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Liberté - Page 28

  • Le véganisme et autres stupidités, ne passeront pas!

    Un(e) adepte folle ou un végan(e) invitée à table vous casse les pieds:

    Ce qu’il faut faire

    Tout argument doit être percutant, un fanatique peut argumenter sans cesse contre un seul point avec suffisamment d’énergie ou d’enthousiasme pour décourager même l’âme la plus heureuse à Table. Mais si je submerge Rachel de points, elle peut décider d’ignorer la conversation et se murer dans le silence.

    Par exemple, si vous parlez des problèmes de l’agriculture biologique, assénez-lui toute la gamme des problèmes : faibles rendements, utilisation des terres, études concluant à l’absence de différence de goût ou d’avantages pour la santé, érosion des sols par le labour, menaces pour la sécurité alimentaire mondiale, pression mise sur les écosystèmes pour la production de pesticides naturels, astuces du marketing de détail, problèmes croissants de fraude et de contrefaçon. Commencez par dire: "J’ai dix problèmes avec les aliments biologiques"; alors elle pourrait bien vous laisser finir une phrase.

    Parlez en termes contextuels plutôt que numériques (pas de niveaux de dose, mais des expositions concrètes). Ainsi, quand elle dit que les céréales pour petits-déjeuners sont "bourrées" de pesticides ou que les Cheerios sont "aspergés" de glyphosate, ne lui donnez pas le nombre de parties par milliard, mais dites-lui qu’elle devrait manger 4000 boîtes par jour pour être exposée à un risque insignifiant.

    Une personne “naturophile“ est souvent vulnérable et affiche ses vertus dès que l’occasion s’en présente. Montrez-lui d’autres façons d’être une bonne personne qui n’impliquent pas la destruction révolutionnaire de la chaîne alimentaire, l’abandon du mix énergétique ou l’élimination de l’industrie pharmaceutique. L’appeler "zélote sans cœur" ne fera qu’activer son système de défense.

    Parlez à l’aide d’exemples plutôt que de faits ou de définitions. "Un ami qui a subi une chimiothérapie il y a dix ans et qui est en bonne santé maintenant", c’est mieux que d’essayer d’expliquer comment la médecine conventionnelle traite le cancer. Posez-lui des questions sur les personnes qu’elle connaît personnellement qui ont "extirpé" leurs tumeurs avec du jus de citron.

    Jouez pour le positif, pas pour la victoire. Parlez avec elle -pendant dix minutes- sur les avantages environnementaux de l’agriculture de conservation. A faire en n’essayant pas de marquer des points et en évitant de la faire passer en mode défensif. Vous serez vitre  d’accord sur la manière dont les pratiques de culture sans labour enrichissaient la biodiversité, la rétention d’humidité et la santé des sols tout en réduisant l’érosion, les émissions de diesel et les eaux de ruissellement.

    Discutez de la façon dont les cultures de couverture complexes réduisent le besoin en engrais de synthèse et sont même capables d’inoculer le sol pour prévenir des menaces potentielles pour les cultures à venir. Elles va être tellement impressionnée par votre "conversion écologique".

    Écartez des sujets de la conversation en disant simplement: "Bien, ça va, mais j’ai des faits différents.

    Ne vous embêtez pas avec les choses suivantes:

    En appeler à des scientifiques ou à des institutions renommées (dans son monde, ils ont tous été "achetés et payés" par l’industrie).

    Montrer la différence entre un risque et un danger (pour les naturophiles, tous les dangers sont des risques et il n’est pas possible de faire confiance aux mesures de prévention ou d’atténuation de l’exposition).

    Mettre en garde sur les conséquences de ses idées au niveau de la politique mondiale. Elle a été conditionnée à penser que ses intérêts sont plus importants et que ceux qui sont en désaccord sont alarmistes. Elle a été rassurée sur le fait que rien de grave ne vient de la nature.

    Arguer qu'elle est illogique ou irrationnelle. Les peurs émotionnelles peuvent résister à un large éventail d’incohérences ou d’hypocrisie. Elle va juste vous percevoir comme prétentieux.

     

    Les injures. Comme tous les fanatiques, elle adore se vautrer dans la boue et vous ne ferez que confirmer son parti pris quant au fait que les scientifiques sont affreux et intolérants.

    Essayer de l’éduquer. Elle manque de capacité d’écoute et attend rarement la fin de la phrase avant de balancer des factoïdes, des faits alternatifs, par exemple sur les ingrédients d’un vaccin. Vous ne la convertirez pas et vous ne ferez qu’attrister votre conjoint.

    Et surtout, ne vous énervez pas, si elle vous insulte, vous ou votre travail. Une personne vulnérable lutte contre l’insécurité au sein d’une tribu de réseaux sociaux en construisant des murs et en transformant des valeurs en armes. Elle se sent menacée par ce que vous dites et ce que vous faites et ne comprend pas que vous ne compreniez pas à quel point votre monde est terrible.

    D’une manière tordue, elle se soucie de vous et veut que vous changiez vos habitudes. Lorsqu’un zélote fait face à une menace (un mal), le respect et la dignité sociale sont secondaires.

    Dans la tête d’une zélote

    Cela offre -également- une opportunité intéressante d’entrer dans l’esprit d’une fanatique. L’éthique du zélote? comment ces gens machiavéliques se placent à un niveau supérieur et ne ressentent plus le besoin de se conformer aux vertus conventionnelles comme l’honnêteté et le respect.

    Les activistes? qui haïssent Monsanto, semblent disposés à plonger dans l’hypocrisie pour gagner leur bataille, acceptant de travailler avec des avocats spécialisés dans le sordide, des scientifiques menteurs, des parasites avides, des lobbyistes manipulateurs et des scientologues. Je n’ai pas encore trouvé le fond qui me permet de savoir jusqu’à quel point un fanatique peut tomber pour lutter contre une menace.

    Les réseaux sociaux ont créé une toute nouvelle race de zélotes. Ils ne sont pas simplement motivés par une croyance; ils ne sont pas simplement motivés par une émotion religieuse; ils n’enterrent pas simplement leur vulnérabilité au sein d’une tribu cultuelle dirigée par un gourou ; il y a certainement quelque chose de plus.

    Les fanatiques naturophiles cornaqués par les réseaux sociaux sont des ségrégationnistes (d’une manière bien plus vile que ce que l’humanité a connu dans les années 1960). Ce qu'elle veut vraiment, c’est séparer son monde du mien… et ensuite éliminer le mien. Elle a isolé son monde en bloquant tous les flux d’informations contrariants – ces informations n’existent plus. Les faits n’ont jamais compté.

    Ecrit grâce à un article lu sur Contrepoints

    Pour tout connaître de la cuisine toulousaine, mon autre blog

    www.cuisine-toulousaine.com

  • Hé oui!

    ... et les blouses, et les charlottes, et les tests...

    sans parler des lits d'hôpitaux, des infirmiers, des infirmières, des médecins de campagne....

  • Le trop et le peu gâte le jeu!

    Paris condamné… pour discrimination!!!

    En 2018, les nominations de cadres dirigeants ont concerné onze femmes et seulement cinq hommes. Résultat, la Mairie doit payer une pénalité de 90 000 euros.

     

    A la Mairie de Paris, trop de femmes sont nommées à des postes de direction. Tel est le reproche inattendu fait par l’Etat à l’équipe de la maire socialiste Anne Hidalgo. Reproche assorti d’une sanction : faute de promotions équilibrées entre hommes et femmes, la Ville de Paris doit payer 90 000 euros au titre de l’année 2018. Et dire que les élus croyaient bien faire…

    www.lemonde.fr

  • Décret "Sapin de Noël": bienvenue en Absurdie

    Et la valse continue… Voilà maintenant que l’on peut acheter son sapin de Noël, mais surtout pas les décorations ! Cela en devient comique.

    Par Johan Rivalland.

    On se croirait dans un mauvais film. Ou une pièce de théâtre comique, ou je ne sais quoi encore. En tous les cas, bien dans un domaine où l’imagination n’est certainement pas en panne pour trouver des idées plus farfelues les unes que les autres.

    Le décret sapin de Noël est de sortie

    J’en ai un peu honte: on va finir par croire que je suis un spécialiste de la période de Noël. Mais pas du tout. C’en est risible, mais c’est une sorte de hasard. Il faut dire que ce qu’on découvre depuis quelques temps est tellement drôle ou folklorique, que cela en devient irrésistible.

    Parfois un peu plus polémique, il est vrai, comme dans le cas du " Noël sans Amazon ", mais toujours le reflet d’une époque un peu folle où certaines choses finissent par ne plus avoir grand sens ou devenir un peu absurdes quand on y pense.

    Dernier exemple en date, donc, mais pas des moindres: le " décret sapin de Noël ". Ou comment la bureaucratie dans toute sa splendeur arrive à nous concocter un texte qui nous mène à des situations étonnantes et bien amusantes (car rassurons-nous, ce n’est pas très grave en soi ; en ce moment il y a bien pire).

    Le sapin oui, les décorations non

    Car, en des temps où un gouvernement s’arroge le droit de décider quels biens ou services nous sont essentiels ou non essentiels – vaste sujet à dimension philosophique (vous avez quatre heures) – on se doit de constater que le sapin semble faire partie des biens dits " essentiels ", mais les décorations non.

     

    De quoi allez-vous vous plaindre? C’est déjà pas mal. Le gouvernement a décrété (au sens propre du terme) que le sapin est désormais autorisé. Quant aux décorations, il ne faudrait tout de même pas perdre la boule: c’est purement accessoire et vous pouvez très bien reprendre celles des années antérieures, il ne faut tout de même pas exagérer ! Il ne s’agirait pas de se faire enguirlander (cela dépend par qui… Les écolos, je ne sais pas. Aïe, je vais me faire des ennemis).

    Il y a comme quelque chose qui cloche dans cette affaire… Mais ainsi va la vie, en 2020. Et nous ne sommes pas au bout de nos surprises. Quels cadeaux nous réservera encore ce beau gouvernement jamais à court d’idées, mais sans doute pas né sous la bonne étoile? Nous verrons bien.

    Au moins, on ne s’ennuie pas. Et que l’on me pardonne ma mauvaise langue. En ces temps difficiles, où je sais bien que la tâche est difficile pour le gouvernement, avec de nombreux plats au menu et un parcours semé d’embûches, on peut bien prendre le parti de rire un peu, non?

    Contrepoints

  • Pu… cong!

    VIVE TOULOUSE!

    Le député LREM de l’Hérault veut faire passer une loi contre la discrimination par l’accent

    Le député de l’Hérault Christophe Euzet (LREM) a déposé un projet de loi contre la discrimination par l’accent qui sera examiné le 26 novembre à l’Assemblée nationale. Pour l’élu du sud, chaque déplacement à Paris donne lieu à des réflexions. Celui qui a l’accent du sud est vu comme “un mec sympa avec qui on boit l’apéro mais qui n’est pas là pour parler de choses sérieuses“, confie-t-il au journal L’Indépendant.

    Avec cette loi, Christophe Euzet veut instaurer un délit pénal dans le cadre de l’article 225 du Code Pénal pour la discrimination par l’accent. Dix-huit député soutiennent le texte présenté parmi eux Sylvia Pinel, ancienne ministre déléguée à l’Artisan et au Commerce au sein du gouvernement Jean-Marc Ayrault.

    Quand Jean Castex a été nommé Premier ministre en juillet dernier, il était inconnu du grand public. Le maire de Prades, commune moyenne des Pyrénées-Orientales était jusque là le “monsieur déconfinement” du gouvernement. L’Elysée l’a présenté comme “un haut fonctionnaire complet et polyvalent qui aura à cœur de réformer l’Etat et de conduire un dialogue apaisé avec les territoires”. Mais très vite le nouveau Premier ministre a été la cible de moqueries… à cause de son accent. Un accent chantant et un phrasé très lent, découpant chaque syllabe. […]

    NORMAL: on nous a appris le VRAI Français et pas le goubli-boulga des soit-disant élites parigotes et bobottes!

    acru.orange

  • Ce pays est foutu

    Avignon: le lancer d’élèves interdit à la Trillade

    Il n’empêche, depuis la mi-septembre, deux affichettes attachées sur le côté du portail de l’établissement servent de support à un message clair, qui laisse incrédule…

    Dessin à l’appui, on peut lire sur la première: “Je ne lance pas mes enfants par-dessus le portail !” Et la seconde de préciser: “Quand je suis en retard, je reviens à 10 heures, ou 15 heures”.

    “Des parents qui arrivaient après la sonnerie jetaient littéralement leurs enfants”, assure Sanaa Meziane en étouffant un rire nerveux qui trahit sa consternation.

    […]

    L’article dans son intégralité sur La Provence

  • Joe Bidet aura-t-il gagné a la fin?

    Ce dessin est déjà passé, mais je l'adore!