Femmes - Page 87
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Repoussant au sens propre et au sens figuré!
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Déplacement hivernal
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Dans la série "cherchez pas docteur, c'est la tête"
Une femme quelque peu perturbée a refusé de sortir des toilettes pendant deux longues années.
Selon le journal Star, qui révèle cette information quelque peu insolite, cette femme, une Singapourienne de 58 ans, souffrait d'une grave dépression quand elle a décidé subitement de ne plus sortir de ses toilettes en indiquant à son mari que quelque chose tentait de l'anéantir à l'extérieur de cette pièce.
Le 25 mai 2009, elle s'est donc enfermée dans ses toilettes refusant catégoriquement d'en sortir. Elle y a mangé, bu et dormi pendant plus de deux ans jusqu'à ce que son mari se décide à prévenir un psychiatre qui a ordonné son internement.
La femme, terrorisée, a été emmenée de force par des ambulanciers dans un hôpital psychiatrique où elle a reçu un traitement adapté pendant plusieurs semaines avant de rentrer chez elle. Et d'après son mari, il semblerait que le traitement ait fonctionné étant donné que sa femme n'e s'est plus jamais enfermée dans les toilettes. (CB) -
Funny-mammy
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Ah l’Amour
Blague envoyé par Alain (merci)
Tante Germaine, qui est âgée de 93 ans, est une femme qui a eu beaucoup de chagrin
après le décès de son mari.
Elle décida donc de quitter la vie pour aller rejoindre son bien-aimé.
Elle songea a différentes façons de mourir mais voulait quelque chose de rapide, sans douleur.
Elle prit le revolver de son mari et voulut se tirer une balle dans le coeur, puisqu'il était déjà brisé.
Pour ne pas manquer son coup en risquant de ne pas frapper l'organe vital et d'être un légume.
Pour le reste de ses jours,elle téléphona à son médecin afin de bien s'informer sur
la situation exacte du coeur sur une femme de son âge.
Le médecin lui répondit : "Votre cœur est juste sous votre sein gauche".
Ce soir-là....Tante Germaine fut admise à l'hôpital avec une blessure par balle au genou gauche... -
La femme qui voit tout
De récentes études le confirment : les femmes ont un champ visuel plus large que celui des hommes. Elles voient tout !
Cette particularité remonte, parait-il, aux temps préhistoriques ou durant des millénaires, les femmes ont dû tout surveiller dans la grotte (le feu, les marmots, les prédateurs) pendant que l'homme allait au mammouth, loin du foyer. Ce qui explique, au passage, la raison pour laquelle l'homme réussit toujours à retrouver sa tanière alors que la femme est un peu paumée dès qu'on lui met une carte routière entre les mains. C'est connu.
Ce particularisme peut aussi éclairer une question de société revenue soudain au devant de l'actualité : qui fait le ménage à la maison ?
L'homme, en raison de la faiblesse de son champ visuel, souffre d'un handicap manifeste. Surtout le breton, qui depuis l'Antiquité, a dû mettre la main en visière pour regarder au loin l'état de la mer , le vol des oiseaux et le profil des nuages pour son labeur quotidien. Il a développé une acuité lointaine donc intelligente, qui, par ricochet, a réduit son champ visuel périphérique et sa capacité à bien distinguer certains détails de près. Ainsi la femme dit à l'homme « tu vois la poussière là » l'homme répond invariablement « de la poussière, où çà ? »
C'est scientifiquement prouvé, l'homme ne voit pas la poussière alors qu'il voit très bien, de loin, la marque de la nouvelle voiture du voisin, le string de la voisine, comme au temps jadis où il chassait l'antilope.
Cette étroitesse du champ visuel explique aussi la raison pour laquelle l'homme n'est pas fait pour la vaisselle. 83,67 % des assiettes ébréchées sont directement en lien avec cette incapacité de l'homme à bien distinguer tous les obstacles angulaires situés entre l'évier et le placard. Bing !
Et souvent la femme doit intervenir (« laisse, je vais le faire moi-même »), consciente de la déficience visuelle de son descendant de chasseur.
Ce handicap se vérifie aussi dans le test du frigo. L'homme est capable de trouver des aliments dont il connait le pré-positionnement dans l'espace, comme les bières ou les glaçons. En revanche, le test de la plaquette de beurre est implacable. L'homme ouvre le frigo. Conscient de l'étroitesse de son champ orbital, il regarde à droite, à gauche, en haut, en bas. Mais du coup, il ne pense pas à regarder au milieu, là où justement se trouve la plaquette de beurre.
Et ne parlons pas de la machine à laver et de sa programmation réservée à des êtres qui voient de près.
L'homme voit loin et c'est ce qui fait sa puissance.
Alors devant tant d'évidences, peut-être faut-il cesser d'évoquer le machisme ou la fainéantise dans la réticence de l'homme à faire certaines tâches ménagères au-dessus de ses forces. C'est juste une question de champ visuel inadapté à l'étroitesse du territoire domestique. Mais il ne faut pas désespérer : maintenant que l'homme ne chasse presque plus, son champ visuel va lui aussi s'élargir. Et un jour, il deviendra enfin l'égal de la femme dans la maîtrise des arts ménagers.
Disons...................................................... dans quelques millénaires.
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La femme à deux têtes
Un cas sur dix mille.
Par Vincent Fleury Dans un précédent billet, j’ai manifesté de la compassion pour les paléontologues, qui sont obligés de travailler sur des fossiles, difficiles à trouver, mal préservés, et rarement saisis dans l'instant-même où leur morphogénèse a lieu. Les embryologistes ont plus de chance : nous pouvons renouveler nos échantillons à l’infini, et faire autant de mesures que nécessaire. Pour ceux que la " cuisine " intéresse, un chercheur lambda comme moi-même " consomme " environ 1000 embryons par an. Mes embryons (de poulet) sont commandés à un centre avicole qui fournit des embryons de poulet à l’industrie pharmaceutique. Ils me sont livrés environ tous les quinze jours, par lots de 90. Je dois payer la livraison : la livraison est offerte à partir d’une commande de 10000 œufs minimum… Pour ceux qui s’offusquent que les biologistes utilisent du matériel animal, je rappelle que les Français consomment environ 1 200 000 000 de poulets par an (vous avez bien lu).
© Lakshmi
Si j’évoque ces détails numériques, c’est en relation avec un autre billet, où j’évoquais de tristes malformations, comme les enfants à 8 membres, qui sont le résultat d’un " mélange " de deux enfants, ce qu’on appelle les fétus in fetu.
Les anomalies du développement posent des questions difficiles, car reposant sur des échantillons très réduits, et ces questions se posent autant aux partisans d’une approche visco-élastique de la morphogénèse, qu’aux partisans d’une morphogénèse par " instructions " génétiques de type stop-and-go.
Pour ma part, peut-être par déformation de physicien, je reconnais dans la notion de " plasticité " du vivant, défendue par les médecins et les biologistes, une conséquence simple de la plasticité usuelle des matériaux, comme la plasticine, justement.
Cependant, lorsqu’on ouvre tous les ans 1000 œufs, il arrive qu’on ait des cas anormaux. Ces cas, on ne sait trop quoi en faire, puisque on ne peut pas faire d’articles avec des échantillons uniques (il existait un temps un " Journal of Irreproducible Results ", je ne sais pas s’il paraît encore).
J’aurais dans ce cas volontiers publié le cas de cet embryon.
© VF/CNRS/MSC
Il s’agit d’un embryon de poulet présentant une colonne vertébrale bi-fide, avec un haut du corps bien formé, les deux corps se rejoignant, et se " mixant ", en une structure anatomique parfaitement naturelle, mais complètement différente de la structure normale.
© VF/CNRS/MSC
L’image ci-jointe compare un embryon normal à un embryon bi-fide, au même stade. Ce qui est particulièrement remarquable, pour un embryologiste, est l’apparition de précurseurs vertébraux composés de trois segments, alors que dans TOUS les embryons de vertébrés, les précurseurs vertébraux vont par paires. De même, la forme de la partie basse de la " chorde " et des précurseurs du bassin est anormale, mais bien formée. On voit bien que la topologie obtenue, avec des plis un peu différents du cas usuel, n’a pas de raison particulière de ne pas être fonctionnelle.
© VF/CNRS/MSC
J’avoue avoir une manie : je n’aime pas jeter des embryons sans RIEN en faire, ça ne m’amuse pas. Donc, je prends en général toujours au moins une photo, et c’est ce que j’ai fait ce jour-là sur cet embryon, avant de passer à autre chose.
© Hensel
Bien plus tard, j’ai appris l’existence des sœurs Abigaïl et Brittany Hensel. Ces deux jeunes filles présentent exactement la morphologie que l’on voit à l’état embryonnaire dans ces embryons.
© Life magazine
Elles ont été tenues à l’écart du grand public pendant toute leur vie. Depuis peu quelques images apparaissent sur internet. Elles n’aiment pas être montrées du doigt. Leurs parents et leurs médecins leur ont fait mener une vie totalement normale. Elles font du vélo, conduisent une voiture, s’intéressent à des disciplines scolaires différentes, n’ont pas les même goûts etc. etc. Leur anatomie est remarquable, mais les médecins se sont refusé à faire sur elles des recherches, ce que l’on comprend très bien. Laissons-les tranquilles.
© Life magazine
Cependant, la coordination de leurs mouvements reste un mystère absolu de la science. Elles possèdent chacune un bras et une jambe en propre. Elles ont une zone de recouvrement nerveuse commune aux deux sur l’axe médian à partir de leur point de jonction. Deux cœurs, deux estomacs, un seul intestin, un seul groupe d'organes génitaux. C’est proprement extraordinaire. On ne peut pas réellement parler de "siamois", au sens où il ne s'agit pas, comme le montre la photo in vivo de l'embryon de poulet, d'un raccommodage fortuit de deux embryons séparés. Il s'agit d'un être, fait comme ça.
Montaigne, à qui un enfant à deux corps avait été présenté, avait écrit à son sujet :
" nous appelons contre nature ce qui advient contre la coutusme : rien n’est que selon elle, quel qu’il soit. Que cette raison universelle et naturelle chasse de nous l’erreur et l’estonnement que la nouvelleté nous apporte "(1).
La biologie du développement est aussi, une école de tolérance et d’humanisme.
(1)Cité par Félix Leperchey, in L’approche de l’embryon humain à travers l’histoire, Coll. Sciences & Société, Ed. l’Harmattan, Paris 2010.
http://blogs.mediapart.fr/blog/limet-fleury/160911/un-cas-sur-dix-mille
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Petite vedette de la télé montre son cul à tous les passants
C'est comme le pouvoir... certaines veulent encore plus de fric! Normal, avec un cul pareil... puisque de doute façon, jeunesse se passe
TOUT L'ALBUM EST ICI
http://lanternerouge.hautetfort.com/album/une-blonde-bien-connue/