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Gens - Page 6

  • Bravo!

    BRAVO! bis

    A Lyon, hier, les supporters ont rendu hommage aux Poilus morts dans les tranchées pour défendre la patrie.

  • Hommage aux poilus de 14-18

    Le Clairon

    Le clairon sonne au loin, forçant les fatigues.

    Des regards morts sur des visages meurtris

    Se lèvent, affirmant le doute, l’incompris.

    Des larmes s’écoulent rompant l’immense digue.

     C’est un soleil et non le temps d’une boucherie

    Qui, ce jour, se lève. Des ombres s’avancent,

    Le long des tranchées de la désespérance.

    De la terre, s’ouvrent des bouches noires de carie.

     –

    Le clairon balaye les frontières de mort.

    Des cris et des rires venant de l’ennemi,

    Se mêlent aux joies de tous nos soldats amis.

    Oubliée la haine, le désespoir et les torts.

     –

    Des tranchées sortent des hommes vivants sous terre,

    L’uniforme invisible, ils regardent le ciel.

    Le clairon sonne la fin des combats. Si fier.

    Redonnant la vie, face au monde fou et cruel !

    Les hommes titubent. L’officier devient le frère.

    Les larmes écoulant le trop-plein de haine

    Les rancunes, les frères morts laissés en terre

    La guerre est finie. La paix entre en scène.

     –

    Ils reviendront dans leurs foyers ces gueules cassées

    Ces soldats d’une guerre civile. La grande guerre !

    Guerre ou l’Europe entière s’est suicidée

    Apportant un siècle de lutte et de misère.

     –

    Le clairon sonne la fin des combats, la paix !

    L’avenir porte un nom. L’espoir d’une autre vie!

    Une vie qui retrouve un prix. Souvent oublié !

    Ce jour à un autre goût. La guerre est finie.

    Gérard Brazon

  • Véridique! MDR

    Tribunal de Perpignan

    Quand on est sort de prison et qu’on ne respecte pas les termes de sa conditionnelle, que l’on fait en plus l’objet d’une obligation de quitter le territoire et que l’on vient d’acheter du cannabis, il est normal de détaler quand on aperçoit la police.

    Younes, 26 ans, a pris les jambes à son cou, dès qu’il a aperçu la voiture de la bac de Perpignan. C’est bien sûr la meilleure manière de se faire remarquer. Un policier pique un sprint pour le rattraper, il l’agrippe par l’épaule, mais le fuyard se dégage et envoie le poursuivant sur un poteau de véranda, il se blesse assez sérieusement. Un deuxième fonctionnaire le rejoint. Le suspect se défend, il serre l’agent à la gorge et se dégage. Il faudra le renfort d’un 3e policier pour enfin le maîtriser.

    […]

    Younes, qui fait l’objet d’une OQTF, étrangle un policier, il se défend "je n’ai pas pu lui serrer la gorge, je suis gaucher des deux mains"

    L’indépendant