Mais, bon sang! c'est bien sûr!!!!!
C'est ça, la vraie FRANCE
Rien à voir avec ce que les bobos gauchistes et altermondialistes veulent nous faire avaler
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Mais, bon sang! c'est bien sûr!!!!!
C'est ça, la vraie FRANCE
Rien à voir avec ce que les bobos gauchistes et altermondialistes veulent nous faire avaler
La championne paralympique d'aviron, Nathalie Benoit, a parcouru un milier de kilomètres à la force des bras.
leParisien.fr
Au bout de l'effort, elle a pu savourer le moment et mesurer la portée de son exploit. Nathalie Benoit, vice-championne Paralympique en aviron à Londres en 2012, a connu la délivrance mardi à 15h50, en entrant dans le Vieux port de Marseille, sous les vivats d'une petite foule émue et, après plus d'un millier de km parcourus à la rame sur fleuves, canaux et mer.
La jeune femme de 33 ans, condamnée au fauteuil roulant par une sclérose en plaques, a accompli son exploit à la force des bras.
En menant à bien son défi avec constance, endurance et une inébranlable détermination, celle que ses amis appellent "la Dame de fer" a non seulement accompli en 5 semaines une performance sportive inédite, mais aussi réalisé un haut fait d'espoir et de solidarité avec toutes celles et ceux qui souffrent d'un handicap. "Mon plaisir d'avoir atteint cet objectif est déjà teinté de nostalgie", a-t-elle déclaré en donnant les derniers coups d'aviron (300 000 en tout depuis son départ de Paris le 15 juin), alors qu'elle doublait sous un soleil torride le Fort St Jean, à l'entrée du Vieux port. Elle a documenté son projet étape par étape sur une chaîne Youtube dédiée.
Devenue une championne d'aviron en 5 ans
"Oui, a-t-elle expliqué, j'ai déjà la nostalgie de cette incroyable chaleur humaine qui m'a entourée à chacune de mes 39 étapes depuis le départ. Ce fut un bain de sourires, d'encouragements et de gratitude qui, au-delà de ma performance physique, s'adressait à travers moi, à tous ceux qui souffrent et se battent pour la vie". Mardi, Nathalie a marqué avant le Vieux port, une dernière halte à l'Estaque, au Cercle d'aviron de Marseille, là où il y a cinq ans elle s'est lancée dans cette discipline exigeante où elle s'est hissée au sommet des podiums.
Plusieurs yoles de jeunes garçons et filles sont venues l'accompagner et la soutenir pour les derniers kilomètres. "Revenir ici, c'est comme rentrer à la maison...", confie-t-elle en partageant une part de pizza avec les jeunes rameurs dans le hangar où sont entreposées sur des racks, les longues et fines embarcations de compétition.
Un exploit physique et mental
L'effort consenti depuis Paris par Nathalie Benoit tient en deux chiffres. Aux avirons, une personne valide utilise dans sa propulsion, en avançant et reculant sur son siège de nage, à 70% ses jambes et à 30% ses bras et épaules. Sanglée sur son siège fixe, Nathalie ne peut pas utiliser ses jambes et toute l'énergie sollicitée est concentrée dans ses seuls membres supérieurs.
Voguant de concert avec ses jeunes admirateurs-rameurs, sur des yoles de deux, quatre et huit places, la jeune femme doit donner deux coups de rame quand les autres n'en donnent qu'un pour glisser sur le même nombre de mètres. Mais les vitesses sont égales et les jeunes membres du Cercle d'aviron de Marseille, semblent peiner davantage que leur aînée.
Le Vieux port résonne soudain des cornes de brume ainsi que de la puissante sirène des Marins Pompiers qui déclenchent leur canon à eau en un panache blanc qui monte vers le ciel d'azur. "Nathalie, Nathalie..." crient des admirateurs massés sur les jetées. Elle accoste devant la mairie. Elle est émue. "Une aventure se termine, une autre commence...", lâche-t-elle. La prochaine sera à cheval, a-t-elle encore confié. Mais c'est une autre histoire.
Tous les sépians et sépianes avec toi, Nathalie!
la blanche Caravelle
Ne sera plus qu'un oiseau blanc
Je serai... un mort... vivant....
Le premier qui a trouvé, gagne un yoyo en bois du Japon (mais, là encore, qui a chanté "ils ont gagné un yoyo, en bois du Japon
avec la ficelle de même couleur...
Yoyo, yé.... yoyo, yé!)
... et oui, même si en France, tout finit par des chansons...
en attendant...
Les surfeurs sont les principales victimes de vols sur les plages de la côte basque.
Comment aller surfer sans trop se charger ? La solution adoptée depuis plusieurs années par des surfeurs du Pays-Basque fait le bonheur des voleurs.
Quelle belle vie que celle d'un surfeur. Il est tôt, le soleil se lève sur les plages du Pays-Basque. Après s'être rapidement changé, il est temps de se jeter à l'eau avant l'arrivée des premiers touristes. Les clefs de voiture, pour ne pas les perdre, sont glissées délicatement sous l'amortisseur d'une des roues. Prêts à se jeter à l'eau. Mais à ne pas faire plus attention, certains voleurs ont pigé l'astuce et attendent que les amateurs de glisse se trouvent à plus de 500 mètres du parking, en pleine mer, pour dérober ce qui se trouve dans la voiture. Ce problème, les autorités basques y sont de plus en plus confrontées. Alors cette année, pas question de se faire plumer.
Au Comité régional Aquitaine de surf (Cras), ce problème est une vraie plaie. Même si Matthieu, un des employés qui pratique le surf ne s'est jamais retrouvé dans cette situation, il est au courant de ce phénomène. En 2012, 222 vols à la roulotte et 194 vols à la serviette ont été commis sur les plages de la Côte basque, d'après les chiffres communiqués par le commissaire divisionnaire Didier Ribeyrolle, en charge du district de sécurité publique de Bayonne, qui précise que les principales victimes sont les surfeurs. Et c'est pour sensibiliser ces sportifs que le Cras, en partenariat avec que la Direction départementale de la sécurité publique Pyrénées-Atlantiques (DDSP), a décidé de réaliser un clip vidéo intitulé «Surfer en toute tranquillité», qui sera bientôt diffusé sur le site Internet du Cras.
À Bayonne, le commissariat a dépêché un policier à plein temps sur les plages de la côte. Son objectif: mettre en garde les surfeurs maladroits, plus pressés d'aller glisser sur les rouleaux que de vérifier si personne n'a jeté un coup d'œil sur leur cachette. Ce policier devra aussi être réactif face à certains pics de délinquance, surtout à l'approche des férias, et faire remonter les doléances des surfeurs.
Pour Matthieu du Cras, la meilleure solution pour éviter ces vols, c'est avant tout d'être malin. «Au début, je me suis fait faire un double de mes clefs de voiture étanche, ce qui me permettait de le prendre dans ma combinaison», déclare-t-il. Aujourd'hui, il décide d'emmener tout son matériel sur la plage, «avec les vacanciers, les vols qui ont lieu sur le sable, c'est l'affaire de tous, donc c'est plus sécurisant», ajoute-t-il. Dernière solution, un boîtier qui se pose à l'extérieur de la voiture se verrouillant. Mais pour Matthieu, «cela montre de manière presque volontaire où sont les clefs». Surtout qu'il ne fait aucun doute que les voleurs sauront venir à bout de ce cadenas à chiffre.