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société - Page 206

  • Oh, les pauvres gosses: déjà un paquet sur le dos à porter, à leur naissance!!!

    Khaleesi, Gregor et Arya : ça vous dit quelque chose ? Signe de sa popularité, de plus en plus de parents appellent leurs bébés avec les prénoms des personnages de la série fantastico-médiévale...

    Dans les années 90, la France a connu une vague de Brandon, de Brenda et de Dylan. La raison? Beverly Hills 90210. Diffusée sur TF1 entre 1993 et 2001, la série a marqué toute une génération de téléspectateurs. Au point que ceux-ci, devenus parents, ont décidé de donner à leurs enfants les prénoms des personnages interprétés par Jason Priestley, Shannen Doherty et Luke Perry. Ainsi, près de 4000 Dylan ont vu le jour en 1994, contre 600 en 1992. Idem pour les Brandon, passés de 70 en 1992 à 1200 deux ans plus tard. Aujourd'hui, c'est Game of Thrones qui inspire les parents. Les prénoms des personnages de la série de HBO, adaptation de l'œuvre de George R.R. Martin, sont à la mode chez nos voisins britanniques: selon l'Office national des statistiques, l'an passé, 187 nouveau-nés ont été baptisés Arya, cinq Sansa et trois Catelyn. On dénombre également cinquante Khaleesi - qui n'est pas un prénom mais le titre de noblesse de Daenerys Targaryen, le personnage interprété par Emilia Clarke -, onze Theon, onze Gregor, six Tyrion, quatre Brandan et quatre Daenerys.

    Aux États-Unis, 146 Khaleesi ont vu le jour en 2012, un chiffre en hausse de 450 % par rapport à 2011. Arya a lui a vu sa côte de popularité exploser de 800 %! Pour l'instant, le phénomène ne touche pas encore la France: seules deux Khaleesi sont nées en 2013.

    “Qu'est-ce que tu a fais de bon aujourd'hui, tonton Theon?

    Je vous ai fais du thon; tiens goûte…

    Mmmmm… il est bon ton thon, tonton Thon! eu... Théon.. tohon.. Theon!!! (pardon, m'es trompé tonton!)"

    Aïïïiiie, misère!

  • La conn....ie est universelle, vous croyez-pas?

    Pourquoi le prix des génériques va augmenter?

    Les génériques ont conquis le monde grâce à leur prix bas. Mais une fois éliminés les médicaments princeps et leurs fabricants, un travail de sape réalisé grâce à l’obscurantisme des pouvoirs publics, rien ne va les empêcher d’augmenter leur prix. C’est en fait déjà le cas aux Etats-Unis. Et du fait d’une production qui reste mondialement insuffisante et à flux tendu, ceux qui ne voudront pas payer subiront des ruptures de stock, 500 déjà en France l’année dernière. Voici ce qui nous attend.

    Les cardiologues américains n’en reviennent pas. Un très ancien médicament, la digoxine, très largement génériqué a vu son prix tripler en moins de deux années, atteignant dorénavant dans certaines pharmacies, 50 dollars la boite (40 euros). Une évolution inattendue pour les prescripteurs, les patients et les assurances maladies, qui avaient un peu vite oublié les bases fondamentales de l’économie de marché. En France, également certains génériques ont vu leur prix augmenter pour des raisons identiques, sans que cela ne fasse la Une, bien sûr. A quoi faut-il donc s’attendre ?

    Les gouvernements, les assurances maladies de chaque pays et les assurances privées ont beaucoup fait pour que les génériques arrivent sur le marché, permettant de réduire le coût des médicaments et donc leurs dépenses, sans jamais faire cependant aucune ristourne au consommateur. Dès qu’un médicament perd son brevet, des génériques de ce médicament apparaissent à des prix 30% à 50% inférieurs en fonction des pays, des prix qui années après années poursuivent une lente mais inexorable descente.

    La conséquence première est l’abandon de la production de ce médicament par le laboratoire qui en possédait le brevet. Multipliez ces génériques par 10 ou 100 et vous obtenez logiquement une fermeture des centres de production du pays, et de distribution, un licenciement des visiteurs médicaux, des ouvriers des usines, voir un départ complet des laboratoires pharmaceutiques du pays comme ce fût le cas en Nouvelle-Zélande. C’est aussi ce qu’à révélé le Canard Enchainé à propos du Laboratoire Sanofi. Hier fleuron de l’industrie pharmaceutique française, le CEO de cette compagnie a déménagé à Boston, le centre de recherche de Toulouse a été fermé, et le journal satirique annonçait la presque fin des activités françaises du groupe avec la fermeture de 4 centres de production, de deux centres de distribution, soit la mise au chômage de 2600 personnes, probablement pour une longue durée puisque les autres industriels de la pharmacies ont eux aussi plié bagages. On peut vouloir critiquer une décision industrielle. On doit aussi regarder du côté des politiques qui avaient bien pour objectif en lançant la politique du générique dans les années 90 de substituer une industrie à une autre. C’est chose faite!

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  • Pas bêtes, ces Marseillais!

    Un touriste breton dont la voiture est immatriculée 56

    > > > >                 (Morbihan) descend le bd. D’ATHENES pour se rendre sur

    > > > >                 le Vieux Port.*

    > > > >                 >*Comme d’habitude, c’est l’embouteillage, et devant lui

    > > > >                 se trouve la voiture d’un papi marseillais.*

    > > > >                 >*Ledit papi change de file en permanence, un coup à

    > > > >                 droite, puis à gauche, puis il revient à droite et ainsi

    > > > >                 de suite.*

    > > > >                 >*Ulcéré, le breton s’énerve et parvient enfin à le

    > > > >                 dépasser.*

    > > > >                 >*Arrivé à la hauteur du papi, il se penche vers sa

    > > > >                 fenêtre de droite et hurle :*

    > > > >                 >*« Alors le vieux, vous arrêtez de changer de file sans

    > > > >                 arrêt ! On roule à droite un point c’est tout. »*

    > > > >                 >*Le brave papi, qui a sa fenêtre ouverte, regarde le

    > > > >                 breton avec étonnement  et lui répond :*

    > > > >                 >*« Oh fada ! Ici on est à Marseille! On roule ni à

    > > > >                 droite ni à gauche ! »*

    > > > >                 >*Le breton : « Ah bon ! Et vous roulez où à Marseille

    > > > >                 >*Le papi : « Et comme d’habitude, on roule à l’ombre

  • Dans la série les sinistres et leurs copains-coquins se foutent de nous

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    Finalement, c'est rien que du pipi-caca

     

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  • Blague sosialauds

    La logique socialiste des deux poules

     - Camarade, si tu avais deux maisons, en donnerais-tu une à la révolution ?

    - Oui ! répond le camarade

    - Et si tu avais deux voitures de luxe, en donnerais-tu une à la révolution ?

    - Oui ! répond de nouveau le camarade.

    - Et si tu avais un million d’euros sur ton compte en banque, en donnerais-tu la moitié à la révolution ?

    - Bien sûr que je la donnerais! répond le fier camarade.

    - Et si tu avais deux poules, en donnerais-tu une à la révolution ?

    - Ah non ! répond le camarade.

    - Mais…. pourquoi donnerais-tu une maison si tu en possédais deux, une voiture si tu en avais deux,

     500’000 euros si tu disposais d’un million…. et ne donnerais-tu pas une poule si tu possédais plusieurs ?

     - Mais parce que les poules, je les ai !

     Moralité: il est toujours facile d’être socialiste avec la propriété et le travail des autres

     

    (tiré de la page FB du Parti Libéral Démocrate)

  • Si je mourais demain, quelle photo paraîtrait ?

    Par ce qu’ils mentionnent et ce qu’ils omettent, délibérément ou non, les médias donnent une vision des faits, comme dans l’affaire Michael Brown. Quelles garanties avons-nous contre ses tentations réductionnistes, si ce n’est la protection de la liberté d’expression ?

    Par Baptiste Créteur.

    Après la mort de Michael Brown, afro-américain abattu par la police, les images choisies par certains médias pour présenter l’adolescent de 18 ans en ont donné des images totalement différentes, le faisant presque passer parfois pour un gangster.

    En réaction à ce traitement médiatique biaisé, des tweeters afro-américains ont publié deux photos d’eux, accompagnées du Hashtag « #IfTheyGunnedMeDown » : « #S’ilsM’abattaient ». Posant tantôt en jeunes dynamiques et prometteurs, tantôt en voyous, ils posaient la question du choix journalistique : quelle photo serait choisie par les médias s’ils étaient abattus ?

    Par ce qu’ils mentionnent et ce qu’ils omettent, délibérément ou non, les médias donnent une vision des faits. Par le choix des mots et illustrations, les associations d’idées, les rapprochements, les analyses réalisées et le ton adopté, les journalistes influencent considérablement l’idée que se fait le lecteur des faits.

    Par ignorance ou mauvaise foi, certains médias ont parfois présenté Contrepoints comme un journal conservateur, de droite, voire d’extrême-droite ; et ce, malgré de fréquents rappels, le plus récent par l’un des rédacteurs en chef, de la pluralité libérale de Contrepoints.

    On ne peut pas anticiper le traitement médiatique, encore moins prédire quelle photo serait utilisée par les médias et quelle image elle donnerait de nous si on venait à mourir dans des circonstances anormales. Mais on peut espérer que la liberté d’expression permette la confrontations des idées pour que la vérité émerge.

    C’est pourquoi il est si important que l’État garantisse la liberté d’expression, au lieu de la restreindre. Certaines opinions sont insupportables, mais aucune ne devrait être interdite. C’est en confrontant les mauvaises idées qu’on les affronte, pas en cherchant à les museler.

    “Les idées nauséabondes ne sont dangereuses qu’en l’absence d’hommes pour en défendre de meilleures. – Ayn Rand“

    C’est pourquoi il est dangereux de laisser l’État s’immiscer dans les médias et l’expression. Les idées interdites se développent dans l’ombre, jamais confrontées aux faits, jamais débattues, et les discours se radicalisent. Comment expliquer autrement la montée des actes antisémites en France ? Et, plus généralement, la montée du racisme ?

    Et les biais journalistiques ne doivent pas être dénoncés que lorsqu’ils ne vont pas dans notre sens. Oui, choisir une photo provocatrice pour accabler un innocent est un parti pris qu’il faut dénoncer. Mais que dire alors du débat sur les origines du réchauffement climatique et les solutions à y apporter, qu’un consensus médiatique tait depuis des années ? Ou des méfaits des syndicats français, traités avec complaisance quand ils ne sont pas tus ?

    Au-delà du journalisme, on ne peut que regarder avec méfiance la mainmise de l’État sur l’éducation et la culture. Est-ce réellement à lui de décider quel regard nous devrions porter sur le monde ? Quand on sait que l’État a récemment sauvé l’Humanité en épongeant sa dette en plus de lui verser de généreuses subventions, comment ne pas s’inquiéter de la teneur des programmes scolaires en histoire et en économie ?

    Seule la décentralisation permet d’espérer que la vérité n’est pas otage de la vision que ceux qui la contrôlent voudraient en donner – précisément puisque personne n’en a le contrôle exclusif.

    https://www.contrepoints.org/2014/08/14/176884-si-je-mourrais-demain-quelle-photo-paraitrait

  • Et vous croyez que la France est un pays de Liberté... mon oeil!

    Liberté individuelle ? Liberté surveillée !

    L’État et un certain nombre de caisses s’autorisent à consulter l’intégralité de vos comptes jusqu’à dix ans après clôture !

    Par Thibault Doidy de Kerguelen

    Selon l’arrêté du 10 juillet 2014 publié vendredi dernier au JO, les services de l’État et les quelques organismes habilités à consulter Ficoba auront désormais encore accès aux informations concernant un compte bancaire jusqu’à dix ans après sa fermeture. Auparavant, les données n’étaient conservées que trois ans après l’enregistrement de la clôture du compte, « pour les comptes dont le titulaire est une personne physique » précise l’arrêté. Pour les comptes détenus par une personne morale, la durée de conservation était déjà de dix ans.

    Deux nouveaux organismes autorisés à consulter Ficoba

    Si les services habilités à consulter les données sensibles de ce fichier pourront remonter plus loin dans le temps, ils seront également plus nombreux, selon ce même arrêté. Après Pôle Emploi à l’automne dernier, la Direction des retraites et de la solidarité de la Caisse des dépôts et consignations, et la Caisse de retraite et prévoyance des clercs et employés de notaires viennent s’ajouter à la liste des organismes autorisés à interroger Ficoba.

    Parmi les autres personnes déjà habilitées, les agents du fisc, des douanes, de la répression des fraudes et de Tracfin ont bien-sûr un droit d’accès au fichier afin notamment de « lutter contre la fraude fiscale et le blanchiment ». La Banque de France, les établissements de crédit mais aussi la Caisse d’allocations familiales (CAF) font également partie de cette liste.

    Ficoba est un fichier qui contient des données particulièrement sensibles : selon la Cnil, il recense plus de 80 millions de personnes physiques, françaises ou non, qui détiennent un compte bancaire ou assimilé en France. Il traite chaque année 100 millions de déclarations de comptes.