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Aliénor est une adorable fillette d'à peine plus de cinq ans. Elle est vive et charmante et tous ceux qui l'entourent l'adorent. Positivement. Aliénor rit sans cesse d'un rire éternel qui n'en finit pas, sur ses jolies lèvres bien rouges, telles cerise en été. Ses sourires creusent une jolie fossette au creux de ses joues rebondies, à la peau douce et couleur de pêche. Lorsque l'on voit son visage doux et clair, on voudrait le croquer, tel ce fruit d'été.
C'est le portrait vivant de l'angelot musardant et moqueur qui volette dans un retable précieux de la petite chapelle du village. Ses rires chantants, sa démarche capricante et légère font penser à une biche qui s'enfuit soudain, dans les bois lointains, au plus léger bruit ou frémissement du vent d'autan. Ses yeux pétillants et curieux de gamine apparemment délurée, illuminent en permanence son joli petit visage et vous font croire que le paradis existe. C'est une jolie blondinette aux cheveux longs toujours un peu fous, qu'il faut sans cesse dresser et ordonner en les tordants en longue tresse épaisse, entrelacée de rubans vivement colorés et qui descend bien bas sur les reins.
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Blague très vraie envoyée par mon amie de Perpignan; elle m'envoie ceci
Nous sommes allés chez nos voisins manger des “calçots“.
Le voisin, fils d'émigré espagnol, plus français que français, ayant épousé une fille du ch"nord, et parlant avec l'accent du nord..
Nous dit qu'à la boulangerie, il demande un pain spécial
La boulangère lui dit "ah vous allez manger espagnol?"
Il réponds "oui, et nous allons manger des calçots" (prononcer calçot's, c'est un plat de catalogne espagnole qui gagne en France)
La jeune femme, délurée, dit alors dans la boulangerie pleine à craquer...
“oui, je sais ce que c'est, une grand-mère m'a expliqué comment manger ca: "tu lui pinces le cul, tu tires la queue et tu suces".
Le voisin coquin... qu'est ce qu'elle vous a dit?
Elle répète et la boulangerie entière morte de rire
Le voisin "mais vous n'êtes pas obligée de manger des calçots pour faire tout ca"
Ambiance assurée
Le calçot: sorte d' oignon qui n'a que du vert (pousse spéciale en butée); cuit au feu de sarment.
C'est tout "noir"
Donc on pince effectivement le cul, pour sortir le "vert"
On trempe dans une bonne sauce, et on mange; on a les doigts tous noirs et c'est rigolo, on met un "tablier" à calçots, dés fois qu'on se rate..
On les cuits avec la terre autour, pas besoin de les éplucher, puisque l'on retire les premières feuilles d'emblée.
Bref, c'est surtout très amusant
" Dans ces conditions, j’espère que vous comprendrez pourquoi je refuse catégoriquement le poste que vous me proposez à Castres...”
" Ça a l'air tellement excessif quand on le dit comme ça: ma femme m'a quitté parce que je laissais parfois la vaisselle sale en plan".Voici comment le blogueur américain Matthew Fray, débute ses confidences. Posté à l'origine sur son blog Must Be This Tall To Ride, son texte a été repris par l'édition américaine du Huffington Post, puis par l'édition française. Depuis son divorce, qui a mis fin à neuf ans de mariage, l'homme s'épanche régulièrement avec humour et honnêteté sur les thèmes du mariage, des relations et du divorce.
Un geste banal qui mène au divorce
Quand il s'interroge sur la fin de son propre mariage, la réponse est donc toute trouvée: la vaisselle. Des tasses ou des assiettes sales qu'il posait délicatement dans l'évier plutôt que de les ranger dans le lave-vaisselle. Une habitude banale et sans conséquence qui au bout de neuf ans de mariage a mené le couple à la rupture: "Ce n'est pas très important pour moi, ça ne l'était pas quand j'étais marié, mais pour elle ça comptait beaucoup. Chaque fois qu'elle voyait un verre sale dans l'évier en entrant dans la cuisine, elle faisait un pas de plus vers le divorce. Je ne me suis douté de rien", reconnaît Mattew Fray.
Pendant presque dix ans, l'ex-femme du blogueur lui a régulièrement glissé qu'elle en avait assez de lui répéter sans cesse les mêmes choses sans qu'il n'y ait le moindre changement. Elle souhaitait être la partenaire d'un homme qui prend des initiatives, un homme sur lequel pouvoir se reposer pour s'occuper de la maison. À ces velléités, Mattew Fray répond aujourd'hui: "j'aimerais vraiment comprendre pourquoi je trouvais ça absurde à l'époque".
Verre laissé dans l'évier = manque de respect
Pourquoi a-t-il laissé ce verre dans l'évier? Pour apporter des réponses à son ex-épouse, le blogueur livre ses explications: pour commencer, peut-être qu'il s'en resservira. Ensuite, mettre le verre dans l'évier plutôt que dans le lave-vaisselle ne le dérange pas et ne le dérangera jamais". La seule raison qui pourrait m'empêcher de laisser mon verre dans l'évier, je l'ai apprise trop tard: c'est parce que j'aime et que je respecte ma compagne, et que c'est vraiment important pour elle", ajoute-t-il. Parce que ne pas le ranger, c'est un peu comme lui dire: "Hé, je n'ai aucun respect pour toi, je me fous de ce que tu dis et de ce que tu penses. Je préfère ne pas prendre deux secondes de plus pour mettre mon verre dans le lave-vaisselle que de te faire plaisir", écrit-il.
Un manque de respect à l'origine de la décision radicale de son ex-épouse. Parce que ce n'est pas bien sûr le verre sale dans l'évier qui a entraîné le divorce, mais ce qu'il signifie. Mattew Fray l'explique: "Le jour où quelqu'un réussira à faire comprendre aux hommes que l'engueulade autour de ce verre sale (qui l'affecte ou non) blesse profondément sa femme et lui donne l'impression d'être seule, mal aimée, abandonnée, méprisée, apeurée, etc. Le jour où les hommes se mettront bien ça dans la tête et l'accepteront, même s'ils ne comprennent pas pourquoi. Ce jour-là, tout changera".
L'institution vient de mettre en ligne sur son site un communiqué de mise au point suite aux polémiques sur la réforme de l'orthographe applicable à partir de la prochaine rentrée scolaire.
Dans un communiqué, l'institution tient à mettre les choses au point concernant la réforme tant décriée qui doit être appliquée à la prochaine rentrée scolaire. Elle insiste notamment sur le fait qu'elle n'est pas à l'origine de ce changement.
L'Académie française passe à l'offensive. L'institution vient de mettre en ligne sur son site un communiqué de mise au point suite aux polémiques sur la réforme de l'orthographe applicable à partir de la prochaine rentrée scolaire. Une réforme décidée il y a plus de vingt-six ans! Plusieurs points sont soulevés après que le ministère de l'Éducation nationale a publié son propre communiqué soulignant que l'Académie avait accepté toutes les "rectifications" en 1990. En premier lieu, la vénérable institution a tenu à souligner qu'elle n'est pas à l'origine de la réforme de l'orthographe. Ensuite, pour elle, il s'agissait surtout de débattre. Enfin, le communiqué dit bien que la Compagnie est opposée à toute simplification de l'orthographe. Voici les principaux points.
"L'Académie française tient tout d'abord à rappeler qu'elle n'est pas à l'origine de ce qui est désigné sous le nom de “réforme de l'orthographe”, dont la presse se fait l'écho depuis quelques jours, et qui devrait être appliquée dans les programmes scolaires à compter de la prochaine rentrée".
"Le texte auquel il est fait allusion émane du Conseil supérieur de la langue française: il a été publié dans les “Documents administratifs” du Journal officiel le 6 décembre 1990. Étant donné la mission de défense et d'illustration de la langue française assignée à l'Académie par son fondateur, il était naturel que Maurice Druon, Secrétaire perpétuel à cette date, fût étroitement associé à la préparation de ce rapport. Alors qu'elle ne disposait pas encore du texte du rapport, l'Académie, dans sa séance du 3 mai 1990, a été informée des idées directrices du projet, dont elle a approuvé l'inspiration et le principe. Dès que le document leur a été communiqué, les membres de l'Académie se sont attachés, dans la séance du 10 janvier 1991, à étudier les dispositions prévues par le Conseil et ont ouvert un large débat sur cette question, où s'est exprimée une grande diversité d'opinion. Au terme de cet échange de vues, l'Académie a assorti son approbation d'une invitation à la mesure et à la prudence dans la mise en œuvre des mesures préconisées, mettant en garde contre toute imposition impérative des recommandations".
"La Compagnie a rappelé à cette occasion son attachement au principe selon lequel doivent être exclues toute réforme et même toute simplification de l'orthographe. Ce principe est conforme à sa position constante: hostile à toute réforme visant à modifier autoritairement l'usage, l'Académie n'a jamais été pour autant fermée à des ajustements appelés par les évolutions de la langue, et que les différentes éditions de son Dictionnaire se sont attachées à refléter".
"C'est bien improprement que le terme de “réforme” est employé pour désigner les “rectifications” orthographiques proposées par le Conseil supérieur, qui ont été approuvées par l'Académie, et qu'elle a choisi de mentionner dans la neuvième édition de son Dictionnaire, en tenant compte pour chaque cas des évolutions réelles de l'usage. Il convient d'observer que ces ajustements ne concernent que quelque 2000 mots (soit 3 à 4% du lexique français) - la neuvième édition du Dictionnaire de l'Académie, en cours de publication, comptera environ 59.000 entrées".
"L'Académie a constaté que ces ajustements étaient conformes, dans leurs principes et dans leur effet, à ceux qu'elle a elle-même pratiqués à plusieurs reprises dans la troisième édition du Dictionnaire (1740), la sixième (1835), la septième (1878) et la huitième (1935). En effet, les rectifications proposées ne consistent en aucune manière à simplifier des graphies résultant d'une évolution étymologique ou phonétique, mais visent à mettre fin à une anomalie, à une incohérence, ou, simplement, à une hésitation, et ainsi à permettre l'application sans exceptions inutiles d'une règle simple, à souligner une tendance phonétique ou graphique constatée dans l'usage, ou encore à faciliter la création de mots nouveaux, notamment dans les domaines scientifique et technique, et, de manière générale, à rendre plus aisés l'apprentissage de l'orthographe et sa maîtrise.
Certaine que l'usage ne saurait être modifié par décret, l'Académie, opposée à toute prescription de caractère obligatoire en matière d'orthographe, a préféré, pour présenter ces modifications limitées et mesurées, suivre la voie de la recommandation: elle a approuvé la résolution selon laquelle, dans tous les cas, les deux graphies - la graphie actuelle et la graphie proposée par le Conseil supérieur - devront être admises. L'Académie a donné son aval à ces recommandations, mais en demandant qu'elles soient soumises à l'épreuve du temps. Concernant la plupart des cas, elle s'en tient, dans la neuvième édition de son Dictionnaire, à présenter la graphie traditionnelle à l'entrée principale, tout en mentionnant la possibilité d'une graphie rectifiée.
Elle s'est proposée, selon une procédure qu'elle a déjà suivie à plusieurs reprises, de juger à terme des graphies que l'usage, législateur suprême, aura retenues et de confirmer ou infirmer les modifications recommandées".