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La semaine passée, une fausse alerte à la "banane carnivore" a fait chuter les ventes sur les marchés mozambicains. Un vent de panique s’en est suivi, et il a fallu rassurer la population locale. Le ministre de la Santé n’a eu d’autre choix que de diffuser un message rassurant à la télévision nationale.
Peur sur le Mozambique. Une banane, qui pensait-on serait de celles portant un terrible virus pouvant toucher quiconque en consommerait, a été à l’origine d’une psychose dans tout le pays. Cette banane tant redoutée, affublée de l’adjectif carnivore, peut en effet être à l’origine d’une infection rare de la peau et potentiellement mortelle chez quiconque en mangerait. Cette maladie est causée par la présence d’une bactérie dans le fruit. Chez le consommateur malheureux, le risque est de développer de la fièvre puis, très rapidement, une nécrose de la peau et de la chair. La rumeur a fait son effet, produisant un vent de panique.
Sauf qu’une partie de la population a fini par réaliser que la dite banane devait alors provenir d’Afrique du Sud, où peuvent se développer des bananes carnivores. Or, le Mozambique n’importe pas de bananes sud-africaines. Pour calmer les esprits et mettre fin à la fausse alerte, les autorités sanitaires mozambicaines ont clarifié les choses dans un communiqué : « Les travaux menés par les ministères de l’Agriculture, de la Santé, du Commerce et de l’Industrie permettent de conclure qu’aucune banane contaminée n’est entrée sur le territoire ». Et contrairement à ce que préconisait la fausse alerte, « il n’y a pas lieu de se brûler la peau autour de l’infection supposée ».
Les jumeaux "spoliés" de Facebook vendent des pistaches
Les frères Winklevoss ne manquent pas d'humour : ils apparaissent dans une publicité dans laquelle ils vantent les mérites de pistaches... avec un clin d'œil appuyé au patron de Facebook.
Les frères Winklevoss, dont le procès intenté au fondateur de Facebook Mark Zuckerberg - qu'ils accusent de leur avoir volé l'idée du réseau social - a défrayé la chronique, ironisent sur leur sort dans une publicité américaine pour des pistaches. Dans cette publicité, Tyler et Cameron Winklevoss, tous deux vêtus en costumes noirs et cravates vertes, sont assis devant une assiette de pistaches.
L'un des frères s'empare d'une pistache et l'ouvre d'une main. Son frère lui lance alors: "Hé ! C'est une bonne idée !
- Quoi ?, lui demande l'autre.
- Faire craquer la pistache, comme ça. Ça pourrait super bien marcher.
- Tu penses que quelqu'un va nous voler l'idée ?".
Et les jumeaux de demander, à l'unisson et face à la caméra: "Qui ferait un truc pareil ?".
Un conflit toujours en cours
Qui ferait un truc pareil... sinon Marc Zuckerberg ?
Comme l'a raconté le film The Social Network, grand succès critique et public de 2010, les jumeaux Winklevoss et Divy Narendra avaient pris contact avec Marc Zuckerberg fin 2003 pour qu'il les aide à mettre sur pied un réseau social. Ils affirmaient qu'il leur avait volé leur idée et qu'il avait délibérément retardé leur projet pendant qu'il travaillait à son propre site, qui a débouché sur ce qui est aujourd'hui le plus grand réseau social au monde. En 2009, les frères Winklevoss, qui depuis lors ont fondé leur propre site, ConnectU, avaient conclu un accord avec le géant de l'internet, qui prévoyait le versement de 20 millions de dollars en cash et 45 millions de dollars en actions. Les jumeaux cherchent depuis à revoir les conditions de l'accord, affirmant que Facebook leur avait caché des informations. Ils estiment notamment avoir été trompés sur la valeur réelle des actions Facebook : selon eux, ils auraient dû obtenir plus d'argent ou plus de parts du réseau social.
La marque de pistache qui s'est offert les frères Winklevoss avait déjà utilisé des personnages célèbres pour ses publicités, notamment Lucy et Charlie Brown de la bande dessinée Snoopy (Peanuts, soit "cacahuètes", en anglais).
J'ai reçu ce montage qui m'a fait bien rire....
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