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  • Petites histoires extraordinaires

    États-Unis : à froid extrême, petites histoires extraordinaires

    Pour voir les vidéos, URL en fin de note

    VIDÉOS - La vague de froid qui frappe le nord de l'Amérique depuis une semaine n'a pas apporté que des flocons et du verglas. Avec elle, son lot d'histoires insolites.

    L'ours polaire de Chicago ne supportait pas le froid

    À Chicago, où les grands lacs ont gelé, l'ours blanc du zoo municipal a dû regagner son abri. Anana, l'ours polaire du Lincoln Park Zoo a renoncé à «ses plongées fréquentes dans la piscine extérieure» de son enclos, comme le signalent les responsables du parc, pour rentrer se mettre au chaud. Même ce grand prédateur des régions arctiques reste habitué à des températures plus clémentes. Mardi, sur les rives du lac Michigan, le mercure avoisinait les -37°c. De la glace, sans glace

    Un froid extrême peut présenter des avantages inattendus. Mardi, New-York battait un record de température , les thermomètres affichant -15,5°c dans Central Park. Pour trouver un relevé comparable, il faudrait remonter à 1896. Le chef Jansen Chan, enseignant au prestigieux Centre culinaire international (ICC), peut désormais réaliser en quelques minutes, en pleine rue, des glaces au chocolat, sans avoir à se servir d'un réfrigérateur. Une recette inédite, et qui semble du goût des passants.

    Un fugitif se rend parce qu'il a trop froid

    Le froid a aussi rendu service aux forces de l'ordre du Kentucky. Robert Vick purgeait au centre carcéral de Lexington une peine de onze ans pour vol et recel de contrefaçons, avant de s'évader dimanche. Mais le malfaiteur, âgé de 42 ans, aura jugé qu'une cellule de prison valait mieux que les bourrasques glacées qui balayent l'État. Alors que la température tombait à -20°c, Robert Vick, s'est rendu lundi dans un motel pour contacter la justice et indiquer qu'il se rendait, le froid ayant eu raison de sa cavale, comme le rapporte CBS. Après un examen médical, il a pu regagner sa prison chauffée.

    http://www.lefigaro.fr/international/2014/01/08/01003-20140108ARTFIG00466-etats-unis-a-froid-extreme-petites-histoires-extraordinaires.php

  • D'étranges lumières lors des tremblements de terre

    D'étranges lumières lors des tremblements de terre

    Des chercheurs canadiens et américains ont identifié dans quelles conditions particulières des luminosités atmosphériques pouvaient être produites par des séismes.

    Longtemps considérées comme des légendes ou des hallucinations visuelles, les manifestations lumineuses qui accompagnent certains tremblements de terre sont des phénomènes très crédibles, expliquent des géologues canadiens et américains dansSeismological Research Letters. Les chercheurs ont recensé les 65 témoignages les plus sérieux de ces phénomènes rares et se sont aperçus qu'ils se produisaient le plus souvent au-dessus de failles verticales, en plein continent, loin des failles de subduction où une plaque tectonique glisse sous une autre.

    Des bandes et colonnes lumineuses sortant du sol

    Les lumières peuvent être émises avant, pendant et après les séismes,et elles prennent des formes assez variées. «On identifie 4 grandes familles de luminosités sismiques», raconte Robert Thériault, géologue au Ministère des ressources naturelles du Québec et premier auteur de l'étude. «La première ce sont des sphères lumineuses, qui sont soit statiques soit en mouvement dans le ciel, la deuxième rassemble des luminosités atmosphériques, des flashs rapides et brefs, et aussi des illuminations visibles sur plusieurs kilomètres. La troisième forme ressemble à des sortes de flammes qui sortent de terre, mais ce ne sont pas des combustions car elles n'émettent pas de chaleur. Enfin, en dernier, il existe aussi des bandes ou des colonnes lumineuses qui sortent du sol.»

    L‘origine de toutes ces luminosités sismiques est encore loin d'être identifiée, mais l'hypothèse la plus sérieuse semble d'origine électrique. La libération brutale de charges électriques provoquées par des glissements de roches cristallines remontent en surface et ionisent l'air ambiant, un peu à la manière d'une lampe fluorescente. «Ce type de phénomène a été imaginé et vérifié en laboratoire, à une échelle réduite, par l'un des co-auteurs de l'étude, Friedemann Freund, du centre Ames de la Nasa en Californie,» précise Robert Thériault.

    Des vies sauvées à l'Aquila en 2009

    Le fait que les lumières associées aux séismes se produisent dans 97% des cas au dessus de failles presques verticales dans la croûte continentale s'expliquerait alors par le fait qu'elles offriraient le chemin le plus direct pour permettre aux charges électriques de remonter à la surface. «Les failles de subduction, comme celle au large du Japon, se trouvent pour leur part au large, sous des centaines de mètres d'océan, qui empêcheraient de toute façon les charges électriques d'atteindre la surface,» remarque Robert Thériault.

    Le chercheur québecois espère que ce type de phénomène, qui reste rare, et serait associé à moins de 10% des séismes dans le monde, fera à l'avenir l'objet de plus nombreuses recherches scientifiques. La connaissance de ce type de luminosité inhabituelle a en tout cas sauvé la vie d'un Italien habitant de l'Aquila, raconte Robert Thériault. En 2009, en voyant ce type de flamèches jaillir du sol dans les rues de la ville depuis les fenêtres de sa maison, il a tout de suite réagit en sortant et mettant sa famille à l'abri, deux heures avant la secousse majeure qui rasa la presque totalité de l'ancienne cité.


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    Des boules lumineuses ont été visibles lors d'un séisme près du lac Tagish à la frontière entre le Yukon et l'Alaska au début des années 1970. Elles faisaient environ 1m de diamètre. Les plus éloignées sont indiquées par des flèches. Crédits photo : Jim Conacher

  • Comme dab', les toulousains sont les meilleurs! :-)

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    La voiture volante d'un Toulousain est sur le point de décoller

    L'aéronef de l'avenir ressemble plusà un avion biplace qu'à la Zorglub Mobile ou à l'auto de "Retour vers le Futur"

    Un ingénieur toulousain prévoit de commercialiser une voiture volante avant la fin de la décennie. Motivé comme jamais, Michel Aguilar espère révolutionner la circulation de demain.

    La frontière entre l’imaginaire et la réalité est parfois infime. Depuis 2007, un ingénieur toulousain s’est lancé dans le pari fou de créer la première voiture volante. Grâce aux compétences acquises dans sa carrière, il peut concrétiser son rêve d’enfant.

    "Lorsque j’étais gamin j’étais abonné à Spirou et Fantasio. Très vite j’ai été captivé par la voiture du professeur Zorglub, la Zorglub Mobile, prototype de voiture volante", confie, un brin nostalgique cet ancien ingénieur du centre DGA Techniques Aéronautiques désormais à la tête de Xplorair. À la lecture de ces lignes, "la génération 80" fera certainement le parallèle avec les modèles aperçus dans la trilogie "Retour vers le futur", chef-d’œuvre cinématographique des années quatre-vingts. S’il avoue s’en être inspiré, il ne faut pas se tromper. L’aéronef du futur ressemble plus à un avion biplace qu’à ces voitures volantes qui carburaient aux déchets en tout genre. "L’aéronef s’apparente plus à un avion. Mais j’avoue que certains films m’ont inspiré.

    Un projet validé par le CNRS

    Du coup, on essaie de le faire marcher avec du méthane ou du carburant bio. Il est évident qu’il faut prendre en compte les éléments environnementaux", estime de nouveau celui qui vient tout juste de souffler ses soixante-quatre bougies.

    "À la fin de l’année 2013, le thermo-réacteur a été validé par un grand laboratoire du CNRS et un grand motoriste français", précise Michel Aguilar. Si le projet paraît incroyable, il n’en demeure pas moins réaliste. En effet cet ancien pensionnaire de la DGA a tout prévu : "Je peux déjà vous dire que ce biplace ne volera pas au-delà de 3 000 mètres d’altitude. Au sujet de l’environnement, même si je ne m’en occupe pas, je pense qu’il est possible d’imaginer une station de ravitaillement volante. Cette dernière pourrait tenir en impesanteur avec des ballons", imagine une nouvelle fois ce visionnaire. Pour lui, le fonctionnement de ce véhicule volant est simple. "Il décolle à la verticale et peut aller jusqu’à deux cents kilomètres/heure", s’enthousiasme-t-il, avant de conclure : "Concernant les pannes de carburant, elles sont interdites puisque l’on est prévenu bien avant. En plus, l’Aéronef peut se poser n’importe où. Si on arrive à le commercialiser, ce sera une grande avancée" !

    Le chiffre : 2017

    Démonstration > Salon du Bourget. Xplorair ne se laisse que trois petites années avant de faire une démonstration au salon du Bourget. Le prix de ce drone pour particulier devrait s’échelonner entre 50 000 et 100 000 €

    La Chine en Pole

    En dehors de la machine elle-même, plusieurs facteurs doivent être pris en compte. Notamment celui de l’aménagement des routes, secteur qui engendrera beaucoup de travaux. "Pour le moment les Européens ne sont pas trop partants. En effet, ici les infrastructures sont trop avancées et ont demandé trop d’investissements pour les abandonner", confie le directeur de Xplorair. Pour cette raison, il compte se tourner vers des pays plus aptes à faire évoluer leurs voies de communication. "La Chine est intéressée. Ils ont compris l’intérêt de réduire les coûts d’infrastructures. Ils sont plus malins. Je dois avouer que ce sont eux qui me suivent le plus", conclut-il.


  • Après l'ouragan, il trouve un ticket gagnant d'un million

     

    Un jeune jardinier qui avait trouvé un ticket de loterie en novembre 2012, après l'ouragan Sandy, vient de récupérer 1 millions de dollar de gain.

    "Qui ne tente rien, n'a rien". Marvin Rosales-Martinez est en train de faire mentir le proverbe. Lui n'a pas eu à jouer pour empocher le million de dollars de la loterie.

    Ce jardinier new yorkais est au travail, après le passage de l'ouragan Sandy, en train de ramasser les feuilles mortes. Il tombe alors sur un ticket de loterie à gratter. " Mon collègue était en train de souffler les feuilles tandis que je les ramassais lorsque j’ai vu un ticket apparaître entre les feuilles humides. Je ne sais toujours pas pourquoi je l’ai ramassé ", raconte-t-il au New York Post.

    C'est un ticket complètement mouillé qu'il décide de ramener chez lui. Une fois séché, il gratte le ticket et découvre qu'il est l'heureux gagnant d'un million de dollars.

    Enquête de plus d'un an

    Face à son récit, la loterie, dubitative, a vérifié la version du jeune homme. Après un an d'enquête, il s'est enfin vu attribuer les gains par l'institution, soit 779 106 dollars après le paiement des taxes.

    Lui et sa femme, qui habitent toujours avec sa mère une maison de Hicksville, ravagée par l'ouragan, vont pouvoir investir dans un nouveau toit. Il aidera également sa mère à enfin réparer son lieu de vie.

    Attention, pas question de flamber pour Marvin, qui entend "continuer à travailler six jours sur sept", peut-être en "changeant de job et en devenant conducteur de camion". En tout cas, il tient à "garder une vie normale".

  • Elle tombe enceinte après une fellation

     

    L'histoire est parue pour la première fois dans le British Journal of Obstetrics and Gynaecology. La revue Sciences et Avenir remet ce fait étonnant en lumière: une jeune femme sans vagin âgée de 15 ans est tombée enceinte après une fellation.

    L'histoire, qui se déroule en 1988, se passe en Afrique. La jeune femme, impliquée dans une rixe entre son ex-petit ami et son actuel, a été blessée à la partie supérieure de l'abdomen. Les coups de couteau reçus lui ont troué l'estomac. Elle est opérée rapidement.

    Neuf mois plus tard, cette jeune femme souffrant d'aplasie vaginale distale, soit d'une absence quasi-totale de vagin, celui-ci ne s'étant pas développé, se représente à l'hôpital. Elle souffre de fortes douleurs abdominales et accouche, à la surprise générale, d'un petit garçon de 2,8 kilos dans les heures suivantes.

    Après étude approfondie de la question, il s'avère que la jeune femme avait fait une fellation à son petit ami le jour de la bagarre. C'est justement ça qui l'avait provoquée. Le sperme contenu dans l'estomac est passé dans la cavité abdominale suite aux blessures et a gagné un des deux ovaires. La revue Sciences et Avenir précise: "Les spermatozoïdes ne peuvent survivre dans un environnement à faible pH, mais la salive a un pH élevé et l'estomac, vide, de la patiente n'avait pas un pH acide. Tout ceci a pu contribuer à la survie des gamètes mâles."

    Le médecin qui rapportait cette histoire en 1988 indiquait alors, deux ans et demi après la naissance du bébé que sa ressemblance avec le père excluait une conception "encore plus miraculeuse".