société - Page 292
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Inconvenant? honny soit qui mal y pense!...
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Sans commentaire
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La mode à toutous
Expression toulousaine:
il est bâti comme un pissoir en démolition!
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La rencontre entre Barbie et Ken s'est très mal passée
Tout le monde prédisait le coup de foudre entre Barbie alias Valeria Lukyanova, et Ken alias Justin Jedlica. Mais la rencontre ne s'est pas passée comme prévue. Il semblerait que les deux poupées en chair et en os ne s'aiment pas vraiment. Quelques mots durs ont même été prononcés par presse interposée.
Quand "Barbie girl" Valeria Lukyanova a fait la rencontre de " Ken Boy" Justin Jedlica, il n'y a pas eu d'étincelles. Au lieu de cela, Lukyanova a eu quelques mots durs pour l'homme qui l'a comparé à une drag-queen.
Barbie comparée à une Drag-Queen par Ken
Valeria Lukyanova est un mannequin ukrainien rendu célèbre grâce à son physique Barbie-esque c'est à dire une petite taille, une très forte poitrine et de larges yeux. Jedlica est lui un Américain, devenu célèbre après avoir dépensé 100 000 dollars (90 000 euros) pour réaliser près de 90 opérations de chirurgie esthétique pour ressembler à Ken, l'alter-égo masculin de Barbie.
En novembre dernier, Jedlica a déclaré au Huffington Post : "je la trouve vraiment belle. Mais je pense qu'une grande partie de son apparence est du à beaucoup de maquillage supplémentaire, des faux cheveux et des corsets "amaigrissants"... Les Drag-queens ont mis en place les mêmes illusions avec du maquillage et des costumes pendant des années."
La réponse de Barbie est cinglante
Quand les deux poupées vivantes se sont rencontrées à New York (une photo récente le prouve), la Barbie ukrainienne n'a pas hésité à tacler Ken.
Selon le tabloïd britannique The Sun : "Justin a dit de méchantes choses sur moi mais il a fait près de 90 opérations de chirurgie esthétique tandis que j'en ai fait seulement une (...) Je ne le cache pas j'ai eu recours à la chirurgie esthétique. J'ai des implants mammaires parce que je veux être parfaite. Il ferait mieux de ne pas faire de remarques sur le physique et la plastique. Je pense qu'il est bel homme, mais il a exagéré ses lèvres."
"Une poupée est une image de la femme idéale"
Malgré ce clash, Lukyanova a affirmé toujours au Sun, être heureuse de son apparence : "Ceci me plaît parce qu'une poupée est une image de la femme idéale (...) Personne ne serait ennuyé d'être comparé à une poupée."
Quant à lui, Justin Jedlica, originaire de New York, semble avoir plus d'affinité pour Lacey Wildd, un modèle avec une poitrine énorme (bonnet triple L). Il a posté une photo de lui sur internet avec la blonde vendredi dernier avec le commentaire : "Omg j'aime Lacey!".
"La seule chose qui différencie l'homme de l'ordinateur, c'est l'humour"
Vieille expression de moi-même!
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De toutes façons, ce que disent les mecs, y'a longtemps qu'on s'en tape!..
Le port du pantalon enfin autorisé pour les Parisiennes
Près de 214 ans auront été nécessaires pour obtenir l'abrogation de la loi interdisant le port du pantalon aux femmes. Jusqu'alors les parisiennes sans robe ni jupe étaient... hors-la-loi
Plus ou moins court, le pantalon est un incontournable des garde-robes féminines.
A Paris, les femmes ont enfin le droit de s'habiller en homme. Dans le Journal officiel du jeudi 31 janvier, le ministère des Droits des femmes a confirmé que cette ordonnance datant de 1800 est incompatible avec "les principes d'égalité entre les femmes et les hommes qui sont inscrits dans la Constitution".
Signée par le Préfet de Police Dubois, l'ordonnance du 16 brumaire an IX (7 novembre 1800) empêchait la gente féminine de porter un pantalon sans avoir obtenu au préalable l'autorisation de la Préfecture de Police. Accusées de travestissement, les contrevenantes risquaient d'être arrêtées. "Cette ordonnance visait avant tout à limiter l'accès des femmes à certaines fonctions ou métiers en les empêchant de se parer à l'image des hommes", précise Alain Houpert. Le sénateur UMP est à l'origine de la demande faite au gouvernement, en juillet 2012, d'abroger cette loi.
Une aberration progressivement atténuée par plusieurs circulaires comme celle de 1909 qui autorisait une dérogation aux femmes pour se couvrir les jambes à la condition qu'elles soient à vélo ou à cheval. Rendue caduc par la constitution de 1946 qui garantit à la femme "dans tous les domaines, des droits égaux à ceux de l'homme", le texte était pourtant toujours en vigueur".
Très vite plusieurs voix s'étaient fait entendre pour lutter contre cette injustice. Rosa Bonheur, l'artiste, peintre animalier du XIXe siècle éprise de liberté présente en 1893 son œuvre Rosa Bonheur dans son atelier. Peint avec l'artiste George Achille-Fould, ce tableau conservé au musée des beaux-arts de Bordeaux la représente en pantalon, une première pour une femme.
Yves Contassot élu EELV et conseiller de Paris explique, en 2010, les subtilités de ce texte. "Cette ordonnance est totalement illégale, anticonstitutionnelle [...] néanmoins à chaque fois il y a eu un refus d'abrogation en prétextant que ça allait donner du travail et qu'il fallait faire des recherches dans les archives ".
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La chatte à la voisine
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La nouvelle humanité
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Saint Valentin à l'africaine....
Sa femme tombe amoureuse d'un collègue, il accuse l'employeur
C’est une étrange plainte qu’a reçue le tribunal de Johannesbourg. Celle d’un homme qui voulait poursuivre la banque où exerce son épouse. Au motif que cette dernière serait tombée amoureuse d’un collègue sur son lieu de travail. L’histoire a été rapportée samedi par le quotidien sud-africain Beeld. Ce dernier précise les arguments de l’époux trompé : FirstRand est d’une façon ou d'une autre responsable de la douleur et de la souffrance provoquée par la liaison de sa femme.
Malheureusement pour le mari désabusé, le droit africain ne prévoit pas un tel cas... Sa demande a donc été déboutée. Il devra payer les frais de justice engagés par la banque. « Je ne suis pas complètement sûr que dans ce pays nous puissions permettre aux gens de réclamer des dommages et intérêts parce que les gens tombent amoureux au travail. Cela arrive tout le temps ! », a estimé le juge Nigel Willis.
Pour preuve : près de 36 % des hommes et 31 % des femmes ont déjà eu une aventure sur leur lieu de travail, selon une étude portant sur les employés français, suisses et belges. Et depuis les lois Auroux de 1982, les entreprises ne peuvent pas interdire à leurs salariés d’avoir une quelconque aventure, ni les virer ou les muter sous ce prétexte. Par ailleurs en ce qui concerne les aventures extraconjugales, rien ne protège non plus les victimes d’adultères en Europe. Si un mari trompé s’avise de venir faire une scène de ménage à sa femme infidèle et la dérange pendant son temps de travail, il risque même de lui faire perdre son job…