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Gens - Page 214

  • Le temps passe... la bêtise reste constante

    Les perles du bac dans les copies de français

     "Le tiercé est une strophe de 3 vers", "Les latins parlaient le grec ancien", ou encore "Molière est né en 1450 et est mort en 1705"… Quelques exemples parmi tant d’autres de ces phrases insolites trouvées dans les compositions de français des années précédentes.

    Aujourd’hui, les élèves de première passent l’épreuve anticipée de français, baptême du feu pour ces lycéens. L’occasion de jeter un coup d’œil aux perles des années précédentes dans cette discipline… Petit florilège des plus drôles, à base de citations trouvées sur des sites dédiés. Impossible d’attester de la véracité de ces extraits, mais de quoi, dans tous les cas, rassurer quelques candidats quant au niveau de leur prestation…

    • "Le tiercé est une strophe de 3 vers."

    • "La poésie satirique correspond à de la poésie qui parle de Satan. C’est un sujet très intéressant, mais pas toujours facile à traiter."

    • "L’utilisation du sonnet remonte au XVe siècle, où des auteurs comme Plutarque vont généraliser son utilisation."

    • "Le XIXème siècle, siècle des Lumières, réuni beaucoup de mouvements & d’auteurs. (…) Paul Verlaine est connu pour ses romans tel que Le Tour du Monde en 80 jours."

    • "Les latins parlaient le grec ancien."

    • "Il ne faut pas négliger qu’au XVIIè siècle, la collectivisation des biens était obligatoire, c’est pourquoi La Fontaine introduit dans son poème la mise en commun du gain et du dommage."

    • "Nous allons répondre à la question suivante en quoi ce poème est un poème satirique de la mort visant à critiquer la bourgeoisie. En premier lieu, il sera étudié la dimension satirique de la mort avec l’ironie de Verlaine en second la joie très présente contrairement à la mort qui ne l’est pas."

    • "La poésie, si elle est bien tournée, permet de critiquer la société sans que le lecteur comprenne quelque chose."

    • "Shakespeare disait: “Etre ou ne paraitre, telle est la question”"

    • "N’ayant pas compris cette question, mais afin de vous montrer que je connais mon cours, je me permets de répondre à une question de mon choix."

    • "Qu’est ce qu’un mot, si ce n’est qu’une suite de lettre mises boutes à boutes?"

    • "Les Français ont eu des très grands génies: Mozart, Molière, V.Hugo et écrit de grandes œuvres comme Nouvelles sous ecstasy de Michel Denisot."

     

  • A table! j'ai dit: à tableueeeeeeeeeeeeeeeee

    Une septuagénaire tue son mari puis cuisine ses organes à Longwy

    Une septuagénaire interpellée le 22 mai pour le meurtre de son mari de 80 ans à Longwy, est allée jusqu'à cuisiner plusieurs organes de la victime.

    La septuagénaire interpellée a été incarcérée à la prison de Nancy. Elle aurait cuisiné les organes de son mari après l'avoir tué.

    C'est un drame qui secoue la petite ville de Longwy, en Meurthe-et-Moselle. Une septuagénaire a été interpellée le 22 mai dernier, pour le meurtre de son mari de 80 ans. Selon une source proche du dossier, la femme aurait cuisiné dans une casserole le coeur, le nez et les organes génitaux de la victime.

    Les enquêteurs ignorent cependant si elle les a consommés, a-t-on précisé de même source.

    Tué à coups de pilon de mortier à épices

    Les faits s'étaient produits dans la nuit du 21 au 22 mai dans une maison ouvrière. La femme, âgée de 71 ans, avait été interpellée dans la matinée, les vêtements souillés de sang et de restes biologiques de son mari.

    Les enquêteurs avaient dès le départ constaté que la victime avait été tuée à coups de pilon de mortier à épices, avant d'être dépecée et éviscérée.

    L'enquête a depuis permis d'établir que la meurtrière présumée avait ensuite fait "cuire le cœur, le nez et les organes génitaux dans une casserole, mais on ne sait pas si elle les a mangés", a précisé une source proche du dossier.

    "Une crise de folie"

    "Manifestement, on est face à une crise de folie, non pas douce, mais furieuse", a commenté l'avocate de la suspecte, Me Caroline Depretz, qui a indiqué que sa cliente souffrait "de troubles délirants".

    C'est une voisine, chez qui la meurtrière présumée s'était rendue peu après le drame, qui avait alerté les forces de l'ordre.

    La suspecte était restée muette en garde à vue. Elle a depuis été placée dans l'unité psychiatrique du centre pénitentiaire de Nancy-Maxéville, dans l'attente d'expertises psychiatriques qui devront établir si elle est accessible ou non à une sanction pénale.

    "Avant les faits, il semble qu'elle avait des troubles de la personnalité qui n'ont pas été pris en charge. On peut se demander si elle n'a pas complètement perdu la tête", a insisté son avocate, qui a notamment évoqué "des troubles hallucinatoires".

    Jusqu'alors sans histoire, la suspecte a élevé ses dix enfants à Longwy avec son époux, qui travaillait dans la sidérurgie.

    "Selon certains, elle disait en avoir peur, mais depuis les faits, elle ne s'explique pas et ne donne aucun mobile", a précisé une source proche de l'enquête.

     

  • ... Mais, c'est bien sûr!!!!

    Grève SNCF : la peur des cheminots non-grévistes

    Au 9e jour de grève à la SNCF à l'appel de la CGT-Cheminots et de Sud-Rail contre la réforme ferroviaire, la CFDT dénonce des "exactions commises à l'encontre des cheminots non-grévistes" et "demande des mesures de protection pour tous les cheminots". Sorti de la grève depuis qu'il a signé la semaine dernière un accord avec le gouvernement, le syndicat juge inadmissibles les "injures, menaces, destructions de biens, séquestrations et les violences" qui visent les cheminots qui continuent de travailler.

     "Il y a eu des pneus crevés, des voitures peintes en jaune, des mails de menaces, explique au Figaro Eric Chollet, secrétaire national à la CFDT Cheminot. Il y a un véritable climat de peur et une ambiance difficile en ce moment. Le droit de grève existe, mais celui d'aller travailler aussi", tient à rappeler le syndicaliste. "D'ailleurs, la CDFT se réserve le droit de porter plainte".

    Y a-t-il eu des violences physique? A cette question, Joël Rausa, secrétaire général CFDT à Toulouse, est catégorique: "Non, pas du tout". "On a eu quelques barrages filtrants mais on n'a pas eu de menaces, ni d'agressions. La SNCF a pris des mesures pour que certains agents soient accompagnés sur des sites".

    En Normandie, le secrétaire de la CFDT-Cheminot de la région a découvert mercredi la porte du local de Caen peinte en jaune et arborant trois affiches dont une francisque (emblème pétainiste), le drapeau de la Milice française (organisation politique créée sous le régime de Vichy) et un portrait du Maréchal Pétain. Sur cette troisième affiche, il est écrit: "Cheminots, vous n'êtes ni vendus, ni trahis, ni abandonnés. Venez à moi avec confiance". "C'est intolérable, explique Jean-Claude Chrétien, écoeuré. C'est un outrage, une insulte à ceux qui ont péri pendant cette période-là, quelques jours après avoir fêté le 70e anniversaire du Débarquement".

    La peur de l'après-grève

    "Collabos", "traîtres", "vendus". Ces mots-là, Grégory Gaudel les a aussi entendus mais il ne veut pas mettre de l'huile sur le feu. Dans les régions Aquitaine et Poitou-Charentes, ce secrétaire général à la CFDT assure qu'il n'y a pas eu de débordement. À Bordeaux, "des grévistes ont distribué des pastilles autocollantes vertes à ceux qui allaient travailler. Ils ont repris le concept du badge "Priorité Exam" et l'ont barré d'une mention ‘en grève'", indique le cheminot. "On n'a pas trop aimé la symbolique mais bon..."

    Mais ce qui l'inquiète le plus, c'est l'après-grève. "On a plutôt peur du retour au boulot en fait. Tant qu'ils sont occupés, ça peut aller. Mais après, on redoute la fracture et les coups de vis au quotidien", explique le cheminot, qui souligne un autre effet secondaire de la grève: le mécontentement des usagers qui s'en prennent aussi à ceux qui travaillent au contact des clients.

    Sud Rail condamne toute violence physique et verbale: MENTEURS!

    Contacté par Le Figaro, le syndicat Sud-Rail déclare "condamner toute violence verbale et physique, ainsi que les affiches retrouvées sur le local de Caen: "Il ne faut pas tout mélanger", indique un syndicaliste qui dit n'avoir eu aucune remontée de la part des instances en région. La CGT-Cheminots a, quant à elle, refusé de répondre sur ce sujet.

    http://www.lefigaro.fr/social/2014/06/19/09010-20140619ARTFIG00322-greve-sncf-la-peur-des-cheminots-non-grevistes.php

     

    Perso, j'avais une amie prof qui était non gréviste tout le temps -OUI, CELA EXISTE! même moi, je n'en reviens toujours pas...

    qui subissait la même chose!!!! d'autres comme elle, aussi me disait-elle... heu, devaient pas être légion!

    Les profs, la pire engeance après les syndicalistes de tous bords.... et pourquoi?

    Là où j'ai ressenti le plus terrible écœurement qui est encore très vivace en mon souvenir, c'est lorsque j'ai constaté, et cela arrive encore, qu'ils bloquaient les centres d'examens pour empêcher les jeunes d'aller passer leurs examens!

    Que ceux qui par vocation (j'espère mais, ne n'y crois guère) sont destinés à faire des petits français des gens intelligents -et adaptés au monde actuel, éduqués selon les principes de la République- interdisent à leurs élèves de passer leurs examens, c'est le pire du pire que peuvent imposer les ponctionnaires à ceux qu'ils sont censés servir, puisque payés avec nos impôts.

    Moi, à 14 ans, on m'a envoyée à l'usine pour ramener quelques sous dans un foyer où ma mère fut veuve à 36 ans, sans ressources, avec 5 enfants.

    Au nom de toutes les années où je n'ai pas pu être sur les bancs des lycées et des facs, avec un QI de 130, je vomis et vomirais, jusqu'à la fin de mes jours tous ces irresponsables, égoïstes...

    ...des humains qui fraudent et démolissent ce qu'il y a de plus beau en l'humanité...

    ...des humains qui ne sont que bouffis d'exigences et d’appropriations diverses et qui, avec l'aide des saints dictats irresponsables et voleurs, avec l'aide de toute la merdiatique gauchiasse et des politiques les plus corrompus vous font passer des vessies pour des lanternes!

    C'est bientôt le 14 Juillet... ça vous dit quelque chose, cette date?

     

     

  • Et si on tapait, un peu pour voir, sur la gauchiasse... et qu'on laissait la droite tranquille, pour changer...

    Le train de vie délictueux du comité d’entreprise de la SNCF

    Détournements de subventions, abus de confiance, favoritisme, fausses factures, opacité : bienvenue dans le monde merveilleux du comité d’entreprise des cheminots.

    Extrait du Dossier du contribuable n°10 " Enquête sur la CGT ". Commandez en ligne et recevez le magazine (68 pages) pour 4.5 euros seulement !

    La SNCF est noyautée par la CGT

    A la SNCF, la CGT se porte bien, merci pour elle. Doté d’une subvention de 93 millions d’euros par an (pour 155 000 salariés), le comité d’entreprise de l’établissement public ne connaît pas la crise. Cette manne est versée par la SNCF à ses 27 comités d’établissements (CE), qui restituent 33% de cette dotation au tout-puissant Comité central d’entreprise (CCE). Les comités d’établissement correspondent aux régions SNCF et à ses directions centrales. Sur ces 27 CE, 25 sont dirigés par la CGT ! L’expression " place forte " ou " bastion imprenable " pour exprimer l’emprise du syndicat sur la SNCF n’est en rien exagérée… Les comités sont gérés dans la plus grande opacité par la CGT, qui n’oublie pas de s’arroser copieusement au passage. Et, quand un individu un peu trop regardant entend tirer au clair certaines affaires, on lui réplique que " ce n’est pas le moment de parler de ça " ou on le sermonne sur le mode " camarade, ce sont des enjeux qui te dépassent. "

    Détournements de fonds : des millions d’euros disparaissent

    Il y a eu Strasbourg, et la mystérieuse disparition d’une somme rondelette (1,3 millions d’euros pour un budget d’environ 3 millions d’euros) du comité d’établissement régional (CER), chaque année pendant au moins dix ans. C’est le secrétaire du CE qui a révélé ce système de détournement de fonds échafaudé à l’échelle locale. Fin septembre 2012, deux personnes ont été mises en examen et placées en détention provisoire pour détournement de fonds. Le parquet de Strasbourg a ouvert une information judiciaire.

    Et il y a eu Lyon : huit syndicats du comité d’entreprise régional de la SNCF (la CGT, UNSA, Sud-Rail, CFTC, CFDT, FO, FGAAC, CFE-CGC) pris en flagrant délit de détournement de la subvention de fonctionnement allouée à leur comité d’entreprise. Ils ont été poursuivis pour abus de confiance et faux et usage de faux. Près de 340 000 euros auraient été détournés, dont la plus grosse part au profit de la CGT, majoritaire au CE, via des fausses factures.

    Reprenons l’histoire : depuis 1994, les huit syndicats du comité d’établissement de la région de Lyon passent un accord secret. L’objectif ? Se partager un pactole équivalent aux deux tiers du budget de fonctionnement, calculé au prorata du nombre de représentants syndicaux au sein du CER. Sur les 4 millions d’euros récoltés chaque année par le comité d’établissement lyonnais, 3,2 millions d’euros sont consacrés aux activités sociales pour les salariés, et 500 000 euros au fonctionnement du CE. Ce montant est défini par la loi. Ce sont les deux tiers de ce budget de fonctionnement que les syndicats, sous l’autorité de la CGT, se partagent. Avec ses cinq élus, la CGT s’arroge 100 000 euros, l’UNSA touche 90 000 euros pour ses quatre élus, Sud-Rail et la CFDT perçoivent 50 000 euros pour leurs deux représentants… Toutes ces sommes sont "maquillées" en fausses factures : formations, achats d’ordinateurs, de fournitures de bureau. Les représentants syndicaux sont tous au courant de cet accord, comme ils le reconnaîtront plus tard. Un élu CFDT confirmera même que le secrétaire CGT du CER Lyon veillait au grain sur les modalités de répartition de la somme ! L’affaire prend de l’ampleur, elle est jugée, mais personne n’est condamné car les accusés sont des personnes morales. Mais le pire est ailleurs ! L’accord illicite incriminé n’est jamais cassé, et continue d’être appliqué…

    En effet, deux ans après le jugement, deux anciens membres du CE avoueront que "cet accord n’a jamais été remis en cause. Nous n’avons pas changé une virgule"… Personne n’y trouve rien à redire ! Et d’ajouter : "La répartition se fait dans les mêmes conditions. (…) Ce n’est pas un accord écrit, mais décrété par la CGT (…) Nos avocats nous ont conseillé de le poursuivre. L’interrompre brutalement aurait été considéré comme un aveu de culpabilité." La commission d’enquête parlementaire de 2011 sur le financement des syndicats révèle dans son rapport caché que Bernard Thibault, alors à la tête du syndicat, ne pouvait ignorer " l’affaire de Lyon ". Thibault est lui-même cheminot ( son salaire – 2 300 euros nets, versés par la SNCF ! – lui est dû au titre de son statut de "dégagé syndicalement d’une entreprise publique", et la CGT prend en charge sa voiture de fonction, une Citroën C6 !). Son épouse, elle, travaille au CCE de la SNCF. On pourrait croire au hasard, si Mme Thibault n’avait pas témoigné pour favoriser le licenciement d’un contrôleur de gestion qui dénonçait ces pratiques ! On pourrait aussi croire à une coïncidence si l’on ignorait que l’un des fils de Bernard Thibault avait – lui aussi ! – été embauché au CCE de la SNCF… L’audition de syndicalistes auprès de la commission parlementaire révèle aussi que le CCE organise avec ses fonds des apéritifs, loue des voitures. Coût estimé de ces pratiques : 800 000 euros. Le tout justifié par de fausses factures…

    Antoine Renaud

    http://www.contribuables.org/2014/06/16/train-vie-delictueux-du-comite-dentreprise-sncf/

     

    et, si vous voulez savoir si votre maire était dépensier en 2012, cliquez sur le lien ci-après

    http://www.contribuables.org/argus-des-communes/

     

    Ma commune a obtenu 6 sur 20: on a bien fait de changer de maire!!!!

     

     

  • Le dernier qui quitte le parti aura la joie d'éteindre la lumière!

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  • Même lui, là!

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