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Voyage - Page 16

  • Pour vous récompenser de votre patience, quelques belles images

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  • Ma prédiction sur le gagnant de la Coupe du Monde de Foot au Brésil! faites passer, SVP!

    On connait peut-être déjà le vainqueur de la coupe du monde de football au Brésil en juin 2014, le virus du chikungunya !

    “Il n’y aura peut-être pas que la Coupe du Monde de football en Amérique du Sud en juin 2014 ", une épidémie virale de chikungunya peut aussi être présente. " Source pbs.org.

     Une étude publiée en ligne avant impression lundi dans le Journal of Virology par une équipe de chercheurs brésiliens et français avertit la FIFA organisatrice de la coupe du monde de football de 2014.

    Le risque d'une épidémie " catastrophique " dans les Amériques est stimulée par la Coupe du Monde de la FIFA, qui se tiendra au Brésil en juin prochain, avec des gens venant de près et de loin, dit l'auteur correspondant Ricardo Lourenço-de-Oliveira de l'Instituto Oswaldo Cruz de Rio de Janeiro au Brésil. Le Brésil rapporte chaque année la plus forte incidence de dengue, un virus qui se transmet par Aedes aegypti et Aedes albopictus, les mêmes moustiques qui transmettent le chikungunya, dit-il.

    Les chercheurs affirment que les voyageurs infectés peuvent transporter le virus au Brésil et que les moustiques connus pour héberger le virus ont une capacité élevée de transmission dans les zones autour des villes du nord et du sud des Amériques de Tyson, Missouri à Buenos Aires.

     

    Selon le Centers for Disease Control and Prevention, le chikungunya peut entraîner une forte fièvre, des douleurs articulaires aiguës et des éruptions cutanées sur les personnes infectées, avec des chances de l'invalidité permanente.

     

  • La nature, c'est quelque chose!

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  • La nature, c'est quelque chose!

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  • La nature, c'est quelque chose!

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  • Pour qui vos té(r)t-ons? pour la lumière....

     

    oui. Bon, OK... cela veut rien dire... votez quand-même!

     

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  • La connerie reste toujours ce qu'elle était

     

    En Arabie saoudite, 50 prénoms seraient censurés pour les nouveau-nés

    Une maman saoudienne et sa toute jeune fille.

    En Arabie saoudite, on ne rigole pas avec les prénoms, surtout lorsqu’ils sont interdits. L’état civil saoudien viendrait de publier la nouvelle "liste noire" des 50 prénoms bannis dans le pays selon le Huffington Post Maghreb. Attention jeunes parents, outre les prénoms considérés depuis longtemps comme "blasphématoire " ou encore “trop occidentaux", le pays aurait décidé d’y ajouter, cette année, les prénoms à connotation "trop royale".

    Ainsi, pas question d’appeler sa fille Sandy, Laureen ni Alice, bien sûr, mais pas Malika (qui signifie reine) non plus. Pour les garçons, il faudrait oublier Amir (trop proche d’émir), rapporte le Huffington Post Maghreb. Ceci, semble-t-il, dans le souci d’éviter de faire de l’ombre à la famille régnante wahhabite. Il serait également interdit d’appeler son enfant Malak (ange), Nabi (prophète), Jibreel (Gabriel) ou encore d'un des autres prénoms jugés "inappropriés", c’est-à-dire "non islamiques".

    D’après Gulfnews, d’autres prénoms, qui n'appartiennent pourtant à aucune catégorie énoncée, seraient désormais prohibés. Le site s’étonne même que "des prénoms tels que Abdul Naser et Binyamin soient interdits". Selon un journaliste du portail : "Ces prénoms ne sont pas particulièrement offensants envers les musulmans." Mais le site avance quelques explications: "Si Benyamin est, selon l’Islam, fils du prophète Jacob et frère du prophète Joseph, c’est aussi le nom du premier ministre israélien. Quant à Abdel Nasser, c’est le nom du célèbre président égyptien, figure du nationalisme arabe, en désaccord avec l’Arabie saoudite."

    Suite aux différentes réactions provoquées sur la toile au sujet de ce fameux listing, le ministre des Affaires sociales du pays, Mohammed bin Jasser Al-Jasser, a démenti l'existence d'une liste écrite. Précisant malgré tout que "les parents savent qu'il faut chosir les prénoms de leurs enfants en fonction des lois et des règlements du pays..."

    On aimerait conseiller aux futurs parents saoudiens de laisser libre court à leur imagination, mais alors que la liste devrait s’allonger un peu plus chaque année, il semblerait plus prudent de s’en tenir à la tradition.