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femme - Page 183

  • Au poil, dit la mouche, je vole! 6

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  • D'autres infos sur le MIRACLE DES MIRACLES

    Mande pardon à ceux qui n'ont pas de maladies auto-imunes ni personne de leur entourage (quelle chance vous avez!) mais, celles et ceux concernées seront content-es de ces infos supplémentaires....

     

    Je peux vous dire que la recherche que nous avons en Belgique n’a à rougir de personne". L’auteur de ces propos, c’est Christian Homsy, patron de Celyad (ex-Cardio3 BioSciences), spécialiste de la thérapie cellulaire pour le cœur et le cancer. L’une de nos fiertés nationales, parmi ce qui se fait de mieux dans le domaine de la santé en Belgique. L’homme arpente la planète, dévore le marché américain, lorgne ses investisseurs. La comparaison avec les Etats-Unis est féroce, et pourtant, malgré tout, la Belgique est et reste "de très haute qualité".

    Cet article et les exemples qu'il contient en sont les meilleures preuves. Derrière le paravent des Cardio3, IBA, Mithra,…, un terroir continue à se développer. De jeunes espoirs belges émergent. Et ils écrivent une nouvelle et passionnante histoire de la santé. OncoDNA, à Gosselies, est capable de fournir le diagnostic et le traitement personnalisé d’un cancer sur simple présentation d’une biopsie du patient. Novadip génère des greffes osseuses au départ d’une ponction dans la graisse abdominale. Le Professeur Pierre Vanderhaeghen crée un cortex cérébral "en boîte" et lance un nouveau courant de recherche dans les zones obscures du cerveau.

    Tous les exemples présentés ici, et bien d’autres encore, montrent combien nos chercheurs excellent dans leur combat contre les maladies de notre siècle.

    Jean-Marie Saint-Remy précise: trois injections suffisent. Trois coups avant un lever de rideau. Changement de décor. Le cercle vicieux est transformé en cercle vertueux, le processus inflammatoire est enrayé, une phase de récupération s’enclenche. Le visage de Saint-Remy s’illumine, il est formel: "Le patient est sûr de pouvoir récupérer ses fonctions altérées! Du moins en partie."

    Cette thérapie cellulaire, dite autologue, consiste en une prise de sang pour prélever des cellules sanguines du patient. En culture, l’équipe médicale effectue son opération de désinformation. Quatre stimulations permettent d’obtenir une sélection homogène de cellules à activité thérapeutique. Une fois que les lymphocytes T, porteurs du message imposé par le code CXXC, sont transformés en tueurs de messagers, ils sont réinjectés et le miracle s’accomplit.

    Il faut compter deux mois environ, entre la prise de sang et la réinjection. Dont 24 h de test et 4 à 6 semaines de mise en culture. Le schéma a été validé, standardisé, s’appuyant sur un modèle animal de thérapie cellulaire. Quelques souris ont été induites en maladie, un minimum, mais avec des protocoles qui miment, au maximum, le modèle humain.

    Le premier patient, qui aujourd’hui se prête à l’essai clinique, a été recruté en janvier et recevra l’injection en juin, à Bruxelles, aux cliniques Saint-Luc. D’autres patients seront recrutés entre-temps dans les trois hôpitaux belges avec lesquels ImCyse collabore : Saint-Luc (UCL), Sart-Tilman (ULg), Gasthuisberg (KUL). Pour suivre le même protocole et confirmer les données.

    L’horizon? Fin 2016, si tout va bien, les résultats complets de cette première étude seront connus. La population visée en première instance? Les patients victimes de la forme récurrente de la maladie, chez qui la sclérose n’a pas encore trop lourdement affecté l’organisme.

    Une fois le principe acquis, le développement complet prendra encore plusieurs années. La question qui se posera à ImCyse sera celle de l’échelle, du déploiement d’une technique désormais éprouvée. Le professeur évoque des campagnes de vaccination directe auprès de populations à risques, dont il reste à définir le profil (hérédité, environnement…).

    Développement

    Jean-Marie Saint-Remy conclut: "ImCyse est une plateforme technologique, pas un nouvel emballage pour une babelutte!" C’est-à-dire un vivier de solutions. Et la technique qu’il est en train de valider pour la sclérose en plaques vaut pour d’autres maladies auto-immunitaires. Au premier rang desquelles… le diabète insulino-dépendant.

    Effectivement, on imagine la pression. L’enjeu de l’essai clinique en cours est considérable. "Il s’agit d’une technologie de rupture, révolutionnaire, et nous avons l’ambition de la développer dans de nombreux domaines", nous glisse Pierre Vandepapelière, CEO d’ImCyse.

    Une porte s’ouvre. Les investisseurs commencent à s’y presser: Meusinvest, Biogenosis… Un premier plan d’investissements a été lancé en 2012. Après la Flandre – ImCyse est devenue spin-off de la KUL en 2011, six mois après sa création –, la Région wallonne est venue la soutenir et l’Europe lui a accordé un gros subside pour son projet dans le diabète. "Le but est d’arriver à guérir ces maladies sévères, on a le potentiel. ImCyse peut devenir un leader mondial de l’immunothérapie."

     

  • Le mensonge des écolos

    Être écolo, c’est rigolo, c’est facile, et ça peut rapporter gros.

    Par Michel Gay

    C’est rigolo d’être écolo. Il suffit de se draper dans la toge verte de la vertu en déclarant vouloir sauver la planète et nos enfants.

    Un "écolo" peut vanter sereinement la sobriété tout en se déplaçant dans le monde en " 4×4″, et en avion pour faire des conférences et porter la bonne parole, ou même en hélicoptère pour faire des photos. Il peut ensuite s’insurger avec aplomb contre ces égoïstes qui augmentent leur empreinte carbone en utilisant leur voiture ou l’avion pour aller en vacances.

    Une association écologiste peut faire financer officiellement ses activités par la collectivité (mairie, département, région, État…) par une fondation et surtout par des entreprises (EDF, GDF, Gazprom…) qui "achètent" ainsi une image positive, ou bien qui favorisent leurs intérêts (le gaz par exemple).

    Des députés ou des sénateurs écologistes peuvent créer des commissions d’enquête et avoir le plaisir de convoquer des grands patrons pour répondre à leurs questions. Ils peuvent œuvrer pour voter des lois et des impôts et taxes afin de piocher légalement dans la poche des contribuables pour subventionner des énergies dites " vertes " (éolien ou photovoltaïque notamment)… puisque c’est pour leur bien. Ils peuvent ainsi déguiser un impôt (de plusieurs milliards d’euros) en taxe appelée CSPE[1] dans la facture d’électricité des consommateurs.

    Des opportunistes (écologistes ou non) ont habilement utilisé la loi pour s’enrichir sur le dos des contribuables. Ainsi, une des plus grosses fortunes de France s’est construite en revendant la société "verte" SIIF[2], fondée en 1990 pour le déploiement de l’éolien et du solaire à "EDF-Énergie nouvelle" pour 600 millions d’euros.

    Certaines associations " écologistes " ont un budget conséquent qui permet d’employer jusqu’à 70 salariés à Paris avec un budget annuel de 15 millions d’euros.

    Finalement, être écolo, c’est rigolo, c’est facile, et ça peut rapporter gros.

    1) La contribution au service public de l’électricité (CSPE) est un impôt sur la facture des consommateurs d’électricité. Son montant en augmentation rapide a représenté 1,94 Md € en 2010, 2,88 Mds € en 2011, 3,6 Mds € en 2012, 5,1 Mds € en 2013 et 6,5 Mds € en 2014. ↩

    2) Société Internationale d’Investissements Financiers. ↩

    Contrepoint.org

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    Greenpeace International

    Greenpeace France

    Page - 5 novembre, 2009

    Greenpeace compte près de trois millions d'adhérents et emploie 2 400 salariés à travers le monde.

    Le budget total de Greenpeace était de 293 millions d'euros en 2013

    Greenpeace International

    Le siège de Greenpeace International est situé à Amsterdam, aux Pays-Bas. 188 personnes y travaillent.

    Leur rôle est de coordonner le travail des différents bureaux nationaux et régionaux.

    Cela signifie assurer :

    - la concertation dans l'élaboration des campagnes

    - la cohérence des messages et des actions

    - la coordination politique et scientifique de l'organisation

    - la gestion des bateaux et des ressources partagées

    - la présence de l'organisation auprès des instances mondiales (Nations-Unies par exemple).

    La structure Greenpeace International est financée par les bureaux les plus importants, qui, en plus de leurs propres ressources reversent environ 20% de leur collecte de fonds nationale pour assurer le financement des bureaux qui ne sont pas auto-suffisants financièrement. Cette participation nationale contribue également au financement des charges communes, comme la flotte des navires Greenpeace, les outils de communication (serveurs Web par exemple), le travail de lobbying et le suivi des conventions internationales.

    Pour en savoir plus, vous pouvez :

    consulter le site de Greenpeace International (en anglais)

    consulter les rapports d'activité de Greenpeace International (en anglais)

    Greenpeace France

    En 2013, Greenpeace France compte 70 salariés.

    Les locaux sont à Paris dans le 10ème arrondissement. Avec 160 000 adhérents, le budget est de 15,7 Millions d'Euros.

    Greenpeace France est une association loi 1901 à but non lucratif. De fait, elle est dirigée par un conseil d'administration (CA). Le CA nomme un directeur.

    Depuis février 2012, il s'agit de M. Jean-François Julliard. Les membres du CA sont choisis au sein d'une Assemblée Statutaire. Cette assemblée est constituée pour moitié de membres élus et de membres nommés.

  • La veille dame au supermarché

    Lu sur le net

    A la caisse d'un supermarché, une vieille dame choisit un sac en plastique pour ranger ses achats. La caissière lui reproche de ne pas se mettre à l'écologie et lui dit:

    “Votre génération ne comprend tout simplement pas le mouvement écologique.

    Seuls les jeunes vont payer pour la vieille génération qui a gaspillé toutes les ressources !"

    La vieille femme s'excuse auprès de la caissière et explique :

    - “Je suis désolée, il n'y avait pas de mouvement écologiste de mon temps."

    Alors qu'elle quitte la caisse, la mine déconfite, la caissière ajoute:

    "Ce sont des gens comme vous qui ont ruiné toutes les ressources à nos dépens.

    C'est vrai, vous ne considériez absolument pas la protection de l'environnement dans votre temps !"

    Alors, un peu énervée, la vieille dame fait observer qu'à l'époque on retournait les bouteilles de verre consignées au magasin.

    Le magasin les renvoyait à l'usine pour être lavées, stérilisées et remplies à nouveau

    Les bouteilles étaient recyclées, mais on ne connaissait pas le mouvement écologique.

    Elle ajoute :

    De mon temps, on montait l'escalier à pied: on n'avait pas d'escaliers roulants et peu d'ascenseurs.

    On ne prenait pas sa voiture à chaque fois qu'il fallait se déplacer de deux rues :

    On marchait jusqu'à l'épicerie du coin.

    Mais, c'est vrai, on ne connaissait pas le mouvement écologiste.

    On ne connaissait pas les couches jetables: On lavait les couches des bébés.

    On faisait sécher les vêtements dehors sur une corde

    On avait un réveil qu'on remontait le soir. Dans la cuisine, on s'activait pour préparer les repas, on ne disposait pas de tous ces gadgets électriques spécialisés pour tout préparer sans efforts et qui bouffent des watts autant qu'EDF en produit.

    Quand on emballait des éléments fragiles à envoyer par la poste, on utilisait comme rembourrage du papier journal ou de la ouate, dans des boîtes ayant déjà servi, pas des bulles en mousse de polystyrène ou en plastique.

    On n'avait pas de tondeuses à essence autopropulsées ou autoportées : On utilisait l'huile de coude pour tondre le gazon.

    On travaillait physiquement, on n'avait pas besoin d'aller dans un club de gym pour courir sur des tapis roulants qui fonctionnent à l'électricité.

    Mais, c'est vrai, on ne connaissait pas le mouvement écologiste.

    On buvait de l'eau à la fontaine quand on avait soif.

    On n'utilisait pas de tasses ou de bouteilles en plastique à jeter.

    On remplissait les stylos dans une bouteille d'encre au lieu d'acheter un nouveau stylo.

    On remplaçait les lames de rasoir au lieu de jeter le rasoir entier après quelques utilisations.

    Mais, c'est vrai, on ne connaissait pas le mouvement écologiste.

    Les gens prenaient le bus, le métro, le train et les enfants se rendaient à l'école à vélo ou à pied au lieu d'utiliser la voiture familiale et maman comme un service de taxi 24 H sur 24.

    Les enfants gardaient le même cartable durant plusieurs années, les cahiers continuaient d'une année sur l'autre, les crayons de couleurs, gommes, taille- crayon et autres accessoires duraient tant qu'ils pouvaient, pas un cartable tous les ans et des cahiers jetés fin juin, de nouveaux crayons et gommes avec un nouveau slogan à chaque rue,mais, c'est vrai, on ne connaissait pas le mouvement écologiste ! - On n'avait qu'une prise de courant par pièce, et pas de bande multiprises pour alimenter toute la panoplie des accessoires électriques indispensables aux jeunes d'aujourd'hui.

    - ALORS NE VIENS PAS ME FAIRE CHIER AVEC TON MOUVEMENT ECOLOGISTE !

    Tout ce qu’on regrette, c'est de ne pas avoir eu assez tôt la pilule, pour éviter d’engendrer la génération des jeunes cons comme vous, qui s’imagine avoir tout inventé, à commencer par le travail, qui ne savent pas écrire 10 lignes sans faire 20 fautes d’orthographe, qui n’'ont jamais ouvert un bouquin autre que des bandes dessinées, qui ne savent pas qui a écrit le Boléro de Ravel… (pensent même que c’est un grand couturier), qui ne savent pas mieux où passe le Danube quand on leur propose Vienne ou Athènes, etc.

    mais qui croient tout de même pouvoir donner des leçons aux autres, du haut de leur pitoyable ignorance !

    Merci de ne pas imprimer ce message afin de préserver l'environnement.

    Mais ne vous privez pas de faire suivre !

     

    Je fais suivre, mais j'en aurais encore à dire de ce genre!

  • P'êt ben vrai, p'êt ben non

    540 avant J.-C.

    L'athlète grec Milon de Crotone voulut tester sa force en essayant d'achever de fendre un arbre entr'ouvert. Il s'y coinça les mains et, incapable de se défendre, fut tué par des loups.

    458 avant J.-C.

    Le dramaturge grec Eschyle aurait été tué par un gypaète barbu qui aurait laissé tomber une tortue vivante sur lui, confondant son crâne chauve avec une pierre.

    270 avant J.-C.

    Le poète et grammairien Philetas de Cos serait mort d'insomnie tant il était obnubilé par le paradoxe du menteur.

    207 avant J.-C.

    Le philosophe stoïcien Chrysippe de Soles serait mort de rire en voyant un âne ivre tentant de manger des figues.

    53 avant J.-C.

    Parti affronter les Parthes, Licinius Crassus fut vaincu à la bataille de Carrhes. Parce qu'il était particulièrement avide, le général parthe Suréna lui fit couler de l'or en fusion dans la bouche en lui disant " Rassasie-toi donc de ce métal dont tu es si avide ! ". Sa tête fut ensuite envoyée au roi parthe, Orodès II.

    42 avant J.-C.

    Porcia Catonis, épouse de Marcus Junius Brutus , se serait suicidée lorsqu'elle apprit la mort de son mari en avalant volontairement des charbons chauds. Certains historiens modernes pensent qu'il est plus probable qu'elle se soit intoxiquée au monoxyde de carbone, en brûlant des charbons dans une salle non aérée.

    4 avant J.-C.

    Hérode Ier le Grand est mort en souffrant de fièvres, d'éruptions cutanées intenses, de douleurs abdominales, d'une putréfaction de ses parties génitales qui a fini par produire des vers, de convulsions, et d'une difficulté à respirer.

    Au premier siècle après J.-C.

    Le fils de l'empereur romain Claude et de Plautia Urgulanilla serait mort en s'étouffant avec une poire, jouant à en lancer et en rattraper dans sa bouche.

    Vers 64-67

    Selon un apocryphe, les Actes de Pierre, ce dernier aurait été crucifié sur une croix inversée, la tête vers le sol. Cette position est justifiée dans le texte par des considérations gnostiques liées à un mythe des origines. C'est la seule crucifixion de ce type qui nous ait été relatée.

    69

    L'empereur romain Galba était tellement impopulaire auprès des Romains et de la Garde prétorienne que ceux-ci finirent par l'assassiner. 120 personnes différentes déclarèrent l'avoir tué. Toutes ces personnes virent leur nom enregistré dans une liste, qui servit plus tard à l'empereur Vitellius à les retrouver et les exécuter.

    260

    L’empereur Valérien, capturé par Sapor, roi des Perses sassanides, aurait été utilisé comme marchepied par son vainqueur quand il devait monter à cheval. Après plusieurs années d’humiliations et de mauvais traitements, il aurait été écorché vivant selon certains auteurs. Mais plus vraisemblablement, d'après la version préférée par la majorité des historiens sérieux, ce fut la peau de son cadavre qui fut tannée et teinte en rouge pour fabriquer un mannequin.

    415

    La mathématicienne et philosophe grecque Hypatie fut assassinée par une foule de chrétiens qui lui lacéra le corps avec des coquilles d'huîtres tranchantes (certaines sources indiquent qu'il s'agissait plutôt de tessons de poterie). Ce qui resta d'elle fut brûlé.

    613

    La reine mérovingienne Brunehilde, bien qu'âgée de 70 ans et arrière-grand-mère, a été déchiquetée sur ordre de Clotaire II, un bras et une jambe attachés à la queue d'un cheval en furie. Avant son exécution, elle aurait été promenée nue sur un chameau (animal jugé infamant) à travers le camp du roi.

    882

    Le roi carolingien Louis III, au cours d'une aventure amoureuse, se serait fracassé le crâne contre le linteau d'une porte trop basse alors qu'il poursuivait à cheval la fille d'un certain Germund

    1380

    Le connétable de France Bertrand du Guesclin est mort d'avoir bu trop d'eau glacée après avoir combattu en plein soleil.

    1478

    Condamné à mort, George, duc de Clarence choisit d'être exécuté par noyade dans une barrique de vin de Malvoisie

    1498

    Charles VIII meurt après avoir heurté violemment un linteau de porte du château d'Amboise.

    1519

    Le 12 janvier, l'empereur Maximilien Ier de Habsbourg serait mort d'un excès de consommation de melon au retour d'une partie de chasse.

    1559

    Le 30 juin, lors des joutes organisées durant le mariage de sa fille Elisabeth avec Philippe II, Henri II combattit contre Gabriel de Montgomery, capitaine de sa Garde écossaise. La grille en or de son casque ne fut pas assez solide pour arrêter la lance de son adversaire qui vint traverser son orbite oculaire (on pense que le cerveau fut touché). Henri II mourut 10 jours plus tard dans d'atroces souffrances, malgré les soins des médecins royaux dont Ambroise Paré, autorisé à reproduire la blessure sur des têtes de cadavres de condamnés à mort afin de s'exercer à l'extraction délicate de l'éclat de bois, et de Vésale, ancien médecin de Charles Quint et célèbre anatomiste, venu de Bruxelles.

    1601

    Le 24 octobre, l'astronome danois Tycho Brahe serait mort à la suite d’un calcul ou d’une septicémie, ce qui aurait été le résultat de s’être retenu trop longtemps d’uriner pendant un trajet de plusieurs heures en carrosse avec l’empereur hongrois Rodolphe II. Sa mort inspira une expression tchèque " Je ne veux pas mourir comme Tycho Brahe ", prétextant une envie pressante.

    1687

    Jean-Baptiste Lully, compositeur, mourut de la gangrène à la suite d'une blessure au pied due à son " bâton de direction ", une longue et lourde poutre de fer dont il se servait pour battre la mesure en la frappant au sol, durant un concert. Le concert devait célébrer le rétablissement du roi d'une maladie.

    1691

    Joachim Feller, professeur à l'université de Leipzig, mourut en tombant par la fenêtre dans son sommeil. Il était somnambule.

    1771

    Le roi de Suède Adolphe Frédéric de Suède mourut de problèmes de digestion. Il venait de faire un repas composé de homards, caviar, choucroute, kipper (hareng rouge) et de poisson fumé. Le tout était arrosé de champagne. Il reprit 14 fois de son dessert favori, le semla servi dans un bol de lait chaud. Les écoliers suédois se souviennent de lui comme " le roi qui mangea jusqu'à en mourir ".

    1798

    Aristide Aubert Du Petit-Thouars, capitaine de 38 ans se trouve à Aboukir sur le vaisseau Le Tonnant. La mitraille anglaise lui arrache un bras, puis l'autre et enfin une jambe. Il se fait placer dans un tonneau de son et crie de ne pas se rendre. Tant que son sang a pu le maintenir en vie, il a encouragé ses compagnons.

     

  • Hier, il n'y a pas si longtemps....

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  • La Balance, pas qu'en octobre…..

    Avec le gouvernement socialiste, la délation devient l’acte civique par excellence.

    EXTRAIT

    Mieux former les acteurs de terrain

    La confusion existant, chez les acteurs au contact direct du public, entre pratique quotidienne de l'islam et fondamentalisme, ou entre conversion à l'islam et embrigadement par un réseau djihadiste193(*), a été pointée à plusieurs reprises devant votre commission d'enquête. Assistants sociaux, juges des enfants ou aux affaires matrimoniales, officiers de police judiciaire ou encore personnels d'établissement scolaires appartiennent à une administration peu habituée à être confrontée au fait religieux et traditionnellement tournée vers la défense de la liberté de culte et la lutte contre, notamment, l'islamophobie. De ce fait, ils ne seraient pas toujours en mesure de distinguer ce qui relève de la liberté de conscience de ce qui ressort d'une dérive dans le radicalisme islamiste. Ces difficultés de lecture des comportements de la sphère religieuse résultent avant tout d'une méconnaissance profonde de l'islam - comme des autres religions -, qui serait parfois considéré comme une religion archaïque justifiant des comportements inacceptables - notamment lorsqu'ils portent atteinte aux droits de l'enfant ou de la femme. Selon l'une des personnes entendues, " la représentation souvent erronée que l'on se fait de l'islam ne doit pas conduire à la discrimination, mais elle ne doit pas davantage mener au laxisme ".

    Ce type d'approche contribue au sentiment d'isolement de l'entourage des personnes en voie de radicalisation, qui s'est longtemps trouvé privé d'interlocuteurs compétents. Nombre des personnes entendues par votre commission d'enquête ont fait état du désarroi, de la perplexité et de la solitude des familles confrontées à la radicalisation d'un proche ou à son départ pour le djihad, l'entourage étant souvent bouleversé par la brutalité et la rapidité des processus à l'oeuvre, et ne sachant vers qui se tourner pour trouver aide et soutien. L'une des personnes auditionnées a ainsi souligné que " avant la mise en place du numéro vert, les parents étaient bien seuls, car les interlocuteurs sociaux ne faisaient pas de différence entre conversion à l'islam et embrigadement. Pis, on faisait la morale aux parents en leur reprochant d'être islamophobes, ou pour les musulmans, moins croyants que leur enfant ! ". Le premier mouvement des familles est souvent de s'adresser aux forces de l'ordre, qui se trouvent cependant bien souvent désemparées pour définir la réponse publique à apporter à une situation considérée comme relevant de la sphère religieuse, et donc privée. Les phénomènes de changement de vie, dès lors qu'ils ne s'accompagnent pas d'infractions manifestes, ne peuvent en effet relever de la lutte antiterroriste policière. En avril 2014, des parents des jeunes djihadistes ayant rejoint la Syrie ont ainsi organisé à Paris une conférence de presse au cours de laquelle ils ont fait part de leur désarroi face au renvoi successif de leurs demandes d'administration en administration, sans qu'aucune réponse ne leur ait été apportée.

    Face à ces difficultés, il est indispensable de créer des compétences spécifiques au sein de chacune des administrations de proximité et de donner aux agents concernés des outils de compréhension du processus de radicalisation.

    Cette démarche doit d'abord concerner les acteurs éducatifs ou en charge de l'encadrement des jeunes: il s'agit principalement des personnels enseignants ou des conseillers d'éducation dans les établissements scolaires, ainsi que des personnels de la protection judiciaire de la jeunesse (PJJ), ou encore des éducateurs sportifs. Comme souligné à plusieurs reprises devant votre commission d'enquête, les éducateurs, qui se trouvent au contact direct des jeunes, cibles les plus vulnérables de la propagande djihadiste, doivent constituer un maillon central de la prévention de la radicalisation.

    La démarche doit également en direction des personnels en charge de missions de sécurité : les personnels pénitentiaires comptent parmi les plus exposés, du fait de leur proximité avec des détenus parfois eux-mêmes vulnérables au prosélytisme djihadiste ; les effectifs de la police municipale, dont les missions comportent un volet important de prévention au plus proche du terrain, sont également concernés.

     Elle doit par ailleurs toucher les personnels chargés d'une mission d'accompagnement social du public. Il s'agit notamment des agents des forces de police, de l'aide sociale à l'enfance (ASE), des juges en charge des affaires familiales, des assistants sociaux ou encore des personnels relevant des organismes de sécurité sociale (OSS), et notamment des caisses d'allocations familiales (Caf).

    Enfin, les professionnels de la santé mentale peuvent également être concernés. Ceux-ci sont en effet amenés à prendre en charge des individus qui leur sont adressés soit au stade de l'entrée dans la radicalisation, soit à l'occasion des manifestations psychologiques de plus ou moins grande gravité qui accompagnent fréquemment la sortie de ce processus, voire le retour en France après un séjour sur la zone de conflit. Or, selon les indications fournies à votre commission d'enquête, ces professionnels ne seraient pas toujours en mesure de repérer ce qui relève d'un phénomène d'embrigadement ou d'endoctrinement, et qui est parfois interprété comme un simple symptôme d'un conflit avec les parents194(*).

    La formation devra être délivrée au plus près des agents, dans la mesure où ceux-ci, souvent en effectif insuffisant, n'ont trop souvent pas le temps matériel de se rendre à des formations extérieures, ni même d'ailleurs de consommer leur crédit formation.

    http://www.senat.fr/rap/r14-388/r14-3885.html#prop1

    Le peuple français est – du moins était – foncièrement contre la dénonciation. L’article 1 de la Déclaration universelle des droits de l’homme a même consacré le principe de la fraternité, principe opposé à l’idée d’un regard inquisiteur sur ses voisins. Cet article de notre Constitution proclame que "Tous les êtres humains doivent agir les uns envers les autres dans un esprit de fraternité".

    Tout petit, à l’école, le citoyen français apprenait qu’il ne devait pas "cafter". Adulte, il n’hésitait pas à se lever contre toute forme de dénonciation obligatoire institutionnalisée: Les seules dénonciations acceptables étaient celles dites "noble " avec une idée de justice inspirante comme par exemple le fameux "J’accuse" de Zola ou celles relatives à un crime violent (maltraitance d’un enfant, viol, meurtre).

    Puis, peu à peu, doucereusement, avec les initiatives de nos élus gauchiasse, notre société contemporaine s’est mise à dériver insidieusement vers une dénonciation sordide qui, encouragée légalement, est devenue délation avec des motivations qui peuvent poser question.

    Savez-vous que, depuis 2013, dans certaines villes, et dans l’indifférence générale, il est possible en téléchargeant une application pour téléphone de dénoncer son voisin pour les incivilités qu’il pourrait commettre? Il existe aussi l’application pour pouvoir dénoncer son voisin au fisc qui fonctionne depuis 2012. Les chefs d’entreprise se retrouvent obligés de surveiller les sous-traitants avec lesquels ils travaillent et de les dénoncer en cas de constatation d’infraction avec l’administration. On découvre également que maintenant les employeurs devront dénoncer leurs employés qui commettent des infractions au code de la route. Aucun domaine n’est épargné.

    La civilisation des Droits de l’homme s'est construite sur des valeurs nobles pour lesquelles le Français s’est battu, souvent jusqu'à la mort, cette civilisation devient une république qui fonde la délation comme l’acte civique par excellence.

    En 1789, il s’était battu pour obtenir la liberté, l’égalité et la fraternité mais il n’était sans doute pas prêt à assumer ce qu’il réclamait. À peine 200 ans plus tard le constat est fait, amer.

    Les libertés françaises, gagnées dans le sang, perdent du terrain à chaque nouvelle promulgation de loi du gouvernement gauchiasse. L’égalité, obtenue dans la souffrance, se fait par un nivellement vers le bas. L’idée de fraternité, conquise dans la douleur, commence à disparaître doucement.

    Notre pauvre pays est foutu!