En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Nous le savons tous, il y a des gestes qui sauvent la vie. Certains sont moins connus que d'autres mais tout aussi efficaces. Alors quand une fillette anglaise sauve son père diabétique avec des bonbons gélifiés, The Mirror en parle et nous aussi.
Malheureusement, le monde des bisounours, ce n'est qu'en dessin animé. Heureusement, les "happy end" ne sont pas réservés qu'aux films américains. Aujourd'hui, cela se passe en Angleterre, comme le raconte The Mirror. Lily, une fillette âgée de six ans a sauvé son papa, Dave, diabétique dont le taux de glycémie chutait dangereusement. Lorsque celui-ci s'effondre, elle a eu un bon réflexe. Premièrement, le coup de téléphone aux secours puis les bonbons gélifiés contenant la quantité de sucre nécessaire à la survie de son père. En effet, après avoir essayé différentes approches, Lilly s'est emparé d'un paquet de bonbons qui était dans sa boîte à tartines et se souvient : "Je savais que ces bonbons étaient sucrés, je les ai mis dans la bouche de mon père", explique la fillette au journal britannique. Son père Dave, se dit quant à lui reconnaissant et fière de sa fille : "Je ne serai pas ici sans elle. C'est un petit héros." Comme quoi, il faut se méfier des apparences car les enfants savent beaucoup de choses !
Monsieur,
Vous êtes prof et bourge et je suis un titi,
Vous êtes un Nantais et je suis un nanti !
N’êtes-vous pas heureux en tant qu’homme de gauche
Qu’un titi puisse avoir quelque argent dans sa poche ?
De plus je l’ai gagné en toute honnêteté
Sans voler, sans frauder ni même spéculer.
J’ai reçu de par Dieu le talent de séduire
Et suis dès lors vendeur d’émotion et de rire,
Ce dont vous ne pouvez qu’assez peu vous vanter :
Car lorsque je vous vois paraitre à la télé
Jean ai Marc d’un Ayrault fatigué et sinistre
Dont on m’a assuré qu’il est 1er Ministre !
J’aime l’amour, la vie et le jus de la treille,
Mon casier n’est en plus chargé que de bouteilles .
J’ai donc sans coup férir du jour au lendemain
Fait ma niche fiscale en mon nid de Néchain.
J’aime mieux exporter les kilos que je pèse
Que de risquer en France une mauvaise Grèce !
Votre sécurité qu’on appelle sociale
Ne soigne pas encore les hernies fiscales,
Je vais donc me soigner, disons à moindre frais,
En buvant du pot belge au lieu d’impôts français.
Je reviendrai en France un beau jour, quand le fisc
Ne me dira plus simplement : je confisque
Mais qu’il respectera le travail que j’ai fait
Pour concourir un peu au bonheur des français.
Pour n’être point taxé d’être un inter « minable »
J’arrête ici les frais, car ils sont impayables !
G. Depardieu
En médaillon, Toldo.
On connaît les histoires de chiens fidèles à leur maître après leur mort. Depuis un an, c’est un chat, en Italie, qui se rend quotidiennement sur la tombe de son maître. Avec un cadeau.
L’histoire serait incroyable s’il n’y avait pas autant de témoins.
Mais les habitants de Montagnana, un hameau de la commune de Marliana en Toscane, ne parlent plus que de Toldo. Et la presse italienne vient de leur emboîter le pas…
Toldo est un chat gris et blanc, âgé de 3 ans. Il a été recueilli, chaton, par un habitant de Montagnana, qui s’appelait Renzo Iozzelli. Celui-ci est décédé en septembre 2011, à 71 ans.
Présent à l’enterrement
Le jour de l’enterrement, Ada Iozzelli, la veuve de Renzo, a remarqué que le chat accompagnait la procession jusqu’au cimetière.
Le lendemain, elle a trouvé sur la tombe un rameau d’acacia… Elle a dit à sa fille qu’elle était persuadée que c’était un hommage de Toldo à son maître, celle-ci ne l’a pas prise au sérieux.
Mais les jours suivants, plusieurs habitants du village ont croisé Toldo au cimetière. Depuis, on le voit quotidiennement se rendre sur la sépulture de son maître.
Petits cadeaux
Plus surprenant encore, Toldo dépose parfois sur la tombe des petits cadeaux ! Des trouvailles de chat : il y a parfois des brindilles, un petit tas de feuilles, un mouchoir en papier, ou un gobelet en plastique…
Ada Iozzelli raconte que son mari était très affectueux avec Toldo. Le chat lui en est visiblement toujours reconnaissant.
Des chercheurs brésiliens ont trouvé un moyen rapide de vieillir la cachaça, l’eau-de-vie à base de canne à sucre: au lieu de la laisser trois ans dans des fûts en bois, ils l’irradient avec des rayons gamma pendant quelques minutes.
Cette cachaça «irradiée» ne présente «aucun risque de contamination», selon le chercheur Valter Artur, qui travaille au centre d’application de l’énergie nucléaire à l’agriculture de l’Université de Sao Paulo.
«Les tests l’ont prouvé, cette cachaça peut être consommée juste après l’irradiation. Le problème est que beaucoup confondent irradiation et contamination», explique le scientifique.
Mais pour l’instant, cette méthode rapide de vieillissement de la cachaça - l’alcool qui sert à faire la fameuse caipirinha, le cocktail très populaire dans tout le Brésil -, n’est pas sortie des laboratoires de l'université.
Pour que la technique arrive dans l’industrie, il faudra toutefois faire de lourds investissements: un irradiateur coûte quelque 3,5 millions de dollars.
Un des meilleurs sommeliers en cachaça, Jairo Martins da Silva, a déclaré que cette cachaça «irradiée» avait encore des progrès à faire.
«Je pense que rien ne remplace le vieillissement en fût», a-t-il dit à Folha après l’avoir goûtée.