Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

societé - Page 90

  • Quand les poules auront des dents, ils seront intelligents!

    La Coupe du monde 2018 approche à grands pas. C'est un mois d'effervescence, d'émotion et de beaux matchs qui nous attendent du 14 juin au 15 juillet prochain en Russie. Mais avant de se plonger dans le jeu, et si on se faisait plaisir en (re)découvrant les plus grandes sorties des joueurs et personnalités du monde du football (entraîneurs, journalistes, sélectionneurs, présidents…).

    Erreurs de langage, tacles, jeux de mots… Autant de pépites compilées par le journaliste Sébastien Beaufort dans le livre " Ribérire et compagnie " (éditions Tut-Tut) paru en mai.

    Parfois grossières ou égocentriques, souvent maladroites et très drôles, voici quelques-unes des phrases de foot les plus marquantes :

    "Il faut rendre César à César", Patrice Evra

    "On est des hommes et comme on dit, on en a entre les jambes", Fabien Barthez

    "Ce n'est ni l'endroit, ni le lieu de parler de tout ça", Laurent Blanc

    "Quand je marque, j'ai de la joie et de la haine. De la haine. Dans ma tête, je pensais: putain je vous ai tous niqués, j'vous ai tous niqués", Christophe Dugarry

    "Il faut se serrer les bras", Ulrich Ramé

    Les phrases choc

    "Ce qui me manque le plus au PSG? Mon dernier salaire", Zlatan Ibrahimović

    "Je m'excuse auprès des Stéphanois de n'avoir jamais perdu contre eux", Sidney Govou

    "Ça ne m'intéresserait pas d'avoir Xavi, Messi et Cristiano dans mon équipe. C'est comme si je me mettais à jouer au tennis contre une fille de trois ans", Jurgen Klopp

    "Mes muscles c'est comme une deuxième personne à l'intérieur de moi. Je les traite bien", Yohan Mollo

    "T'es nul, t'es une merde et t'as les pieds carrés. Qu'est-ce que tu fous là ?", Jean Tigana à son coéquipier Didier Deschamps lors d'une rencontre Marseille-Lyon en 1989

    Entraîneurs, journalistes et consultants

    "Personnellement, prendre des fessées, ça ne me plaît pas trop. Il y a des boîtes spécialisées pour ça et je n'y vais pas", Pascal Dupraz

    "Ça vous donne du pain à moudre", Laurent Blanc

    "Pour moi, la pression, c'est juste de la bière", Jean-Guy Wallemme

    "Avant de tenter des passes aveugles, faites déjà des passes voyantes…", Rolland Courbis

    "J'ai rigolé, Jean-Michel, car il avait son corps en position de saucisson", Christian Jeanpierre

    "L'appréciation de l'arbitre eh ben, elle va pas être très appréciée côté anglais", Frank Lebœuf

    Le top du top

    "À la clinique, lorsque j'étais interné, certains se prenaient pour Robinson Crusoé, d'autres pour Napoléon, et moi, personne ne me croyait lorsque je leur disais que j'étais Diego Maradona", Diego Maradona, à la sortie de son hospitalisation en psychiatrie en 2004

    "Pourquoi ne pourrait-on pas battre un club plus riche? Je n'ai jamais vu un sac de billets marquer un but", Johan Cruyff

    "Je ne joue pas contre une équipe en particulier. Je joue pour me battre contre l'idée de perdre", Éric Cantona

    "J'ai besoin de nouveaux ennemis. Les anciens sont devenus mes fans", Zlatan Ibrahimović

    "Partout où vous allez, il y a trois icônes connues pour tout le monde: Jésus Christ, Pelé et Coca-Cola", Pelé

    "Les buts c'est comme le ketchup. Des fois ça ne veut pas sortir, mais quand ça sort, c'est tout d'un coup", Cristiano Ronaldo

    La spéciale Ribéry

    "J'ai couru jusqu'à quand ce que je pouvais."

    "On est des joueurs qu'on va vite avec le ballon. "

    "Maintenant il faudra faire avec sans Zizou. "

    "Je suis quelqu'un que j'aime beaucoup rigoler, que j'aime blaguer. "

    "On a dur, franchement, on a dur. "

     Et une dernière pour la fin…

    "Le Brésil va gagner l'Euro 2008", Rafik Saïfi

     

  • Marre du mauvais temps? je l'avais dit!

    RAPPEL D'UNE NOTE PUBLIEE ICI:

     http://insoliteetdejante.hautetfort.com/archive/2018/04/06/marre-de-la-pluie-je-vous-l-avais-dit-6041055.html

     

    Cette année, passez vos vacances à Toulouse.... ou carrément, ailleurs qu'en France!!!

    Je l'avais annoncé dès Aout 2017: le temps sera affreux toute l'année

    Ne vous fiez pas à janvier qui sera pas très frisquet (en Occitanie) car plus le temps s'avancera en février plus le froid s'intensifiera un peu partout.

    Par contre en Mars, dans TOUTE la France: tempête, vent, pluies fortes et température en forte baisse de saison; ouf, en Occitanie, cela s'améliore légèrement fin mars.

    En Avril, mon zami, ne te découvre pas d'un fil et n'oublie pas ton parapluie; température fraîche partout sauf très légère amélioration en Occitanie et méditerranée.

    En Mai, tu feras pas ce qu'il te plait: Bretagne, et Haut de France, vent et pluie; bref, mauvais temps général sauf en Occitanie et méditerranée. où l'on ne fait pas ce qui nous plait mais c'est mieux qu'ailleurs, mais minus quand même

    Juin: le meilleur temps? Occitanie (petit peu) et méditerranée. Légère hausse des températures mais pas si tant que cela, mon pauvre: fera frisquet tout l'été.

    Juillet et Août: si tu aime la pluie, la fraîcheur, en Bretagne et Haut de France tu prendras tes congés. Les autres, prévoyez des gilets: le fond de l'air est frais, lahiho, lahihé.

    Septembre: temps très moyen. Pluie un peut partout.

    Bon, je reviendrai plus tard pour dire l'automne.

    Marchand de parapluie, à vos conteneurs d'importation!

     

  • Non, mais, je vous jure…..

    Australie: " Les parents devraient demander le consentement des bébés avant de changer leur couche… "

    et cela "dès leur naissance".

    Une "experte en sexualité" (encore une qui s'y croive! :-) Je demande à ce que les parents demandent la permission aux bébés avant de changer leur couche… afin de mettre en place une culture de consentement dès la naissance.

    L’ "experte" (débile profond) se nomme Deanne Carson, se décrit elle même comme "pédagogue, conférencière et auteure sur la sexualité".

    A Toulouse on dit: conne comme la lune!

     

  • Comment les selfies trahissent notre personnalité...

     

    C'est devenu un phénomène de société tel que cela devient monotone de regarder certains comptes de réseaux sociaux, grâce à des appareils photos intégrés dans les smartphones. La combinaison des réseaux sociaux et des ces smartphones, nouvelles générations, a fait émerger, ces dernières années, un phénomène très vite devenu planétaire: le selfie. En effet, en 2014, environ 34 milliards de selfies auraient été pris et cette tendance à l'égo-portrait, comme l'appellent les Québécois, n'a fait que se renforcer depuis, de telle sorte qu'au festival de Cannes de 2018, les organisateurs ont tenté de les interdire… sans trop de bonheur dans leur démarche. Je n'en ai jamais, personnellement, réalisé et j'en suis bien aise car, comme vous allez le lire ci-après, c'est devenu un tel acte de narcissisme que c'en est risible… et grotesque. La preuve.

    Les selfies, notamment leur fréquence et leurs caractéristiques (la pose, le cadrage, les expressions...) en disent long sur notre personnalité (selon les psychologues). Très long même.

    Des psychologues se sont intéressés à cette nouvelle tendance. Plus précisément, ils se sont demandé s'il existait un lien entre certains traits de personnalité et différentes pratiques du selfie.

    Ils ont alors découvert, sans surprise, que la tendance à poster des autoportraits sur les réseaux sociaux est étroitement liée au degré de narcissisme de l'individu. Cependant, l'analyse approfondie de leurs résultats a révélé d'autres informations intéressantes sur ce lien entre selfie et narcissisme.

    Pour tenter d'en savoir plus sur la corrélation entre la fréquence de selfies diffusés sur internet et le score de narcissisme obtenu avec un questionnaire, les chercheurs ont analysé les sous-dimensions de ce trait de personnalité, à savoir:

    Le leadership

    La vanité

    La suffisance

    Le besoin d'admiration… des autres, bien sûr.

    Ces psychologues ont alors découvert que c'est surtout la vanité qui explique le mieux la pratique du selfie chez les hommes. En revanche, chez les femmes, il semble que ce soit plutôt le besoin d'admiration.

    D'ailleurs, cette différence de genre s'observe également pour d'autres caractéristiques du selfie. Par exemple, les femmes postent d'avantage d'autoportraits que les hommes (jusqu'à 4,6 fois plus dans certaines cultures). En outre, elles ont tendance à sourire plus souvent et plus franchement que la gent masculine. En revanche, les hommes regardent beaucoup plus souvent l'objectif que les femmes.

    De plus, les caractéristiques des photos diffusées sur les réseaux sociaux semblent varier selon d'autres traits de personnalité. Plus précisément, des chercheurs ont analysé 5 principaux traits de personnalité et leur influence sur la pratique du selfie:

    L'ouverture à l'expérience: les personnes qui présentent ce tait de caractère s'affichent plus souvent en riant.

    Le caractère consciencieux: les selfies des individus consciencieux sont souvent pris dans un lieu public afin de fournir des informations sur cet endroit. En outre, ils ont tendance à moins retoucher leurs photos que les autres.

    L'extraversion: plus les personnes sont extraverties et plus elles affichent des expressions joyeuses. En outre, elles ont tendance à faire davantage de selfies de groupe.

    L'agréabilité: les personnes altruistes et coopératives postent plus souvent des photos avec un regard tourné vers l'objectif. Elles ont également tendance à s'afficher en groupe.

    Par contre, ceci ne va pas plaire à certain-es lecteurs:

    Le névrosisme (l'instabilité émotionnelle et la tendance au pessimisme): ces individus ont tendance à afficher peu d'expressions émotionnelles positives, mais aussi à zoomer sur une partie de leur visage.

    Ainsi, les selfies sont de véritables miroirs de notre personnalité. Ils révèlent bien plus que le simple désir de se mettre en avant. A méditer.

    Inspiré des travaux de Nicolas Guéguen, de Piotr Sorokowski, de Lin Qiu, de Ji Won Kim et de Nicola Döring.

  • Le réssucité

    Un homme déclaré mort s’est réveillé à la morgue, quelques heures avant son autopsie

    Les autorités pénitentiaires espagnoles sont pour le moins déconcertées après qu’un prisonnier, qui a été déclaré mort par trois médecins, se soit réveillé à la morgue quelques heures seulement avant que sa propre autopsie ne commence.

    Le prisonnier de 29 ans, Gonzalo Montoya Jiménez, a été retrouvé inconscient dans sa cellule lors d’un appel matinal et avait été transféré dans une morgue d’hôpital dans un sac mortuaire, lorsque les médecins légistes ont entendu quelque chose d’étrange: des ronflements, provenant de l’intérieur du sac.

    Jiménez, qui purge une peine pour vol dans la zone de sécurité maximale du Pénitencier Asturias, dans le nord-ouest de l’Espagne, a d’abord été examiné par deux médecins en service dans la prison, après avoir été retrouvé inconscient sur une chaise dans sa cellule, sans signes de violence évidents. Ne détectant aucun signe vital, les médecins l’ont déclaré mort. Une heure plus tard, un médecin légiste a inspecté le corps, a approuvé les premières évaluations et a publié un troisième rapport de décès.

    Ce n’est que plus tard dans la morgue que les médecins ont réalisé que quelque chose n’allait pas. À ce stade, Jiménez avait déjà passé un certain temps dans une chambre froide pour aider à préserver son corps, et sa peau avait été marquée avec des lignes directrices en prévision de son autopsie imminente. C’est à ce moment-là que le corps a soudainement bougé: "Les médecins légistes ont commencé à entendre des bruits venant de l’intérieur du sac. Montoya n’était pas mort. Bien au contraire. Le médecin légiste a ouvert le sac et a trouvé le détenu encore en vie", rapporte El Español.

    Jiménez a ensuite été transféré sous surveillance dans une ambulance vers un autre hôpital, pour se remettre de cet épisode mystérieux. À présent, il semble être dans un état stable. Mais quant à la manière dont a pu se produire cet incident, les autorités pénitentiaires n’en ont aucune idée. "Je ne peux pas commenter ce qui s’est passé (…) mais trois médecins ont constaté des signes cliniques de mort, donc ce qui s’est passé n’est actuellement toujours pas clair", a déclaré un porte-parole du Service pénitentiaire espagnol.

    trustmyscience

  • Comment hériter plus vite?

    … en dissuadant sa grand-mère de faire le vaccin anti-grippe!

     

    L’épidémie de grippe responsable de 13000 décès

    Précoce et longue, l’épidémie de grippe saisonnière a été marquée cette année par une forte proportion d’hospitalisations ainsi qu’une surmortalité notable. Selon Santé publique France, la mortalité attribuable à la maladie a été estimée à 13 000 décès.

    (il faut savoir qu'il y a 5 ans, elle ne faisait que 3 à 5000 décès maxi en France… le triplement provient du fait que l'on ne vaccine plus les personnes âgées)

    Cette année l’épidémie de grippe a débuté précocement en Ile-de-France au cours de la semaine du 4 au 10 décembre. Elle s’est ensuite propagée en quatre semaines à l’ensemble des régions métropolitaines. Elle a ensuite duré 16 longues semaines pour s’achever dans l’ensemble des régions de métropole fin mars.

    Hospitalisations et cas graves en hausse

    Au cours de l’épidémie, près de 2,4 millions de consultations pour syndrome grippal ont été relevées. Si cela correspond à une ampleur modérée en ambulatoire, le nombre d’hospitalisations pour grippe a été lui le plus élevé depuis 2009-2010. Parmi ces patients hospitalisés, 20% étaient âgés de moins de 5 ans et 53% de 65 ans et plus.

    Le nombre de cas graves de grippe admis en réanimation est également le plus élevé depuis la saison 2009-2010, (2009-2010 est l'arrivée de la grippe dite A H1N1, la fameuse grippe qui a fait si Npeur au gouvernement de l'époque) avec 2 915 cas depuis le 1er novembre 2017.

    Enfin, l’excès de mortalité attribuable à la grippe est estimé à environ 13 000 décès tous âges confondus. Ces décès concernent des personnes de 65 ans et plus à 93%.

    Un vaccin moyennement efficace

    L’efficacité modérée du vaccin contre le virus de type B/Yamagata, qui a eu un impact important chez les personnes de 65 ans et plus, ainsi que la couverture vaccinale toujours insuffisante (45,6%) chez les personnes ciblées ont contribué à la sévérité de cette épidémie", souligne Santé publique France.

    Pour la saison 2018/2019, la composition vaccinale reste inchangée pour la valence H1N1. Elle sera néanmoins modifiée pour les valences H3N2 et B/Victoria, selon les recommandations de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS).

    Source:  Santé publique France, 25 avril 2018