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Mort à la mort
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Humour, grinçant!
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Les menteurs
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Où est passé la camisole de force?
La rappeuse Azealia Banks déterre son chat mort et cuit le cadavre lors d’un rituel de sorcellerie
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Sur Instagram, la star (sic) s’est ainsi filmée en train de déterrer le cadavre de son chat Lucifer, mort il y a quelques mois. Les internautes ont pu ainsi apercevoir la dépouille de l’animal. "Le chat est dans le sac!", peut-on l’entendre dire, en riant en arrière-plan.
Azealia Banks a ensuite fait bouillir le cadavre dans une imposante casserole, contenant également une étrange substance. En procédant à ce "rituel", le but était de ramener son chat à la vie.
[…]
Les images insoutenables ont évidemment suscité la polémique sur les réseaux sociaux, ses fans évoquant leur écœurement, et même leurs inquiétudes sur l’état mental de la rappeuse.
Depuis, les vidéos ont été supprimées. Il ne reste qu’une photo, postée en story, sur laquelle on peut apercevoir le crâne d’un animal – vraisemblablement le chat – entouré de multiples objets, du champagne, du parfum, un crucifix…etc…
En 2016, Azealia Banks avait déjà indigné les internautes en révélant – sur Instagram déjà – qu’elle avait pratiqué pendant plusieurs années des sacrifices de poulets.
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Vive l'armée française!
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Meilleure année que la précédente!
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Rires
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Voulez-vous de la pétrochimie dans votre corps?
L’Institut national américain des allergies et des maladies infectieuses (NIAID) démarre une étude pour évaluer le risque des nanoparticules des vaccins de Pfizer et de Moderna, composées de polyéthylène glycol – PEG
Rappel 1 : les vaccins de Pfizer et de Moderna sont composés d’ARN synthétique.
Cet ARN a été dessiné sur ordinateur de manière à être génétiquement différent de l’ARN naturel, puis produit par synthèse chimique.
C’est donc un produit de synthèse génétiquement modifié.
Contexte : On entre ici dans le domaine de la biologie synthétique où les chercheurs travaillent par ex. à assembler des brins d’ADN synthétiques pour créer des bactéries synthétiques : des machines qui reproduisent la sélection naturelle et l’évolution. (lien)
En produisant de telles bactéries, les chercheurs ont créé des organismes synthétiques qui peuvent survivre hors du laboratoire, et donc entrer en compétition et échanger du matériel génétique avec les espèces sauvages.
L’un des business-plans de l’industrie chimique consiste à faire du profit en artificialisant le vivant. (lien)
Après la révolution de la chimie par la synthèse au 19e siècle, la révolution de la biologie par la synthèse au 21e siècle? (lien)
Ces bactéries frankenstein sont déjà utilisées – de manière totalement irresponsable d’un point de vue éthique et écologique – dans des essais cliniques sur des humains : Bientôt un médicament à base de bactéries synthétiques? (Top Santé)
Ces chercheurs héritiers du nazisme jouent à Frankenstein et menacent la vie.
La loi devrait encadrer cette industrie et ces matériaux génétiques de synthèse encore plus drastiquement que les OGM, et imposer des tests sur les risques sanitaires et écologiques sur plusieurs années.
Rappel 2 : Le vaccin de Pfizer a déclenché des réactions allergiques inquiétantes chez au moins 8 personnes vaccinés aux USA ces deux dernières semaines.
Rappel 3 : Pfizer a exclu de ses essais ceux qui avaient déjà eu une réaction indésirable grave à un vaccin. De plus, ceux ayant déjà eu des réactions allergiques à des aliments ou à des médicaments ont été sous-représentés. Pratique !
Rappel 4 : le PEG n’a jamais été utilisé auparavant dans un vaccin approuvé.
Le PEG est un composé chimique fabriqué à partir du pétrole. Il ne doit pas être confondu avec un autre dérivé : le Polyéthylène (PE) qui est l’une des formes de plastique les plus utilisées.
L’industrie pétrochimique utilise le PEG comme solvant ainsi que dans la fabrication de produits de consommation comme les encres pour imprimantes et les gélifiants dans les cosmétiques (shampoings, dentifrices…).
Le PEG est aussi un composant de certains médicaments (des laxatifs notamment) qui ont déclenché par le passé une anaphylaxie : une réaction potentiellement mortelle qui provoque éruptions cutanées, chute de la pression artérielle, essoufflement, accélération du rythme cardiaque.
Les vaccins de Pfizer et Moderna contiennent de l’ARN synthétique enveloppé dans des nanoparticules lipidiques (LNP) fabriquées en PEG. Elles aident à transporter l’ARN jusque dans les cellules humaines. Elles constituent aussi un adjuvant en augmentant la réponse immunitaire.
Un nombre croissant de produits biopharmaceutiques comprennent des composés en PEG. Or, si on a longtemps pensé que les PEG étaient biologiquement inertes, un nombre croissant de preuves suggère qu’ils ne le sont pas.
Selon une étude de 2016 dirigée par Samuel Lai, pharmaco-ingénieur à l’Université de Caroline du Nord, jusqu’à 72% des personnes ont déjà des anticorps contre les PEG, probablement en raison d’une exposition à des produits cosmétiques et pharmaceutiques.
Au moins 7% ont un niveau qui peut être suffisamment élevé pour les prédisposer aux réactions anaphylactiques, a-t-il constaté. Certaines entreprises ont ainsi abandonné les produits en PEG. Mais vu leur rentabilité pour l’industrie, BigPharma qualifie ces constats d’exagérés.
Il faut savoir que le procédé d’obtention des PEGs implique de l’oxyde d’éthylène et du 1,4-dioxane ; des substances non seulement très dangereuses mais également très polluantes. La production des PEG et donc des vaccins est donc un énorme désastre écologique.
En outre, des impuretés toxiques issues du procédé industriel peuvent laisser des traces dans les PEG, permettant ainsi leur absorption plus tard dans la peau. [Le risque est d’autant plus à prendre au sérieux dans le cas d’une injection intramusculaire de PEG.]
Pour ces raisons, les PEGs ne sont pas acceptés dans la cosmétique certifiée biologique en Europe qui utilise des ingrédients naturels afin de couvrir les multiples fonctions des PEGs, par exemple le polyglyceryl (acceptés dans les formules écocertifiées).
En résumé, nous baignons tellement dans un monde chimique que nos organismes produisent de + en + des anticorps contre les produits pétrochimiques utilisés dans l’agriculture, les cosmétiques, les pharmaceutiques… notamment contre les PEG.
Selon certains, une injection de PEG, un composé chimique normalement bien éliminé par les reins, peut aujourd’hui provoquer des réactions allergiques potentiellement mortelles chez les personnes qui développent le plus d’anticorps anti-PEG.
C’est l’une des théories du NIAID.
La société de pathologie infectieuse (SPILF) partage ce point de vue dans sa note du 24 décembre, sur les vaccins géniques, et destinée aux soignants.
Notons que cette note est partiale et ses rédacteurs totalement conquis par les biotechnologies de BigPharma.
Ils écrivent "les chercheurs travaillent sur l’ARN depuis 20 ans" oubliant que de nombreux chercheurs dénoncent son utilisation comme vaccin à grande échelle et sans filet.
Ils oublient aussi que "les chercheurs" qui travaillent sur l’ARNm depuis 10 ans sont décrits comme des "gourous autoritaires " en quête du " logiciel de vie " par ceux qui les ont côtoyés.
Ces chercheurs" sont également entourés de directeurs financiers issus de Goldman Sachs et sont invités aux Forum Economique Mondial de Davos avec les représentants des industries pétrochimiques, agrochimiques, pharmaceutiques etc…
Naturellement, la note n’évoque pas les risques liés aux vaccins pointés par les généticiens, notamment les risques de recombinaison virale et de génotoxicité :
Bref, pour en revenir au PEG, une autre théorie développée par l’immunologiste Janos Szebeni est que le mécanisme derrière l’allergie au PEG est inconnu car il n’implique pas d’immunoglobuline E (IgE), le type d’anticorps qui provoque des réactions allergiques classiques.
C’est pourquoi il préfère les appeler des réactions "anaphylactoïdes". Le PEG déclenche deux autres classes d’anticorps, l’immunoglobuline M (IgM) et l’immunoglobuline G (IgG), impliquées dans une branche de l’immunité innée du corps appelée le système du complément.
En 1999, Szebeni a découvert un nouveau type de réaction induite par les médicaments à base de nanoparticules en PEG qu’il a surnommé la pseudo-allergie liée à l’activation du complément (CARPA) : les PEG sont reconnus à tort par le système immunitaire comme des virus.
Selon Science, une équipe de l’Université de Duke a rencontré des problèmes similaires avec un anticoagulant expérimental contenant de l’ARNm enrobé de PEG. L’équipe a dû interrompre un essai de phase III en 2014 après des réactions allergiques sévères et un décès.
L’équipe a constaté que chaque participant souffrant de réaction allergique grave avait des niveaux élevés d’IgG anti-PEG. Mais certains sans réaction indésirable avaient aussi des niveaux élevés. Donc la cause n’est pas seulement la présence de ces anticorps, conclut l’équipe.
En résumé, on sait que les vaccins à ARN enrobés de PEG déclenchent des réactions de type allergique parfois graves et potentiellement mortelles, on pense que ça vient des PEG mais en réalité on ne connaît ni le pourquoi ni le comment.
Mais on va quand même l’injecter en masse.
Et comme on avait jamais utilisé ni l’ARNm ni le PEG dans des vaccins sur l’homme, on avance complètement à l’aveugle. On essaye en effet de comprendre en temps réel comment agit ce produit de synthèse génétiquement modifié enrobé de PEG sur toute la population. Mais qu’est-ce que c’est que ce délire?
Enfin, c’est très bien de surveiller les effets indésirables à court terme de ces vaccins à ARNm, mais il semble qu’aucune étude n’ait été lancée sur les risques de génotoxicité (cancers) à moyen et long terme.
Comme pour les pesticides, si on ne cherche pas on ne trouvera pas.
Enfin, le risque de recombinaison virale sur lequel alerte le Dr Velot est totalement évacué de la campagne de vaccination. Le risque est de voir apparaître un virus mutant plus virulent, il est donc incompréhensible que les pouvoirs publics ne le prennent pas en compte.
Auteur : Docteur Gonzo.