Liberté - Page 20
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Dans la série: Français beaucoup
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Tous fichés!
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Ne vous laissez pas manipuler par les écolos et gauchiasse
" En Autriche et ailleurs, les Afghans commettent davantage de crimes que les autres réfugiés. Pourquoi? " par Cheryl Bernard.
(…) ll y a une évolution à laquelle on ne s’attendait pas et qui n’était pas tolérable: le phénomène important et croissant des agressions sexuelles commises par des réfugiés sur des femmes locales. Il ne s’agissait pas de “simples viols”, mais d’attaques vicieuses et sans pitié sur des filles et des femmes prises au hasard, souvent commis par des gangs ou des bandes de jeunes hommes.
Au début, les incidents ont été minimisés ou étouffés – personne ne voulait fournir à la droite de quoi alimenter l’agitation nationaliste, et l’on espérait qu’il s’agissait de cas isolés causés par un petit groupe de délinquants. Les crimes se sont multipliés, et parce que beaucoup d’entre eux se sont déroulés en public ou parce que le public s’est impliqué, soit en empêchant l’attaque, soit en aidant la victime par la suite, et parce que les tribunaux ont commencé à prononcer de nombreuses sentences au fur et à mesure des procès, ces affaires ne pouvaient plus être balayées sous le tapis du politiquement correct.
Et avec la reconnaissance officielle et les rapports publics, une note de bas de page étrange et déroutante est apparue. La plupart des agressions ont été commises par des réfugiés d’une nationalité particulière: les Afghans.
(…) Donc, encore une fois: que se passe-t-il? Pourquoi cela se passe-t-il? Et pourquoi les Afghans? Quelques théories concurrentes sont en circulation.
La première: “Ils se soûlent”. L’un de mes interlocuteurs, un Afghan de la diaspora qui vit à Vienne depuis des décennies et travaille comme traducteur et conseiller juridique agréé, et qui connaît donc intimement ces affaires et les personnes concernées, écarte cette explication d’emblée. Selon lui, la rumeur s’est répandue que le fait de prétendre avoir été frappé d’incapacité mentale lors d’un acte criminel – y compris à cause de l’alcool ou de la drogue – constitue une circonstance atténuante.
Par exemple, ils diront qu’ils ont bu deux bières et qu’à partir de là, ils se sont évanouis, ne se souvenant pas de leurs actions ultérieures.
Une deuxième théorie avance l’hypothèse d’une confusion causée par un choc des cultures. Ces jeunes hommes, selon cette théorie, viennent d’un pays où les femmes ne sont que des silhouettes sombres complètement cachées sous des burqas. Confrontés à des filles en débardeurs et en shorts courts, ils perdent la raison et leurs hormones s’emballent.
(…) En général, les cibles privilégiées par les Afghans ne sont pas ce que le stéréotype pourrait imaginer, des jeunes femmes habillées de manière provocante qu’un musulman confus de l’arrière-pays ultraconservateur interprète à tort comme étant de mœurs légères.
Non; souvent, les victimes sont des mères avec de jeunes enfants. Je suppose que pour un prédateur, elles semblent être des cibles plus faciles, car on suppose qu’elles seront handicapées dans leur capacité à se défendre, mais il peut aussi y avoir une dimension plus freudienne qui m’échappe.
Cela nous amène à une troisième théorie, plus convaincante et assez troublante, celle que mon ami afghan, le traducteur judiciaire, avance. Sur la base des centaines d’interactions qu’il a eues avec ces jeunes hommes dans le cadre de sa profession au cours des dernières années, il pense avoir découvert qu’ils sont motivés par un mépris profond et permanent de la civilisation occidentale. Pour eux, les Européens sont l’ennemi, et leurs femmes sont un butin légitime, comme le sont toutes les autres choses que l’on peut leur prendre: logement, argent, passeports.
Leurs lois n’ont aucune importance, leur culture est inintéressante et, en fin de compte, leur civilisation tombera de toute façon devant la horde dont on est le fer de lance. Inutile de s’assimiler, de travailler dur ou d’essayer de se construire une vie décente ici: ces Européens sont trop mous pour vous punir sérieusement en cas de transgression, et leurs jours sont comptés.
(…) Et il n’y a pas que les crimes sexuels, note mon ami. Ce sont peut-être ceux qui agitent le plus l’opinion publique, mais les abus délibérés et insidieux du système de protection sociale sont tout aussi importants. Les réfugiés afghans, dit-il, ont une propension particulière à jouer du système: mentir sur leur âge, mentir sur leur situation, prétendre être plus jeune, être handicapé, appartenir à une minorité ethnique alors que même l’œil fatigué d’un juge autrichien peut distinguer les traits délicats d’un Hazara de ceux d’un Pachtoune.
Cheryl Benard a été directrice de programme l'Initiative for Middle Eastern Youth et de l'Alternative Strategies Initiative au sein de la National Security Research Division de la RAND Corporation. Elle a notamment publié Civil Democratic Islam, Building Moderate Muslim Networks, The Muslim World After 9-11, The Battle Behind the Wire - US Prisoner and Detainee Operations, et Eurojihad - Patterns of Islamist Radicalization and Terrorism in Europe.
#Afghanistan: "N’imaginons pas que ces #Afghans éclairés, modernistes et ouverts sont immensément populaires dans l’ensemble du #pays. Ce n’est pas la réalité. La débâcle de l’#armée #afghane n’explique pas tout." -VINCENT HUGEUX #cdanslair #talibans pic.twitter.com/hmu7znRi5K
— C dans l'air (@Cdanslair) August 19, 2021
Vincent Hugeux est un grand reporter au sein du service Monde de L’Express, il tient le blog " L’Afrique en face " sur de L’Express
1 EXEMPLE
19 aout 2021
L’exhibitionniste de Bergerac condamné à un an de prison ferme
[…]
En garde à vue, il avait reconnu les faits. Il avait déjà été condamné pour des faits similaires à Agen en juin dernier.
[…]
L’article dans son intégralité sur France Bleu
17 aout 2021
Bergerac: il suit une femme, lui montre son sexe et revient devant chez elle deux jours après
[…]
…une Bergeracoise rentre chez elle quand elle se rend compte qu’un homme la suit. Arrivée devant chez elle, l’homme lui montre son sexe et demande à utiliser ses toilettes pour pouvoir entrer dans son appartement. La Bergeracoise refuse et l’homme âgé d’une vingtaine d’années fini par partir.
Deux jours plus tard, le weekend passé, la Bergeracoise retrouve le jeune homme en bas de son immeuble le lundi matin. Elle appelle la police. L’homme est arrêté et placé en garde à vue. Il reconnait les faits et ce n’est pas la première fois.
[…]
L’article dans son intégralité sur France Bleu
19 Août 2021: Cette nuit le C-130 a pris le relais pour effectuer la 4ème rotation entre Abou Dabi et Kaboul. Après leur arrivée aux Emirats arabes unis (Base Française), les 70 personnes ainsi évacuées seront amenées en métropole dans la soirée.
Cette nuit le C-130 a pris le relais pour effectuer la 4ème rotation entre Abou Dabi et Kaboul. Après leur arrivée aux @FFEAU_ALINDIEN, les 70 personnes ainsi évacuées seront amenées en métropole dans la soirée. #NotreDéfense pic.twitter.com/n9hwxtt9S8
— Armée française – Opérations militaires (@EtatMajorFR) August 19, 2021
Didier Leschi, Le directeur général de l’Office français de l’immigration et de l’intégration: " Ils n’ont pas le profil habituel des demandeurs d’asile afghans, ceux qui sont arrivés en France ces derniers mois. Ils ne viennent pas de la même classe sociale "
Notre A400M vient d’effectuer la 5ème rotation entre Kaboul et Abou Dabi. Après le C-130 arrivé ce matin, il s’agit de la 2ème noria du jour. 61 personnes supplémentaires sont désormais accueillies aux Emirats arabes unis (Base Française) avant de repartir vers la France
Notre A400M vient d’effectuer la 5ème rotation entre Kaboul et Abou Dabi. Après le C-130 arrivé ce matin, il s’agit de la 2ème noria du jour. 61 personnes supplémentaires sont désormais accueillies aux @FFEAU_ALINDIEN avant de repartir vers la France. #NotreDéfense pic.twitter.com/XbyaYRAE1R
— Armée française – Opérations militaires (@EtatMajorFR) August 19, 2021
18 Août 2021: Les opérations d’évacuation qui ont été lancées à Kaboul se poursuivent. Une nouvelle rotation aérienne entre Kaboul et Abou Dabi a été organisée dans la nuit du 17 au 18 août avec 216 personnes à son bord. Elle permet à près de 25 de nos compatriotes d’être rapatriés, ainsi que 184 Afghans de la société civile en besoin de protection. La France a également apporté son soutien à des Etats partenaires, en embarquant 4 Néerlandais, 1 Irlandais, 2 Kenyans.
Près de 200 Afghans qui ont travaillé pour la France ou qui sont menacés viennent d’être évacués de Kaboul. Ainsi que des Français et des ressortissants étrangers. À nos armées, policiers et équipes diplomatiques qui organisent ces opérations sensibles, merci. On continue. pic.twitter.com/xHSreTLOLI
— Emmanuel Macron (@EmmanuelMacron) August 18, 2021
#Apagan | L’A330 Phénix de l’@armee_de_lair a décollé d’Abou Dabi en direction de la métropole avec, à son bord, les personnes évacuées la nuit dernière de Kaboul. #NotreDéfense pic.twitter.com/2edhL3pNp6
— Armée française – Opérations militaires (@EtatMajorFR) August 18, 2021
Grâce au pont aérien mis en place par nos armées entre Kaboul et Abou Dabi, un nouveau vol A400M a permis d’évacuer 13 Français et 124 Afghans. Je remercie encore nos amis émiriens dont le soutien est essentiel. Les Armées restent mobilisées pour aider ceux qui en ont besoin.
Grâce au pont aérien mis en place par nos armées entre Kaboul et Abou Dabi, un nouveau vol A400M a permis d’évacuer 13 Français et 124 Afghans. Je remercie encore nos amis émiriens dont le soutien est essentiel. Les Armées restent mobilisées pour aider ceux qui en ont besoin.
— Florence Parly (@florence_parly) August 18, 2021
Afghanistan: comment le RAID a " négocié " l’exfiltration de 308 Afghans et 38 Français avec les Talibans – https://t.co/mki24Ixaf2 pic.twitter.com/Gc0RUaVFmp
— Fdesouche.com est une revue de presse (@F_Desouche) August 19, 2021
17 Août 2021: Conformément aux annonces du Président de la République, les opérations d’évacuation depuis Kaboul ont débuté dans la nuit du 16 au 17 août 2021. Un premier vol transportant 41 personnes, Français et ressortissants d’autres pays, arrive à l’aéroport de Roissy Charles-De-Gaulle en fin d’après-midi, ce jour.
Le premier vol avec des Français et des ressortissants étrangers vient d’arriver à Paris. Une fois encore, avec courage et sens du devoir, de Kaboul à Paris en passant par les Émirats arabes unis, nos militaires et nos agents diplomatiques se mobilisent pour protéger. Merci. pic.twitter.com/5tq6klTuCX
— Emmanuel Macron (@EmmanuelMacron) August 17, 2021
Avant la prise de Kaboul par les Talibans (Mai à Juillet): Depuis le début du retrait des troupes américaines en mai, la France a accueilli dans l’urgence 625 Afghans employés dans les structures françaises présentes en Afghanistan et leur famille, selon le gouvernement. Pour ce faire, un vol spécial avait été affrété par les autorités françaises le 16 juillet, avec à son bord des Afghans et leurs familles. Mais des Français n’avaient pas souhaité quitter le sol afghan.
Depuis fin juin, la diplomatie française a lancé son mécanisme de rapatriement des personnels afghans ayant travaillé " pour le compte ou en lien " avec les installations françaises en Afghanistan, qui risquent leur vie si les talibans s’emparent du pouvoir. Des professeurs de français des universités d’Hérat et Bamiyan, des chauffeurs, des traducteurs, qui ont pour point commun d’être des rouages logistiques de l’ambassade de France, de la délégation archéologique ou encore des lycées français Esteqlal et Malalaï, à Kaboul. Le Quai d’Orsay précise que leurs familles sont concernées par ce dispositif, décrié par le monde associatif français et d’anciens diplomates, qui y voient un " abandon " de la diplomatie française.
Sources: Libération / La Croix / Le Parisien / InfoMigrants / Ministère des armées / Gouvernement
19/08/2021 à 13h35
Afghanistan: le Raid a dû négocier avec les talibans lors de l'évacuation de l'ambassade de France à Kaboul pic.twitter.com/Bz3oGkcVHX
— BFMTV (@BFMTV) August 19, 2021
Jean-Baptiste Dulion, patron du Raid, a détaillé ce mercredi 18 août la façon dont ils ont dû négocier avec les talibans en Afghanistan pour exfiltrer des Français et Afghans réfugiés à l’ambassade de France de Kaboul.
Seuls "onze gars" du Raid, appuyés par les forces spéciales de l’armée française, "ont accompagné près de 350 personnes sur cinq kilomètres qui nous ont paru extrêmement longs", a-t-il souligné dans un entretien accordé à RTL, confessant avoir "croisé les doigts" pour que l’opération dans la capitale afghane n’échoue pas.
Auparavant, "il y a eu deux niveaux de négociations. Au plus haut niveau, via l’ambassadeur de France, et nous sur le terrain, en constante recherche d’un responsable qui puisse nous aider et favoriser l’exfiltration, on ne pouvait rien faire sans eux, les talibans", a expliqué le commissaire.
L’itinéraire entre l’ambassade et l’aéroport a été "monté " avec un membre de l’autorité talibane, "quelqu’un avec qui on pouvait discuter et qui avait un vrai pouvoir", a poursuivi M. Dulion, qui a suivi les opérations depuis Bièvres (Essonne), le siège du Raid.
"On a pris toutes les mesures pour sécuriser notre convoi, nos bus, pour avoir le meilleur transport possible vers l’aéroport, avec des véhicules blindés de partout et des bus extérieurs que nous avons sécurisés pour embarquer le maximum de ressortissants afghans", a-t-il ajouté.
[…]
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MDR
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Dictateur?
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Bon à savoir
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A méditer
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Stèle dégradée par un conn....
Biographie de Simone Veil
Simone Veil est née en 1927, à Nice. Issue d'une famille bourgeoise, elle est élevée en compagnie de son frère Jean et de ses sœurs Madeleine et Denise. En pleine Seconde Guerre mondiale, alors qu'elle n'a que 16 ans et qu'elle vient de passer son Bac, Simone est arrêtée par les Allemands en 1944. Sa vie prend alors une tournure dramatique. Toute la famille est déportée dans des camps de concentration. Pour Simone, sa mère et Madeleine, la destination est le camp d'Auschwitz-Birkenau. La famille est décimée puisque seules Simone et ses sœurs survivent, son père, sa mère et son frère, ne revenant jamais.
Après ce drame, Simone Veil reprend ses études et étudie à la faculté de droit et à l'institut d'études politiques de Paris. C'est là qu'elle rencontre Antoine Veil, qu'elle épouse en 1946 et avec qui elle aura trois garçons. En 1956, elle tourne le dos au métier d'avocate pour devenir magistrale. Elle mène une brillante carrière au ministère de la Justice et intègre, en 1970, le Conseil supérieur de la magistrature. En 1974, le grand public la découvre lorsqu'elle est nommée ministre de la Santé par Valéry Giscard d'Estaing.
C'est à ce poste qu'elle mène le grand combat de sa vie politique en étant à l'origine de la loi dépénalisant l'interruption volontaire de grossesse (IVG). Elle subit alors de violentes critiques, mais elle tient bon. Cette action reste gravée dans la mémoire des Français et fait d'elle une de leurs personnalités préférées durant de très nombreuses années. Pro-européenne absolue, Simone Veil devient présidente du Parlement européen en 1979. En 1993, Édouard Balladur la nomme à son tour ministre de la Santé et de la Ville, poste qu'elle occupe jusqu'en 1995, avant de se retirer peu à peu de la vie politique. Toujours active néanmoins, elle occupe la fonction de présidente de la Fondation pour la mémoire de la Shoah de 2000 à 2007. En 2008, elle devient la sixième femme élue à l'Académie française.
Lors de sa déportation à Auschwitz-Birkenau, Simone Veil était dans le même convoi que la cinéaste Marceline Loridan-Ivens. Les deux jeunes femmes ont fait connaissance au sein même du camp de la mort. Elles se sont ensuite perdues de vue, avant de se retrouver dans les années 1950 et de lier une amitié indéfectible malgré leurs opinions politiques parfois divergentes.
Simone Veil a toujours voulu témoigner de l'horreur de la Shoah. Une volonté qui se retrouve sur l'épée faisant partie de son uniforme de l'Académie française. Ainsi, en plus de la devise de la France, «liberté, égalité, fraternité», et de celle de l'Europe, «unis dans la diversité», elle a tenu à faire graver le nombre 78 651, son matricule tatoué sur le bras au camp de concentration.
Son mari, Antoine Veil, a toujours soutenu son épouse. Lui-même engagé dans une carrière politique, il n'a pas hésité à la mettre de côté lorsque sa femme est devenue ministre de la Santé.