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Blog - Page 74

  • Toulousains, toulousains, plein d'entrain, plein d'entrain, nous sommes une joyeuse troupe (chansons de mes colos)


    "Toulousain" par ladepechefr

     

     

    Oui, c'est nous... sauf que moi, je serais plutôt là un quart en avance... je ne fais pas aux autres ce que je n'aime pas que l'on me fasse!! NDLa rédactrice

     

     

    Le Toulousain est toujours en retard

    Le fameux «quart d’heure toulousain» fait tellement partie de notre vie qu’il n’est pas rare d’entendre évoquer cette particularité lors de réunions officielles, congrès, séminaires, etc. Dans les milieux de l’événementiel et de la communication ce battement d’une quinzaine de minutes est quasiment intégré dans le planning, en raison des bouchons sur la rocade, des travaux du centre-ville… Le petit quart d’heure permet de faire traîner la pause-café avant de passer aux choses sérieuses. Au Capitole on se défend d’appliquer cette coutume locale. «Le quart d’heure toulousain n’existe pas à la mairie», confie-t-on dans l’entourage de Pierre Cohen. «Le maire est très ponctuel et en principe les manifestations commencent à l’heure. Les gens sont respectueux des élus et des institutions». Pour les habitants de la ville rose, le «quart d’heure toulousain» est une excuse en or. Personne ne peut nous reprocher une particularité plus ou moins inscrite dans le patrimoine génétique local ! D’accord aucune étude scientifique n’a démontré que le cerveau toulousain souffrait d’un léger décalage horaire.

      

     Le Toulousain travaille à airbus 

    «80 % de nos adhérents qui viennent s’installer à Toulouse, sont des salariés d’Airbus ou de sociétés liées à l’aéronautique» constate Emilie Ollivier, responsable de la communication de l’antenne toulousaine d’AVF (accueil des villes françaises) qui fêtera ses 50 ans en 2015. «C’est vrai qu’il n’est pas rare de voir arriver dans nos réunions des gens qui se baladent avec leur tour du cou Airbus qu’ils ont oublié d’enlever !». Évidemment TOUS les Toulousains ne fabriquent pas des avions. Airbus emploie 20 000 salariés à Toulouse (59 000 dans le monde) et 80 700 personnes travaillent directement pour l’aéronautique en Midi-Pyrénées.

     

     Le Toulousain aime la chocolatine

    À la boulangerie on ne dit pas «je voudrais quatre pains au chocolat dans un sac», mais «je voudrais quatre chocolatines dans une poche». Le débat entre «pain au chocolat» et «chocolatine» fait rage jusque dans les grandes écoles toulousaines où se rencontrent des étudiants de toute la France. La chocolatine est plébiscitée à Toulouse comme dans tout le sud de la France, de Bordeaux à la frontière espagnole, de Biarritz à Perpignan. Le mot «chocolatine» serait une abréviation de l’expression anglaise «chocolate in bread».

     

    Le Toulousain déteste le bordelais 

    La guéguerre entre Toulousains et Bordelais est légendaire, sur les terrains de foot comme ailleurs. Qui ne s’est pas amusé à marmonner «encore un con de Bordelais» en se faisant klaxonner par une voiture immatriculée 33. «Les Bordelais nous prennent pour des gueux. Mais nous au moins on est fiers de notre accent» lâche Norbert un gars du cru. Le Bordelais est snob. Le Toulousain est accueillant. Bordeaux ressemble à Paris. Toulouse est très animée… Les idées reçues ont la peau dure de ce côté de la Garonne, d’autant que cette rivalité ne date pas d’hier. L’historien André Cabanis rappelle que tout a commencé au Moyen Âge : «Bordeaux était sous l’autorité du roi d’Angleterre. Les Anglais venaient piller sous les murs de Toulouse, mais ils n’ont pas réussi à entrer dans la ville». Pour Jean-Louis David, adjoint au maire de Bordeaux, les deux villes «sont aujourd’hui complémentaires. Les rivalités d’antan sur les implantations économiques sont moins importantes».

      

     Le Toulousain est chauvin

     Émigré à Paris depuis huit ans, Didier Saboulard a créé «Les Toulousains2Paris» un club dont les membres sont originaires de la région, et qui a son petit journal, «Le Capitole». Ce fervent supporter du Stade se défend d’être chauvin. «Avoir créé l’association permet de maintenir le lien entre Toulousains. Mais ce qu’on aime surtout c’est partager notre culture et notre gastronomie, faire connaître la région. On participe à des événements comme Odyssea, une course qui a lieu dimanche à Vincennes dans le cadre d’Octobre Rose. Depuis Paris, l’agglo toulousaine s’étend jusqu’à Montauban. Toulouse s’est beaucoup rapprochée de Paris grâce à la navette aérienne. Pour les Parisiens Toulouse c’est surtout une qualité de vie que beaucoup nous envient».

     

    Et encore, c'est parce que les parigots connaissent pas Montauban... mais, moi, je vous le dit comme je le répète depuis mes 15 ans: Juste après Montauban, on comprends pas leur accent, c'est tous des nordistes!!!!

     

    Chauvine? moi, jamais! - NDLa rédactrice 

     

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    Le T-Shirt d'une vraie toulousaine, fière de l'être, of course! euh... pardon:

     

    Oh....  putaingg, congggg!

  • stats septembre 2013

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  • AVIS DE NAISSANCE: Nouveau blog

     

     

    http://demaincestaujourdhui.hautetfort.com

  • Comme je m'en doutais...

    ou bien, vous ne suivez pas....

    ou bien, l'orthographe et vous... c'est la nuit et le jour !!!!!

     

    en effet, satyre n'est pas la bonne orthographe: il fallait écrire: satire!

     

    mais, j'aurais pu bien aussi écrire : ça tire

     

    ci-dessous vos mots clés du mois... du début du mois - CQFD

    blague porno 12.71%
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    beaute du noir et blanc 1.10%
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  • stats d'Août 2013

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    et les mots clés du blog

     

    blague porno 6.29% 

    femme sex 4.92% 

    fesses de mecs 2.19% 

    zizi poilu 2.19% 

    femme a deux tete 1.92% 

    blagues porno 1.64% 

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    femme à deux têtes 1.50% 

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    photos artistiques insolites 1.23% 

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    peste bubonique 1.09% 

    sex insolite 1.09% 

    belles fesses de mecs 0.96% 

    chien rod 0.82% 

    fille à deux têtes 0.68% 

    main au panier

     

  • Caf-kaïen

    ...(...)

    Une fois reçu le jugement d’adjudication, validant Pierre comme nouveau propriétaire, ce dernier décide de rendre visite aux locataires afin de leur faire connaître leur nouveau propriétaire, et prendre connaissance des contrats locatifs qu’il n’avait pu obtenir avant l’achat.

    La matinée touche à sa fin. Se rendant au premier étage et toquant à la porte, une dame de 35 ans environ, en robe de chambre, lui ouvre la porte. Pierre lui explique l’objet de sa visite : il désire simplement prendre connaissance du bail. Elle le fait entrer, ce qui permet à notre homme de découvrir qu’elle est l’heureuse maman de quatre enfants.

    Les fouilles qu’elle mènera dans les minutes qui suivent dans une paperasse assez peu organisée ne permettront pas de retrouver le document recherché, Pierre lui demande simplement le montant du loyer qu’elle s’acquitte. Petite surprise : elle s’avère incapable de lui dire le montant. Elle n’en paye rien, puisque « c’est la CAF qui gère tout ça ». Pierre insiste : après tout, c’est elle qui à signé le bail, et elle a forcément des courriers de la caisse d’allocations familiales sur le montant versé chaque mois au propriétaire. Malheureusement, les recherches s’avèreront aussi infructueuses que les précédentes. L’allocataire retrouve tout de même son numéro, habilement stocké dans son téléphone portable, ce qui permettra peut-être au nouveau propriétaire de retrouver l’information auprès du payeur réel.

    … Auquel il se rend et apprend que le montant de l’APL de cette dame s’élève à 478€ versé directement au propriétaire. Heureuse surprise : compte-tenu de la localisation du bien, de son étage et des paramètres habituels, Pierre pensait le loyer moins élevé. Quant aux changements de propriétaire, tous les papiers devront être envoyé par courrier, avec le cerfa machin, le coup de tampon bidule et vous signez là et tout sera automatique et merci et bonne journée.

    Bien évidemment, deux mois plus tard, et malgré l’envoi de tous les papiers nécessaires, la CAF ne parviendra pas à payer directement sur le compte de Pierre, comme prévu. Sur place, on expliquera à Pierre que, faute d’effectifs suffisants, par manque de moyens et parce qu’il n’y a pas assez de gens présents, et tout ça, les courriers ont un mois et demi de retard, et les virements des deux mois précédents ont encore été réalisés sur le compte de l’ancien propriétaire, mais rassurez-vous mon bravmôssieu, les paiement auront bien lieu rapidement, « Charge à nos services de récupérer les sommes indûment perçues par l’ancien propriétaire » (connaissant la situation de ce dernier, on leur souhaite bien du courage pour recouvrer les sommes).

    Les bonnes nouvelles s’enchaînant joyeusement, un coup de téléphone le lendemain permet à la locataire du premier d’indiquer à Pierre qu’elle a retrouvé son bail et les papiers de la CAF. Leur lecture permettra d’établir que le montant du loyer est en réalité de 340€, et que le montant des prestations de cette dame est de 1542€ mensuel hors APL. Pierre profitera d’un nouveau passage à la CAF pour tenter de comprendre le différentiel entre le loyer versé par l’organisme et le bail du loyer. Stupéfaction (confirmée ensuite à la lecture du guide du bailleur) :

    « Non, non, Monsieur, point d’erreur de nos services. Il arrive dans certains cas que le montant versé soit supérieur au loyer. Les droits de cette dame en aide au loyer sont de 478€. Charge à vous de faire le remboursement du trop perçu au locataire. »

     

    Parallèlement à cette histoire CAFkaïenne, Pierre a bien évidemment tenté de rencontrer les locataires du second étage. Rarement là, ils sont difficiles à joindre. Après quelques jours, Pierre tombe en fin d’après-midi sur un garçonnet de neuf ans qui lui ouvre et lui apprend que ses parents travaillent et ne seront là le soir que vers 20H.

    La prise de contact aura donc lieu le soir même. Pierre fait alors connaissance d’un couple dont le mari est artisan boulanger et la femme tient la boutique, qu’ils ont repris depuis quatre ans à quelques 300 mètres de l’appartement. Le bail, présenté rapidement, est de 340€, comme à l’étage inférieur. Mais ici, la CAF n’intervient pas : ils nagent en effet dans l’opulence avec des bénéfices de 19.800€ annuels et leur trop petit nombre d’enfants (un seul, pensez donc !).

    Les histoires de loyer évoquées, la discussion roule gentiment sur les banalités habituelles de la pluie et du beau temps, de la fatigue qu’on peut comprendre pour ceux qui se lèvent à 4H du matin et qui ferment leur boutique à 19H30, et sur les petits soucis d’argent. Eh oui. Le RSI (vous savez, le régime des indépendants si cher à nos artisans) vient d’envoyer un gros rappel (9.200€). Évidemment, aucune explication de ce rappel n’aura été fournie, ni par le comptable, complètement perdu, ni par les services concernés de l’organisme, complètement incompétents. ‘ Manquerait plus que ça ! On est en France, éternelle et merveilleuse, merdalafin.

    Bilan : le papier timbré a été envoyé, et qu’importe si le rappel parait démesuré par rapport à l’activité de la boulangerie. Qu’importe finalement si cette somme, plus que probablement indue, n’est là que pour éponger les dettes d’un système qui s’écroule tous les jours un peu plus sous nos yeux. Qu’importe. C’était payer ou les huissiers. La bourse ou la vie (professionnelle, au début). Le boulanger clora la conversation dans un soupir :

    « Mais rassurez-vous. Nos loyers ont toujours été versés en temps et en heure. »

    Tout va bien, alors.

    Pierre quitte donc l’artisan et sa famille, un peu sonné de la différence si radicale d’un étage à l’autre. Certains, en France, bénéficient plus de l’égalité et de la fraternité que d’autres. En passant par l’arrière-cour le menant à la sortie du bâtiment, il tombe sur deux vélos d’enfant. L’un d’eux est flambant neuf, un BMX 380 prêt à décoller pour de nouvelle aventures. L’autre est un vieux clou qu’on aurait du mal à recycler même à la communauté Emmaüs. Le premier appartient à l’un des fils de la locataire du premier. Pas le second.

     

    C'est celui du fils de l'artisan.

     

  • Pour ceux qui n'ont que le certif'... les autres qui ont le bac.... sans commentaire!

    http://bastiat.org/fr/l_Etat.html

    http://www.bastiat.net/fr/blog/article/frederic-bastiat-et-la-protection

     « Sans doute le salaire arrive avec certitude à la fin d’un jour occupé ; mais quand les circonstances, les crises industrielles ou simplement les maladies ont forcé les bras de chômer, le salaire chôme aussi, et alors l’ouvrier devrait-il soumettre au chômage son alimentation, celle de sa femme et de ses enfants ?

    Il n’y a qu’une ressource pour lui. C’est d’épargner, aux jours de travail, de quoi satisfaire aux besoins des jours de vieillesse et de maladie. (…) De là les sociétés de secours mutuels, institution admirable, née des entrailles de l’humanité (…). J’ai vu surgir spontanément des sociétés de secours mutuels, il y a plus de vingt-cinq ans, parmi les ouvriers et les artisans les plus dénués, dans les villages les plus pauvres du département des Landes. (…) Dans toutes les localités où elles existent, elles ont fait un bien immense (…). Ce n’est jamais sans créer pour l’avenir de grands dangers et de grandes difficultés qu’on soustrait l’individu aux conséquences de ses propres actes.(…)

    Supposez que le gouvernement intervienne. Il est aisé de deviner le rôle qu’il s’attribuera. Son premier soin sera de s’emparer de toutes les caisses sous prétexte de les centraliser ; et pour colorer cette entreprise, il promettra de les grossir avec des ressources prises sur le contribuable. « Car, dira-t-il, n’est il pas bien naturel et bien juste que l’État contribue à une œuvre si grande, si généreuse, si philanthropique, si humanitaire ?

     Première injustice faire rentrer de force dans la société et par le côté des cotisations, des citoyens qui ne doivent pas concourir aux répartitions de secours. Ensuite, sous prétexte d’unité, de solidarité, (que sais-je ?), il s’avisera de fondre toutes les associations en une seule soumise à un règlement uniforme.

    Mais, je le demande, que sera devenue la moralité de l’institution quand sa caisse sera alimentée par l’impôt ; quand nul si ce n’est quelque bureaucrate, n’aura intérêt à défendre le fonds commun, quand chacun, au lieu de se faire un devoir de prévenir les abus, se fera un plaisir de les favoriser ; quand aura cessé toute surveillance mutuelle, et que feindre une maladie ce ne sera autre chose que de jouer un bon tour au gouvernement ?

     Le gouvernement, il faut lui rendre cette justice, est enclin à se défendre ; mais ne pouvant plus compter sur l’action privée, il faudra bien qu’il y substitue l’action officielle. Il nommera des vérificateurs, des contrôleurs, des inspecteurs. On verra des formalités sans nombre s’interposer entre le besoin et le secours. Bref, une admirable institution sera, dès sa naissance, transformée en une branche de police.

    L’État n’apercevra d’abord que l’avantage d’augmenter la tourbe de ses créatures, de multiplier le nombre de places à donner, et d’étendre son patronage et son influence électorale. Il ne remarquera pas qu’en s’arrogeant une nouvelle attribution, il vient d’assumer sur lui une responsabilité nouvelle, et, j’ose le dire une responsabilité effrayante.

     Car bientôt qu’arrivera-t-il ? Les ouvriers ne verront plus dans la caisse commune une propriété qu’ils administrent, qu’ils alimentent, et dont les limites bornent leur droit. Peu à peu, ils s’accoutumeront à regarder le secours en cas de maladie ou de chômage, non comme provenant d’un fonds limité préparé par leur propre prévoyance, mais comme une dette de la société. Ils n’admettront pas pour elle l’impossibilité de payer, et ne seront jamais contents des répartitions.

    L’État se verra contraint de demander sans cesse des subventions au budget. Là, rencontrant l’opposition des commissions de finances, ils se trouveront engagés dans des difficultés inextricables. Les abus iront toujours croissant, et on en reculera le redressement d’année en année, comme c’est l’usage, jusqu’à ce que vienne le jour d’une explosion.

    Mais alors on s’apercevra qu’on est réduit à compter avec une population qui ne sait plus agir par elle même, qui attend tout d’un ministre ou d’un préfet, même la subsistance, et dont les idées sont perverties au point d’avoir perdu jusqu’à la notion du Droit, de la Propriété, de la Liberté, et de la Justice. »

    Frédéric Bastiat en 1848, dans « Harmonies économiques. Des Salaires

     

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    1914 = il y a 100 ans ?

     ... nous sommes entrés dans un monde de ténèbres.... la suite ne fera pas rire grand monde!