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Blog - Page 72

  • Si cette note vous déprime, lisez la suivante!

    Une nouvelle souche de grippe aviaire s’en prend aux hommes

    La revue médicale Lancet vient de publier un article dans lequel elle met en garde contre la transmission à l’homme d’une nouvelle souche de virus de la grippe aviaire.

    Les auteurs de l’étude invitent à prendre la menace au sérieux et à " ne pas sous-estimer le potentiel pandémique ".

    Après H5N1 et H7N9, voici H10N8.

    La revue médicale Lancet vient de publier un article dans lequel elle met en garde contre la transmission à l’homme d’une nouvelle souche de virus de la grippe aviaire, baptisée H10N8.

    C’est en effet cette souche qui a été identifiée chez une femme de 73 ans, décédée le 6 décembre dernier dans la ville chinoise de Nanchang. Une autre femme, âgée de 55 ans, a également contracté la maladie à Nanchang mais est toujours en cours de traitement.

    Même si rien ne permet de soupçonner, à ce stade, de transmission interhumaine, puisqu’au moins l’une des deux malades avait été en contact, quelques jours avant, avec des volailles, les auteurs de l’article invitent à prendre la menace au sérieux et à " ne pas sous-estimer le potentiel pandémique ".

    Cette découverte intervient au moment où une autre souche, H7N9, est suivie de près par les autorités chinoises. Si sa propagation ne semble pas exponentielle à ce stade, elle s’avère en revanche particulièrement dangereuse : 25 personnes ont trouvé la mort sur le seul mois de janvier, tandis que plus de 113 étaient infectées, selon des chiffres publiés par l’agence d’information Xinhua.

    Depuis, la même agence a annoncé 11 nouveaux cas, dont huit dans une situation critique. Et le cas de la contamination d’un enfant quelques jours après celle de sa mère fait peser le risque d’une transmission entre humains.

     

  • Stats janvier 2014

    Merci pour votre fidélité et bienvenue à tous les nouveaux!

    ça progresse beaucoup ce mois-ci!

     

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    autrefois, en France, tout finissait par des chansons...

    désormais, cela commence, continue et finit avec le cul!

     

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  • CECI EST UN ENORME SCANDALE, UNE GRANDE HONTE DE LA GAUCHIASSE

    Je vous demande le service de signer la pétition voir en bas de la note

    Auteure de ce blog, je vous informe que ma seule et unique enfant est atteinte de myopathie... donc, je connais et subis cela depuis des années!

    HONTE A LA FRANCE!

    Je regrette de fêter cette année mes 50 ans de cotisations à la sécurité sociale française! Oui, j'ai commencé à travailler le lendemain de mes 14 ans, soit le 11 août 1964 et je travaille encore à ce jour et je cotise encore!

    je travaille et je cotise alors que depuis 2005, je suis atteinte par une sclérose en plaques progressive primaire!

    Marre de toujours voir que ce sont les mêmes, surtout les ponctionnaires qui prennent leur retraite au Maroc

     

    Faite passer et signez vite, la pétition. Merci!

     

    L’éducation à domicile, c’est seulement bon pour les handicapés, voyons !

    On en parle, un peu, sur les réseaux sociaux ; l’information n’a pas été évoquée dans la presse « grand public » et il y a peu de chances qu’elle l’intéresse jamais mais les faits sont là : un octet de sénateurs vient de déposer une proposition de loi visant, je cite le titre, « à limiter la possibilité d’instruction obligatoire donnée par la famille à domicile aux seuls cas d’incapacité ». Oui, vous avez bien lu, ça se passe en France et en 2014.

    Avant de revenir sur cette loi et l’intéressante phalange liberticide qui tente de la faire passer, essayons un peu de contextualiser le sujet. Comme vous le savez, le législateur (du XIXème siècle) a, dans sa grande clairvoyance, estimé qu’en France, l’instruction est obligatoire jusqu’à 13 ans. Par la suite, l’instruction obligatoire s’est étendue jusqu’à 14 puis 16 ans. Notez qu’on parle ici d’instruire et non d’éduquer les enfants, même si les deux termes ont été habilement confondus ces dernières décennies dans un mouvement qui n’a rien de fortuit, comme on va le voir.

    Jusqu’à présent cependant, les parents ont toujours conservé la possibilité de placer leurs enfants auprès d’un précepteur ou de s’occuper eux-mêmes de la charge que représente cette obligatoire instruction. Ainsi, en 2013, on comptait environ 40.000 enfants dont l’instruction se déroulait hors du cadre scolaire, soit par des cours particuliers, soit par l’enseignement par correspondance. Les raisons qui expliquent les choix des parents sont multiples ; il peut s’agir d’une obligation technique (cas des enfants malades, handicapés, …), de contraintes familiales (mobilité trop grande des parents, …) ou d’un simple choix réfléchi de leur part de ne pas confronter leurs enfants aux enseignements prodigués par l’Éducation Nationale, soit parce que cette dernière est inadaptée (cas typique des enfants surdoués) ou parce que les parents ont jugé que l’orientation prise par les cours ne leur convient pas.

    Peu importe, finalement, les raisons qui entraînent ces situations : la France impose l’instruction, elle n’impose pas la méthode.

    Enfin, pas encore et c’est là qu’intervient l’ensemble d’instruments à vent du Sénat qui vient de déposer le projet auparavant cité. Le but est simple : mettre fin à cette situation scandaleuse où des parents, conscients du gâchis de plus en plus catastrophique que constitue l’enseignement industriel bas de gamme fourni par l’État, décident de s’occuper eux-mêmes de l’instruction de leurs enfants.

    Comme c’est dommage ! De plus en plus de familles, pas vraiment convaincues de la bonne qualité des cours dispensés, peut-être effarouchées par les scores PISA de plus en plus médiocres, refusent de placer leur progéniture dans les griffes mains généreuses de la République. De plus en plus de parents commencent à comprendre que le but de l’école républicaine n’est absolument pas d’instruire leurs enfants, mais de les élever, comme on élève des animaux domestiques, pour qu’ils sachent ensuite répéter des tours et se tenir tranquille. Et ce n’est pas moi qui le dis, c’est Vincent Peillon, l’actuel patron de l’Éducation Nationale : pour lui, l’école doit même jouer le rôle d’éduquer les bambins, et de les détacher de toutes ces niaiseries que forment le cocon familial, à commencer bien sûr par la religion, la morale et les valeurs traditionnelles, mais sans s’y limiter : « il faut être capable d’arracher l’élève à tous les déterminismes, familial, ethnique, social, intellectuel »…

    Ne l’oubliez pas : pour nos petits socialistes en culotte courte, l’enfant est un excellent terrain d’expériences. Pour certains, ce seront les expériences éducationnelles pédagogogiques, pour d’autres, tout est à base de synaptogénétique qui crache bien, pour d’autres encore, la question de la sexualité occupera un champ d’autant plus large que toute la société leur semble structurée sur cette question qui les taraude au plus profond d’eux-mêmes. Dès lors, c’est la porte ouverte à la propagande, qu’elle soit politique, ou sexuelle. D’ailleurs, comme le disait Laurence Rossignol, une sénatrice socialiste surtout connue pour ses médiocres capacités d’auto-défense, l’enfant n’appartient pas à ses parents, mais bien à l’État.

     

    Manque de pot ou mauvaise couverture du radar socialiste, plusieurs dizaines de milliers de bambins échappent encore au moule républicain et cette proposition de loi arrive donc pour combler cette lacune et balayer ces terribles zones d’ombre du phare stroboscopique de la pensée socialiste.

    Et ce n’est même pas caché dans l’exposé des motifs :

    L’un des buts de la scolarisation de l’enfant est sa socialisation. Celle-ci nécessite une éducation qui ait une dimension collective, qui lui permette de découvrir la diversité des conditions et des cultures des enfants de son âge et de rendre son développement plus harmonieux. (…) L’éducation à domicile ne peut être le prétexte d’une désocialisation volontaire, destinée à soumettre l’enfant, particulièrement vulnérable, à un conditionnement psychique, idéologique ou religieux.

    C’est écrit en toutes lettres : l’école à domicile, c’est une façon d’éviter la socialisation de l’enfant, c’est une méthode pour échapper à la dimension collective (lisez : collectiviste) de l’Éducation Nationale, et elle est à l’évidence utilisée pour un conditionnement psychique, idéologique ou religieux … conditionnement dans lequel les services de l’État ne sombrent absolument pas parce que c’est l’État, et que ça se saurait, enfin voyons, si l’administration, l’État et l’Éducation Nationale endoctrinaient les enfants. Et puis, ce n’est pas comme si, dans le passé, cela avait été tenté ; on sait bien que jamais les institutions républicaines, démocratiques ou étatiques en général, ne se sont lancées dans ce genre de pratiques !

    Conclusion : ce que des parents sont susceptibles de faire pour leurs enfants, jamais un État ne tremperait là-dedans. Et comment imaginer en effet qu’un père ou une mère, aimant leurs enfants, les connaissant plus intimement qu’aucune autre personne, s’investissant pour eux au point de consacrer une partie de leur vie à leur instruction, leur éducation et leur formation psychique, religieuse, morale et citoyenne, parents qui sont directement intéressés au résultat, comment imaginer, dis-je, qu’ils fassent mieux que des fonctionnaires lambdas formés en batterie par une administration qui ne sait même pas combien elle a de salariés en son sein ? Comment imaginer ça ? Impossible !

    Il était donc impératif d’agir et c’est donc ce que Hugues Portelli (UMP, Val d’Oise), Christian Cambon (UMP, Val de Marne), Jacques Gautier (UMP, Hauts-De-Seine), Esther Sittler (UMP, Bas-Rhin), Hélène Masson-Maret (UMP, Alpes Maritimes), Michel Houel (UMP, Seine et Marne), Colette Mélot (UMP, Seine et Marne) et Louis Pinton (UMP, Indre) ont décidé de faire. Vous noterez au passage le beau mouvement d’ensemble : ils sont tous UMP, ce qui les situe, sur le papier, dans l’opposition à l’actuel gouvernement. Du reste, c’est une bonne chose puisqu’on peut raisonnablement penser que leur étron législatif liberticide sera retoqué par leurs collègues du parti officiellement socialiste. Mais la présence d’une telle loi, pondue par de tels sénateurs, d’une telle opposition, permet d’affirmer qu’en réalité, une véritable course au plus-disant collectiviste et liberticide s’est engagée entre les deux factions qui se disputent les rênes du pouvoir en France. La différence entre l’UMP et le PS est maintenant si fine qu’elle est purement symbolique et ne sert plus qu’à occuper le peuple dans des élections qui sont, de facto, truquées non par mécanisme, mais par l’absence totale de choix.

    Il est consternant de constater que la pourriture idéologique s’est à ce point installée confortablement dans les esprits de nos élus qu’ils pensent sain de limiter les capacités d’instruction des parents en légiférant. Il est effrayant de voir avec quelle rapidité ce pays sombre dans un régime global d’interdiction, de restriction et d’encadrement d’absolument tout. En un siècle, la France aura perdu chacune de ses grandes libertés, rongées petit à petit par ces types d’interventions lamentables, qui auront lentement mais inexorablement dissout la cohésion sociale du pays en dépossédant chaque citoyen de ses responsabilités pour n’en faire qu’un animal mal domestiqué.

    Il existe une pétition contre cette loi scandaleuse, je vous encourage à la signer et à la partager autour de vous. Parfois, un petit e-mail bien rédigé aux sénateurs concernés permet de leur faire comprendre que leur base électorale n’est pas d’accord avec leurs conneries.

    Et enfin, je conclurai en notant qu’encore une fois, ce bon vieux sénat poussiéreux fait ici une parfaite démonstration de son passéisme en proposant une loi rétrograde au moment où les MOOC explosent, et fournissent, en direct, gratuitement, une quantité toujours plus grande de ressources et de savoir pour tous (allez voir Ralentir Travaux, – et pourquoi pas, soutenez-le). Ces tristes sénateurs s’inscrivent parfaitement dans la tendance d’un État français qui s’enkyste gentiment dans le pire des conservatismes et s’effondre lentement sous son propre poids législatif, ses vieilles habitudes et ses vieux schémas de pensée surannés.

    http://h16free.com/2014/01/26/28714-leducation-a-domicile-cest-seulement-bon-pour-les-handicapes-voyons

     

    ADRESSE PÉTITION

    https://secure.avaaz.org/fr/petition/SENAT_Lannulation_de_la_proposition_de_loi_visant_a_limiter_le_droit_de_lief/?tqIbGfb

     

  • C'était en février 1956

    En février 1956, j'allais faire 6 ans en Août. Nous étions la seule famille de la cité qui avait du chauffage. En effet, mon père qui était maçon avait obtenu de son patron, par un hasard extraordinaire, que ce dernier lui livre plusieurs madriers de chantier. “Té, toi qui a des gosses petits, je te fais porter ça“.

    Bien lui en a pris car, avec ce froid polaire inoubliable, malgré le bois mis à chauffer dans la cuisinière à charbon, il y avait à peine 6 à 8° dans la maison. En ce temps-là, encore, la France était ravagée… presque pas de maisons debouts et, ma famille a eu la chance d'obtenir un appartement; Nous avions, véritablement, de la chance!

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    En fait, il y avait dans ces années-là, une caserne de militaires qui bordaient la piste d'envol de Sud Aviation, à Colomiers, proche de Toulouse. Comme la guerre était fini, on démilitarisait à tour de bras. Les longs bâtiments avaient été coupés en plusieurs morceaux et recoupés en 4; c'était la maison du 66 cité Nouvelle à Colomiers.

    Un évier, de l'eau froide, pas de salle d'eau et les cabinets communs dans un autre bâtiment à environ 250 m où il fallait jeter tous les jours le seau “hygiénique“ ou le pot de chambre, comme l'on disait pudiquement. Le plus souvent, mon frère et moi étions réquisitionnés pour ce faire.

    En ce temps-là, il n'y avait pas de vitrage double ou triple épaisseur… même pas de mastic, les vitres étaient coincées avec de petites pointes…. le vent, le froid passaient partout. La maison se composait de 4 pièces au carré, donc. On entrait par la cuisine, au fond, on pénétrait dans la chambre des filles (ma sœur et moi), à moitié cloison de cuisine, une autre porte pour aller dans la chambre des parents et la porte de la chambre des garçons était au milieu du mur de la chambre des parents: le carré parfait. Une porte d'entrée, 4 fenêtres et basta, ça suffisait comme ça…

    On était pas exigeant moins de 10 ans après la seconde guerre: de toutes façons, pas le choix. (n'oubliez pas qu'en 54, l'abbé Pierre à lancé son fameux appel au secours: trop de gens dehors, sous les cartons et les planches).

    Afin d'éviter les vents coulis et la froidure sévère, mon papa a cloué des couvertures aux fenêtres; dans la journée, on repoussait un bout de la couverture pour laisser entre le petit jour blême et glacé… Dans la maison, venaient des dizaines d'enfants et leurs parents… la seule maison chauffée du coin! tous avaient des tricots fait main en pelure d'oignons, deux ou trois… on était fort embarrassés de ne pouvoir trop se mouvoir, à cause des épaisseurs mais aussi pour tout ce nombre de gens qui s'agglutinaient et se posaient comme ils pouvaient!

    Dans la nuit, il faisait dans les moins 15 ou moins 18… et le jour, c'était pas bien haut non plus….

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    Je me souviens l'huile de cuisine gelée dans sa bouteille… je me souviens du lait dans bouteille en verre, avec des cristaux de gel…

    Je me souviens: les verres contenant les dentiers de mes parents totalement gelés au petit matin et qu'ils devaient chauffer au bain-marie avant de pouvoir les remettre;

    Quand on à de 15 à 20 ans pendant l'occupation, on n'a pas l'occasion d'avoir toutes les bonnes vitamines et autres meilleurs nutriments que nous avalons de nos jours… et, dans la bouche des parents de France, presque toujours un dentier…. j'étais sûre que vous ne connaissiez pas toutes les conséquences d'une guerre…. et l'Europe actuelle vous horrifie???

     

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    Presque rien à manger… pas de fruits ni de légumes, bien sûr… le diésel de l'époque gelait dans les camions… pas de nettoyage de routes gelées…

    pas de lumière non plus… de toutes façons, nous avions l'habitude: il a fallu beaucoup d'années, après-guerre pour que l'électricité fonctionne sans coupure… nous avons subis des pannes d'électricité plusieurs fois par semaine pratiquement jusque dans les années 60…

    et comme nous avons eu la télé en 1960, là aussi, nous avons connus les pannes d'émetteur télé…. le bon temps du noir et blanc et d'une seule chaîne… qui ouvrait ses programmes de 19 h 30 à 23 heures et pas plus!

    En 56 aussi, toutes les canalisations d'eau gelées et quand la température à remonté, tellement d'inondations… traquer la fuite d'eau dans les planchers ou les plafonds…

    On était pauvres, on était solidaires entre voisins… on pouvait laisser sa bicyclette sans cadenas devant la porte… on la retrouvais intacte…

    Non, je ne "rappiape" pas comme une vieille peau: le progrès depuis, c'est incroyable! personne ne peut regretter ces années de pénuries et de difficultés…

    ...mais, la gentillesse, la solidarité, le respect du bien d'autrui, la politesse… ça, voyons, ne dites pas que cela ne manque pas cruellement!

    Et oui, je suppose que vous n'avez jamais connu cela et que vous ne pouvez même pas l'imaginer...

    Té petiot à  qui coule encore du lait maternel par les narines.... va compter le nombre de tes followers; quand t'auras un problème, ils te tiendront chaud...

    tu peux toujours le croire...

  • Répliquez aux sexistes...

    Sexiste?

    " - Chez moi, c’est l’égalité, je m’occupe de la vaisselle.

    - Ah ! super. Et le linge, l’aspirateur, les toilettes, la poussière, la cuisine, les poubelles, les course, c’est toi aussi ? "

    " - Pourquoi n’arrêterais-tu pas de bosser pour profiter de tes enfants ? Après tout, ton mec gagne bien sa vie.

    - Super idée ! Comme ça, en cas de divorce, je pourrais concilier galère de tunes et tâches ménagères. "

    " - Mais les femmes, ça les intéresse pas la programmation.

    - Ah ! désolée, j’ignorais qu’il fallait un pénis pour taper sur un clavier ".

    " - On m’a dit que vous étiez lesbienne, ce n’est pas possible, vous êtes bien trop jolie !

    - Tiens, c’est marrant, on m’a dit que vous étiez un bon coup, et j’ai aussi pensé que ce n’était pas possible ! "

    "  - Je te trouve mieux sans tes lunettes.

    - Moi aussi, je te trouve mieux sans mes lunettes ! "

    " - Vous allez nous faire le café, comme vous êtes la seule fille…

    - Vous savez, depuis Goerges Clooney, on n’a plus besoin d’être une fille pour savoir faire le café ! "


    ... et, si comme moi vous êtes restée célibataire et qu'un individu se comporte mal, essaie de vous bloquer ou essaie de vous convaincre qu'il a raison, voici ma réponse:

    "Si j'avais voulu que l'on me donne des ordres, je me serais mariée!..."

    Ou bien: "Je ne suis pas votre femme, vous ne me ferez pas taire..."

    ou "Je ne suis pas votre femme, vous ne me ferez pas faire ce que je n'ai pas envie de faire"

    et souvent je rajoute, afin d'enfoncer le clou: "Je ne suis ni votre mère, ni votre sœur, ni votre femme et c'est moi qui décide pour moi!"

    les yeux bien droits, direct dans la figure du bonhomme!

  • ... et, ma préférée...

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    Montant du PV = 135 €

     

     

     

     

     

  • Stats décembre 2013

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    Bonne année 2014 quand même!


    Faites ce que vous pouvez étant donné les circonstances :-)

     

     

  • L'avenir est là

    Alain Gachet, le Français (eh oui), auteur d'un système à l’origine de la recherche de l'eau, explique en effet qu’on va pouvoir, grâce à son expertise et sa technologie, trouver de l’eau partout dans le monde. Pour beaucoup de pays, cela représente une véritable révolution capable de sortir leurs populations de la misère dans laquelle le manque d’eau les contraint à vivre. On peut s’étonner de la modeste médiatisation d’une telle découverte; l’actualité est trop encombrée de quenelles, semble-t-il.

    Quant à l’énergie, voyez les développements actuels dans la filière du Thorium (en Chine, au Canada, en Allemagne, en Inde, en Israël, au Japon, en Norvège, aux États-Unis ou en Grande-Bretagne), ce qui permet de continuer à rester extrêmement confiant devant les alarmistes du peak oil qui n’en finit pas de ne pas arriver. Mais de façon générale, la recherche d’autres méthodes efficaces de stockage d’énergie continue de plus belle.

    Ainsi, pour la production de pétrole à partir d’algues, véritable serpent de mer écolo/économique, des avancées notoires ont été rapportées dans les derniers mois de 2013 qui permettent un optimisme raisonnable; pour le moment en effet, l’équation économique renvoyait cette technique particulière dans le domaine des lubies non rentables: pour obtenir la précieuse huile, il fallait jusqu’à présent séparer l’eau contenue dans les algues (par séchage) ce qui coûtait en temps et en énergie. Le procédé développé au PNNL, Pacific Northwest National Laboratory, par l’équipe de Doug Elliott, permet à présent de passer directement des algues humides au pétrole sans ce séchage préalable. Bien évidement, là encore, il y a fort loin de la recherche à l’étape industrielle, mais le simple fait qu’il existe maintenant une telle technologie permet d’atténuer les pessimismes.

    3D - Du côté des batteries électriques, les récentes recherches et l’utilisation ingénieuse de l’impression 3D ont permis de produire des batteries minuscules avec un très bon rendement. Sans présager d’une industrialisation massive qui sera, on s’en doute, assez complexe, des solutions se dessinent donc nettement de ce côté.

    Et puisqu’on parle d’impression 3D, notons l’usage de plus en plus poussé de cette technique. Très clairement, là où l’impression 2D a connu son heure de gloire lorsque la couleur est devenue abordable pour le plus grand nombre, et que, de nos jours, n’importe qui peut disposer d’une imprimante pour moins de 100€, l’impression 3D est encore loin d’arriver au même résultat. Et si l’on peut trouver pratique d’imprimer chez soi son billet de train ou ses photos de vacances, le besoin courant d’impression d’objets reste anecdotique.

    En revanche, la technique est très prometteuse puisqu’elle abaisse considérablement le coût des objets uniques. Or, la médecine constitue le domaine roi de l’objet unique, qui, s’il n’est adapté qu’à un seul individu, n’en demeure pas moins très rentable voir vital. C’est le cas, bien sûr, des prothèses à façon; l’année 2013 a vu se multiplier les vidéos expliquant comment tel amputé, en recourant à l’impression 3D, a pu obtenir un usage satisfaisant d’une prothèse trop coûteuse si elle avait été réalisée autrement. Et ce qui marche pour des prothèses semble fonctionner pour des cellules organiques; dans un avenir possiblement proche, tissus et organes seront littéralement imprimés pour vous.

    Et comment parler d’avenir sans parler déplacements? Le développement des voitures autonomes: certains constructeurs ont déjà mis une date sur l’apparition dans le commerce de tels engins. Et 2020 n’est pas très loin (6 ans).

    Autre technologie, elle aussi en pleine expansion: celle des drones.

    Si ces derniers sont évidemment porteurs de menaces très nettes en matière de libertés civiles, d’atteinte à la vie privée, en ce qu’ils permettent (par exemple) un flicage précis et omniprésent, ou représentent un bond en avant inquiétant en terme d’armes volantes, il faudrait cependant pas voir exclusivement le verre à moitié vide. Les drones sont aussi les vecteurs potentiels de changements majeurs de paradigmes.

    Récemment, ils ont été évoqués comme moyen de distribution pour Amazon; deux minutes d’analyse permettent bien sûr de refroidir tout enthousiasme à ce sujet. Cependant, derrière les annonces médiatiques d’un Jeff Bezos malin, on peut aussi trouver des projets bien plus sérieux. Celui d’Andreas Raptopoulos est, par exemple, porteur d’immenses promesses d’ores et déjà réalisables avec les techniques modernes. Si l’idée de distribution d’Amazon souffre de problèmes légaux (le survol de zone densément peuplées par des engins trimballant des kilos de charge pose de gros problèmes de sécurité) et économiques (la rentabilité face à un coursier en scooter est catastrophique), celui de Raptopoulos s’en affranchit fort bien.

    Les quelques éléments de cet article -parce qu’ils ont chacun le pouvoir de changer profondément les vies de millions d’individus sur la planète et montrent de façon éclatante que si l’avenir est rempli d’incertitudes, si l’on peut certainement y voir les germes de désordres ou de problèmes- on peut aussi y découvrir d’immenses espoirs de révolutions douces, de bénéfices partagés et de progrès concrets. Le tropisme naturel des médias les force à s’attarder sur les trains en retard; ceux qui arrivent à l’heure n’ont que rarement droit de cité. Et ceux qui arrivent en avance et amènent avec eux ce qu’on attendait le plus sont oubliés au milieu du flot banal des turpitudes humaines.

    L’Humanité s’est engagé dans un combat plusieurs fois millénaire pour l’amélioration de ses conditions d’existence. Et depuis peu, elle est en train de le gagner. Pour peu que l'on sache où regarder.

    En attendant, ici, en France, le sentiment général des Français sur l'amélioration de leurs conditions ne se fera qu'à partir du début Mai 2015. (qui le dit? c'est moi… je l'ai “vu“; comme j'avais annoncé plus de 3 mois à l'avance la crise financière de 2008 en éditant sur mon bloc de pro une phrase terrible: la France vient d'entrer dans un monde de ténèbres….) D'ici le mois de Mai 2015, il faudra encore subir et souffrir au niveau matériel. Quand au niveau sociétal… ce n'est même pas la peine d'en parler: la catastrophe est en marche.