ces potentiels clients, la direction ferme les yeux.

    S'adapter aux habitudes de la clientèle chinoise est un défi permanent pour les sociétés qui s'installent en Chine. Le géant suédois Ikea en fait l'expérience tous les jours dans ses magasins où la clientèle adopte un comportement qui - d'un point de vue occidental - peut paraître très surprenant.

    Au rayon des meubles et cuisine notamment, il n'est pas rare de voir des pique-niqueurs, assis sur les tables d'exposition avec leur thermos de thé et leurs sandwichs. Parfois, des jeunes couples se font des câlins et se prennent en photo sur les canapés des espaces salons. Mais c'est au rayon des chambres à coucher que les visiteurs se sentent le plus comme chez eux: jeunes et moins jeunes n'hésitent pas à se déchausser, puis se glisser sous les draps des lits d'exposition pour piquer un somme. Des familles entières s'allongent parfois sur les matelas pour faire une sieste avant de reprendre leur promenade.

    Dans un article publié le mois dernier, un journaliste du South China Morning Post , décrit, photos à l'appui, cette scène incroyable qui s'est déroulée un samedi de forte affluence dans un magasin de Pékin: "dans un lit king-size, un petit garçon se réveille d'une sieste aux côtés de sa grand-mère (elle aussi endormie). Quand la vieille dame aide l'enfant à uriner dans une bouteille d'eau, inondant copieusement le matelas, personne n'a l'air d'y faire attention"…

    Visiblement très confortable, ce rayon est le plus populaire et le plus visité des établissements Ikea en Chine. Au grand dam des employés de l'enseigne suédoise, forcés de réveiller les personnes assoupies sur les lits pour permettre à ceux qui veulent acheter de faire leur choix. Les draps doivent aussi être changés presque tous les jours, obligeant les employés à faire des heures supplémentaires. "Je pense juste que les habitudes de shopping sont très différentes en Chine", ironise l'un d'entre eux au South China Morning Post. "Les visiteurs d'aujourd'hui pourront très bien devenir les clients de demain"

    Linda Xu, chargé des relations publiques du groupe suédois en Chine.

    Le comble pour Ikea, c'est que ces clients ressortent généralement les mains vides. Les circuits tracés pour traverser le magasin sont bondés, mais pas d'embouteillage en caisse. Face à cette situation, la direction d'Ikea se montre pourtant très patiente: "Nous accueillons toutes les personnes qui veulent venir dans nos magasins. Les visiteurs d'aujourd'hui pourront très bien devenir les clients de demain", souligne Linda Xu, chargé des relations publiques du groupe suédois en Chine.

    Sur le long terme, la stratégie semble payante. Depuis son installation il y a quinze ans, Ikea a fait de la Chine l'un de ses plus importants marchés. Près de 15 millions de visiteurs ont fréquenté ses onze magasins l'an dernier, permettant au groupe de réaliser un chiffre d'affaires dépassant les 6 milliards de yuans (plus de 700 millions d'euros). Loin d'être découragée par l'attitude de ses visiteurs, l'enseigne envisage d'ouvrir d'autres points de vente à Shanghaï, Pékin, Chongqing, ou encore Ningbo. D'ici 2020, Ikea vise même les 40 magasins dans ce pays.

     

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  • Comme disait....

    "Le socialisme, c’est une attaque tantôt directe, tantôt indirecte mais toujours continue aux principes mêmes de la propriété individuelle; c’est une défiance profonde de la liberté, de la raison humaine; c’est un profond mépris pour l’individu pris en lui-même, à l’état d’homme; ce qui caractérise [les systèmes qui portent le nom de socialisme], c’est une tentative continue, variée, incessante, pour mutiler, pour écourter, pour gêner la liberté humaine de toutes les manières;

    c’est l’idée que l’État ne doit pas seulement être le directeur de la société, mais doit être, pour ainsi dire, le maître de chaque homme – que dis-je! son maître, son précepteur, son pédagogue;

    que de peur de le laisser faillir, il doit se placer sans cesse à côté de lui, au-dessus de lui, autour de lui, pour le guider, le garantir, le retenir, le maintenir; en un mot, c’est la confiscation de la liberté humaine.

    À ce point que si, en définitive, j’avais à trouver une formule générale pour exprimer ce que m’apparaît être le socialisme dans son ensemble, je dirais que c’est une nouvelle formule de la servitude…"

    Alexis de Tocqueville

  • Faut rigoler...

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  • Le carnaval du tour de France 2013

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  • La vérité qui tue

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  • Toulousains, toulousains, plein d'entrain, plein d'entrain, nous sommes une joyeuse troupe (chansons de mes colos)


    "Toulousain" par ladepechefr

     

     

    Oui, c'est nous... sauf que moi, je serais plutôt là un quart en avance... je ne fais pas aux autres ce que je n'aime pas que l'on me fasse!! NDLa rédactrice

     

     

    Le Toulousain est toujours en retard

    Le fameux «quart d’heure toulousain» fait tellement partie de notre vie qu’il n’est pas rare d’entendre évoquer cette particularité lors de réunions officielles, congrès, séminaires, etc. Dans les milieux de l’événementiel et de la communication ce battement d’une quinzaine de minutes est quasiment intégré dans le planning, en raison des bouchons sur la rocade, des travaux du centre-ville… Le petit quart d’heure permet de faire traîner la pause-café avant de passer aux choses sérieuses. Au Capitole on se défend d’appliquer cette coutume locale. «Le quart d’heure toulousain n’existe pas à la mairie», confie-t-on dans l’entourage de Pierre Cohen. «Le maire est très ponctuel et en principe les manifestations commencent à l’heure. Les gens sont respectueux des élus et des institutions». Pour les habitants de la ville rose, le «quart d’heure toulousain» est une excuse en or. Personne ne peut nous reprocher une particularité plus ou moins inscrite dans le patrimoine génétique local ! D’accord aucune étude scientifique n’a démontré que le cerveau toulousain souffrait d’un léger décalage horaire.

      

     Le Toulousain travaille à airbus 

    «80 % de nos adhérents qui viennent s’installer à Toulouse, sont des salariés d’Airbus ou de sociétés liées à l’aéronautique» constate Emilie Ollivier, responsable de la communication de l’antenne toulousaine d’AVF (accueil des villes françaises) qui fêtera ses 50 ans en 2015. «C’est vrai qu’il n’est pas rare de voir arriver dans nos réunions des gens qui se baladent avec leur tour du cou Airbus qu’ils ont oublié d’enlever !». Évidemment TOUS les Toulousains ne fabriquent pas des avions. Airbus emploie 20 000 salariés à Toulouse (59 000 dans le monde) et 80 700 personnes travaillent directement pour l’aéronautique en Midi-Pyrénées.

     

     Le Toulousain aime la chocolatine

    À la boulangerie on ne dit pas «je voudrais quatre pains au chocolat dans un sac», mais «je voudrais quatre chocolatines dans une poche». Le débat entre «pain au chocolat» et «chocolatine» fait rage jusque dans les grandes écoles toulousaines où se rencontrent des étudiants de toute la France. La chocolatine est plébiscitée à Toulouse comme dans tout le sud de la France, de Bordeaux à la frontière espagnole, de Biarritz à Perpignan. Le mot «chocolatine» serait une abréviation de l’expression anglaise «chocolate in bread».

     

    Le Toulousain déteste le bordelais 

    La guéguerre entre Toulousains et Bordelais est légendaire, sur les terrains de foot comme ailleurs. Qui ne s’est pas amusé à marmonner «encore un con de Bordelais» en se faisant klaxonner par une voiture immatriculée 33. «Les Bordelais nous prennent pour des gueux. Mais nous au moins on est fiers de notre accent» lâche Norbert un gars du cru. Le Bordelais est snob. Le Toulousain est accueillant. Bordeaux ressemble à Paris. Toulouse est très animée… Les idées reçues ont la peau dure de ce côté de la Garonne, d’autant que cette rivalité ne date pas d’hier. L’historien André Cabanis rappelle que tout a commencé au Moyen Âge : «Bordeaux était sous l’autorité du roi d’Angleterre. Les Anglais venaient piller sous les murs de Toulouse, mais ils n’ont pas réussi à entrer dans la ville». Pour Jean-Louis David, adjoint au maire de Bordeaux, les deux villes «sont aujourd’hui complémentaires. Les rivalités d’antan sur les implantations économiques sont moins importantes».

      

     Le Toulousain est chauvin

     Émigré à Paris depuis huit ans, Didier Saboulard a créé «Les Toulousains2Paris» un club dont les membres sont originaires de la région, et qui a son petit journal, «Le Capitole». Ce fervent supporter du Stade se défend d’être chauvin. «Avoir créé l’association permet de maintenir le lien entre Toulousains. Mais ce qu’on aime surtout c’est partager notre culture et notre gastronomie, faire connaître la région. On participe à des événements comme Odyssea, une course qui a lieu dimanche à Vincennes dans le cadre d’Octobre Rose. Depuis Paris, l’agglo toulousaine s’étend jusqu’à Montauban. Toulouse s’est beaucoup rapprochée de Paris grâce à la navette aérienne. Pour les Parisiens Toulouse c’est surtout une qualité de vie que beaucoup nous envient».

     

    Et encore, c'est parce que les parigots connaissent pas Montauban... mais, moi, je vous le dit comme je le répète depuis mes 15 ans: Juste après Montauban, on comprends pas leur accent, c'est tous des nordistes!!!!

     

    Chauvine? moi, jamais! - NDLa rédactrice 

     

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    Le T-Shirt d'une vraie toulousaine, fière de l'être, of course! euh... pardon:

     

    Oh....  putaingg, congggg!