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société - Page 250

  • Les politiques en goguette... ou: est-ce que l'habit fait le moine?

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  • De plus en plus déjantée la gauchiasse!

    De nouvelles mesures annoncées contre le vin

    Alors que les vendanges s'annoncent assez moyennes cette année, le danger pour les viticulteurs ne vient pas de la météo mais de l’État.

    Les vendanges commencent ou ont déjà commencé dans les vignobles de France, avec un millésime 2013 qui s’annonce difficile. Le printemps fut pluvieux et humide, l’été guère ensoleillé, le botrytis a contaminé certaines appellations, et la grêle et les orages en ont détruit d’autres. Une petite vendange ne signifie pas un petit millésime. Les vins seront peut-être très bons, tout dépend du talent de chaque vigneron. Nous aurons les réponses dans les dégustations des prochains primeurs et lors des concours de l’année prochaine.

    Le plus inquiétant ne vient pas du ciel, mais de l’État. Le gouvernement envisage de nouveau de réglementer et de taxer la filière viticole, deuxième filière exportatrice de France, qui fournit 500 000 emplois, et qui illustre au mieux notre culture. Cinq mesures particulièrement vicieuses sont à l’étude :

    1/ Interdiction de parler du vin sur internet ;

    2/ Interdiction de parler positivement du vin dans les médias ;

    3/ Taxation du vin au nom de la santé publique ;

    4/ Radicalisation du message sanitaire ;

    5/ Durcissement des mentions sanitaires sur les étiquettes.

    Vous avez bien lu. Ces mesures sont ahurissantes. Le gouvernement souhaite légaliser la consommation de cannabis et de certaines drogues, mais il veut interdire de parler du vin. Les vignerons et les œnophiles se mobilisent depuis quelques jours pour empêcher ce diktat sanitaire, et cette atteinte inadmissible contre la culture de notre peuple.

    C’est véritablement cela qui est en jeu. Certes il y a les conséquences économiques de ces mesures, mais il y a surtout les conséquences culturelles et historiques. Comment peut-on en arriver à nier les racines culturelles de la France en cherchant à éradiquer le vin de ses paysages et de son histoire ? L’attaque est beaucoup plus grave et beaucoup plus profonde qu’il n’y paraît. Cela rejoint l’intrusion de l’idéologie du genre à l’école, la destruction des programmes d’histoire : c’est la volonté d’éradiquer une culture et de la remplacer par une idéologie technocratique.

    Pour plus d’informations sur ces mesures dangereuses, vous pouvez consulter le site "ce qui va vraiment saouler les Français".

     

  • Carnaval des sportifs

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    Jeux olympiques de Pékin: la lutte

     

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    Georgio Karagos: la claque!

     

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    La tronche de l'autre au hand-ball

     

     

  • Les Chinois viennent chez Ikea pour faire la sieste

     

    Dans ses magasins chinois, le géant suédois voit débarquer chaque jour des milliers de visiteurs qui dorment sur les matelas et font des pique-niques au rayon meuble. Soucieuse de ne pas froisser ces potentiels clients, la direction ferme les yeux.

    S'adapter aux habitudes de la clientèle chinoise est un défi permanent pour les sociétés qui s'installent en Chine. Le géant suédois Ikea en fait l'expérience tous les jours dans ses magasins où la clientèle adopte un comportement qui - d'un point de vue occidental - peut paraître très surprenant.

    Au rayon des meubles et cuisine notamment, il n'est pas rare de voir des pique-niqueurs, assis sur les tables d'exposition avec leur thermos de thé et leurs sandwichs. Parfois, des jeunes couples se font des câlins et se prennent en photo sur les canapés des espaces salons. Mais c'est au rayon des chambres à coucher que les visiteurs se sentent le plus comme chez eux: jeunes et moins jeunes n'hésitent pas à se déchausser, puis se glisser sous les draps des lits d'exposition pour piquer un somme. Des familles entières s'allongent parfois sur les matelas pour faire une sieste avant de reprendre leur promenade.

    Dans un article publié le mois dernier, un journaliste du South China Morning Post , décrit, photos à l'appui, cette scène incroyable qui s'est déroulée un samedi de forte affluence dans un magasin de Pékin: "dans un lit king-size, un petit garçon se réveille d'une sieste aux côtés de sa grand-mère (elle aussi endormie). Quand la vieille dame aide l'enfant à uriner dans une bouteille d'eau, inondant copieusement le matelas, personne n'a l'air d'y faire attention"…

    Visiblement très confortable, ce rayon est le plus populaire et le plus visité des établissements Ikea en Chine. Au grand dam des employés de l'enseigne suédoise, forcés de réveiller les personnes assoupies sur les lits pour permettre à ceux qui veulent acheter de faire leur choix. Les draps doivent aussi être changés presque tous les jours, obligeant les employés à faire des heures supplémentaires. "Je pense juste que les habitudes de shopping sont très différentes en Chine", ironise l'un d'entre eux au South China Morning Post. "Les visiteurs d'aujourd'hui pourront très bien devenir les clients de demain"

    Linda Xu, chargé des relations publiques du groupe suédois en Chine.

    Le comble pour Ikea, c'est que ces clients ressortent généralement les mains vides. Les circuits tracés pour traverser le magasin sont bondés, mais pas d'embouteillage en caisse. Face à cette situation, la direction d'Ikea se montre pourtant très patiente: "Nous accueillons toutes les personnes qui veulent venir dans nos magasins. Les visiteurs d'aujourd'hui pourront très bien devenir les clients de demain", souligne Linda Xu, chargé des relations publiques du groupe suédois en Chine.

    Sur le long terme, la stratégie semble payante. Depuis son installation il y a quinze ans, Ikea a fait de la Chine l'un de ses plus importants marchés. Près de 15 millions de visiteurs ont fréquenté ses onze magasins l'an dernier, permettant au groupe de réaliser un chiffre d'affaires dépassant les 6 milliards de yuans (plus de 700 millions d'euros). Loin d'être découragée par l'attitude de ses visiteurs, l'enseigne envisage d'ouvrir d'autres points de vente à Shanghaï, Pékin, Chongqing, ou encore Ningbo. D'ici 2020, Ikea vise même les 40 magasins dans ce pays.

     

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  • Les Chinois viennent chez Ikea pour faire la sieste

     

    Dans ses magasins chinois, le géant suédois voit débarquer chaque jour des milliers de visiteurs qui dorment sur les matelas et font des pique-niques au rayon meuble. Soucieuse de ne pas froisser ces potentiels clients, la direction ferme les yeux.

    S'adapter aux habitudes de la clientèle chinoise est un défi permanent pour les sociétés qui s'installent en Chine. Le géant suédois Ikea en fait l'expérience tous les jours dans ses magasins où la clientèle adopte un comportement qui - d'un point de vue occidental - peut paraître très surprenant.

    Au rayon des meubles et cuisine notamment, il n'est pas rare de voir des pique-niqueurs, assis sur les tables d'exposition avec leur thermos de thé et leurs sandwichs. Parfois, des jeunes couples se font des câlins et se prennent en photo sur les canapés des espaces salons. Mais c'est au rayon des chambres à coucher que les visiteurs se sentent le plus comme chez eux: jeunes et moins jeunes n'hésitent pas à se déchausser, puis se glisser sous les draps des lits d'exposition pour piquer un somme. Des familles entières s'allongent parfois sur les matelas pour faire une sieste avant de reprendre leur promenade.

    Dans un article publié le mois dernier, un journaliste du South China Morning Post , décrit, photos à l'appui, cette scène incroyable qui s'est déroulée un samedi de forte affluence dans un magasin de Pékin: "dans un lit king-size, un petit garçon se réveille d'une sieste aux côtés de sa grand-mère (elle aussi endormie). Quand la vieille dame aide l'enfant à uriner dans une bouteille d'eau, inondant copieusement le matelas, personne n'a l'air d'y faire attention"…

    Visiblement très confortable, ce rayon est le plus populaire et le plus visité des établissements Ikea en Chine. Au grand dam des employés de l'enseigne suédoise, forcés de réveiller les personnes assoupies sur les lits pour permettre à ceux qui veulent acheter de faire leur choix. Les draps doivent aussi être changés presque tous les jours, obligeant les employés à faire des heures supplémentaires. "Je pense juste que les habitudes de shopping sont très différentes en Chine", ironise l'un d'entre eux au South China Morning Post. "Les visiteurs d'aujourd'hui pourront très bien devenir les clients de demain"

    Linda Xu, chargé des relations publiques du groupe suédois en Chine.

    Le comble pour Ikea, c'est que ces clients ressortent généralement les mains vides. Les circuits tracés pour traverser le magasin sont bondés, mais pas d'embouteillage en caisse. Face à cette situation, la direction d'Ikea se montre pourtant très patiente: "Nous accueillons toutes les personnes qui veulent venir dans nos magasins. Les visiteurs d'aujourd'hui pourront très bien devenir les clients de demain", souligne Linda Xu, chargé des relations publiques du groupe suédois en Chine.

    Sur le long terme, la stratégie semble payante. Depuis son installation il y a quinze ans, Ikea a fait de la Chine l'un de ses plus importants marchés. Près de 15 millions de visiteurs ont fréquenté ses onze magasins l'an dernier, permettant au groupe de réaliser un chiffre d'affaires dépassant les 6 milliards de yuans (plus de 700 millions d'euros). Loin d'être découragée par l'attitude de ses visiteurs, l'enseigne envisage d'ouvrir d'autres points de vente à Shanghaï, Pékin, Chongqing, ou encore Ningbo. D'ici 2020, Ikea vise même les 40 magasins dans ce pays.

     

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  • Les Chinois viennent chez Ikea pour faire la sieste

     

    Dans ses magasins chinois, le géant suédois voit débarquer chaque jour des milliers de visiteurs qui dorment sur les matelas et font des pique-niques au rayon meuble. Soucieuse de ne pas froisser ces potentiels clients, la direction ferme les yeux.

    S'adapter aux habitudes de la clientèle chinoise est un défi permanent pour les sociétés qui s'installent en Chine. Le géant suédois Ikea en fait l'expérience tous les jours dans ses magasins où la clientèle adopte un comportement qui - d'un point de vue occidental - peut paraître très surprenant.

    Au rayon des meubles et cuisine notamment, il n'est pas rare de voir des pique-niqueurs, assis sur les tables d'exposition avec leur thermos de thé et leurs sandwichs. Parfois, des jeunes couples se font des câlins et se prennent en photo sur les canapés des espaces salons. Mais c'est au rayon des chambres à coucher que les visiteurs se sentent le plus comme chez eux: jeunes et moins jeunes n'hésitent pas à se déchausser, puis se glisser sous les draps des lits d'exposition pour piquer un somme. Des familles entières s'allongent parfois sur les matelas pour faire une sieste avant de reprendre leur promenade.

    Dans un article publié le mois dernier, un journaliste du South China Morning Post , décrit, photos à l'appui, cette scène incroyable qui s'est déroulée un samedi de forte affluence dans un magasin de Pékin: "dans un lit king-size, un petit garçon se réveille d'une sieste aux côtés de sa grand-mère (elle aussi endormie). Quand la vieille dame aide l'enfant à uriner dans une bouteille d'eau, inondant copieusement le matelas, personne n'a l'air d'y faire attention"…

    Visiblement très confortable, ce rayon est le plus populaire et le plus visité des établissements Ikea en Chine. Au grand dam des employés de l'enseigne suédoise, forcés de réveiller les personnes assoupies sur les lits pour permettre à ceux qui veulent acheter de faire leur choix. Les draps doivent aussi être changés presque tous les jours, obligeant les employés à faire des heures supplémentaires. "Je pense juste que les habitudes de shopping sont très différentes en Chine", ironise l'un d'entre eux au South China Morning Post. "Les visiteurs d'aujourd'hui pourront très bien devenir les clients de demain"

    Linda Xu, chargé des relations publiques du groupe suédois en Chine.

    Le comble pour Ikea, c'est que ces clients ressortent généralement les mains vides. Les circuits tracés pour traverser le magasin sont bondés, mais pas d'embouteillage en caisse. Face à cette situation, la direction d'Ikea se montre pourtant très patiente: "Nous accueillons toutes les personnes qui veulent venir dans nos magasins. Les visiteurs d'aujourd'hui pourront très bien devenir les clients de demain", souligne Linda Xu, chargé des relations publiques du groupe suédois en Chine.

    Sur le long terme, la stratégie semble payante. Depuis son installation il y a quinze ans, Ikea a fait de la Chine l'un de ses plus importants marchés. Près de 15 millions de visiteurs ont fréquenté ses onze magasins l'an dernier, permettant au groupe de réaliser un chiffre d'affaires dépassant les 6 milliards de yuans (plus de 700 millions d'euros). Loin d'être découragée par l'attitude de ses visiteurs, l'enseigne envisage d'ouvrir d'autres points de vente à Shanghaï, Pékin, Chongqing, ou encore Ningbo. D'ici 2020, Ikea vise même les 40 magasins dans ce pays.

     

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  • Comme disait....

    "Le socialisme, c’est une attaque tantôt directe, tantôt indirecte mais toujours continue aux principes mêmes de la propriété individuelle; c’est une défiance profonde de la liberté, de la raison humaine; c’est un profond mépris pour l’individu pris en lui-même, à l’état d’homme; ce qui caractérise [les systèmes qui portent le nom de socialisme], c’est une tentative continue, variée, incessante, pour mutiler, pour écourter, pour gêner la liberté humaine de toutes les manières;

    c’est l’idée que l’État ne doit pas seulement être le directeur de la société, mais doit être, pour ainsi dire, le maître de chaque homme – que dis-je! son maître, son précepteur, son pédagogue;

    que de peur de le laisser faillir, il doit se placer sans cesse à côté de lui, au-dessus de lui, autour de lui, pour le guider, le garantir, le retenir, le maintenir; en un mot, c’est la confiscation de la liberté humaine.

    À ce point que si, en définitive, j’avais à trouver une formule générale pour exprimer ce que m’apparaît être le socialisme dans son ensemble, je dirais que c’est une nouvelle formule de la servitude…"

    Alexis de Tocqueville