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Gens - Page 217

  • Le français tel que les niais et les pignoufs de la presse le parlent

    Je prends à l'instant sur google actualités l'article suivant et je l'écrit tel que je l'entendrais zozetté par les bobos idiots s'ils le lisaient à haute voix dans un studio télé:

    plus bas le vrai article

     

    zA Bethléem, le pape François tarrive to coeur de sonpélerinag ten Tersaint

    Le souverain pontiv

    (Pour commencer, on n'écrit pas pontif mais pontife… quand on ne sait pas écrire, on vérifie dans le dico avant d'écrire des âneries)

    zé tarrivé sur le sol de l'EtadePalestin reconnu parle Vaticanne, avantt de se rendre ten zIsraël, abordanttt la parti la plus zzépineuse de son voyag ten Terrsainte.

    Le pape François zétarrivé dimanche matin zzà Bethléemme, en Cis  jordanie, lieu de naissans de Jésu, ssurlesol de l'Etat de Palestin reconnuzs par le Vatican, zavant de sse rendre ten zIsraël, tabordant la partie la plus zépineuse de son voyage ten Terrsainte. tAprès zune zétap chaleureus ten Jordani, où zil a plaidé pour une "sssolution pacific" ten Syrie et fraternisé zzavec des réfugiés, il est tarrivé en zhélicoptère militair zjordanien zà Bethléem, doù zil la tossitôt tété reçu avec touss les zhonneurs par le présdent Mahmoud tAbbas, qui l'a nembrassé, gézun parterr de dignitair palestinienz.

    La place de la Mangeoire, devantttl'a basilic de laNativté, doù le souverain pontife célébreraa ttune messe pour 9femilsisszen3 privilégiés qui zont reçu des zinvitations, tétait pavoisée de drapoo du Vatican zé palestiniens et (t)zornée d'un tabloz géan de la naissance de Jézu. Ce sera son secon bain de foul, sous la protection de quelquess t3mil membress des forces de sécuritét palestinienn donzenviron zun tiers z(t)appartenantà la Garde présidentiel, taprès celui du stade d'Ammamm, dans zun voitur découvert. François zira aussi dialoguer ravec des zenfants du camp de réfugiés proche de Dheisheh, puis déjeunera t(ici on peut dire aussi zavec ou ravec) avec des familles palestinien défavorisées.

    Reconaissancc d'Izsraël ré de la Palestine

    Selon le Vatican, le souveraint pontif devrait taffirmer le droit pour zIsraël "d'exister et de jouir delapaix zé de la sécurité", maiszossi celui du peuple palestiniennn "d'avoir tune patrie souveraine et tindépendant". Il devrait t(ou z)également rappeler rà la reconnaissanc du "caractère sacré zé tuniversel" de la ville de Jérusalèmm zainsiquede son "nhéritage culturel zé religieux" qui en fonttun "lieu de pèlerinagpour les fidèles des troizreligions monothézistes", soitt3 milliards de croyants.

    "zIl ne parlera pas de politic, seulement de questionzspirituelles", restime NabizAbou Nicolas, un des nombreusszArabes zisraéliens présenttt pour cette mes, venuz de Nazareth, principale ville tarabe d'Iszzzraël, toù contrairement à ses prédécesseurs zJean Pol II et Benoît XVIzz, le pap n'a pas prévuu de se rendre. Pour zun habitan de Bethlém, tIbrahim zHandal, to contrair, "zil est différent des zautres pap en termes d'humanité et jz'espère qu'il peut tapporter de véritables changements sur le tterrain". "Pourvu qu'il puisse contribuerr zà la fin de l'occupation z(israélienne, NDLR) et taporter la paix. La foi déplace les montagnes", tajoutetil. De son côté, le pèr Dominic tTran, venu de Saïgon, zau Vietnam, confie que "notrpays ra subi tune guerr longuezé terrible, don nous savons ce que céézet nous prions pourqu'il ramène r(z)ici l'espri de la paix sur Ter".

    Prière communn tavec les chefs des zEglises chrétiennes d'Orian

    Le chef de l'Eglise catholic repartira n(z)en zhélicoptère dans l'aprèsmidi pour l'aérport Ben Gourion de Telle-Avive doù il sera zofficiellment taccueilli en zIsraël par le président chimon Perezz "Nous l'accueillons en thomme de paixz", a zaffirmé Mossssieurrr Péreze, dans zun entretien publiésamedi par le quotidienz français Le Figaro. zIl se rendra tensuite à Jérusalem pour le point culminant -- du poinde vue strictman religieux -- de son pèlerinage oecuméniccc. François zy rencontrera le patriarch de Constantinopl, Bartholomééé, le chef spirituel de l'Egliz torthodox dans le monde, 50tans taprèz le sommetthistorique entre le pape Paul VI zé le chef de l'Egliszzorthodoxe de l'époc, Athénaagora

    Le momennntttfoor de cette rencontre sera tune prière commun zavec les chefs des zEglises chrétiennes d'Orien dans la basilic du Saint-Sépulc, sur le site de la crucifixxion zet de la résurrection de Jésu, selontla tradition. Relancer l'élantécuménic entre zEglises chrétiennes très divizzées é le dialog intereligieux sonttparmi les prioritéé du pontificat de François. Danzune région troublée, la visit de ce pap rétif fo protocol et qui a refusé tune "papamobil" blindée donne zoossi des sueurfroides tà la sécuritéz

    La police zisraélienne a mobilisé des millierrrr d'agents, tun dispositif baptisé "tOpération soutane blanch", ezzapris des mesures d'éloignementà l'encontr d'une quinzaind'activistes d'extrêmdroite soupçonnés de vouloir "provoquer des troubles" durant le séjour du pap. Elle a tannoncé dimanche zavoirtarrêté dans la nuit 26 membres de cette mouvanc qui manifestéé contre la visite du pap François sur le monSion à Jérusalem, doù zil doit célébrer une messe lundi.

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    A Bethléem, le pape François arrive au coeur de son pèlerinage en Terre sainte

    Le Point.fr - Publié le  25/05/2014 à 09:46

    Le souverain pontif est arrivé sur le sol de l'Etat de Palestine reconnu par le Vatican, avant de se rendre en Israël, abordant la partie la plus épineuse de son voyage en Terre sainte.

    Le pape François est arrivé dimanche matin à Bethléem, en Cisjordanie, lieu de naissance de Jésus, sur le sol de l'Etat de Palestine reconnu par le Vatican, avant de se rendre en Israël, abordant la partie la plus épineuse de son voyage en Terre sainte. Après une étape chaleureuse en Jordanie, où il a plaidé pour une "solution pacifique" en Syrie et fraternisé avec des réfugiés, il est arrivé en hélicoptère militaire jordanien à Bethléem, où il a aussitôt été reçu avec tous les honneurs par le président Mahmoud Abbas, qui l'a embrassé, et un parterre de dignitaires palestiniens.

    La place de la Mangeoire, devant la basilique de la Nativité, où le souverain pontife célébrera une messe pour 9.603 privilégiés qui ont reçu des invitations, était pavoisée de drapeaux du Vatican et palestiniens et ornée d'un tableau géant de la naissance de Jésus. Ce sera son second bain de foule, sous la protection de quelque 3.000 membres des forces de sécurité palestiniennes dont environ un tiers appartenant à la Garde présidentielle, après celui du stade d'Amman, dans une voiture découverte. François ira aussi dialoguer avec des enfants du camp de réfugiés proche de Dheisheh, puis déjeunera avec des familles palestiniennes défavorisées.

    Reconnaissance d'Israël et de la Palestine

    Selon le Vatican, le souverain pontife devrait affirmer le droit pour Israël "d'exister et de jouir de la paix et de la sécurité", mais aussi celui du peuple palestinien "d'avoir une patrie souveraine et indépendante". Il devrait également appeler à la reconnaissance du "caractère sacré et universel" de la ville de Jérusalem ainsi que de son "héritage culturel et religieux" qui en font un "lieu de pèlerinage pour les fidèles des trois religions monothéistes", soit 3 milliards de croyants.

    "Il ne parlera pas de politique, seulement de questions spirituelles", estime Nabil Abou Nicolas, un des nombreux Arabes israéliens présents pour cette messe, venu de Nazareth, principale ville arabe d'Israël, où contrairement à ses prédécesseurs Jean Paul II et Benoît XVI, le pape n'a pas prévu de se rendre. Pour un habitant de Bethléem, Ibrahim Handal, au contraire, "il est différent des autres papes en termes d'humanité et j'espère qu'il peut apporter de véritables changements sur le terrain". "Pourvu qu'il puisse contribuer à la fin de l'occupation (israélienne, NDLR) et apporter la paix. La foi déplace les montagnes", ajoute-t-il. De son côté, le père Dominic Tran, venu de Saïgon, au Vietnam, confie que "notre pays a subi une guerre longue et terrible, donc nous savons ce que c'est et nous prions pour qu'il amène ici l'esprit de la paix sur Terre".

    Prière commune avec les chefs des Eglises chrétiennes d'Orient

    Le chef de l'Eglise catholique repartira en hélicoptère dans l'après-midi pour l'aéroport Ben Gourion de Tel-Aviv où il sera officiellement accueilli en Israël par le président Shimon Peres. "Nous l'accueillons en homme de paix", a affirmé M. Peres, dans un entretien publié samedi par le quotidien français Le Figaro. Il se rendra ensuite à Jérusalem pour le point culminant -- du point de vue strictement religieux -- de son pèlerinage oecuménique. François y rencontrera le patriarche de Constantinople, Bartholomée, le chef spirituel de l'Eglise orthodoxe dans le monde, 50 ans après le sommet historique entre le pape Paul VI et le chef de l'Eglise orthodoxe de l'époque, Athénagoras.

    Le moment fort de cette rencontre sera une prière commune avec les chefs des Eglises chrétiennes d'Orient dans la basilique du Saint-Sépulcre, sur le site de la crucifixion et de la résurrection de Jésus, selon la tradition. Relancer l'élan oecuménique entre Eglises chrétiennes très divisées et le dialogue inter-religieux sont parmi les priorités du pontificat de François. Dans une région troublée, la visite de ce pape rétif au protocole et qui a refusé une "papamobile" blindée donne aussi des sueurs froides à la sécurité.

    La police israélienne a mobilisé des milliers d'agents, un dispositif baptisé "Opération soutane blanche", et pris des mesures d'éloignement à l'encontre d'une quinzaine d'activistes d'extrême droite soupçonnés de vouloir "provoquer des troubles" durant le séjour du pape. Elle a annoncé dimanche avoir arrêté dans la nuit 26 membres de cette mouvance qui manifestaient contre la visite du pape François sur le mont Sion à Jérusalem, où il doit célébrer une messe lundi.

    http://www.lepoint.fr/monde/a-bethleem-le-pape-francois-arrive-au-coeur-de-son-pelerinage-en-terre-sainte-25-05-2014-1827549_24.php

  • Fatigué de payer des impôts et cotises? lisez cela et la colère vous requinquera!

    Nicole.

    Alors qu’elle vérifie minutieusement les calculs de son budget pour le mois écoulé, elle comprend enfin pourquoi ce mois-ci est bien plus simple à boucler que les précédents : tout indique que la Caisse Primaire d’Assurance Maladie lui a versé 911 euros. Par erreur. Nicole écarte rapidement la thèse conspirationniste (9/11, le 11 septembre, Al Qaïda, la CIA, les chemtrails et autre projet HAARP ne sont pas responsables de ce surplus sur son compte), et comprend qu’on lui a versé une indemnité journalière. Sauf qu’elle est en parfaite santé et qu’elle se rend chaque jour au travail, comme d’habitude.

    Là où d’autres auraient gardé l’amour républicain tarifé indûment perçu, Nicole en informe la CPAM par téléphone. Originalité : c’est " Les 4 saisons de Vivaldi " qui a été choisi comme musique d’attente et ça tombe bien puisque le morceau complet du compositeur italien dure à peu près 45 minutes, temps qu’il faut à Nicole pour tomber sur un interlocuteur auquel elle expliquera qu’elle touche des indemnités journalières alors qu’elle est en parfaite santé (" Vous allez rire, j’appelle d’ailleurs de mon travail ") :

    Vous pourriez avoir des problèmes. Si vous touchez des indemnités journalières, vous n’avez pas le droit de travailler.

     - Mais je ne suis pas malade !

    - Vous savez très bien que cette somme correspond à des indemnités journalières pour votre arrêt maladie !

     - Je n’ai jamais déposé d’arrêt maladie !

    Et là, paf, le lutin (peu commode) raccroche. Nicole tente à nouveau l’appel, mais ses six ou sept tentatives suivantes sont infructueuses (et puis Vivaldi l’agace). Elle se décide à écrire à la Caisse. Son employeur, inquiet que la Caisse lui demande des comptes par la suite, appelle un ami qui y travaille pour intercéder en sa faveur (Quand c’est la République qui distribue de l’amour, ce sont les bons amis qui font les bons comptes, n’est-ce pas).

    Quelques jours plus tard, Nicole reçoit une lettre. C’est un attaché de direction à la CPAM qui lui écrit, reconnaissant que ses services ont commis une bévue et il l’informe que le problème était en passe d’être sur le point de pouvoir être bientôt réglé incessamment sous peu. Il va jusqu’à louer son honnêteté :

    Nous n’aurions jamais pu, sans votre honnêteté, nous apercevoir de ces sommes indûment versées.

    Nicole n’en croit pas ses oreilles en parfaite santé.

    Et quelques jours plus tard, ce sont ses yeux en parfaite santé qui s’écarquillent lorsqu’elle découvre un nouveau courrier, exigeant le recouvrement de 1422 euros, les prestations lui ayant toujours été versées pour ses jours d’arrêt maladie du 3 au 7, courrier assorti d’un autre, la convoquant au service des arrêts de travail pour examen médical.

    Dans sa réponse écrite (elle n’a pas 75 minutes de Vivaldi à perdre), elle tente de conserver son calme et demande à la Caisse de cesser ses versements et qu’elle refuse de se rendre à l’examen, puisqu’elle est en bonne santé et qu’elle n’a aucune envie de s’absenter de son travail.

    La réponse à sa réponse est calquée sur la même logique que ce qui a amené Nicole au milieu de ces petits engrenages aux mouvements inexorables : en ne se rendant pas à l’examen médical, elle joue avec le feu puisque ses prestations pourraient ne plus lui être versées ! Et puis, elle a intérêt à avoir une excuse en béton pour ne pas se rendre à l’examen médical, non mais des fois. Un mot de ses parents ou de l’État-maman fera l’affaire.

    En France, dès qu’un enfant s’égare ou qu’une bévue est commise, la première question posée est " Mais où est donc l’État-maman ? " Nicole, elle, ne sait pas trop bien comment dialoguer avec lui et lui faire comprendre son erreur. Et c’est finalement l’attachant attaché de direction qui lui apportera des éléments d’explication lorsque, en désespoir de cause, elle se rend directement dans les locaux de la Caisse :

     

    Notre système de traitement est un peu archaïque. Il y a des lutins hommes derrière les écrans, mais, dans la masse des dossiers traités chaque jour, bon, des fois, il arrive que se glissent des erreurs dans nos livraisons d’amour. Ce ne sont pas les lutins hommes qui font les erreurs, notez bien, mais le plus souvent, ce sont les machines qui ne parviennent pas à déchiffrer ou interpréter les arrêts maladie. Voili voilà, rien de grave. Signez là, là et là, je tamponne ici et là et tout devrait rentrer dans l’ordre… Vous voulez un petit cachou ?

    Décidément, l’amour républicain semble n’en faire qu’à sa tête. Les visions chamaniques sténographiées sur papyrus des auspices et les aruspices de la Providence, introduites avec effort dans les calculateurs collectivistes, sont parfois capricieusement retranscrites, et font des victimes comme Nicole, innocentes, qui reçoivent un amour dont elles se seraient bien passé, harcelées par les avances de lutins qui veulent à tout prix refiler au plus grand nombre un peu de leur amour vicié.

    Espérons pour les habitants de la République du Solidarland que les lutins cesseront un jour de prendre leur argent pour le manger et leur cracher le reste à la figure…

    L’État-providence est à la solidarité ce que le viol est à l’amour. – @jabial

    http://h16free.com/2014/05/23/31309-made-in-france-e16-elle-court-elle-court-la-maladie-damour

     

    photo, femme, fille, mec, société

     

     

     

     

     

     

     

  • Recto-verso

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    Titre qui doit me rapporter beaucoup de visites, étant donné la hauteur d'intelligence des mots-clés!

    Jusqu'où descendre bien bas!... :-(

     

     

  • UNE GROSSE HONTE FRANCAISE - MAIS, 1 HONTE... 1 HONTE A GERBER!

    blog à explorer, ainsi que les commentaires 

    http://lignesdedefense.blogs.ouest-france.fr/archive/2014/04/02/l-ordinaire-ne-s-ameliore-pas-a-bangui-11511.html


    L'ordinaire ne s'améliore pas à Bangui

    Il faut souhaiter que les quelque 700 soldats d'EUFOR-RCA qui seront bientôt (?) déployés à Bangui auront été dûment prévenus que l'opération en Centrafrique n'aura rien d'une villégiature même rustique et que le terme "spartiate" devra figurer en tête des adjectifs à utiliser pour décrire l'état des emprises où ils seront logés et nourris.

    Les gendarmes qui ont rejoint Bangui, eux, ont été avertis: rares repas chauds, rares espaces disponibles au camp de M'Poko, rares ressources en eau et énergie...

    C'est une situation dont l'Eda (économat des armées) est conscient puisqu'il tenterait d'améliorer l'ordinaire (restauration et logements) des troupes de Sangaris. Mais entre les budgets limités et la lenteur de décision et d'exécution, les effets ne se sont toujours pas fait sentir à Bangui et encore moins dans le Nord où patrouillent les troupes françaises. Des troupes dont les rangs s'espacent pour cause de maladies (palu, dysenterie...).

    Il y a du progrès toutefois. On lira un article sur un groupe de la section "Eau" du 3e RG arrivé "après maintes difficultés" (dixit l'article) à Bangui pour y mettre en œuvre des Unités Mobile de Traitement de l’eau (photo ci-dessous 3e RG).

    http://3-rg.blogspot.fr/2014/03/les-peregrinations-ou-tribulations-du.html

    Mais globalement, les quelques témoignages recueillis auprès de rentrants sont unanimes: la vie est dure, ainsi que l'a reconnu le général Soriano ce matin. Et puis, il y a Louvois: comme le dit Jean-Marc Tanguy: "selon une évaluation de l'armée de terre, ce sont 1.500 de ses militaires basés en Centrafrique qui sont touchés, actuellement, par des soucis de fonctionnement de Louvois. Soit la quasi-totalité des ressortissants de l'armée de terre en Centrafrique".On ne s'étonnera donc pas de ce coup de gueule sur le Facebook de "Infos Des Milis":

    "Décembre 2013, Sangaris, RCA: officiellement, tout va bien, tout est sous contrôle, certaines photos donneraient presque l’impression d’une simple promenade de santé. De beaux points officiels de situation… Sauf que…

    Sauf que les violences ne cessent pas, elles empireraient même, puisque maintenant les troupes françaises sont visées !

    Sauf que nos soldats ne sont pas assez nombreux pour rétablir le calme, assurer la sécurité des populations, et la leur.

    Sauf que les matériels sont à bout de souffle.

    Sauf que les conditions d’exécution de la mission sont… - deux douches en fonctionnement pour tout le camp de l’aéroport de Bangui, - une logistique insuffisante, - pas de moustiquaires, sauf pour l’hôpital, - du matériel médical hyper contingenté pour des gars soumis aux piqûres d’insectes, aux infections, à des désordres intestinaux béton, - des patrouilles dans des véhicules non blindés, - des soldats en campagne qui dorment dans les camions ou à même le sol, - pendant les missions en dehors de Bangui (+/-2 semaines), 1l d’eau par jour, des rations aux dates parfois dépassées, souvent partagées avec les soldats africains,

    - des toilettes corporelles faites avec de l’eau récoltée dans des bacs,

    - du courrier et des colis qui n’arrivent pas,

    - des connexions téléphoniques rares,

    -cerise sur le gâteau:

    Louvois n’ayant pas pris en compte l’opex Sangaris, beaucoup touchent une solde ordinaire…"

  • PREPAREZ-VOUS: Le coronavirus MERS est mortel et il va être difficile à arrêter

     Le virus serait transmis à l'homme par le dromadaire. Problème: cet animal est chéri au Moyen-Orient.

    Voilà plus d'un an et demi que les experts des maladies infectieuses surveillent une nouvelle maladie avec inquiétude: le coronavirus MERS (MERS-CoV). Il s'agit de la dernière menace infectieuse mondiale en date –mais elle est encore ignorée du plus grand nombre d'entre nous.

    Cela pourrait vite changer. On a signalé de nouvelles infections en Malaisie, en Grèce, aux Philippines et en Egypte. Les Etats-Unis sont récemment devenus le seizième pays touché avec un cas de coronavirus MERS: un professionnel de santé américain qui avait précédemment vécu et travaillé à Riyad (Arabie saoudite).

    MERS est l'acronyme de "Middle East respiratory syndrome", ou syndrome respiratoire du Moyen-Orient. La maladie est provoquée par un virus cousin du Sras, coronavirus qui, en 2003, avait fait environ 900 morts et paralysé les systèmes hospitaliers de Chine, de Hong Kong, du Vietnam et du Canada, privant par là même l'économie mondiale de plusieurs milliards de dollars. L'épidémie canadienne s'était déclarée à Toronto, ma ville de résidence; j'ai couvert l'actualité du Sras, de son (inquiétant) commencement à son (épuisant) dénouement.

    Les informations parvenant d'Arabie saoudite sont limitées, et il est difficile de se prononcer avec certitude à distance; néanmoins, il me semble que l'épidémie de MERS qui frappe les hôpitaux saoudiens ressemble par bien des côtés à celle du Sras à Toronto. Le MERS ne semble certes pas se propager aussi facilement que le Sras, ce qui est une chance; précisons toutefois que le Sras ne se propageait pas particulièrement vite, et qu'il a néanmoins représenté un problème de taille.

    Faut-il avoir peur des dromadaires?

    Comme son nom l'indique, la majorité des cas de "syndrome respiratoire du Moyen-Orient" ont été observé dans cette région, dans des pays comme le Qatar, les Emirats Arabes Unis, la Jordanie et notamment l'Arabie saoudite, qui faisait état de 483 cas et de 142 morts lors du bilan du 11 mai 2014 –soit 80% des infections connues. Pour l'heure, l'ensemble des cas déclarés sont, directement ou non, associés à sept pays du Moyen-Orient.

    Chose étrange: si la majorité des cas ne semblent concerner qu'une poignée de pays, le virus en lui-même est beaucoup plus répandu. On a détecté la présence du coronavirus MERS chez des dromadaires sur de vastes zone géographiques –or on estime que ce virus pourrait être transmis à l'homme via cet animal. On a retrouvé des dromadaires présentant des signes d'infections anciennes jusque dans les îles Canaries, ainsi qu'en Tunisie, en Ethiopie, au Nigeria et au Kenya.

    Lorsque le Sras s'en est pris à l'homme, il a fait une entrée en fanfare; il se multipliait dans des hôpitaux aux quatre coins du monde avant même que l'on ait eu le temps de lui donner un nom. Le MERS prend son temps, lui. Le nouveau virus a été identifié par un médecin égyptien officiant en Arabie saoudite ainsi que par des chercheurs d'un laboratoire néerlandais qu'il avait sollicités pour en savoir plus; c'était en juin 2012. Mais ce n'est que plusieurs mois plus tard, en septembre, qu'un Qatari gravement malade a été admis dans un hôpital londonien. Le virus avait ravagé ses poumons. Faute de traitement efficace, il décéda après neuf mois d'hospitalisation.

    Une mortalité impressionnante

    Les premiers décès –qui faisaient suite à d'épouvantables tableaux cliniques– furent une source d'angoisse pour les responsables de santé publique et pour les chercheurs qui analysaient l'évolution de la situation. Il y a plus d'un an, un responsable qui avait suivi les premiers cas m'a ainsi donné ce conseil:

    "N'attrapez-pas ce virus. Il n'est pas tendre avec les humains."

    La plupart des premiers malades ont succombé à leur infection, mais durant l'année écoulée, plusieurs cas bénins –et parfois même sans symptômes– ont pu être observés. Reste qu'à ce jour, près de 30% des malades infectés par le coronavirus n'ont pas survécu. Une proportion qui serait ahurissante pour n'importe quelle maladie, et qui l'est d'autant plus lorsque cette maladie touche la fonction respiratoire et qu'elle se répand de la même manière que les virus du rhume et de la grippe (mais pas aussi facilement, heureusement, ces derniers s'étant complètement adaptés à l'homme). A titre de comparaison, le Sras avait en son temps emporté 11% des personnes infectées.

    Les cas bénins récemment observés tendent à confirmer l'intuition que les experts ont depuis longtemps: la véritable proportion des cas mortels serait plus basse qu'on ne le pense, et ce parce que les médecins ne demandaient jusqu'ici un dépistage du nouveau virus que chez les malades atteints d'une pneumonie aiguë. De fait, cette proportion est en baisse, passant de plus de 50% à 28,5% (estimation récente du Centre européen pour la prévention et le contrôle des maladies).

    D'un point de vue épidémiologique, le MERS ressemble sans doute à un iceberg –et les cas les plus graves font ici figure de partie émergée. Mais aucun des pays concernés ne mène des tests de dépistage à grande échelle pour prendre la mesure de l'infection; il est donc impossible de savoir à quel point la proportion exacte des décès parmi les personnes infectées est inférieure aux chiffres connus.

    Une progression inquiétante

    C'est l'une des nombreuses questions sans réponse du MERS. Une autre est plus urgente: comment expliquer l'extraordinaire recrudescence d'infections au cours des dernières semaines? Le nombre total des cas observés a plus que doublé au cours du mois dernier. L'Arabie saoudite a fait état de 250 nouveaux cas depuis le début du mois d'avril; avant cette date, seuls 207 cas avaient été signalés dans le monde. 

    Cette forte progression pourrait s'expliquer de diverses manières. Il pourrait s'agir d'une hausse saisonnière. Certaines des infections observées dans des hôpitaux d'Arabie saoudite et des Emirats Arabes Unis ont peut-être été transmises directement de personne à personne.

    Troisième explication potentielle: une hausse du nombre de demandes de dépistage.

    On observe également une recrudescence de cas exportés. Un Malaisien a contracté le virus en Arabie saoudite pendant un pèlerinage; il a succombé à la maladie après son retour. Un Grec résidant à Jeddah (Arabie saoudite) est parti pour Athènes après avoir été infecté; la maladie a été diagnostiquée en Grèce. La Jordanie et l'Egypte ont détecté des cas chez des personnes en demande de soins originaires d'Arabie saoudite. Un professionnel de la santé travaillant dans un hôpital de Riyad s'est rendu à Chicago via Londres avec un virus dans les poumons. Une fois arrivé à Chicago, il a pris un bus pour l'Indiana, où il a consulté un médecin.

    Finalement, l'homme n'avait pas contracté le virus MERS-CoV et a pu sortir de l'hôpital le 9 mai. Mais les responsables de santé publique locaux ont dû partir à la recherche des personnes qui sont entrées en contact avec l'homme pendant son voyage, de manière à savoir si elles présentaient des symptômes; une tâche conséquente, réalisée avec l'aide des Centers for Disease Control and Prevention d'Atlanta. Une cinquantaine d'employés de l'hôpital ont été placés en isolement à domicile, seul moyen d'enrayer tout enchaînement des infections en cas d'apparition de symptômes du MERS. Autant de mesures particulièrement coûteuses –et tout cela parce qu'on soupçonnait qu'un homme avait contracté un virus en Arabie saoudite.

    La faute au lait de dromadaire? A l'urine de dromadaire?

    Ce type de situation va se répéter. L'Organisation mondiale de la santé l'a récemment annoncé en révisant son évaluation des risques liés au MERS. Le Dr Kamran Khan, spécialiste des maladies infectieuses à l'Université de Toronto, étudie la façon dont les maladies se propagent à travers le monde via les voyages en avion. Le MERS l'inquiète: d'innombrables travailleurs étrangers résident dans la région, et les millions de pèlerins musulmans affluent chaque année des quatre coins du monde pour se rendre dans les villes saintes de la Mecque et de Médine. Le nombre des pèlerins va d'ailleurs augmenter dans les prochaines semaines: le Ramadan approche (il commencera à la fin du mois de juin). Le Dr Khan explique:

     "Si l'on s'en tient aux probabilités, plus l'épidémie persiste, plus il y a de risques pour qu'elle touche d'autres régions du monde et qu'elle y provoque ce type de problèmes sanitaires et économiques."

    Les experts voudraient que le virus soit contenu, chassé de la population humaine et renvoyé dans la nature. Mais cela ne va pas être facile.

    S'il est clair aujourd'hui que les dromadaires sont l'une des principales composantes de l'épidémie, il est impossible d'affirmer que ce sont les seules sources de contamination chez l'homme. Par ailleurs, personne ne sait comment les dromadaires infectent les malades. La transmission est-elle imputable à la consommation de lait (ou de fromage) de dromadaire non pasteurisé? Ou à la consommation d'urine de dromadaire, à laquelle certains habitants du Moyen-Orient attribuent des vertus médicinales? A moins qu'il s'agisse de la consommation de viandes de cet animal? Et qu'en est-il des malades qui affirment ne pas être entrés en contact avec un dromadaire; comment ont-ils été infectés?

    Les dromadaires sont particulièrement importants et chéris au Moyen-Orient. Ils y sont des bêtes de somme, des sources de subsistance et même des animaux de compagnie. Cela signifie que dans ce cas précis, les méthodes généralement employées pour contenir la transmission à l'homme d'un virus présent chez l'animal seraient inenvisageables.

    En 1997, Hong Kong avait abattu tous les poulets de la ville pour enrayer la première épidémie humaine de la grippe aviaire H5N1. Pendant l'apparition de l'épidémie de Sras, la Chine a organisé un abattage massif de civettes, animaux proches du raton-laveur, qui étaient impliqués dans la transmission de ce virus vers l'homme.

    Mais personne ne pourrait autoriser un abattage massif de dromadaires –et c'est une bonne chose, si l'on en croit Ben Embarek, spécialiste de la sécurité alimentaire affecté au dossier MERS par l'OMS.

    Comprendre comment le virus se transmet

    "Abattre les dromadaires ne résoudrait pas le problème", explique-t-il. Selon lui, on ferait venir des dromadaires d'Afrique pour remplacer les animaux disparus, et ceux-ci finiraient certainement par contracter le virus à leur tour.

     "Cette solution ne serait donc ni sage, ni simple à mettre en place, et serait même insensée de bout en bout. Cette option n'est donc tout simplement pas envisageable."

    De la même manière, il sera assez difficile de convaincre les habitants de la région de prendre un peu de distance avec leurs dromadaires.

     "Il est toujours extrêmement difficile de bouleverser les habitudes, explique Ben Embarek. Il nous faut absolument comprendre et identifier l'ensemble des conditions qui exposent les gens au virus, alors nous ciblons les pratiques et les comportements les plus centraux et nous tentons de les modifier."  

    Il n'existe à ce jour aucun traitement médicamenteux pour lutter contre le MERS (et il n'existera visiblement pas de vaccin avant bien longtemps). Aussi les autorités sanitaires suivent-elles la situation de près. Elles espèrent que les nouveaux cas d'infections vont diminuer après la fin du printemps –qui pourrait bien être la saison préférée du MERS. Et redoutent de voir le virus se transmettre plus facilement de personne à personne, ce qui conduirait à une accélération rapide et à une extension du mal.

    La vérité, c'est que nous n'avons aucun moyen de savoir ce que nous réserve le syndrome respiratoire du Moyen-Orient. Restons vigilants.

    Helen Branswell

    Traduit par Jean-Clément Nau

    http://www.slate.fr/monde/86937/coronavirus-mersmortel-difficile-arreter

  • La cigale ayant chanté tout 2011, se trouva fort dépourvue en mai 2012

     

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    Tartarin de Tulle m'a tuer......................

     

     

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  • Peuples libres

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