Hommes - Page 20
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Appli
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DES GENS TETUS!
Ils ont raison! Vivent les Montagnes Pyrénées, mort aux co…
Profanée, une croix réapparaît mystérieusement sur un sommet des Pyrénées – image
Découpée et jetée dans le vide en 2018, la croix du point culminant des Pyrénées-Orientales, la croix du Pic Carlit, est réapparue sur le sommet. Les auteurs de cette action restent pour l’heure inconnus. Elle a été reinstallée à plus de 2.900 mètres d’altitude,
Selon ses informations, l’objet lourd de plusieurs dizaines de kilos a été monté à dos d’homme, visiblement de nuit. La précédente croix avait été découpée à la meuleuse et jetée dans le vide par des inconnus après les plaintes de randonneurs qui n’appréciaient guère la multiplication de symboles religieux sur les sommets pyrénéens.
Vue depuis le Puig Carlit plus haut sommet des #pyreneesorientales ... Le grand bol d’air ! pic.twitter.com/8V02jfIbUP
— jbbacou (@jb_bacou) July 28, 2020
Une fresque en hommage à Simone Veil dégradée à Paris - photo
Profanée, la croix avait été installée en 2015 à l’aide d’un hélicoptère par des soldats du Centre national d’entrainement commando (CNEC) de Mont-Louis. Et comme l’affirment plusieurs randonneurs habitués des lieux, la nouvelle ressemble étrangement à l’ancienne.
Contacté par France Bleu, un haut gradé du CNEC assure que le centre n’avait «rien à voir avec l'installation de cette nouvelle croix». Le maire de la commune d’Angoustrine Christian Pallares, ou se trouve le Pic Carlit, affirme n’avoir reçu aucune demande d’autorisation.
De son côté, l’évêché de Perpignan indique qu’il ne “s’agit pas d’une initiative du diocèse“.
“Le mystère est entier“, constate le conseiller municipal d'Angoustrine Éric Charre qui souligne que les personnes qui ont monté une croix à une telle altitude lui “inspirent un grand respect“.
Sans aucun doute ré-installée par ceux qui l'ont fait la première fois, bien sûr. Ils ont raison de se taire, vu la conn… ambiante actuelle.
Bravo les mecs!
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Arroseurs bien arrosés...
Trop forts, les crétins dégénérés!
Grasse : deux " jeunes " agressent un policier du RAID en civil, se font corriger, prennent la fuite, décident d’aller porter plainte et terminent en garde à vue
Deux hommes de 19 et 26 ans ont été placés en garde à vue ce lundi soir à Grasse (Alpes-Maritimes). Ils venaient au départ pour déposer plainte.
Les agresseurs sont mal tombés. Deux frères ont escaladé le mur d’une résidence de Grasse ce lundi soir vers 19h30. Ils avaient décidé d’en découdre avec un homme pour un motif absurde. Celui-ci venait en effet de faire une réflexion à une automobiliste imprudente, ce qui n’a pas été à leur goût.
L’homme a expliqué qu’il avait annoncé sa qualité de policier à ses deux agresseurs, mais que cela ne les avait pas refroidis. Bien au contraire, ils ont frappé le fonctionnaire du RAID qui s’est défendu. A tel point que les deux frères ont finalement préféré prendre la fuite.
Ces derniers ont ensuite choisi de se rendre au commissariat de la ville… pour déposer plainte. Leur victime avait déjà donné l’alerte et les deux hommes de 19 et 26 ans ont été placés en garde à vue. L’un d’entre eux présentait des ecchymoses au visage.
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Perché à la fenêtre
Un jeune homme veille sur sa mère atteinte du Covid-19 en restant perché à sa fenêtre d'hôpital, jusqu'à son dernier souffle
En Cisjordanie, ce jeune homme allait jour et nuit rendre visite à sa mère, perché à sa fenêtre d’hôpital, alors qu’elle était atteinte du Covid-19.
C’est à Hébron, en Cisjordanie, que Jihad Al-Suwaiti allait tous les jours voir sa mère souffrante du virus à l’hôpital, assis à la fenêtre. Le jeune Palestinien a été photographié en train d’escalader le mur de l’hôpital, jusqu’au deuxième étage. Il venait tous les jours afin de s’assurer que sa mère recevait les meilleurs soins possibles.
"Il passait la majeure partie de sa journée là-bas"
Il restait à la fenêtre pour soutenir et tenir compagnie à sa mère, jusqu’à son dernier souffle. " Il passait la majeure partie de sa journée là-bas, à observer l’état de sa mère de l’autre côté de la fenêtre, avant de descendre quand il était convaincu qu’elle dormait profondément " raconte un responsable de l’hôpital.
The son of a Palestinian woman who was infected with COVID-19 climbed up to her hospital room to sit and see his mother every night until she passed away. pic.twitter.com/31wCCNYPbs
— Mohamad Safa (@mhdksafa) July 18, 2020
Jihad était très proche de sa mère, surtout après la disparition de son père il y a 15 ans. Sa mère était déjà atteinte de leucémie avant d’être testée positive au Covid-19. Elle n’a pas survécu au virus. Grâce aux réseaux sociaux, Jihad a reçu le soutien de centaines de milliers de personnes.
Source : Twitter
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Après les impôts, la tirelire...
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Nouvelles de mon voisin...
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La chienlit !
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MDR