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Autres animaux - Page 2

  • On croit rêver!!!!

    Pour Pompili, la gastronomie française, c’est le kebab dans du carton !

    Pompili la pompeuse, l’islamo-écolo dans ses œuvres: pour la Pompili, les kebabs sont écolo-compatibles quand ils sont servis dans des emballages recyclables!

    Elle ne peut ignorer que la viande qui les compose provient de l’abattage halal, et cependant, elle se vante d’en ingurgiter; donc elle se fout de la souffrance animale et des problèmes sanitaires qu’induit ce mode d’abattage!

    Et quelle curieuse conception de la gastronomie français…. mais les écolos ont-ils quelque chose de Français !? Trahison de la France et trahison de l’écologie, c’est ça la Pompili !

     

    Personnellement, c’est kebab complet – salade, tomates, oignons – sauce algérienne (dans une boîte en carton !).

        Et vous ? pic.twitter.com/Jt0YYV27ZR

        — Barbara Pompili (@barbarapompili) July 1, 2021

    Défendez, partout où vous êtes -ou allez- la gastronomie française!

    Tout est bon dans le cochon!

  • Après les impôts, la tirelire...

  • Royalement stupide!

    Ségolène Royal cite une phrase de Voltaire... qu'il n'a jamais écrite

    Par Auteur valeursactuelles.com 

    “Je ne suis pas d’accord avec ce que vous dites mais je me battrai jusqu’à la mort pour que vous ayez le droit de le dire”, a écrit la future ex-ambassadrice des pôles.

    Loupé. Souhaitant s’exprimer sur sa probable éviction du poste d’ambassadrice des pôles, notamment pour manquement à son devoir de réserve, Ségolène Royal, philosophe, a voulu citer Voltaire dans un tweet. Problème: la citation qu’elle a postée sur le réseau social n’est tout simplement pas de lui, rapporte Le Figaro.

    L’esprit voltairien ne nous manque t’il pas? < Je ne suis pas d’accord avec ce que vous dites mais je me battrai jusqu’à la mort pour que vous ayez le droit de le dire > VOLTAIRE https://t.co/0oaZ2T89bX

    "Je ne suis pas d’accord avec ce que vous dites mais je me battrai jusqu’à la mort pour que vous ayez le droit de le dire ", a écrit l’ancienne ministre de l’Environnement avec ce commentaire: "L’esprit voltairien ne vous manque-t-il pas? ".

    Cette erreur vient d’une missive qu’aurait écrite Voltaire à un certain abbé Le Riche, le 6 février 1770, avec ces termes: "Monsieur l’abbé, je déteste ce que vous écrivez, mais je donnerai ma vie pour que vous puissiez continuer à écrire".

    Seulement, cette lettre n’a en fait jamais existé, rappelle Le Figaro.

    Une phrase qui expliquait la pensée voltairienne

    Sur le site Projet Voltaire, Sandrine Campese, auteur d’“Un petit dessin vaut mieux qu’une grande leçon“ explique -en effet- que cette citation provient en fait d’une certaine Evelyn Beatrice Hall, qui tentait de résumer, en anglais, la pensée voltairienne.

    Elle écrivait: "I disapprove of what you say, but I will defend to the death your right to say it’ was his attitude now". Ce que l’on peut traduire en français par: "Je ne suis pas d’accord avec ce que vous dites, mais je me battrai jusqu’à la mort pour que vous ayez le droit de le dire“ était alors sa pensée".

    C’est en mettant entre guillemets cette citation qu’Evelyn Beatrice Hall a créé la confusion. Une fois traduite en français, on la crut de la main de Voltaire, explique Le Figaro.

    Royalement stupide… non mais, attendez le mieux: on l'a vue avec un ours blanc: Super! Sauf que l'ours était empaillé!

    Elle avait oublié de dire "faut qu'il ait l'air vivant"!

     

  • Vive la Saucisse de Toulouse!

    Royaume-Uni: à la demande d’étudiants vegans l’université de Cambridge fait retirer une peinture du XVIIe prêtée par un musée

    Certains étudiants de l’Université de Cambridge auraient peut-être pu considérer comme un privilège de manger sous une peinture à l’huile du 17ème siècle. Mais pas si les élèves sont végétariens ou vegan, et que l’œuvre met en vedette des animaux destinés à la table du dîner.

    The Fowl Market, de l’artiste flamand du 16ème siècle Frans Snyders, a été retiré de la salle à manger de Hughes Hall à la suite de plaintes selon lesquelles il dégoûtait de leur repas les non-consommateurs de viande.

    Le tableau présente une collection d’animaux morts, dont un cygne, un sanglier, un cerf et divers gibiers à plumes.

    Il avait été prêté à long terme par le Musée Fitzwilliam. […]

    The Telegraph

    Quand on est si désespéré de la vie, au point de martyriser son corps, à quoi bon vivre?