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Les plus gros bobards réchauffistes flingués par la science

Des mensonges, il y en a tellement qu’il a fallu faire un tri. Mon choix a été guidé par des articles ou des liens qui m’ont valu d’être banni d’Agoravox, Facebook et Twitter. Sans doute parce que j’énonçais des vérités dérangeantes. Insupportables pour les mystificateurs.

CHANGEMENTS CLIMATIQUES RAPIDES DU PASSE

La supercherie consistant à présenter le léger réchauffement climatique du XXe siècle comme un fait unique est d’autant plus patente que la science démontre aujourd’hui qu’il y a 15 000 ans des changements climatiques très brutaux, probablement liés à des modifications de l’intensité solaire, se sont produits à deux reprises dans l’hémisphère Nord, selon une étude publiée par la revue "Science".

Le climat a d’abord basculé il y a 14 700 ans avec une augmentation des températures de plus de 10 degrés Celsius, en seulement 3 ans! Puis, après un nouveau coup de froid, une hausse équivalente s’est produite il y a 11 700 ans, à la fin de la dernière période glaciaire.

"Des analyses des isotopes d’oxygène emprisonnées dans des carottes de glace du Groenland ont montré que ces renversements climatiques se sont produits aussi abruptement que si quelqu’un avait soudainement appuyé sur un bouton" souligne Dorthe Dahl-Jensen, de l’université de Copenhague, co-autrice de l’étude avec des chercheurs japonais et français du CEA et du CNRS.

N’en déplaise aux réchauffards qui nient l’influence des variations solaires sur le climat, les glaces ont conservé des marqueurs isotopiques des éruptions et super-éruptions du soleil, correspondant à des bouleversements climatiques rapides. La dernière période glaciaire s’est donc achevée de manière très brutale, avec deux épisodes de réchauffement intense interrompus par une brève période froide. Le tout, évidemment, en l’absence de tout dégagement de gaz à effet de serre (CO2, méthane…) d’origine humaine.

Sur des temps plus courts, la dendrochronologie (étude des cernes des arbres y compris ceux pétrifiés), considérée comme une des meilleures méthodes de datation utilisées en archéologie pour les périodes remontant jusqu’au Mésolithique (environ 9000 ans B.P) enregistre des cycles climatiques extrêmement brutaux et rapides, en plus chaud, plus froid, plus humide, plus sec… L’optimum médiéval, attesté par les chroniqueurs de l’an mil et les Vikings au Groenland, mais aujourd’hui nié par les idéologues, et le petit âge glaciaire sont les derniers en date.

GLACIERS DE L’HIMALAYA

En 2010, le GIEC a diffusé une étude prospective affirmant que tous les glaciers de l’Himalaya auraient fondu d’ici à 2350. La plupart des glaciologues de montagne tiennent cette évaluation pour hautement improbable. Les astrologues du GIEC ont alors délibérément interverti les chiffres pour annoncer la fin du dernier glacier himalayen en 2035!

Ainsi le GIEC a écrit dans son rapport AR4 qu'"au rythme actuel, les glaciers de l’Himalaya auront reculé de 500 000 km2 et disparu d’ici 2035". Un rapport d’une nullité crasse selon Current Science.

Les glaciers de l’Himalaya occupent une surface totale de 60000 km2. Cela figure toujours dans les manuels scolaires, là où l’école à l’ancienne perdure… Une enquête a établi que l’étude menée par des "experts éminents qui passent à la télé" avait été publiée par le WWF, le fonds pour la préservation de la faune sauvage, ami des tourterelles, des lémuriens et des pandas. Lequel n’a aucune compétence en matière de glaciologie et dont le siège social se trouve en Suisse à Gland (ça ne s’invente pas!).

Derrière ces incohérences, un nom apparaît de façon récurrente: celui de Rajendra Pachauri. Cet Indien décédé début 2020 était ingénieur ferroviaire!

Comme l’écolo Jouzel est ingénieur en réacteurs nucléaires… La climatologie a dû être leur violon d’Ingres.

 

Pachauri -patron du GIEC indien- était aussi président du TERI (The Energy and Resources Institute) une entité liée au groupe industriel Tata: aciéries, usines de fabrication de véhicules, centres de télécoms, commerce agroalimentaire, holdings financières… Pour un chiffre d’affaires de l’ordre de 150 milliards de dollars US. La préoccupation réchauffiste de Pachauri relève d’une vocation vraiment tardive!

Un de ses anciens comparses, Sri Murai Lal, a affirmé au Daily Mail que les rédacteurs du GIEC savaient parfaitement que les prévisions concernant les glaciers de l’Himalaya étaient erronées mais considéraient que le discours sur la fonte des glaciers servait à encourager les décideurs politiques à passer à l’action. Et à la caisse.

MACRON GATE N°1 OU WATERWORLD POUR LES NULS

Le 21 septembre 2017, le parti politique du Conducator publie sur son site une page bourrée de chiffres effrayants sur les risques du réchauffement climatique. Calculés par Bulot Le Maire, ancien ministre de l’Agriculture, qui ne sait pas combien il y a de m2 dans un hectare?!!

Les "experts" du Président affirment que 7.800.000 litres de glace fondent chaque seconde en Antarctique. Présenté de la sorte, ça fout la trouille (c’est d’ailleurs le but recherché) Mais 7800 m3 multipliés par 31.536;000 secondes, cela fait 246 milliards de m3 fondant chaque année. Or le volume total de glace du pôle Sud est de 24 millions de milliards de m3. Donc le chiffre des experts macronards représente 0,001 % du total de ces glaces polaires.

En outre la NASA en 2015 affirmait que "les gains de masse de l’Antarctique sont supérieurs aux pertes". Les chiffres présentés par la cellule élyséenne correspondent uniquement à la fonte, en oubliant les gains. Si on rétablit la balance, la perte annuelle représente, dans l’hypothèse la plus défavorable, 246 km3 de glace.

C’est du même ordre de grandeur que les calculs d’une autre étude de la NASA chiffrant en 2016 à 232 km3 la fonte de la banquise. Compensée par un gain moyen de 245 milliards de tonnes de glace annuels.

Or la surface totale des océans est de 360 milliards de km2. La fonte de la glace continentale impacterait la montée des eaux de 0,68 mm par an, soit 7 cm par siècle… Nonobstant les mouvements vers le haut de la lithosphère et les apports des alluvions fluviaux et sédiments marins. Ainsi pour les satellites de la NASA, la fonte actuelle produit une hausse observée du niveau des mers de 0,4 mm/an, soit 4 cm par siècle…

Tandis que la glace arctique, si elle fondait, ne ferait pas plus monter le niveau des mers qu’un glaçon ne fait déborder votre verre de whisky on the rocks.

AMAZONIE GATE

Un rapport du GIEC prétendait que 40 % de la forêt amazonienne souffrait gravement d’une baisse des précipitations causée par le prétendu réchauffement global. La source émane encore du WWF et de l’IUCN, une autre organisation inter-gouvernementale dont le siège se trouve aussi à Gland (décidément ils le font exprès !) Tandis que l’article alarmiste mis en avant par le GIEC a été écrit par un éditorialiste politique et un pigiste, écologiste activiste, selon le Daily Telegraph.

L’article de ces deux propagandistes donne pour unique source une étude de "Nature", revue scientifique sérieuse mais qui n’est pas hermétique aux pressions des réchauffards. Or le GIEC a choisi de ne pas mentionner cette revue qui lui est plutôt favorable. Pourquoi?

Jacques Duran, décédé en 2018, directeur de recherches au CNRS et patron de l’Institut supérieur de physique de Paris, auteur de "Pensée scientifique unique" un ouvrage aujourd’hui introuvable, expliquait que l’article de "Nature" évoquait une perte de biomasse provoquée par la déforestation et les feux de forêts, mais en aucun cas liée à une diminution du niveau des précipitations.

MACRON GATE N° 2 PROMENONS-NOUS DANS LES BOIS

Toujours en 2017, repris en 2018, le site "En Marche" affichait un chiffre apocalyptique sur une image stressante: 1 km2 de forêt disparaît à chaque seconde!

Sachant qu’il y a 31.536.000 secondes/an, hors années bissextiles, une telle cadence anéantirait 31 millions de km2, soit 25% de la couverture végétale des terres émergées chaque année.

En mai 2021 la Terre aurait dû ressembler à la planète Mars!

Quant à "l’inéluctable accélération du processus de destruction"» selon les macronards, cette prédiction est démentie par le professeur émérite David South de l’université d’Alabama qui, auditionné en 2018 par le sénat US rappela que si 2017 avait vu brûler environ 6 millions d’hectares… en 1930 on en avait dénombré 21 millions partis en fumée!

Dans le même ordre d’idée, la Banque mondiale, qui finance des filières bois, affirme dans une étude documentée qu’entre 1990 et 2010 la part des forêts naturelles sur l’ensemble des continents est passée de 31,8% à 30,8% avant de remonter au dessus de 32% tandis que les forêts d’exploitation et les surfaces cultivées s’accroissaient, gagnant sur les déserts.

En effet les forêts représentent environ 45 millions de km2 sur des 150 millions des terres émergées. Les marcheurs se sont encore mélangé les pinceaux! Une diminution de 1% en 25 ans correspond à une perte de 0,45 millions de km2. Soit 18 000 km2/an. On est loin du chiffre mis en avant par ces marcheurs qui voulaient vous faire marcher.

L’hypothèse d’une telle erreur est peu vraisemblable. Même si leur comité scientifique a repêché des universitaires à la ramasse confinés dans des tâches administratives. On pense plutôt à une tentative d’enfumage pour récolter des fonds. Les zélites visées devaient donner 500 € minimum pour "sauver la planète".

Le double pour être invités aux apéros saucisson-pinard dans les préfectures. Et paraît-il, avec dix fois plus, on gagnait le droit de voir Brichelle dans les jardins de l’Élysée.

Christian Navis

https://climatorealist.blogspot.com

 

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