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Contre la théorie du genre
En 1966, le petit Bruce Reimer a seulement neuf mois quand il doit subir une circoncision médicale pour lui permettre d’uriner correctement. Malheureusement, par accident, le chirurgien brûle complètement et irrémédiablement le pénis du petit garçon. Durant de longs mois, ses parents vont consulter en vain de nombreux médecins.
Désespérés, ils finissent pa
r se tourner vers le Pr. John Money. Ce psychologue et sexologue néo-zélandais prétendait être capable de changer le sexe des enfants. Selon lui, l’identité sexuelle des enfants, garçons ou filles, est suffisamment flexible durant les premières années de la vie pour permettre de leur réassigner un nouveau genre (masculin ou féminin) grâce à un suivi médical (traitement hormonal et chirurgical), psychologique (thérapie) et culturel (attitude des parents et influence de l’éducation).
Le Pr. Money a réussi à convaincre les parents du petit Bruce que leur garçon serait plus heureux s’il devenait une petite fille. Il lui a fait subir dès l’âge de deux ans, une thérapie, un traitement hormonal lourd et une castration chirurgicale. C’est suite à ce calvaire que Bruce est devenu Brenda.
Après l’opération, Money suivit en thérapie la " nouvelle " petite fille durant plusieurs années pour la convaincre de sa nouvelle identité, mais aussi pour l’étudier.
Il souhaitait, grâce à cette expérience, apporter la preuve de la validité de ses thèses sur la " flexibilité de la division sexe/genre ". Il publia dès 1972 un livre pour vanter le soi-disant succès de son expérience.
En réalité, tout cela a tourné au drame.
Brenda ne s’est jamais sentie fille. Malgré les hormones et la thérapie, elle a continué à éprouver un profond malaise. À treize ans, elle manifesta des tendances suicidaires. Face à la douleur de leur enfant, ses parents ont été obligés de lui révéler qu’en réalité, elle était un garçon. Brenda a refusé immédiatement de poursuivre sa thérapie et son traitement hormonal. Elle a même demandé à ses parents de l’appeler David.
Neuf ans plus tard, David a pu entreprendre une nouvelle opération chirurgicale pour redevenir un homme.
David/Brenda/Bruce gardera de profondes séquelles de cette expérience. Il ne s’en remettra jamais et, à 44 ans, il finira par se suicider.
Mais, avant de se suicider, David Reimer décida de rendre public son histoire. Il publia, en 1997, un livre dans lequel il témoigna des conséquences néfastes de ces thérapies afin d’éviter que d’autres enfants subissent les mêmes traitements.
Malheureusement, cela n’a pas empêché ceux qui voyaient en lui un simple cobaye au service de leur " théorie " de continuer à se référer à cette expérience comme si elle avait été une réussite.
La mort tragique de David Reimer aurait dû leur servir de leçon ; ils ont préféré cacher cette triste fin pour ne pas discréditer leur théorie.
C’est pourquoi, c’est à nous de faire connaître au plus grand nombre cette tragique histoire, comme l’a souhaité David Reimer, lui-même.
Le virus H1N1 responsable de l'épidémie de 2009 devrait être actif cet hiver en métropole. A la Réunion, où il a sévi entre les mois de mai et août derniers, les hospitalisations ont été plus graves.
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Pendant cette période, les hospitalisations pour cause de grippe ont été plus élevées qu’en 2012. Et surtout, les situations étaient plus graves : malgré les soins intensifs, il y a eu 46 % de mortalité, soit près d’un malade sur deux.
Ce lourd bilan a poussé les équipes d’un service de réanimation du CHU de Saint Denis de la Réunion à analyser les dossiers de plus près. « Nous avons constaté que plus de la moitié des malades étaient infectés par le virus influenza A H1N1, le reste par d’autres souches A comme le H3N2 et quatre cas par la souche B , a indiqué le Dr David Vandroux, responsable du service de rénimation de l’hôpital Félix Guyon à Saint-Denis. Deuxième constat, la grande majorité des personnes hospitalisées pour cause de grippe avaient d’autres pathologies comme le diabète, l’insuffisance rénale, ou des maladies respiratoires.
le Dr David Vandroux chef du service de réanimation de l’hôpital Félix Guyon au CHU Saint-Denis de la Réunion: « Nous avons eu une mortalité supérieure aux années précédentes ».
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Autre enseignement, le virus influenza A H1N1 n’a pas eu les mêmes caractéristiques qu’en 2009. « Etonnament, il s’est comporté comme les autres souches virales, a précisé le réanimateur.
Par exemple, il a moins touché les jeunes générations puisque la moyenne d’âge des personnes hospitalisées est passé de 39 ans en 2009 à 55 ans en 2013. Ensuite, les comorbidités des personnes hospitalisées ne variaient pas entre les différentes souches de virus, et les durées d’hospitalisation étaient à peu près identiques.
le Dr David Vandroux. :« Les deux principaux enseignements que nous avons tiré de cette étude, c’est d’une part la ré-émergence du virus A H1NI et d’autre part le fait qu’il ait un comportement plus proche d’une épidémie saisonnière classique. »
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