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  • Journalistes analphabètes...

    dans la série: les pignoufs sont aussi à la télé...

     

    Ce matin, à 5 h 55, sur BFM télé: la présentatrice météo nous informe que la journée

    "sera perturbée par desaverses zorageux"...

     

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    "C'est du français beaucoup" comme dit ma fille!

     

     

  • Etats-Unis : spamé par son... frigo

    Un réfrigérateur et plusieurs téléviseurs auraient envoyé 750.000 spams et mails frauduleux en décembre-janvier.

    Une société de sécurité américaine a repéré ce qui pourrait être la première cyberattaque via des objets connectés. De fin décembre à début janvier, des centaines de milliers de spams et d'emails frauduleux ont été envoyés par des pirates qui se sont introduits dans des téléviseurs et au moins un réfrigérateur. Les objets connectés, de plus en plus nombreux dans notre environnement, sont très mal protégés contre les intrusions.

    Il le croyait innocent, accueillant même. Le réfrigérateur, cet ami du quotidien. Celui qui maintient au frais son soda préféré, qui veille avec zèle sur le coleslaw, qui permet de ne pas aller chercher une vache à chaque fois qu'on a envie d'un steak. Quelle n'a pas dû être la surprise, le chagrin même de cet Américain en se découvrant trahi. Un bandit informatique s'était installé dans cette cuisine, où chaque matin, il pénétrait sans méfiance en pyjama, l'esprit tout embrumé. Un frigo transformé en pirate du net, de quoi inspirer un nouveau filon aux scénaristes hollywoodiens. Pire qu'un colocataire psychopathe ou que l'hôtel qui rend fou. On imagine déjà Jack Nicholson dans le rôle.

    750.000 spams lancés par des télés

    Ce réfrigérateur cyborg a été repéré par la société californienne de sécurité Proofpoint. Elle affirme avoir mis à jour la première cyberattaque via des objets connectés de l'histoire de l'informatique et même de l'histoire tout court. Selon Proofpoint, ce sont surtout des téléviseurs qui ont été utilisés par les pirates et donc, au moins un réfrigérateur. Entre le 23 décembre et le 6 janvier, ces traitres au visage familier auraient en douce envoyé 750.000 spams à des entreprises ou des individus à travers le monde. Difficile dans ces conditions de repérer rapidement la source de la cyberattaque.

    Faible sécurité

    A vrai dire, les spécialistes de la sécurité informatiques prédisaient qu'une telle attaque aurait lieu en 2014. Les objets connectés ou intelligents, c'est en effet la grande tendance du web : des blousons, des thermostats, des réveils, des brosses à dents, des serrures, des boîtes à pilules, des voitures. La liste des objets connectés à internet ou à des smartphones promet d'être de plus en plus longue. le problème, comme souvent avec les innovations technologiques, c'est que le développement avance plus vite que la sécurité. Et celle des objets connectés a encore un très faible niveau. "Il est impossible de mettre un logiciel de sécurité sur chaque objet", prévient David Orain, du groupe informatique Cisco.

    Des mots de passe pour tout ?

    Les spécialistes appellent donc les consommateurs à ne pas oublier d'utiliser des mots de passe : "On doit être un consommateur intelligent quand on utilise un appareil intelligent", philosophe un formateur américain. Mais s'il faut un mot de passe pour chaque objet du quotidien, le frigo mutant fera peut-être figure de moindre mal le jour où son propriétaire, toujours en pyjama, se retrouvera assis en pleurs devant. Tentant désespérément depuis plusieurs heures de se souvenir du bon mot de passe pour l'ouvrir.

  • Bien évidemment, ça se passe en France, de nos jours...

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    Ville: Melun

    Pourquoi faire simple quand on peut compliquer la vie des Français????

    Automobiliste tu rouleras à 30 Km, pas plus!

     

    Finalement, tout ça c'est:

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  • de Nantua?

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  • Ho, là, là, là... c'est MAGNIFIQUE!

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  • Répliquez aux sexistes...

    Sexiste?

    " - Chez moi, c’est l’égalité, je m’occupe de la vaisselle.

    - Ah ! super. Et le linge, l’aspirateur, les toilettes, la poussière, la cuisine, les poubelles, les course, c’est toi aussi ? "

    " - Pourquoi n’arrêterais-tu pas de bosser pour profiter de tes enfants ? Après tout, ton mec gagne bien sa vie.

    - Super idée ! Comme ça, en cas de divorce, je pourrais concilier galère de tunes et tâches ménagères. "

    " - Mais les femmes, ça les intéresse pas la programmation.

    - Ah ! désolée, j’ignorais qu’il fallait un pénis pour taper sur un clavier ".

    " - On m’a dit que vous étiez lesbienne, ce n’est pas possible, vous êtes bien trop jolie !

    - Tiens, c’est marrant, on m’a dit que vous étiez un bon coup, et j’ai aussi pensé que ce n’était pas possible ! "

    "  - Je te trouve mieux sans tes lunettes.

    - Moi aussi, je te trouve mieux sans mes lunettes ! "

    " - Vous allez nous faire le café, comme vous êtes la seule fille…

    - Vous savez, depuis Goerges Clooney, on n’a plus besoin d’être une fille pour savoir faire le café ! "


    ... et, si comme moi vous êtes restée célibataire et qu'un individu se comporte mal, essaie de vous bloquer ou essaie de vous convaincre qu'il a raison, voici ma réponse:

    "Si j'avais voulu que l'on me donne des ordres, je me serais mariée!..."

    Ou bien: "Je ne suis pas votre femme, vous ne me ferez pas taire..."

    ou "Je ne suis pas votre femme, vous ne me ferez pas faire ce que je n'ai pas envie de faire"

    et souvent je rajoute, afin d'enfoncer le clou: "Je ne suis ni votre mère, ni votre sœur, ni votre femme et c'est moi qui décide pour moi!"

    les yeux bien droits, direct dans la figure du bonhomme!

  • Parfois, il faut vous remettre les pieds sur terre...

    Frédéric Bastiat est né à  Bayonne, il y a quelques 210 an, le 30 juin 1801. Sa famille était prospère, ayant réussi comme importateurs et banquiers. Il participa lui-même aux affaires familiales pendant quelques années aux alentours de ses vingt ans, mais sans aptitude évidente, et lorsqu’il hérita du domaine de son grand-père en 1825, à l’âge de 24 ans, il s’installa dans la routine et le style de vie d’un " gentleman farmer ". Il se dédia aux études, spécialement en économie politique, en relation à des questions qui lui étaient venues à l’esprit par sa propre brève expérience des affaires. Il employa des tiers pour conduire ses affaires, ce qui le fit prospérer.

    Pendant les 20 années suivantes, c’est ainsi qu’il vécut – lisant sur l’économie politique en français, anglais et italien (les trois langues que Bastiat pouvait qualifier de siennes), réfléchissant, prenant des notes et perfectionnant graduellement sa compréhension de ce que Ludwig von Mises nommerait plus tard la praxéologie, les principes sous-jacents à l’action humaine. Puis, un jour de la fin des années 1830, Bastiat lui-même largement trentenaire, à la lecture des journaux anglais il découvrit une nouvelle organisation extraordinaire dénommée la " Anti-Corn Law League " (la Ligue Contre la Loi Céréales). Elle était gérée par un homme d’affaire de Manchester devenu activiste politique du nom de Richard Cobden, et cherchait à mettre fin aux politiques protectionnistes du Royaume Uni pour les remplacer par un véritable libre échange avec toutes les nations. Cobden croyait que ceci tisserait des liens commerciaux plus forts avec les autres États et, virtuellement, garantirait une paix durable avec ces autres États.

    Bastiat fut impressionné. Il était arrivé aux mêmes conclusions quant au bénéfice de la suppression des barrières au commerce imposées par l’administration. Mais il n’avait jamais considéré de vraiment tenter de réussir la mise en œuvre de telles idées. Cobden était en train d’entreprendre une telle tentative. Ainsi, alors que Bastiat continuait à suivre les activités de la Ligue sur les années suivantes, il lui devint clair que Cobden connaissait un succès de niveau considérable dans ses efforts. Rien de tout cela n’était couvert ou discuté du tout par les journaux de France.

    Bastiat croyait que le public français devait être informé de ce qui se passait en Angleterre. Il croyait aussi qu’il devait être informé des raisons faisant que les taxes douanières l’empêchaient de profiter d’un niveau de vie aussi haut que possible. A cette fin, il était devenu journaliste à temps partiel, écrivant sur les questions économiques pour des quotidiens et hebdomadaires, surtout à Paris. Dès lors il fit ses bagages et partit pour l’Angleterre où il se prit d’amitié avec Richard Cobden, qu’il interrogea longuement sur ses idées et ses activités. Il s’entretint avec d’autres personnes également. Puis il rentra en France pour écrire un livre.

    Le livre était intitulé " Cobden et la Ligue ". Il fut publié en 1845, alors que Bastiat n’avait pas tout à fait 44 ans. Comme Jim Powell le raconte dans son chapitre sur Bastiat dans son livre " The Triumph of Liberty " (" Le Triomphe de la Liberté "), " Cobden et la Ligue " prit tous les journalistes français par surprise. Cela redoubla clairement la demande d’articles à Bastiat, dont il reprit 22 articles en un autre livre, " Sophismes Économiques ", pour publication cette même année.

    En 1846, Bastiat était devenu éditeur de son propre titre, " Le Libre-Échange ". À cette époque, il avait également commencé à beaucoup voyager en France, donnant des conférences et tenant des discours pour tenter de lever des fonds pour une Association du Libre Échange, sur le modèle de la Ligue de Cobden. George Roche nous apprend que les articles et livres de Bastiat avaient commencé à être " imprimés à l’étranger en plusieurs langues " et que régulièrement il " recevait des invitations pour s’exprimer à travers le continent ". Et au début de 1848, selon Roche, alors que Bastiat avait 46 ans, il publiait un journal hebdomadaire,  "La République Française ", qu’il avait créé virtuellement le jour après que son hebdomadaire précédent, " Le Libre-Échange " eut cessé sa publication. De plus, il "s’exprimait lors de réunions, correspondait avec des associations de libre-échange qui se formaient en province et rédigeait des lettres et des articles polémiques dans différents journaux."

     

    Mais la fin était proche. Bastiat avait contracté la tuberculose et au bout du compte ne put jamais prendre le repos indiqué comme essentiel par son médecin pour une quelconque guérison. Au contraire, il dépérissait graduellement. Pris d’un point de vue extérieur au sien, c’était comme s’il se consumait de l’intérieur. Guère étonnant qu’au 19ème siècle la tuberculose était communément appelée " consumation ". Bastiat fut entièrement consumé à Noël 1850 ; il décéda le 24 décembre de cette même année, à l’âge de 49 ans.

    Il laissa derrière lui assez de journalisme pour remplir sept volumes – la plupart, comme tout grand journalisme intellectuel, sans prise au temps, aussi pertinent aujourd’hui que ça l’était dans le Paris d’il y a plus de 150 ans.

    Frédéric Bastiat avait ce talent des plus rares, le talent de la vulgarisation de haute qualité

    Bastiat fit beaucoup pour éclairer l’opinion publique. Il était, comme Friedrich Hayek l’exprima, " un publicitaire de génie ". Il avait ce talent des plus rares, le talent de la vulgarisation de haute qualité.

    “Voilà comment, en France, une opinion prévaut, écrivit Bastiat. Cinquante ignares répètent en chœur une méchanceté absurde mise en avant par un plus ignare qu’eux ; et, pour peu que cette méchanceté abonde dans le sens de la vogue et des passions du jour, elle devient un axiome." (NdT: in Chapitre XVI des Harmonies Économiques, 1850)

    Une autre description pourrait-elle correspondre plus précisément à la manière dont il devint vite une vérité allant de soit que notre crise économique actuelle ici aux États-Unis a été causée par une réglementation insuffisante du secteur financier? Parlons de " méchancetés absurdes " ou de "chœur d’ignares" !“

    On sait, écrit Bastiat (NdT: in Propriété et Spoliation, 1848), que le nombre des places a toujours été croissant et que le nombre des solliciteurs s’accroît encore plus vite que le nombre des places. (…) Ce fléau est-il près de cesser ? Comment le croire, quand on voit que l’opinion publique elle-même pousse à tout faire faire par cet être fictif l’État, qui signifie une collection d’agents salariés ? (…) Bientôt il y aura deux ou trois agents salariés auprès de chaque Français, l’un pour l’empêcher de trop travailler, l’autre pour faire son éducation, un troisième pour lui fournir du crédit, un quatrième pour entraver ses transactions, etc., etc. Où nous conduira cette illusion qui nous porte à croire que l’État est un personnage qui a une fortune inépuisable indépendante de la nôtre ?

    Ces mots furent écrits au début de 1850 ; à part un seul changement mineur – le remplacement du mot " français " par le mot " américain " – ils auraient pu être écrits n’importe quand sur ces deux dernières années.

    Et Bastiat connaissait dès 1850 la réponse à la question " Où nous conduira cette illusion (…) que l’État est un personnage qui a une fortune inépuisable indépendante de la nôtre?"

    Il écrit que :

    “Sous la dénomination d’État, on considère la collection des citoyens comme un être réel, ayant sa vie propre, sa richesse propre, indépendamment de la vie et de la richesse des citoyens eux-mêmes, et puis chacun s’adresse à cet être fictif pour en obtenir qui l’instruction, qui le travail, qui le crédit, qui les aliments, etc., etc. Or, l’État ne peut rien donner aux citoyens qu’il n’ait commencé par le leur prendre."

    Pourtant, Bastiat tonne :

    “Quelle classe ne sollicite pas les faveurs de l’État? Il semble que c’est en lui qu’est le principe de vie. Sans compter la race innombrable de ses propres agents, l’agriculture, les manufactures, le commerce, les arts, les théâtres, les colonies, la navigation attendent tout de lui. On veut qu’il défriche, qu’il irrigue, qu’il colonise, qu’il enseigne, et même qu’il amuse. Chacun mendie une prime, une subvention, un encouragement et surtout la gratuité de certains services, comme l’instruction et le crédit. Et pourquoi ne pas demander à l’État la gratuité de tous les services ? Pourquoi ne pas exiger de l’État qu’il nourrisse, abreuve, loge et habille gratuitement tous les citoyens ?

    Bastiat est célèbre pour avoir dit que " l’État, c’est la grande fiction à travers laquelle tout le monde s’efforce de vivre aux dépens de tout le monde." (NdT: in L’État, 1848) Et de cette situation, il affirmait que "il n’y a qu’un remède: le temps. Il faut que les peuples aient appris, par une rude expérience, l’énorme désavantage de se spolier les uns les autres." (NdT: in Sophismes Économiques, Physiologie de la Spoliation, 1848)

    Ailleurs dans ce texte, il écrit que "il n’y a pas d’autre Panacée", "on trouve toujours qu’il faut que l’Opinion s’éclaire."

    Bastiat fit beaucoup lui-même pour éclairer l’opinion publique. Grâce à Leonard Read, il continue de le faire. Il était, comme Friedrich Hayek l’exprima, " un publicitaire de génie ". Il avait ce talent des plus rares, le talent de la vulgarisation de haute qualité. Il savait écrire clairement et avec persuasion sur des idées complexes et de façon qu’un débutant puisse le suivre ; pour autant, ceux de connaissance plus experte ne pouvaient rien trouver à critiquer ou rejeter à sa production.

    Et puis il y a depuis longtemps ceux qui croient que ce libéral français du début du 19ème siècle n’était pas " juste " un vulgarisateur, mais fit aussi beaucoup pour faire avancer la compréhension humaine de la vérité économique. Ludwig von Mises confirme dans les années 20 que la critique de Bastiat " de tous les protectionnistes et tendances associées reste non surpassée à ce jour. Les protectionnistes et interventionnistes n’ont pas été capables d’avancer un seul mot d’une réponse pertinente et objective. " Jörg Guido Hülsmann, le biographe de Mises, considère Bastiat comme " un précurseur des chercheurs actuels qui unifient droit et économie en une seule discipline. " Et Murray Rothbard, dans son " Austrian Perspective on the History of Economic Thought " (" Perspective Autrichienne sur l’Histoire de la Pensée Économique "), qualifie Bastiat de " théoricien politique, ou politico-économique, perspicace " qui " a été systématiquement ridiculisé et sous-estimé ", malgré le fait qu’il ait produit plus d’une " contribution importante à la théorie économique ".

    Une de ces contributions, selon Rothbard, fut sa fameuse fable de la "vitre cassée" qui:

    “réfutait brillamment le keynésianisme presque un siècle avant sa naissance. [Bastiat] y souligne trois niveaux d’analyse économique. Un garçon malfaisant jette un caillou sur la vitrine d’un magasin et casse la vitre. Alors que la foule se forme, l’analyste de premier niveau, le bon sens, commente l’événement. Le bon sens déplore la destruction de propriété due à la casse de la vitre et compatit avec le boutiquier qui doit dépenser son argent à réparer la vitrine.

    Alors, dit Bastiat, vient l’analyste du second niveau, sophistiqué ou que nous pourrions appeler proto-keynésien. Le keynésien avance : oh, mais vous autres gens ne vous rendez pas compte que la casse de la vitre est en fait une bénédiction économique. Car en ayant à réparer la vitre, le boutiquier revigore l’économie par sa dépense et fournit un travail bienvenu au vitrier et à ses ouvriers. La destruction de la propriété, en forçant à la dépense, stimule l’économie et a un "effet multiplicateur" revigorant sur la production et l’emploi. Mais vient alors Bastiat, l’analyste du troisième niveau qui souligne le mythe désolant de la position destructionniste proto-keynésienne. Le prétendu critique sophistiqué, nous dit Bastiat, se concentre sur " ce qu’on voit " et néglige " ce qu’on ne voit pas ". L’alambiqué voit que le boutiquier doit donner un travail au vitrier en dépensant pour réparer sa vitrine. Mais ce qu’il ne voit pas c’est l’opportunité perdue du boutiquier. S’il n’avait pas eu à dépenser pour réparer la vitre, il aurait pu accroître son capital et donc le niveau de vie de tout le monde et ainsi employer du monde dans une action de progression, plutôt qu’uniquement tenter de maintenir, du stock de capital. Ou bien, le boutiquier aurait pu dépenser l’argent pour sa propre consommation, employant ainsi du monde pour cette forme de production.

    De cette façon, l’économiste, l’observateur de troisième niveau de Bastiat, revendique le bon sens et réfute l’apologie de la destruction du pseudo-sophistiqué. Il considère ce qu’on ne voit pas tout autant que ce qu’on voit. Bastiat l’économiste est le véritable analyste sophistiqué.

    Et il l’est en effet – ou plutôt il l’était. Il peut bien être vieux de deux cent dix ans, ses idées sont jeunes à jamais.

    www.contrepoints.org/2011/09/29/48330-bastiat-pour-la-posterite

  • Avis aux enfoirés pédo!

    Mots clés du blog ce mois-ci et à ce jour

     

    J'informe les enfoirés qui cherchent des photos porno d'enfants sur ce blog que j'ai envoyé leur adresse IP à la police du net


    J'espère que vous crèverez de la bite! Je vous souhaite un bon cancer!

     

    Note de la rédactrice

     

     

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