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  • Honneur aux Français de 14-18

    Le clairon sonne au loin, forçant les fatigues.

    Des regards morts sur des visages meurtris

    Se lèvent, affirmant le doute, l’incompris.

    Des larmes s’écoulent rompant l’immense digue.

     C’est un soleil et non le temps d’une boucherie

    Qui, ce jour, se lève. Des ombres s’avancent,

    Le long des tranchées de la désespérance.

    De la terre, s’ouvrent des bouches noires de carie.

    Le clairon balaye les frontières de mort.

    Des cris et des rires venant de l’ennemi,

    Se mêlent aux joies de tous nos soldats amis.

    Oubliée la haine, le désespoir et les torts.

    Des tranchées sortent des hommes vivant sous terre,

    L’uniformes invisibles, ils regardent le ciel.

    Le clairon sonne la fin des combats. Si fier.

    Redonnant la vie, face au monde fou et cruel !

    Les hommes titubent. L’officier devient le frère.

    Les larmes écoulant le trop plein de haine

    Les rancunes, les frères morts laissés en terre

    La guerre est finie. La paix entre en scène.

    Ils reviendront dans leurs foyers ces gueules cassées

    Ces soldats d’une guerre civile. La Grande Guerre !

    Guerre ou l’Europe entière s’est suicidée

    Apportant un siècle de lutte et de misère.

    Le clairon sonne la fin des combats, la paix !

    L’avenir porte un nom. L’espoir d’une autre vie!

    Une vie qui retrouve un prix. Souvent oublié !

    Ce jour à un autre goût. La guerre est finie.

    Gérard Brazon

     

  • Coucou, le Covid revient!

    Le covid-19 revient en force avec un nouveau sous-variant XEC de la famille Omicron. Et avec lui, un nouveau vaccin ARNm dit répliquant ou auto-amplifiant. Les Japonais, qui servent de cobayes, parlent de "troisième bombe atomique". Après Hiroshima et Nagasaki…

    Alors que la variole du Singe a subitement disparu des radars (et des écrans télé), le Covid-19 fait un retour remarqué. Identifié en juin 2024 à Berlin, le sous-variant XEC du SARS-CoV-2, de la famille Omicron, se propage à grande vitesse dans toute l’Europe et notamment en France. Une campagne de vaccination automnale est annoncée par la Direction Générale de la Santé: elle se déroulera du 15 octobre 2024 au 31 janvier 2025 en même temps que la campagne de vaccination contre la grippe.

    Les vaccins ARNm utilisés contre le Covid-19 durant la pandémie n’ont pas été très efficaces. Bien souvent, ils ont eu des effets secondaires graves que les autorités sanitaires refusent de reconnaître. Aujourd’hui, de nouveaux vaccins arrivent sur le marché. Ce sont des vaccins dits auto-amplifiants ou réplicatifs, déjà acceptés au Japon depuis 2023.

    De quoi s’agit-il? Réponse de Jean-Marc Sabatier, docteur en biologie cellulaire et microbiologie, directeur de recherche au CNRS, HDR en biochimie: " Dans ces ARNm de nouvelle génération, une portion d’ARN a été insérée, codant pour un complexe réplicase. Le complexe réplicase a une activité ARN polymérase ARN dépendante. Cela veut dire qu’il est capable de créer le brin d’ARN complémentaire au brin d’ARN initial, avec les nucléotides appariés. Il va donc produire un ARN double brin. Ce second brin complémentaire ne peut pas être traduit en protéine par le ribosome de la cellule, mais il va servir de matrice pour fabriquer un autre brin d’ARN identique à l’ARN messager auto-amplifiant. D’où le terme “auto-amplifiant”.

     

  • PHILIPPINE, 19 ans

    Elle était scout et guide de France, "toujours partante et disponible s’il y avait besoin de faire quoi que ce soit ou pour motiver les autres" ; issue d’une famille de 6 enfants, Philippine était une brillante étudiante à l’Université Paris-Dauphine.

    Vendredi de la semaine dernière, après son déjeuner au restaurant universitaire, et comme elle aimait souvent le faire, elle choisit de rentrer à son appartement d’étudiante à pied via un détour-promenade par le proche Bois de Boulogne; elle devait ensuite rejoindre ses parents pour dîner et passer le week-end en banlieue parisienne. Ils ne la verront jamais arriver.

    ILS NE LA VERRONT PLUS JAMAIS.

    Philippine a croisé le chemin d’un homme qui n’aurait jamais dû être là.

    Jamais sans les défaillances idéologiques d’État: marocain sous OQTF (obligation de quitter le territoire français), non exécutée comme 94% d’entre elles, et tout juste libéré de prison pour un viol dans les mêmes circonstances, dont il n’a purgé que 5 ans sur 7, car libéré par anticipation par la justice française.

     On aimerait se dire que cette tragédie est isolée, plus encore qu’elle est la dernière, et celle de trop. Mais elle est comme tant d’autres soi-disant " faits divers ", comme Lola, 12 ans, il y a deux ans (tuée par une personne algérienne sous OQTF), comme Thomas 16 ans, comme Matisse 16 ans, et tant d’autres.

    Ce nouveau drame est la conséquence directe de maladies idéologiques qui détruisent notre peuple, qui tuent ou laisse tuer ses enfants.

    Face à ces drames, nous savons pourquoi nous défendons les valeurs patriotes, celles d’un ordre juste et de bon sens, qui sait aimer et protéger ses enfants, son propre peuple.

    Soutenons en pensée le désarroi de cette famille brutalement endeuillée, et si digne.

    Des rassemblements d’hommage à Philippine sont prévus en divers lieux de France, et notamment :

    ce samedi 28 sept.:

    • Aix-en-Provence, 10h, Nouveau Palais de Justice ;
    • Vienne, 10h, place Charles de Gaulle,
    • Bordeaux, 15h, place de la Bourse ;

    ce dimanche 29 sept. :

    • Lille, 15h, place Rihour,
    • Paris, 15h, place Denfert,
    • Nice, 15h, place Garibaldi,

    ce lundi 30 sept. :

    • Angers, 18h30, place du Ralliement.

    … et peut-être dans votre ville?

     

    Repose en paix Philippine.

     

    Puisse l’électrochoc de ta mort servir à corriger ceux qui en ont besoin parmi les vivants.

  • J'en suis!

    Ils nous appellent “les personnes âgées”

    Nous sommes nés dans les années 40-50-60.

    Nous avons grandi dans les années 50-60-70.

    Nous avons étudié dans les années 60-70-80.

    Nous étions ensemble dans les années 70-80-90.

    Nous nous sommes mariés et avons découvert le monde dans les années 70-80-90.

    Nous nous sommes aventurés dans les années 80-90.

    Nous nous sommes stabilisés dans les années 2000.

    Nous sommes devenus plus sages dans les années 2010.

    Et nous allons fermement jusqu’en 2020 et au-delà.

    Il s’avère que nous avons traversé HUIT décennies différentes…

    DEUX siècles différents… DEUX millénaires différents…

    Nous sommes passés du téléphone avec un opérateur pour les appels longue distance aux appels vidéo partout dans le monde.

    Nous sommes passés des diapositives à YouTube, des disques vinyles à la musique en ligne, des lettres manuscrites aux e-mails et WhatsApp.

    Des matchs en direct à la radio, à la télévision en noir et blanc, à la télévision couleur, puis à la télévision HD 3D.

    Nous sommes allés au magasin de vidéos et maintenant nous regardons Netflix.

    Nous avons connu les premiers ordinateurs, les cartes perforées, les disquettes et maintenant nous avons des giga-octets et des méga-octets sur nos smartphones.

    Nous avons porté des shorts tout au long de notre enfance, puis des pantalons longs, des Oxfords, des pattes d’éléphant, des combinaisons et des jeans bleus.

    Nous avons évité la paralysie infantile, la méningite, la poliomyélite, la tuberculose, la grippe porcine et maintenant le COVID-19.

    Nous avons fait du skate, du tricycle, du vélo, du cyclomoteur, de l’essence ou du diesel et maintenant nous conduisons des hybrides ou des électriques.

    Oui, nous avons traversé beaucoup de choses, mais quelle belle vie nous avons eue !

    Ils pourraient nous décrire comme des « ex annuels » ; des gens qui sont nés dans ce monde des années 50, qui ont eu une enfance analogique et une vie adulte numérique.

    Nous avons en quelque sorte « tout vu » !

    Notre génération a littéralement vécu et témoigné plus que toute autre dans toutes les dimensions de la vie.

    C’est notre génération qui s’est littéralement adaptée au « CHANGEMENT ».

    Un grand bravo à tous les membres d’une génération très spéciale, qui sera UNIQUE.

    Un message précieux et très vrai que j’ai reçu d’un ami…

    LE TEMPS NE S’ARRÊTE PAS.

    La vie est une tâche que nous nous sommes amenés à faire à la maison.

    Quand tu regardes… il est déjà six heures de l’après-midi ;

    Quand tu regardes… c’est déjà vendredi ;

    Quand on regarde… le mois est fini.

    Quand on regarde… l’année est finie ;

    Quand on regarde… 50, 60 et 70 ans ont passé !

    Quand tu regardes… on ne sait plus où sont nos amis.

    Quand tu regardes… on a perdu l’amour de notre vie… et maintenant, il est trop tard pour revenir en arrière.

    Donc…

    N’arrêtez pas de faire quelque chose que vous aimez par manque de temps.

    N’arrêtez pas d’avoir quelqu’un à vos côtés. Vos enfants ne seront bientôt plus les vôtres et vous devrez faire quelque chose avec ce temps restant, où la seule chose qui nous manquera sera l’espace qui ne peut être apprécié qu’avec les amis habituels si vous avez la chance de les avoir.

    Le temps qui malheureusement, ne revient jamais…

    * Le jour est aujourd’hui ! *

    * NOUS NE SOMMES PLUS À L’ÂGE DE REMETTRE À PLUS TARD. *

    J’espère que vous aurez le temps de lire puis de partager ce message… ou bien laissez-le pour “Plus tard” et vous verrez que vous ne le partagerez jamais surtout si vous passez de l’autre côté !

    Patrick Granville

    Transmis d’un auteur inconnu, pour l’histoire traversée par les personnes âgées

  • Etre homme, c’est précisément être responsable

    Le 31 juillet 1944, il y a quatre-vingts ans, le commandant Antoine de Saint-Exupéry disparaissait en Méditerranée à bord de son P-38 Lightning au cours d’une mission de reconnaissance aérienne. En ces temps troublés et avec une société en perte de repères et plus fragmentée que jamais, c’est peut-être l’occasion de méditer l’exemple de cet écrivain-aviateur, héros mort pour la France. C’est le moment de méditer le message humaniste et universel que révèle son œuvre.

    La particularité de l’œuvre d’Antoine de Saint-Exupéry, c’est qu’elle est tout entière tirée d’une expérience vécue. Loin cependant de rester simplement documentaire, cette œuvre s’enrichit d’une méditation constante qui en fait l’unité et le prix. Ses romans se distinguent en effet du roman traditionnel. Ils cherchent non pas la création de personnages à travers lesquels se découvrent les mobiles psychologiques de l’âme humaine, mais la création et l’édification d’un monde personnel destiné à poser un problème et à essayer d’y répondre en livrant un message.

    Ses romans – qui sont, en fait, un essai sur lui-même – constituent une façon d’interroger et de répondre. N’étant plus un créateur enfermé dans sa tour d’ivoire, Saint-Exupéry se trouve dans la situation de l’homme d’action à qui se posent tout naturellement les problèmes du courage et de l’héroïsme. Cette morale moderne, que les réalités du siècle au cours duquel il a vécu l’ont obligé à chercher, Saint-Exupéry l’a continuellement poursuivie tout au long de sa trop courte vie. Ayant voué cette dernière à un métier courageux et dangereux, il a su à merveille en décrire les drames et les joies. Et la lutte contre l’angoisse à laquelle l’homme est sans cesse confronté prend chez lui la forme de la vocation.

    "La grandeur d’un métier, c’est avant tout d’unir les hommes". Ainsi, l’auteur découvre le véritable sens de la fraternité. C’est la mise en lumière d’un authentique humanisme par le métier. Son métier d’homme, il le fait avec joie et avec amour. Loin d’une ascèse égocentrique et orgueilleuse, son goût de l’héroïsme s’avère une communion fervente avec les autres hommes.

    Courrier du Sud (1930) évoque une liaison de l’époque héroïque entre Toulouse et Dakar. Vol de nuit (1931) raconte l’héroïsme obscur des pionniers qui ont su établir la première ligne régulière entre la France et l’Amérique du sud. Terre des hommes (1939) est la tragique histoire du raid Paris-Saïgon. Et Pilote de guerre (1942) la méditation d’un combattant au cours d’une mission au-dessus des lignes allemandes pendant la guerre où il continue à évoquer les gestes d’un simple travail. L’écrivain transforme des scènes   réelles en tableaux tantôt dramatiques, tantôt épiques. Il les accompagne ainsi d’un noble et ardent commentaire qui, puisant dans son âme et sa vision particulière du monde, leur confère souvent un caractère lyrique.

    Ses dons de poète éclatent dans son œuvre posthume, Le Petit Prince (1945) et Citadelle (1948). De son métier et de son outil, il retient en fin de compte non pas l’aspect technique ou exaltant, mais simplement l’occasion qu’ils donnent aux hommes, comme tous les métiers avec leurs outils, de reconnaître leurs limites, la puissance de leur volonté, leur responsabilité à l’égard de tous et la primauté d’un but qui vaut plus que la vie. Sachant donc au nom de quoi ils accomplissent très simplement leur tâche, les héros de Saint-Exupéry tendent, sans emphase, à illustrer un humanisme par le métier.

    Toute son œuvre démontre, par ailleurs, une honnêteté et une sincérité qui méritent d’être évoquées. Brève et rayonnante, elle se mesure surtout à la qualité du cœur et des sentiments qui l’animent. Cet homme, courageux et sensible, est aussi lucide. La méditation, constante chez lui, fait la valeur de toute son œuvre. Le Petit Prince et Citadelle nous révèlent une ferveur et une noblesse dans le lyrisme qui prouvent incontestablement la pureté de son âme. Dans Citadelle d’ailleurs, son dernier ouvrage, il tente d’énoncer les principes d’une philosophie pratique qu’il a su mettre en application dans ses romans d’action tirés de sa propre expérience. Il met en particulier en exergue les thèmes du lien et de l’échange nécessaires entre les hommes, de la grandeur et de la soumission à une éternité qui se confond avec le destin de l’espèce. Pour Saint-Exupéry, le salut se trouve donc dans ce qui nous permet de collaborer à une œuvre utile. Il a su en faire sa règle de vie à laquelle il est resté fidèle jusque dans la mort. " Ce pourquoi tu acceptes de mourir, c’est cela seul dont tu peux vivre " (Citadelle).

    C’est pourquoi la notion de responsabilité occupe dans son œuvre une place importante dans sa quête vers sa morale de la grandeur humaine. " Etre homme, c’est précisément être responsable. C’est sentir, en posant sa pierre que l’on contribue à bâtir le monde " (Terre des hommes). Mais cette responsabilité s’inscrit dans ce lien et cet échange entre  les hommes, indispensables pour réussir cette œuvre collective. C’est le rejet de l’orgueil personnel, de la jalousie mesquine, de l’envie. C’est au contraire le plein épanouissement de l’esprit d’équipe. C’est savoir "être fier d’une victoire que les camarades ont remportée". Cette fierté comprend, par exemple, la joie du mécanicien qui, par son travail obscur, a permis au pilote de battre un record ou simplement d’avoir rempli sa mission.

    Cette responsabilité s’applique également à la prise de conscience des souffrances de nos semblables. Et même de l’humanité tout entière dont chacun de nous est partie intégrante et où il a sa place et un rôle à tenir. Pour Saint-Exupéry, il ne suffit pas d’être ému devant la misère des autres. Il faut communier avec ceux qui souffrent, voire connaître la honte lorsqu’on vit paisiblement et que d’autres pleurent ou agonisent. Son message est donc universel, car chacun participe au progrès de l’humanité. Il y a contribution de chacun à l’œuvre collective. Il n’entend pas parler seulement de ceux qui remportent des victoires notoires. Il englobe aussi l’obscur et humble artisan qui met toute son ardeur à son travail et qui contribue à cet édifice collectif, même si la pierre apportée n’a que la dimension d’un caillou.

    Saint-Exupéry nous présente là une conception du bonheur qui rejette l’individualisme. Il s’agit d’un bonheur plus vaste, où l’homme doit lutter contre l’isolement au sein d’une société qui semble parfois, par sa mécanisation, l’écraser. L’homme n’a plus seulement des devoirs envers lui-même, il en a avant tout envers les autres. C’est peut-être ce sens d’une vaste et profonde fraternité qui constitue la seule arme contre le déracinement, la solitude. Ce que souhaite Saint-Exupéry c’est une solidarité, une union profonde qui permet à chacun de se sentir inclus dans un vaste ensemble où il n’est plus seul. Finalement, c’est une parenté humaine à l’échelle du monde. C’est l’éblouissante condamnation du mot de Sartre, " L’enfer, c’est les autres ".

    A  une époque où toutes les valeurs traditionnelles sont remises en question, où les jeunes en particulier se sentent pris par l’angoisse devant un monde menaçant, où ils cherchent à satisfaire un enthousiasme parfois démesuré, ce lien qui unit selon Saint-Exupéry tous les hommes dignes de ce nom, cette conception de la responsabilité de chacun de nous devant tous (" chacun est responsable de tous ") apportent un réconfort, une certitude, un espoir fervent pour l’avenir. Antoine de Saint-Exupéry, homme d’action qui a écrit ce qu’il a vécu, témoigne d’une époque où l’homme sent lui échapper les dernières consolations religieuses et morales. Sa solitude et son destin lui apparaissent dans leur cruelle réalité. Probablement mieux que d’autres, il a su mesurer le grand vide spirituel qui caractérise le monde moderne. Il trouve cependant des raisons de vivre dans un humanisme qui a su traduire la modestie et la ferveur de son âme généreuse et échappe à l’horrible obsession de son temps qui consiste à vouloir changer l’homme.

    Ce poète est, en fait, un mystique en quête de l’essentiel et qui, comme le renard du Petit Prince, nous livre son secret : "on ne voit bien qu’avec le cœur. L’essentiel est invisible aux yeux ". Son message est donc un message d’humanisme, de solidarité entre les hommes, de retour à une spiritualité, de retour, en fait, à l’essentiel qu’il convient de méditer. "C’est l’esprit qui mène le monde et non l’intelligence".

    Quatre-vingts ans après sa disparition, son message reste d’actualité et devrait être médité, en particulier, par nos dirigeants politiques qui ont précisément perdu le sens de la responsabilité célébrée par Antoine de Saint-Exupéry pour réussir ensemble l’œuvre collective. On ne leur demande pas de donner leur vie pour la France comme il l’a fait – en seraient ils capables alors qu’ils ne songent qu’à leurs ambitions personnelles – mais d’œuvrer pour l’intérêt du pays et de son peuple au lieu de fracturer dangereusement la société et diviser les Français. La trêve politique "imposée" par le déroulement des Jeux olympiques sera de courte durée. Très rapidement la réalité reprendra le dessus et le sens du devoir et des responsabilités se rappellera à nos dirigeants. Devant le constat accablant de l’état de déliquescence de notre société auront-ils su prendre le recul nécessaire pour acquérir la capacité d’exercer cette responsabilité qui les oblige pour entreprendre et réussir l’œuvre collective? Le message transmis par Antoine de Saint-Exupéry reste une source d’espérance pour les temps actuels.

    Sera-t-il entendu?

    Général (2s) Antoine MARTINEZ

  • Pas damalgam!

    "Pas de récupération politique! ", martèle-t-on en réponse à chaque crime sanglant qui implique, presque par hasard, une personne issue de l’immigration. L’omerta est de mise dans la sphère médiatico-politique. La consigne viendrait même du cabinet du ministère de l’Intérieur, selon le magazine Causeur. Les éléments de langage sont préparés depuis Beauvau avant d'être redistribués aux élus locaux,

    Les Français sont condamnés aux marches blanches, en guise de manifestation contre l'ensauvagement. A Châteauroux comme à Romans-sur-Isère, ils sont des milliers à accompagner les parents endeuillés, pour exprimer leur colère et réclamer qu’enfin, les gouvernants se penchent sur la question des agressions et de la répartition des migrants dans toute la France. Certains ont fait plusieurs dizaines de kilomètres, sans connaître la victime, avec finalement un seul but: manifester dignement leur colère.

  • Les plus gros bobards réchauffistes flingués par la science

    Des mensonges, il y en a tellement qu’il a fallu faire un tri. Mon choix a été guidé par des articles ou des liens qui m’ont valu d’être banni d’Agoravox, Facebook et Twitter. Sans doute parce que j’énonçais des vérités dérangeantes. Insupportables pour les mystificateurs.

    CHANGEMENTS CLIMATIQUES RAPIDES DU PASSE

    La supercherie consistant à présenter le léger réchauffement climatique du XXe siècle comme un fait unique est d’autant plus patente que la science démontre aujourd’hui qu’il y a 15 000 ans des changements climatiques très brutaux, probablement liés à des modifications de l’intensité solaire, se sont produits à deux reprises dans l’hémisphère Nord, selon une étude publiée par la revue "Science".

    Le climat a d’abord basculé il y a 14 700 ans avec une augmentation des températures de plus de 10 degrés Celsius, en seulement 3 ans! Puis, après un nouveau coup de froid, une hausse équivalente s’est produite il y a 11 700 ans, à la fin de la dernière période glaciaire.

    "Des analyses des isotopes d’oxygène emprisonnées dans des carottes de glace du Groenland ont montré que ces renversements climatiques se sont produits aussi abruptement que si quelqu’un avait soudainement appuyé sur un bouton" souligne Dorthe Dahl-Jensen, de l’université de Copenhague, co-autrice de l’étude avec des chercheurs japonais et français du CEA et du CNRS.

    N’en déplaise aux réchauffards qui nient l’influence des variations solaires sur le climat, les glaces ont conservé des marqueurs isotopiques des éruptions et super-éruptions du soleil, correspondant à des bouleversements climatiques rapides. La dernière période glaciaire s’est donc achevée de manière très brutale, avec deux épisodes de réchauffement intense interrompus par une brève période froide. Le tout, évidemment, en l’absence de tout dégagement de gaz à effet de serre (CO2, méthane…) d’origine humaine.

    Sur des temps plus courts, la dendrochronologie (étude des cernes des arbres y compris ceux pétrifiés), considérée comme une des meilleures méthodes de datation utilisées en archéologie pour les périodes remontant jusqu’au Mésolithique (environ 9000 ans B.P) enregistre des cycles climatiques extrêmement brutaux et rapides, en plus chaud, plus froid, plus humide, plus sec… L’optimum médiéval, attesté par les chroniqueurs de l’an mil et les Vikings au Groenland, mais aujourd’hui nié par les idéologues, et le petit âge glaciaire sont les derniers en date.

    GLACIERS DE L’HIMALAYA

    En 2010, le GIEC a diffusé une étude prospective affirmant que tous les glaciers de l’Himalaya auraient fondu d’ici à 2350. La plupart des glaciologues de montagne tiennent cette évaluation pour hautement improbable. Les astrologues du GIEC ont alors délibérément interverti les chiffres pour annoncer la fin du dernier glacier himalayen en 2035!

    Ainsi le GIEC a écrit dans son rapport AR4 qu'"au rythme actuel, les glaciers de l’Himalaya auront reculé de 500 000 km2 et disparu d’ici 2035". Un rapport d’une nullité crasse selon Current Science.

    Les glaciers de l’Himalaya occupent une surface totale de 60000 km2. Cela figure toujours dans les manuels scolaires, là où l’école à l’ancienne perdure… Une enquête a établi que l’étude menée par des "experts éminents qui passent à la télé" avait été publiée par le WWF, le fonds pour la préservation de la faune sauvage, ami des tourterelles, des lémuriens et des pandas. Lequel n’a aucune compétence en matière de glaciologie et dont le siège social se trouve en Suisse à Gland (ça ne s’invente pas!).

    Derrière ces incohérences, un nom apparaît de façon récurrente: celui de Rajendra Pachauri. Cet Indien décédé début 2020 était ingénieur ferroviaire!

    Comme l’écolo Jouzel est ingénieur en réacteurs nucléaires… La climatologie a dû être leur violon d’Ingres.

     

    Pachauri -patron du GIEC indien- était aussi président du TERI (The Energy and Resources Institute) une entité liée au groupe industriel Tata: aciéries, usines de fabrication de véhicules, centres de télécoms, commerce agroalimentaire, holdings financières… Pour un chiffre d’affaires de l’ordre de 150 milliards de dollars US. La préoccupation réchauffiste de Pachauri relève d’une vocation vraiment tardive!

    Un de ses anciens comparses, Sri Murai Lal, a affirmé au Daily Mail que les rédacteurs du GIEC savaient parfaitement que les prévisions concernant les glaciers de l’Himalaya étaient erronées mais considéraient que le discours sur la fonte des glaciers servait à encourager les décideurs politiques à passer à l’action. Et à la caisse.

    MACRON GATE N°1 OU WATERWORLD POUR LES NULS

    Le 21 septembre 2017, le parti politique du Conducator publie sur son site une page bourrée de chiffres effrayants sur les risques du réchauffement climatique. Calculés par Bulot Le Maire, ancien ministre de l’Agriculture, qui ne sait pas combien il y a de m2 dans un hectare?!!

    Les "experts" du Président affirment que 7.800.000 litres de glace fondent chaque seconde en Antarctique. Présenté de la sorte, ça fout la trouille (c’est d’ailleurs le but recherché) Mais 7800 m3 multipliés par 31.536;000 secondes, cela fait 246 milliards de m3 fondant chaque année. Or le volume total de glace du pôle Sud est de 24 millions de milliards de m3. Donc le chiffre des experts macronards représente 0,001 % du total de ces glaces polaires.

    En outre la NASA en 2015 affirmait que "les gains de masse de l’Antarctique sont supérieurs aux pertes". Les chiffres présentés par la cellule élyséenne correspondent uniquement à la fonte, en oubliant les gains. Si on rétablit la balance, la perte annuelle représente, dans l’hypothèse la plus défavorable, 246 km3 de glace.

    C’est du même ordre de grandeur que les calculs d’une autre étude de la NASA chiffrant en 2016 à 232 km3 la fonte de la banquise. Compensée par un gain moyen de 245 milliards de tonnes de glace annuels.

    Or la surface totale des océans est de 360 milliards de km2. La fonte de la glace continentale impacterait la montée des eaux de 0,68 mm par an, soit 7 cm par siècle… Nonobstant les mouvements vers le haut de la lithosphère et les apports des alluvions fluviaux et sédiments marins. Ainsi pour les satellites de la NASA, la fonte actuelle produit une hausse observée du niveau des mers de 0,4 mm/an, soit 4 cm par siècle…

    Tandis que la glace arctique, si elle fondait, ne ferait pas plus monter le niveau des mers qu’un glaçon ne fait déborder votre verre de whisky on the rocks.

    AMAZONIE GATE

    Un rapport du GIEC prétendait que 40 % de la forêt amazonienne souffrait gravement d’une baisse des précipitations causée par le prétendu réchauffement global. La source émane encore du WWF et de l’IUCN, une autre organisation inter-gouvernementale dont le siège se trouve aussi à Gland (décidément ils le font exprès !) Tandis que l’article alarmiste mis en avant par le GIEC a été écrit par un éditorialiste politique et un pigiste, écologiste activiste, selon le Daily Telegraph.

    L’article de ces deux propagandistes donne pour unique source une étude de "Nature", revue scientifique sérieuse mais qui n’est pas hermétique aux pressions des réchauffards. Or le GIEC a choisi de ne pas mentionner cette revue qui lui est plutôt favorable. Pourquoi?

    Jacques Duran, décédé en 2018, directeur de recherches au CNRS et patron de l’Institut supérieur de physique de Paris, auteur de "Pensée scientifique unique" un ouvrage aujourd’hui introuvable, expliquait que l’article de "Nature" évoquait une perte de biomasse provoquée par la déforestation et les feux de forêts, mais en aucun cas liée à une diminution du niveau des précipitations.

    MACRON GATE N° 2 PROMENONS-NOUS DANS LES BOIS

    Toujours en 2017, repris en 2018, le site "En Marche" affichait un chiffre apocalyptique sur une image stressante: 1 km2 de forêt disparaît à chaque seconde!

    Sachant qu’il y a 31.536.000 secondes/an, hors années bissextiles, une telle cadence anéantirait 31 millions de km2, soit 25% de la couverture végétale des terres émergées chaque année.

    En mai 2021 la Terre aurait dû ressembler à la planète Mars!

    Quant à "l’inéluctable accélération du processus de destruction"» selon les macronards, cette prédiction est démentie par le professeur émérite David South de l’université d’Alabama qui, auditionné en 2018 par le sénat US rappela que si 2017 avait vu brûler environ 6 millions d’hectares… en 1930 on en avait dénombré 21 millions partis en fumée!

    Dans le même ordre d’idée, la Banque mondiale, qui finance des filières bois, affirme dans une étude documentée qu’entre 1990 et 2010 la part des forêts naturelles sur l’ensemble des continents est passée de 31,8% à 30,8% avant de remonter au dessus de 32% tandis que les forêts d’exploitation et les surfaces cultivées s’accroissaient, gagnant sur les déserts.

    En effet les forêts représentent environ 45 millions de km2 sur des 150 millions des terres émergées. Les marcheurs se sont encore mélangé les pinceaux! Une diminution de 1% en 25 ans correspond à une perte de 0,45 millions de km2. Soit 18 000 km2/an. On est loin du chiffre mis en avant par ces marcheurs qui voulaient vous faire marcher.

    L’hypothèse d’une telle erreur est peu vraisemblable. Même si leur comité scientifique a repêché des universitaires à la ramasse confinés dans des tâches administratives. On pense plutôt à une tentative d’enfumage pour récolter des fonds. Les zélites visées devaient donner 500 € minimum pour "sauver la planète".

    Le double pour être invités aux apéros saucisson-pinard dans les préfectures. Et paraît-il, avec dix fois plus, on gagnait le droit de voir Brichelle dans les jardins de l’Élysée.

    Christian Navis

    https://climatorealist.blogspot.com

     

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