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mec - Page 183

  • LE MIRACLE DES MIRACLES... si vous souffrez de sclérose en plaques et autres maladies auto-imunes...

    La sclérose en plaques: à la veille du miracle

    L’essai clinique est sur le point de débuter. En juin. Un seul pa­tient. L’enjeu est énorme. Une maladie réputée incurable pourrait être soignée. Et un vaccin serait possible. Le professeur Jean-Marie Saint-Remy, fondateur de la spinoff ImCyse, est à la veille d’une consécration. Il aura bien­tôt vaincu la sclérose en plaques.

    Un premier patient, pour un essai clinique aussi crucial qu’une thérapie qui guérirait définitivement la sclérose en plaques, ça paraît peu. Mais le défi est gigantesque, et ne peut attendre l’arrivée des futurs patients annoncés.

    On imagine la pression. D’abord pour le patient (ou la patiente) en question, qui n’a pas souhaité livrer son témoignage ici. À quoi bon s’exposer mainte­nant dans la presse? Aussi prometteuse que soit l’expérience, il n’y a pas encore à se vanter d’une victoire, avant qu’ait eu lieu le combat. Mieux vaut arriver avec la bonne nouvelle d’une réussite, d’une guérison!

    La première injection du traitement proprement dit aura lieu dans moins d’un mois, en juin. L’heure est à la concentration, aux préparatifs finaux, à la prière…

    Et on imagine aussi la pression pour le corps médical qui l’entoure, le médecin de ce (cette) patient(e), le profes­seur Vincent Van Pesch, neurologue aux cliniques universitaires SaintLuc. Et sur­tout pour un autre professeur, Jean-Marie Saint-Remy, celui par qui tout est devenu possible, l’homme de science qui a mis la thérapie au point, avec son équipe d’une pe­tite quinzaine de cher­cheurs. Nous le retro­uvons au bio-incubateur de la KUL, dans les locaux d’Im­Cyse, la société qu’il a fondée en juillet 2010. Im­Cyse est aussi installé au Giga du Sart Tilman à Liège. Wal­lo­nie, Flandre, Bruxelles, … les trois régions sont im­pli­quées.

    L’enthousiasme et l’intensité du moment, c’est dans les yeux de Jean-Ma­rie Saint-Remy que nous les lisons aujourd’hui. Le professeur se sait à un doigt d’une réussite immense. Sa thérapie est révolutionnaire, au sens où l’approche est différente, un peu à la manière de l’œuf de Colomb. Le doc­teur SaintRemy n’a pas aménagé ou transformé des outils existants, qui font très bien ce qu’ils ont à faire, dans les limites étroites de leur périmètre. Non, il en a inventé d’autres, d’une autre nature, dans une autre dimension stratégique. Et sa trouvaille lui a permis d’envisager de guérir, d’éliminer définitivement le facteur de maladie, là où l’état actuel de la médecine permet seulement de gérer des symptômes, avec le secours de médications dont les effets secondaires finissent par faire plus de mal que de bien. (Vi, suis au courant!)

    Ce que la plate­forme technologique d’Im­Cyse met en œuvre représente un espoir de se débarrasser de la sclérose en plaques, mais aussi d’autres maladies auto-immunitaires. Non seulement d’en guérir, mais aussi de s’en prémunir, car la technique d’Im­Cyse ouvre aussi la voie à des campagnes de vaccination. "Les traitements classiques de la sclérose en plaques, à base de corticostéroïdes, d’an­ticorps monoclonaux, de molécules chimiques, ne sont jamais qu’un mauvais compromis entre la prise d’un maximum de médicaments, pour un effet maximum, et un minimum d’effets secondaires indésirables", explique Jean-Marie Saint-Remy. Dépasser la logique du mauvais compromis rendra possible l’impossible.

    Depuis en 1996, quelques temps après la maladie auto-immune de ma fille et avec les recherches difficiles sur un internet qui ramait comme vous ne pouvez imaginer, sans moteur de recherches (et oui), il y avait si peu de sites (la France était en retard!), j'ai compris que les maladies inflammatoires étaient tellement nombreuses et différentes que le jour où un scientifique trouvait le moyen de supprimer cette réaction auto-immune inflammatoire, j'expliquais autour de moi que, ce jour-là, la sécurité sociale française ne serait plus jamais en faillite!

    Et, nous y voila presque! Croisons les doigts comme m'a dit mon amie médecin, ce serait génial si c'était possible!

     

  • 8 mai 1945

    Quand le mot partisan avait un sens

    On l'a d'abord chantée comme les bolchéviques,

    Cette chanson d'espoir qui déchire le cœur.

    Elle venait tout droit de l'Union Soviétique

    Et repose au musée de la Légion d'Honneur.

     

    Kessel et son neveu Druon, un soir à Londres,

    Ont traduit en français les vers d'Anna Marly;

    Alors on vit la France à la France répondre,

    Par ce chant réveillant l'Honneur et la Patrie...

     

    A travers les barreaux, comme à travers les murs,

    S'éleva vers le ciel le Chant des Partisans...

    Défiant la gestapo, ses bourreaux, ses tortures,

    Chuchoté, puis chanté, par tous les résistants.

     

    Malraux, au Panthéon, lors du transfert des cendres

    Du Préfet Jean Moulin, sous une pluie à verse,

    L'a entonné pour, lui un matin de Décembre,

    Le citant pour exemple à toute la jeunesse.

     

    La France avait connu des heures effroyables

    Et s'était résignée devant la barbarie,

    Mais certains de ses fils demeuraient indomptables,

    Refusant le destin qu'avait bradé Vichy.

     

    Le sceptre est condamné à céder sous l'archet

    Quand la troupe bottée plie devant la chorale.

    "Descendez au cercueil" dictateurs et valets,

    Le chant des partisans domine la bataille :

     

    " Ami, entends-tu le vol noir des corbeaux sur nos plaines ?

    Ami, entends-tu les cris sourds du pays qu'on enchaîne ?

    Ohé ! partisans, ouvriers et paysans, c'est l'alarme !

    Ce soir l'ennemi connaîtra le prix du sang et des larmes. "

     

    J'ai pleuré si souvent en entendant cet air

    Qu'il a gardé pour moi le gout salé des larmes :

    Il est le sacrifice, accepté par nos pères,

    Pour que jamais leurs fils n'aient à prendre les armes.

     

    Portons au Panthéon tous ces soldats de l'ombre :

    Geneviève de Gaulle et Germaine Tillion,

    Brossolette et Jean Zay, héros des années sombres,

    Pour que leur soit rendu l'amour de la nation.

     

    Bernard Reygrobellet

  • Blague porno!

    C'est l'histoire d'une femme qui ne réussit pas à atteindre l'orgasme lorsqu'elle fait l'amour avec son mari.
    Alors un jour elle lui dit:
    Chéri, cette nuit j'ai fait un rêve incroyable.
    On était en train de faire l'amour et au dessus de nous, sur l'armoire, il y avait un homme noir qui agitait un éventail et j'ai pris un pied pas possible.
    Alors le couple décide de concrétiser le rêve.
    Ils sortent de chez eux et à un feu ils trouvent un grand noir et lui proposent 100 eur - s'il accepte de venir ventiler avec un éventail sur l'armoire pendant qu'il font l'amour.
    Le gars accepte et ils vont directement dans la chambre à coucher.
    Le couple commence a faire l'amour et le noir agite l'éventail.
    Malheureusement aucun résultat.
    La femme n'atteint toujours pas l'orgasme..
    Alors elle propose à son mari qu'il change sa place avec celle du noir.
    Le mari un peu perplexe accepte.
    L'échange se fait, le mari prend l'éventail et commence à ventiler.
    Apres peu de temps la femme hurle de plaisir en atteignant l'orgasme.
    Lorsque les deux ont terminé, le mari redescend de son armoire, s'approche du noir et lui dit:
    - T'as vu un peu comment il faut ventiler ? Couillon !

    Envoyée depuis Hong kong par un grand ami!

     

  • 3 ans de malheur!

     

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    Autrefois Saint-Louis rendait la justice sous un chêne, maintenant elle est rendue par des glands, il y a une certaine continuité.

     

  • Boire un petit coup, c'est plus qu'agréable!

    Alcool, soleil, antibiotiques... Un médecin met les pieds dans le plat

    Didier Raoult, professeur de microbiologie à la faculté de biologie de Marseille, s'inscrit en faux contre des théories acceptées par la majorité du corps médical.

    C'est un livre qui commence à faire parler de lui. Dans Votre Santé, tous les mensonges qu'on vous raconte et comment la science vous aide à y voir clair (Michel Lafon), le professeur Didier Raoult cherche à démonter quelques mythes médicaux. Selon lui, ces idées seraient entretenues par les médias, notamment dans le cas de la grippe aviaire H1N1 de 2009, ou bien par le corps médical lui-même, qui n'aurait pas suffisamment évolué au fur et à mesure des découvertes.

    Chercheur en microbiologie et spécialiste des maladies tropicales émergentes à la faculté de Marseille, Didier Raoult cherche à bousculer certaines théories pourtant bien implantées. Francetv info vous livre quelques-uns de ses arguments.

    L'alcool est bon, à petite dose

    "Les personnes qui consomment jusqu'à quatre verres de vin (40 grammes d'alcool) par jour auraient (...) une meilleure espérance de vie que celles qui n'en boivent pas du tout, l'effet le plus favorable étant lié à la consommation de deux verres et demi", explique Didier Raoult dans son livre, cité par Le Point du 30 avril. Il attaque l'Institut national du cancer (Inca) pour qui les dangers liés à l'alcool commenceraient à la première goutte.

    Didier Raoult est formel : "En biologie, la notion de seuil n'existe pas. Cela signifie qu'il n'y a pas de quantité d'alcool à partir de laquelle il devient dangereux d'en boire. La seule chose que l'on peut affirmer, c'est qu'il existe un risque grandissant avec la quantité consommée". Mais cette quantité n'est pas la même selon les individus, ce qui empêche de parler de limite universelle à ne pas franchir. "Nous sommes une population hétérogène composée d'individus plus ou moins vulnérables aux effets de l'alcool. Certaines personnes déjà exposées à des cofacteurs cancérogènes, comme le tabac et l'amiante, présentent un risque accru".

    Il est impossible de prédire l'impact d'une épidémie

    "On s'évertue à 'modéliser' l'avenir d'après ce que nous savons du passé, mais nous sommes dans des écosystèmes changeants, il ne se passe jamais deux fois la même chose. (...) Aucune des prédictions apocalyptiques sur le Sras [syndrome respiratoire aigu sévère, apparu en 2002 en Chine], la grippe aviaire ou le virus H1N1 ne s'est réalisée", précise Didier Raoult au Point.

    Avec cette déclaration, le professeur cherche à déminer les paniques créées par les médias lors du passage de ces maladies, alors que certaines affections connues mais moins spectaculaires font davantage de victimes. "Même de très prestigieux journaux scientifiques comme Science ou Nature consacrent beaucoup plus d'articles aux dangers nouveaux et spectaculaires qu'aux questions sanitaires de fond", déplore-t-il.

    Certains vaccins sont inutiles

    Si 80% des Français se disent favorables à la vaccination, les nouveaux vaccins comme celui contre la grippe saisonnière font face à des soupçons grandissants. Pour Didier Raoult, cette méfiance vient aussi du fait que certains d'entre eux sont aujourd'hui superflus. "Il y a des vaccinations obligatoires en France qui sont inutiles. Honnêtement, le vaccin contre la poliomyélite ne sert à rien, sauf si on va dans des endroits où il y a des résidus", explique Didier Raoult au micro de France Inter. Dans Le Point, il va un peu plus loin en affirmant que "certains médecins continuent d'adhérer à des règles établies à une époque où le risque d'épidémie était réel, mais qui ne sont plus justifiées aujourd'hui".

    Pour ou contre les vaccins? Didier Raoult veut examiner les choses autrement et fait un "pari sur l'intelligence". "Ce qu'il faut se demander, c'est si c'est bon pour moi, si c'est justifié à l'heure actuelle, si c'est bon pour la population. Il y a du tri à faire", observe-t-il sur France Inter.  

    Le soleil, c'est bon pour la santé

    "La seule recommandation valable, selon moi, est d'éviter les coups de soleil à répétition chez les enfants à peau claire", explique Didier Raoult dans son livre. La consommation de crème solaire serait donc presque inutile pour le reste de la population. Pourtant, des études scientifiques sérieuses ont montré que des groupes de personnes utilisant une lotion de protection sont moins sujets à des mélanomes, premiers marqueurs d'un cancer de la peau.

    Mais ce n'est pas tout. "Pour le reste, il y a un paradoxe (...), on commence à se rendre compte que des expositions multiples au soleil, quand on a un mélanome, entraînent des mélanomes beaucoup plus bénins. En somme, plus on a pris de soleil, moins le mélanome est grave", détaille-t-il sur le plateau du "Grand Journal" de Canal+. Une étude américaine, diffusée par Sciences et Avenir, menée sur 100 000 femmes pendant vingt ans, avait pourtant montré que cinq coups de soleil graves avant 20 ans suffisaient pour multiplier le risque de mélanome par trois.

    Pas de résistance des bactéries aux antibiotiques 

    C'est un débat qui agite les cercles médicaux: à force d'utiliser les mêmes antibiotiques, même à haute dose, les bactéries s'adaptent et deviennent résistantes. Aux Etats-Unis, ces "super-bactéries" causeraient la mort de 23 000 personnes chaque année.

    Pour Didier Raoult, cette situation n'est qu'une chimère. "Je crois que nous sommes capables de traiter 100% des bactéries, mais à condition de nous servir du spectre très large d'antibiotiques dont nous disposons", affirme le professeur au Point. Il sous-entend notamment que les laboratoires pharmaceutiques stopperaient la commercialisation des molécules tombées dans le domaine public, et qui ne rapporteraient donc plus d'argent.

    Or, ce sont ces molécules qui pourraient résoudre le problème. "On a cessé de produire [les médicaments] qui ne rapportent plus d'argent, alors que c'est en variant les molécules et en réintroduisant l'usage d'antibiotiques anciens qu'on évite la résistance", estime-t-il. 

    La grippe se traite avec des antibiotiques

    "Les antibiotiques, c'est pas automatique". Depuis 2002, cette phrase hante les discussions dès qu'un médicament de ce type est prescrit. A la base de cette affirmation, la preuve scientifique qu'ils ne sont pas utiles pour soigner les virus, dont celui de la grippe.

    Mais, comme le souligne Didier Raoult, les surinfections bactériennes, qui peuvent survenir avec la grippe, sont souvent les plus dangereuses. "Le risque, si une grippe perdure au-delà de trois jours, est la survenue d'une surinfection bactérienne respiratoire pouvant entraîner une septicémie en quarante-huit heures. (...) Il est donc erroné de croire qu'une grippe ne se soigne pas avec des antibiotiques ! Dès qu'une grippe persiste plus de trois jours, il faut en prescrire", plaide-t-il.

    Pour étayer son argumentation, Didier Raoult s'appuie sur l'histoire, et notamment celle de la grippe espagnole, qui a sévi entre 1918 et 1919. "On sait maintenant que, parmi les 40 millions de victimes de la grippe espagnole, (...) la plupart sont mortes de surinfections bactériennes". De quoi faire revivre le débat.

     

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    Comme je ne veux pas me retrouver au tribunal pour apologie de crime contre la connerie française, je vous informe que boire est dangereux pour votre santé!