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Humour - Page 29

  • Humour belge

     

    DÉCLARATION d’impôts d’un citoyen Belge :

    On pourrait croire que c’est une blague mais non.

    Voici ce qu’a répondu un citoyen belge sur sa déclaration d’impôts à la question :

    Avez-vous des personnes à votre charge?

    Réponse:

    2,1 millions d’immigrés illégaux,

    4,4 millions de chômeurs,

    900 000 criminels répartis dans 85 prisons,

    650 crétins au parlement,

    + la totalité de la Commission Européenne.

    L’administration lui a renvoyé sa déclaration en disant que sa réponse était inacceptable.

    Le citoyen ne s’est pas dégonflé, il a répondu par écrit:

    “Pourquoi, j’ai oublié quelqu’un?".

  • Plaidoyer pour le droit au plaisir

    Je dirais que nous sommes parfois dans un monde absurde. En effet on voudrait que les gens ne boivent plus, ne mangent plus trop, ne se fatiguent pas trop et donc globalement essaient de vivre plus vieux. Mais vivre plus vieux, ça va faire des centenaires à ne plus savoir qu’en faire !

    Et des centenaires à ne plus savoir qu’en faire, ça va augmenter la masse des retraites d’une manière phénoménale. Qui va payer?

    Je ne suis pas en train de dire qu’il faut éliminer les vieux mais qu’entre les deux extrêmes, on peut fixer un juste milieu.

    Entre:

        se lâcher totalement et manger sucré, gras , alcoolisé à outrance et  forniquer comme des bêtes et aller développer tout un tas de maladies et de pathologies pour creuser le trou de la Sécu et mal vieillir, mal fichu, avec une gamelle de médicaments par jour et finir en épave ;

        ou ne rien manger, ne plus rien faire et vieillir jusqu’à pas d’âge et donc alléger la Sécu mais alourdir copieusement les retraites et donc risquer à terme de développer des "chasses aux vieux" initiées par les plus jeunes lassés de payer des retraites à des gens avec une santé insolente.

    Tout ça pour dire que finalement, on joue contreproductif. On devrait en réalité surtout encourager les gens à vivre heureux, à vivre bien, et effectivement sans trop d’excès. Ce qui pose problème, c’est l’excès. Mais avec les végans, les végétariens, les ligues de tempérance, les culs coincés de toutes natures, les anti-foie gras, les anti-drague, on n’est pas dans la mesure mais plutôt dans l’arrêt total de tout ce qui fait le sel de la vie.

    Au train où on va, manger un " mon chéri " vous vaudra bientôt un retrait de permis.

    Donc l’anecdote suivante résume, à mon sens le fond du problème.

    Un mec va voir son toubib et pose un billet de 200 euros sur la table et lui dit : "Toubib, voilà un billet de 200 euros… C’est en paiement de la consultation spéciale que vous allez me faire maintenant. Je n’ai qu’une seule question: que dois-je faire pour être sûr de vivre très vieux? Je ne sors pas de ce cabinet sans avoir la réponse à cette question".

    Le toubib le regarde un peu amusé et lui dit: "Inutile de payer 200 euros pour ça. Une consultation, ce n’est pas ce prix, mais bon… je prends.

    Concernant votre question, voilà ce que vous allez faire: plus de sucre, plus de cuisine avec des graisses, que des légumes, plus de bonbons, plus de cigarettes ni de cigares, et bien sûr plus d’alcool… côté sport rien, le strict minimum, un peu de marche, plus de télé car ça vous énerve, idem pour le cinéma et la lecture, plus de jeux de toutes sortes, ça vous fait des émotions fortes, côté femmes, c’est pareil… vous arrêtez, c’est crevant, les femmes. Plus d’émotions, plus de trucs qui fatiguent… ".

    Le gars est un peu interloqué, accuse le coup et passé son étonnement, dit au toubib: "Et avec ça, vous me garantissez que je vais vivre très vieux?".

    Et le toubib de répondre : " à vrai dire, en faisant ça, je ne sais pas si vous allez vivre très vieux, mais une chose est sûre: le temps va vous paraître nettement plus long".

    Pierre Bleven

    https://ripostelaique.com

     

    P.S. c'est une très vieille blague qu'on se racontait -déjà- dans les années 70!

    ... enfin, chez les phyto-nutritionnistes comme, déjà, j'étais!

    On utilisait un billet de 500 Francs, en ce temps-là!

  • Les dents, c'est tentant!

    ... oui, bon, c'est nul comme titre, mais c'était.. tentant!

     

    Un vieux couple entre lentement chez McDonalds, par une froide soirée d’hiver. Plusieurs clients les regardent avec admiration :

    – Regardez ce vieux couple, toujours amoureux malgré les années…

    Le vieux monsieur se rend directement à la caisse, commande et paie pour le repas. Le couple prend une table à l’arrière et pose le plateau contenant, un hamburger, un paquet de frites et un Pepsi. Le monsieur déballe le hamburger et le coupe en deux, il en place une moitié devant son épouse. Ensuite, il compte soigneusement les frites et en fait deux piles égales et en place une devant sa femme. Il prend une gorgée de Pepsi, sa femme en fait autant. Il place le Pepsi entre eux. L’homme commence à manger sa partie d’hamburger. Autour d’eux on murmure :

    – Pauvre vieux couple, il ne peut acheter qu’un seul repas pour deux.

    Un jeune homme se lève et s’approche de leur table. Il leur offre poliment de leur acheter un autre repas. Le monsieur lui dit que tout va bien et qu’ils sont habitués à tout partager. La vieille dame n’a encore rien mangé…

    Elle reste assise en regardant son mari manger tout en sirotant de temps à autre une gorgée de Pepsi. Encore une fois le jeune homme les supplie de le laisser leur acheter un autre repas. Cette fois, c’est la vieille dame qui lui explique que ce n’est pas nécessaire, qu’ils sont habitués à tout partager. Comme le vieux monsieur termine de manger et s’essuie le visage proprement, le jeune homme s’approche de leur table pour leur offrir encore une fois de la nourriture. Après qu’ils aient poliment refusé, il demande à la vieille dame :

    – Madame pourquoi ne mangez-vous pas. Vous dites que vous partagez tout. Qu’attendez-vous ?

    Elle répond :

    – J’attends les dents…

  • Super idée de jeu de société pour un Noël et un premier de l’An participatif!

    Alors jouons, jette le dé et avance ton pion sur le jeu de l’oie.

    Case 1: origine (certaines rapportent plus d’indemnités que d’autres, réfléchis avant de choisir ton origine dans la partie)

    Case 2: sexe (si tu as choisi "Français de sang" en case 1 en choisissant homme, ici tu seras obligé de choisir " homosexuel " pour avoir une chance de gagner la partie)

    Case 3: situation de famille (célibataire ou parent de plus de 5 enfants, le reste ne rapporte quasiment rien)

    Case 4: grossesse (lié au choix case 2 en l’état actuel de la science)

    Case 5: apparence physique (choisir gros et moche pour un maximum d’indemnité au tribunal)

    Case 6: pauvre

    Case 7: nom de famille ridicule ou arabe ou imprononçable pour un Français mais que tu ne changeras pas pour t’intégrer en cas de naturalisation française

    Case 8: habiter dans une enclave ethnique musulmane

    Case 9: sidaïque ou déséquilibré barbu

    Case 10: handicapé (NON, ici c'est faux! être handi pas idiot-e mais travailleur-se indépendant-e ne t'apporte aucun point ni empathie)

    Case 11: nain, albinos… (à toi de voir)

    Case 12: végétarien, cannibale, nudiste… (à toi de voir)

    Case 13: homo hétéro… (à toi de voir)

    Case 14: trans, travelo, gender-fluide… (à toi de voir)

    Case 15: âge

    Case 16: électeur de Benoît HAMON ou adhérent du CRAN ou… selon les autres joueurs de la partie

    Case 17: syndiqué ou pas

    Case 18: langues étrangères non européennes des pays les plus pauvres que tu connaisses

    Case 19: " appartenance ou non-appartenance, vraie ou supposée, à une ethnie, une nation, une prétendue race ou une religion déterminée". = Musulman ou pas? Juif ou pas? Noir ou pas?

    Mais tu peux aussi te prétendre victime pour ton appartenance à une entité morale ou prétendre que l’entité morale est victime et ainsi ne pas payer ton avocat pour aller tirer un maximum de pognon aux Français de sang au tribunal. Là les indemnités sont multipliées par 10.

    Lire ici: " Constitue également une discrimination toute distinction opérée entre les personnes morales sur le fondement de l’origine, du sexe, de la situation de famille, de la grossesse, de l’apparence physique, de la particulière vulnérabilité résultant de la situation économique, apparente ou connue de son auteur, du patronyme, du lieu de résidence, de l’état de santé, de la perte d’autonomie, du handicap, des caractéristiques génétiques, des mœurs, de l’orientation sexuelle, de l’identité de genre, de l’âge, des opinions politiques, des activités syndicales, de la capacité à s’exprimer dans une langue autre que le français, de l’appartenance ou de la non-appartenance, vraie ou supposée, à une ethnie, une nation, une prétendue race ou une religion déterminée des membres ou de certains membres de ces personnes morales".

    Règles du jeu: https://www.legifrance.gouv.fr/affichCodeArticle.do?idArticle=LEGIARTI000033461473&cidTexte=LEGITEXT000006070719&dateTexte=20161120

    Le plus politiquement correct des joueur est l’arbitre juge du jeu. Il affiche sa politique en quelques lignes; exemple:

    – être blanc = moins 100 points, être noir = plus 100 points

    pour fixer les bornes de notation aux aspirants victimes.

    Le support de jeu est un plateau de jeu de l’oie classique numéroté ou revisité avec des images des pleureuses et des victimes professionnelles.

    Profil de joueurs gagnants à la CAF, au tribunal et aux aides sociales en tous genres:

        le Soudanais homosexuel qui bénéficiera du regroupement familial pour ses 5 femmes et 20 enfants

        la racaille maghrébine du 93

        la retraitée blanche, passeuse de migrants à la frontière italienne, qui en plus se paye en nature sur les mineurs nigériens de 25 ans

        les islamistes, leurs imams et leurs femmes voilées

        BHL et ses amis

     

    Brenton ANDERS

    Riposte Laïque

  • Fête des Catherinettes: faut-il clore le folklore?

    La tradition, que le milieu de la couture et certaines communes, dont Paris, continuent de célébrer le 25 novembre, est accusée d'alimenter une forme de sexisme en stigmatisant les femmes célibataires de 25 ans, alors même que l'âge moyen du mariage n'a jamais été aussi élevé.

    Lucie (1) travaille au Printemps Haussmann depuis quelques mois quand, début novembre, elle s’étonne de découvrir sur son lieu de travail, dans l’espace réservé aux salariés, une affichette sur laquelle apparaît une silhouette mince coiffée d’un chapeau, annonçant la prochaine "fête des Catherinettes". Lucie n’est pas concernée: elle a 24 ans. Comme le veut la coutume, seules les salariées célibataires et sans enfant dans l’année de leurs 25 ans peuvent prétendre au titre de "Catherinette de l’année". L’élection, par les clients, a lieu à l’issue d’un défilé dans le grand magasin parisien.

    "Ça m’a vraiment surprise qu’une entreprise perpétue cette tradition que je trouve sexiste, raconte la jeune femme. Je suis originaire du Grand Ouest et jusqu’à présent, la seule personne que je connaissais qui avait fêté la Sainte-Catherine vivait en Vendée profonde, et a désormais la cinquantaine passée!"

    "Date de péremption"

    Arguant que l’événement "donne l’impression que les femmes ont une date de péremption", la jeune femme tente de protester auprès d’une autre collègue vingtenaire, sans succès. Cette dernière lui répond qu’elle y voit simplement "une occasion de faire la fête". Un argument repris par le magasin, contacté par Libération, qui invoque un "esprit festif" et "une émulation" collective autour de l’événement, auquel devrait participer cette année une quarantaine de jeunes femmes.

    Maquillées et coiffées à leur arrivée sur leur lieu de travail, les salariées participent ensuite à une "distribution de bonbons" dans les rayons du magasin, détaille le service presse du Printemps. Leur journée est banalisée, une pratique en cours dans plusieurs entreprises notamment du milieu de la mode, où la Sainte-Catherine, sainte patronne des célibataires mais aussi des couturières, est particulièrement célébrée. Dans certaines maisons parisiennes comme Dior, les salariées de 25 ans ni mariées ni pacsées reçoivent des cadeaux parfois coûteux, et des soirées fastueuses, en présence des dirigeants, sont organisées. Chez Chanel, tous les salariés ont même droit à un jour de repos le lendemain de la fête des Catherinettes et des Nicolas, leurs équivalents masculins – qui bénéficient d’un sursis de cinq ans, la tradition fixant leur âge à 30 ans.

    Les Catherinettes de la haute couture, et, depuis une quinzaine d’années, leurs homologues masculins, sont même reçus à l’hôtel de ville de Paris depuis 1986. L’objectif est de "souligner la richesse [de leur] savoir-faire", une initiative "complètement décorrélée du côté rétrograde que cela peut avoir ailleurs", assure-t-on à la mairie.

    Rite de passage

    Moins bling-bling, les festivités de la Sainte-Catherine font également office de rite de passage pour les jeunes femmes de Vesoul. Chaque 25 novembre depuis plus de sept cents ans, la commune de Haute-Saône organise une foire agricole qui attire des milliers de personnes. Au programme: démonstrations équestres, exposition de tracteurs, dégustation de cochons en pain d’épice… et concours de Catherinettes. Cette année encore, les conditions sont inchangées: "Les participantes doivent être âgées de 25 ans, célibataires et sans enfants." Et ce alors que l’âge moyen du mariage a augmenté significativement ces dernières années, pour s’établir aujourd’hui à 36 ans pour les femmes, selon l’Insee.

    D’après l’institut de statistiques, environ 4% des femmes nées en 1994 – la génération des Catherinettes 2019 – étaient mariées à l’âge de 24 ans. Le mariage avant 25 ans, encore la norme jusqu’au début des années 1990, est désormais une exception. A Vesoul, la concurrence est d’autant plus rude entre les participantes, invitées à défiler coiffées d’un chapeau "aux couleurs dominantes jaunes et vertes en relation avec leur profession ou à défaut avec leurs loisirs ou activités sportives", précise le règlement du concours. Tout autant que l’originalité de leur couvre-chef, les attributs physiques des jeunes femmes font souvent l’objet de commentaires dans les rangs des spectateurs, se souvient une collègue de Libération, qui a assisté à l’événement plusieurs fois.

    A défaut de susciter des critiques localement, où la tradition est vue comme faisant partie de l’identité de la ville, ce concours quelque peu suranné n’est pas vraiment du goût de certaines militantes féministes. L’association Osez le féminisme, qui y voyait en 2016 "une humiliation pour les femmes", dénonce toujours aujourd’hui une mise en scène "dégradante": "Au nom de la tradition et du folklore, cet événement perpétue des stéréotypes sexistes, et enferme les femmes dans des rôles traditionnels, se marier et enfanter", estime à propos des festivités haut-saônoises et de celles organisées dans plusieurs autres communes la porte-parole de l’association Alyssa Ahrabare, interrogée par Libération.

    Bandes d'abruties décervelées... Plus conn... qu'elles, tu meurs!

    "C’est d’autant plus ironique que la fête tombe le jour de la Journée internationale pour l’élimination de la violence à l’égard des femmes", déplore la militante, pour qui "exposer ces femmes au regard des autres sur des critères physiques" est aussi une forme de violence.

    "Sainte-Catherine de lutte"

    Au cours du XXe siècle, la Sainte-Catherine a pourtant été l’occasion, pour les couturières, de prendre la parole et de s’affirmer dans l’espace public, rappelle Anne Monjaret, ethnologue au CNRS, auteure de plusieurs ouvrages sur cette fête. A travers des déguisements s’affranchissant des normes de genre, les "petites mains" des années 20 profitaient de ce jour pour défier l’autorité patronale et dénoncer la domination masculine de manière plus ou moins implicite, détaille la chercheuse dans un article paru en 2015 dans la revue Modes pratiques (2).

    Paradoxalement, la Sainte-Catherine incarnait aussi une "forme d’autonomie féminine", en mettant à l’honneur "la jeune fille célibataire qui travaille et donc qui n’est pas sous la tutelle de son mari", explique Anne Monjaret.

    Le 25 novembre 1975, les ouvrières syndicalistes de la haute couture, épaulées par le Parti communiste, organisent même une manifestation pour réclamer notamment une amélioration de leurs conditions de travail. A défaut de ressusciter cette "Sainte-Catherine de lutte", Alyssa Ahrabare d’Osez le féminisme suggère de transformer l’événement aujourd’hui totalement dépolitisé en une "journée dédiée à la lutte contre les stéréotypes" dans l’entreprise. Soit, résume la militante, "tout le contraire de ce qu’il est aujourd’hui".

    Mais quelle pouf... cette Alyassa à la c...

    (1) Le prénom a été changé.

    (2) "Jour de fête pour les midinettes. L’envers de la Sainte-Catherine: les normes derrière la dérision festive", d’Anne Monjaret, paru dans la revue Modes pratiques. Revue d’histoire du vêtement et de la mode, en novembre 2015.

    Juliette Deborde

    https://www.liberation.fr

     

    J'ai trouvé cela sur ce site de gauchiasse, pas étonnant qu'on interviewe des pétasses!

    Laissez tranquille nos traditions, pouffiasses! Si vous n'en voulez pas, changez de pays ou fermez les yeux!

    Perso, de 14 à 19 ans, j'ai été mécanicienne en confection dans plusieurs usines à Toulouse. Les filles ne manquaient pas de fêter Ste Catherine. Je pourrais en être une.

    Mais, je n'ai pas fait de chapeau ce jour-là! Je travaillais comme photograveur offset dans une imprimerie toulousaine… j'aurais eu bonne mine d'arriver avec un chapeau bizarroïde.

    Bon, d'accord, pour faire un bon imprimeur, il faut avoir bon caractère… mais, quand même…

    De toutes façons, je suis encore célibataire mais j'ai eu une enfant à 20 ans… donc, c'était râpé d'avance