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  • Satyre politique - 3

    Ci-git la FRANCE

     

     

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    Le français 2013

     

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    Et, en France, comme tout finit par des chansons!!!

     

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  • Satyre politique - 2

    Ci-git LA FRANCE

     

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  • Satyre politique

     

    Ci-git la FRANCE

     

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  • Toujours, un éléphant, ça trompe et ça fait mal!

    Seine-et-Marne : un homme de 84 ans tué par un éléphant

     ARCHIVES. L'éléphante Tanya a tué un joueur de pétanque d'un coup de trompe.   

    Un homme de 84 ans a été tué par un éléphant qui lui a donné un coup de trompe, ce dimanche en fin d’après-midi, à Lizy-sur-Ourcq (Seine-et-Marne).
    L’animal appartient au cirque d’Europe, qui était en représentation dans la commune pendant plusieurs jours. Vers 17 heures, l’éléphante qui se trouvait dans un enclos électrifié, a attrapé une bâche qu’elle a jetée sur les fils électriques avant de s’échapper.

    Elle s’est alors dirigée vers des joueurs de pétanque qui participaient à un concours sur la place de la République.
    C’est alors que l’animal a donné un coup de trompe à la victime. L'homme a été héliporté vers l’hôpital du Kremlin-Bicêtre (Val-de-Marne), où il est décédé pendant la nuit

  • La preuve que la connerie est plus forte que tout!

    A Limoux, l'exorcisée épouvante le voisinage

    Une séance d'exorcisme tapageuse a semé l'émoi à Limoux (Aude) où les cris de désenvoûtement ont fait croire au voisinage qu'un crime affreux se perpétuait tout près, ont indiqué les gendarmes dimanche.

    augmenter la taille du texte diminuer la taille du texte 

    Il était 21H20 vendredi quand les voisins de l'église évangélique la Délivrance ont été alertés par des hurlements déchirants et ont appelé les gendarmes.

    Sur place, les gendarmes ont découvert que ces vociférations n'étaient pas le fait d'une victime qu'on égorge, mais d'une fidèle réunionnaise qui, à leur arrivée, remerciait le Seigneur de l'avoir délivrée du mal.

    Les gendarmes sont repartis sans autre forme de procès en sorcellerie: "On n'a pas interpellé le démon et le démon n'a tué personne", explique-t-on au groupement de gendarmerie.

  • Y'a tellement de bêtises sur internet que cela devient navrant!

    Certains préfèrent les microbes à l’eau de Javel

    par Bernard Meunier - SPS n°304, avril 2013

    Depuis une vingtaine d’années, la peur des produits chimiques est devenue une angoisse permanente pour une très grande partie de l’opinion publique, y compris devant des produits de base, anciens, dont les qualités et les défauts sont parfaitement connus. De nombreuses associations ou organisations non gouvernementales se développent en jouant sur cette peur, facile à créer, en laissant penser que toutes les maladies que nous avons à affronter tout au long d’unevie qui s’allonge de plus en plus pourraient être liées en grande partie aux produits chimiques et à la pollution créée par ces mêmes produits chimiques. Ce n’est pas le cas, de nombreuses études épidémiologiques ont montré que les produits chimiques les plus dangereux, à l’origine de nombreux décès, sont les goudrons des cigarettes et l’éthanol des boissons alcoolisées. Il est toujours surprenant de constater que les groupes qui dénoncent les dangers des produits chimiques ont, vis-à-vis des jeunes, un discours sur les drogues et les mélanges de drogues trop souvent bienveillant. Toutes ces drogues qui agissent sur le système nerveux central seraient-elles dépourvues de toxicité ?

    Qu’était le monde sans produits chimiques ?

    Il est toujours possible de rêver à un monde sans produits chimiques : il a existé il y a plus de deux siècles et demi. La chimie n’existait pas en 1750, nous pourrons donc nous servir de cette période comme référence à un monde virginal, ne portant pas les souillures de la chimie et de son industrie. La population humaine est passée de 650 millions en 1750 (époque sans chimie) à 1,6 milliard en 1900, puis à 7 milliards en 2011 et devrait dépasser le chiffre de 9 milliards vers 2050. Cette explosion démographique s’est faite grâce au développement considérable des sciences et des techniques tout au long des XIXe et XXe siècles et aux progrès de l’hygiène, des sciences médicales et de l’éducation.

    Cette augmentation brutale de la population au cours des 150 dernières années ne s’est pas effectuée sans que l’on constate des dégradations importantes sur la flore et la faune et sur la modification des paysages et des espaces. L’urbanisation massive des populations depuis le milieu du siècle dernier amène de plus en plus de personnes à une perte de contacts directs avec la nature, engendrant, en parallèle, une nostalgie et une vision sublimée du bon sauvage vivant en harmonie parfaite avec la nature.

    Dès lors que les besoins fondamentaux sont assurés, l’aversion du risque prend de plus en plus d’importance pour l’homme. Le cueilleur et le chasseur prenaient des risques pour survivre, l’homme des temps modernes en prend beaucoup moins en faisant ses achats dans un supermarché.

    Avec la diffusion rapide, au cours des années 1980-1990, de l’idée d’une nouvelle forme de civilisation dite " société post-industrielle ", de nombreux groupes sont maintenant là pour expliquer que tous nos malheurs viennent de l’industrie et des sciences qui servent à son développement. La physique serait responsable du développement des centrales nucléaires qui produisent l’électricité dont nous avons un besoin croissant, la chimie n’apporterait que la pollution et la biologie moléculaire est à l’origine du développement des OGM, ces organismes génétiquement modifiés dont nous ne voulons pas en Europe. Sur cette base, de nombreux groupes de pression, armés du drapeau vert de l’écologie, désignent toujours l’industrie comme l’ennemi à combattre, sans oublier les scientifiques qui sont maintenant considérés comme étant à la solde des groupes industriels.

    Faudrait-il avoir peur de l’eau de Javel ?

    Dans ce contexte, les marchands de peur aiment bien cibler les produits chimiques, toujours présentés comme des dangers pour l’homme. Dans ce propos, nous nous intéresserons à un " vieux " produit chimique dont il faudrait avoir peur selon certains : l’eau de Javel.

    L’histoire de ce produit commence en France, à la fin du XVIIIe siècle, à l’époque où Lavoisier, Fourcroy, Chaptal et Berthollet écrivent les plus belles pages de la chimie moderne qui est en train de se créer, avec une rigueur scientifique qui l’éloigne définitivement de l’alchimie. C’est l’intégration de la chimie dans les sciences exactes, aux côtés de la physique et des mathématiques.

    À la recherche d’un agent de blanchiment efficace pour les toiles de lin, comme alternative au blanchiment sur pré qui monopolisait de grandes surfaces aptes au pâturage, Claude-Louis Berthollet réussit, en 1789, à préparer l’hypochlorite de sodium (NaOCl). Il va mettre en place la production industrielle de ce nouveau produit chimique dans le petit village de Javelle, au bord de la Seine, en aval de Paris. Mais ce produit chimique ne va pas rester longtemps un simple agent de blanchiment des toiles de lin. Très vite, en 1793, le chirurgien Pierre-François Percy utilise ce produit pour lutter contre la " pourriture des hôpitaux " de l’armée du Rhin. L’eau de Javel est effectivement un agent de désinfection puissant, capable de détruire rapidement tous les microorganismes pathogènes (bactéries, virus et parasites). Bien avant l’arrivée des sulfamides et des antibiotiques, ce produit chimique est devenu l’un des bras armés de l’hygiène pasteurienne vers la fin du XIXe siècle. Son utilisation pour la désinfection des eaux, des locaux hospitaliers, des plaies, des instruments... est devenue universelle.

    À partir des années 1970, les choses changent, le dégoût de l’odeur forte de l’eau de Javel commence à s’installer dans un monde protégé des infections bactériennes par l’utilisation massive d’antibiotiques. De la réduction de son utilisation, on passe à son bannissement dans l’espace public : les sols des hôpitaux ne sont plus traités à l’eau de Javel. Pire encore, le produit est maintenant considéré comme dangereux, coupable d’être à l’origine de brûlures, de vapeurs toxiques, de la chloration des méthyl-cétones résiduelles des eaux potables.... La chloration de l’eau reste pourtant le meilleur moyen de la conserver dans les canalisations de distribution, permettant ainsi qu’elle reste potable dès l’ouverture du robinet. Les infections nosocomiales dues à des bactéries très résistantes aux antibiotiques tuent actuellement plus de 4 000 personnes par an dans les hôpitaux français, soit autant que les accidents de la route. Ne serait-il pas temps de réintroduire l’utilisation de l’eau de Javel comme désinfectant dans un hôpital témoin et de regarder l’impact sur le niveau des infections nosocomiales ?

    Internet démultiplie la désinformation

    En moins de trente ans, ce produit est devenu l’archétype du produit chimique dangereux. Sa consommation est en forte régression en Allemagne : 30 millions de litres en 2010, à comparer à 220 millions de litres en France pour la même année. Pour les jeunes générations, la dangerosité de l’eau de Javel est une évidence comme en témoignent les moteurs de recherche de la " toile ". En 2008, Google affichait 720 entrées pour " dangers de l’eau de Javel " contre 2 seulement pour " bienfaits de l’eau de Javel ". En avril 2012, ces chiffres sont respectivement devenus 9 890 et 7, et en janvier 2013 nous passons à 21 700 et 8. Très clairement les marchands de peur ont gagné ! Il est à craindre que la " toile " devienne le moyen le plus efficace et le moins coûteux pour diffuser toutes les contrevérités, contribuant au développement de toutes les psychoses collectives.

    Dire que les propriétés désinfectantes de l’eau de Javel ont sauvé des millions de personnes depuis plus de 150 ans est devenu tout simplement inaudible, en ce début du XXIe siècle. Deux événements récents ayant conduit à des pertes humaines importantes devraient pourtant nous déciller les yeux sur les vrais dangers du refus d’utilisation de l’eau de Javel.

    Eau de Javel ou bactéries, où est le danger ?

    L’aversion des Allemands pour l’eau de Javel peut conduire, en cas de crise sanitaire, à des erreurs de jugement à l’origine de nombreux décès. Prenons l’exemple d’une épidémie due à un mutant d’une bactérie banale en mai 2011 en Allemagne. Escherichia coli est présente dans tous les intestins des mammifères et ne montre pas de toxicité particulière. Par contre la souche mutante Eceh (pour E. coli entérohémorragique) produit des toxines dévastatrices pour l’organisme humain, les shigatoxines, capables de détruire les cellules des vaisseaux sanguins et des reins. Plus de 40 morts et des milliers de malades ont été à déplorer. Les premiers soupçons sur la source de contamination se sont portés très vite, trop vite, sur des concombres espagnols, avant que des germes de soja venant d’une ferme " biologique " allemande ne soient identifiés. Tout au long de cette crise sanitaire, personne n’a songé à revenir au bon sens de nos grands-parents en matière d’hygiène vis-à-vis de légumes venant de champs ou de jardins amendés avec des matières fécales. Il était d’usage, avant l’époque des antibiotiques, de mettre dans la première eau de lavage des légumes quelques gouttes d’eau de Javel, et de laisser reposer pendant une dizaine de minutes pour tuer les microbes. Cela permettait de manger des crudités en toute tranquillité ! Le rappel d’une telle pratique aurait évité de nombreux décès pendant les trois semaines nécessaires pour identifier la source de la contamination, sans avoir à mettre en difficulté d’innocents producteurs de légumes en Espagne. La " peur du chlore " l’a emporté sur la raison.

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    Eau de Javel ou choléra ? Une leçon à plus de 5 000 morts

    Les 40 morts du mois de mai 2011 n’ont pas servi de leçon pour le traitement de l’eau potable en Haïti à la même période. Il a fallu attendre plusieurs mois en Haïti avant d’utiliser des produits chlorés pour traiter les eaux des rivières contaminées par le déversement de tinettes de soldats de l’ONU, porteurs sains du choléra, envoyés pour aider les populations locales après le terrible tremblement de terre de janvier 20101. Principe de précaution oblige, de nombreux " responsables ", entourés de bouteilles d’eau importées, ont voulu protéger les populations haïtiennes, qui n’avaient que les rivières contaminées comme seules sources d’eau, des dangers de l’eau de Javel et des produits chlorés. Il aura fallu plus 5 000 morts, oui 5 000 morts, avant que l’on se décide à traiter les eaux avec des produits chlorés.

    Personne ne va assumer la responsabilité de ces décès. Il faut être conscient que la culture de l’irresponsabilité de comités, formés de personnes angoissées par le principe de précaution, ne faisant plus confiance aux scientifiques ni aux médecins et incapables de prendre des décisions, est maintenant à l’origine de nombreux décès, bien plus que les décès potentiels pouvant être attribués à un bon vieux désinfectant.

    La phobie de l’eau de Javel montre que dans les deux cas décrits ci-dessus, les inquiétudes se portent sur la mortalité potentielle ou virtuelle attribuée au produit chimique, sans regarder la mortalité réelle. On préfère regarder de l’autre côté du miroir avant de s’occuper de la réalité. Les activités de minorités agissantes n’augmentent pas la protection du citoyen, par contre, elles l’exposent à des dangers mortels comme nous venons de le voir dans les exemples ci-dessus, en le privant de l’utilisation raisonnable de produits chimiques dont les bienfaits ont été validés par un usage courant pendant près de deux siècles.

    http://www.pseudo-sciences.org/spip.php?article2131

  • Le pire de la drague

     

    Le site internet «Paye ta schnek»propose aux demoiselles de partager les phrases de drague les plus cocasses qui leur sont adréssées.

    Les Toulousaines ne sont pas les dernières à poster sur ce site les solicitations décomplexées de mâles entreprenants.

     «Hey mademoiselle, dommage qu’il n’y ait pas Mickey sur ton T-Shirt, ça t’aurait fait des seins animés !» (dans une boite de nuit)

     «Oh mademoiselle ! Comme t’es belle ! Mais si tu me souris… tu seras encore plus jolie!» (station des Arènes)

     «Hey petite fleur, tu veux faire partie de mon bouquet ?» (dans un pub)

     «Ohlala mais toi quand j’te vois comme ça, j’te fais un conte de fée sexuel tout de suite y’a pas de soucis !» (Place Wilson)

     « J’aime bien les filles comme toi, un peu grosses !» (Au Bikini)

    Ailleurs

    Tu me prête ta copine, je te la ramène avec le plein!

    Nan, mais en fait, t'a des seins vachements ludiques!

    Si t"'étais un sandwich à McDo, tu serais le mac-nifique!

    Yey mademoiselle tu t'appelle google? parce que je trouve en toi tout ce que je recherche!

    Tes yeux marrons sont tellement beaux, qu'ils me font penser à un torrent de boue!

    Je t'applaudi des deux couilles!

    Mademoiselle, s'il te plait, tu aurais pas 2 euros pour que je te paye un café?

    Hé, mademoiselle, vous êtes belle à un point qu'y a pas besoin de virgule!

    Vous êtes charmante, est-ce que je peux vous lécher quelques chose?

    Ton décoletté, c'est comme un paquet de Chocapic: quand on le regarde, on a envie d'y fourrer sa main dedans!

    Hey mademoiselle, ça te dis pas de jouer au hot-dog avec moi? devine qui fait la saucisse!

    Quand je regarde ton cul, j'y vois mon avenir: et franchement, il est radieux!

    Franchement, t'a des yeux magnifique, on dirait un chien de traîneau

    wouahhh vos sourires, ils m'ont époustiflé!

     

  • A méditer tant que nous pouvons tranquillement le faire...

     

    texte de Martin Niemöller (1892-1984)

    Un homme dont la famille faisait partie de l'aristocratie allemande, avant la seconde  guerre mondiale, possédait un certain nombre de grandes usines et de propriétés. 

    Quand on lui demandait combien d'allemands étaient de véritables nazis, il faisait une  réponse qui peut guider notre attitude au regard du fanatisme.

    " Peu de gens sont de vrais nazis, disait-il, mais nombreux sont ceux qui se réjouissent du retour de la fierté allemande, et encore plus nombreux ceux qui sont trop occupés pour y faire attention. J'étais l'un de ceux qui pensaient simplement que les nazis étaient une bande de cinglés. Aussi la majorité se contenta-t-elle de regarder et de laisser faire. Soudain, avant que nous ayons pu réaliser, ils nous possédaient, nous avions perdu toute liberté de manœuvre et la fin du monde était arrivée. Ma famille perdit tout, je terminai dans un camp de concentration et les alliés détruisirent mes usines.

    " Quand ils sont venus chercher les communistes, je n'ai pas protesté parce que je ne suis pas communiste.

    Quand ils sont venus chercher les Juifs, je n'ai pas protesté parce que je ne suis pas Juif.

    Quand ils sont venus chercher les syndicalistes, je n'ai pas protesté parce que je ne suis pas syndicaliste.

    Quand ils sont venus chercher les catholiques, je n'ai pas protesté parce que je ne suis pas catholique.

    Et lorsqu'ils sont venus me chercher, il n'y avait plus personne pour protester."

    Texte de Martin Niemöller (1892-1984), pasteur protestant arrêté en 1937 et envoyé au camp de concentration de Sachsenhausen. Il fut ensuite transféré en 1941 au camp de concentration de Dachau. Libéré du camp par la chute du régime nazi, en 1945.

    On ne peut s’empêcher de repenser à cette phrase de l’un de nos congénères les plus éclairés, lui aussi allemand d’origine ...

    " Le monde est dangereux à vivre non pas tant à cause de ceux qui font le mal, mais à cause de ceux qui regardent et laissent faire. "

    Albert Einstein